Poème:Ca Y Est,

Je n’avais pas encOre l’impressiOn véritablement que ça allait se prOduire.
Je le savais, mais refusais d’écOuter je pense…
Sauf que là, je ne plus reculer,
Je ne peut plus fermer les yeux, en me laissant bercer par de fausses illusiOns…
Un dernier regard, un bisOu, une étrainte et vOilà,
Ce jOli rêve prend fin…

COmment cOncevOir l’avenir sans vOus ?
VOus qui êtes là depuis le cOmmencement
COmment surmOnter ?

Et puis une lettre,
Quelques larmes,
Plus que quelques même…

Elle, si belle,
Si dOuce, si calme et pOurtant si impOrtante.
La lire,
La relire en bOucle,
Juste pOur t’imaginer,
En train de nOus dire ces mOts si appaisant,
Si sage et si mélOdieux.
Quelques mOts,
Tintant avec harmOnie dans ma tête,
POur ensuite dOucement s’envOler,
Prendre le large et s’en aller ?
AlOrs il ne reste plus qu’à relire,
POur se bercer de l’illusiOn que tu es encOre là,
Là, si près de nOus.

TOi, un être si exeptiOnnel,
Si grand d’âme et d’esprit…
COmment cOntinuer sans tOi,
POur nOus guider, nOus éclairer ?
COmme lachée en pleine mer,
Sachant à peine nager,
VOilà la désagréable sensatiOn de cOuler,
Et de ne pas réussir à remonter.

Peu être qu’un jOur je réussirai,
A enfin savOir nager,
Mais pOur l’instant c’est si difficile.
Les effOrt sOn vain,
Et je me sens cOuler encOre plus bas,
Semblant ne plus jamais remOnter pOur revOir le sOleil.

Le sOleil ?
Si dOux et si caressant,
Celui de nOtre petit paradis,
Qui aura un gOut plus qu’amère sans tOi.
COmme une mélOdie qui sOnne faux,
Une jOlie phOtos sans cOuleur,
Une radiO qui grésille,
COmme un chateau sans sOn rOi…