Poème:Pyramides *Mélange De Plumes

Muchu
Le soleil se couche derrière toi
Mettant en valeur ton reflet
Tu es si belle je suis en émoi
Devant l’effet que tu me fait
On ta construite pour t’honorer
Mais ta sépulture s’est faite violée
Tu renferme le pharaon et ses richesse
Que des gens désire sans cesse
Tes pièges caché a l’intérieur
Pour te protégé de ses malfaiteurs
Sont de temps en temps franchit
Par des gens qui après, devienne maudit
Nightwish
Au soleil rayonnant, reflétant ta lueur
Tu émets un parterre doré de bonheur
Face à toi s’élève un sommet
Tel une pyramide égyptienne éclairé
De tes rayons lumineux tu m’éblouies
Ton parterre ressemble tel un sable
J’ai vu cette image ce fut admirable
Le ciel représentant comme la mer
Et cette pyramide à terre
Tel un enfant l’ayant crée
De ces propres petites mains d’été
Comme un château de sable
De tout on est capable
Jjp
Le soleil brille de mille feu
Vers cette pyramide en chaleur
Dans les profondeurs
D’un désert monstrueux
Les flammes dépasse de ton ardeur
Pour ne plus que tu pleur
Dans ton désert qui se meurt
Car la pluie va tombé sur lui
A cause de ce ciel menaçant
Comme un aimant
Torride sera cette pluie
Et notre pauvre pyramide va sombré
Dans un rêve insensé
En oubliant toutes amitiés
Elle ne saura plus bouger
A cause quelle aura fondu
Et quelle sera toute tordue
Seul un océan restera
Fasse a ce désert la pluie gagnera
Enfin l’image s’effacera
Que de l’eau nous verrons comme ça
Sheron
Perles de sable doré
Te déclare sa flamme
Courbe secrète en assemblée
Diamant mont de femme
Goutte d’aube azur
Emblème de combat sans armure
Dans chaque ombre un rebus
Sous le soleil des hommes on su
A présent reste l’émerveillement
Pyramide sans tourment tu traverses les ans
Emyraud
Orange boule de feu
Eclaire monument pieux
Chaque grain de sable un voeu
Sera-t-il exaucé cruel jeu
Pyramide mathématique
Lieu de mort extatique
Sphères mystiques
Conduisent a l’étoile statique

Oh toi ! Soleil de ma vie
Qui brille dans le ciel
De sa chaleur éternel
D’une beauté infinie
Oh toi ! Qui me surveille de là haut
Mon cœur qui est tel une pyramide
Posé au milieu de ce désert humide
Et qui m’envoie ses rayons originaux
Je les reçois si profond en moi
Pourtant ils arrivent un à un
Ils sont si ronds, ce n’est pas commun
Et pourtant, ils m’ont replis d émois
Tu es si présent
Que je ne peux, Maintenant
Que te voir moins vieux
Toi qui met si précieux
Thorin Jacques
Toi, dont le visage est mon chemin d’étoiles
La première fois j’ai vu dans tes yeux le soleil se lever
Tu as su faire éclore la rose endormie sous la neige
Ce jour-là tu me fis présent de la lune
D’une averse d’étoiles qui depuis
Éclairent mes nuits, mes cieux vides
Au premier baiser j’ai senti
La terre palpiter dans ma main
Comme le cœur d’un oiseau captif
Quand de ton corps contre le mien
Tu fis naître en moi des frénésies sauvages
J’ai vu luire ton beau regard
Jusqu’à ton cœur battant
De tourbillons en tourbillons
J’ai cru que notre joie remplirait la terre
Jusqu’à la fin du temps
Mon aimé, l’amour est un fleuve
Où se noie le tendre roseau
Il purge l’âme de ses laideurs
Il est soif, faim, un mal sans fin
L’amour est une fleur dont tu es l’unique graine
Il est aussi un rêve effrayé du réveil
Celui qui ne saisit pas la chance d’aimer
Ne saura ni la vie ni rien donner
Son âme craindra la mort
Il n’aura jamais vécu le bonheur
Cœur tourmenté n’apprend jamais à valser
Si la nuit te semble trop vide
Ta route longue et abrupte
Si tu crois un seul instant
Que l’ amour est absent
Rappelle-toi qu’au printemps
Dort sous les neiges amères
Une graine qui demande à fleurir
Par l’amour d’un Soleil