Univers de poésie d'un auteur

Poème:Cimetière En Slam

Le Poème

Je voudrai vous faire-part d’un souvenir, un souvenir qu’elle me racontait et qui me faisait toujours sourire.
Ho bien des gens en aurait pleuré ou se serait apitoyé sur son sort, mais moi je savais qu’elle n’avait pas tors.
Bien sur comme tout le monde elle a des rancœurs et parfois même elle pleur, mais aujourd’hui elle n’a plus peur.
La mort la fascinait, mais surtout elle savait. Elle savait mieux que personne qu’un jour tout s’arrêterai.
Enfin tout le monde en est conscient, mais c’est pas pour sa que l’ont sait plus apprécier l’instant.
N’êtes vous jamais passer à coté d’un cimetière en ayant peur de regarder au-dessus du mur ? Evidemment que si ! puisque vous changez de trottoir pour de vous en être plus sur.
Mais qui as t il de plus sur que la mort ? Rien ou peut-être juste le fait de fuir en se disant que de toute façon se sera à tous notre sors.
Ce jour la, elle, elle est rentrée dans ce cimetière et croyez moi ce n’est pas si sombre que ça puisqu’elle, elle a vu de la lumière.
Elle marchait, pas à pas, rapidement au départ, mais au fil de ses pas elle a vite comprit que ce n’était pas la peine de courir, parce qu’on en arriverai tous un jour la, quelque part.
Alors elle s’est arrêtée un moment et à regarder autour d’elle comme jamais elle ne l’avait fait auparavant, aujourd’hui elle se souvient de cet instant.
En se tournant à droite elle a vu le nom d’un artiste connu, c’était une super star des années que l’on n’a pas vécu.
A gauche, elle s’est accroupit vers une adolescente de 17 ans à peine, décédée par les lames qu’elle s’était mise dans les veines.
Juste à coté, un homme encore en prison à perpétuité, remarqué comme prison il n’y a pas mieux que la mort, sa a été sa première pensée.
Un peu plus loin une agression pour une cigarette et voilà comment on se retrouve avec deux balles dans la tête.
Le cœur séré elle s’est retourner et apeuré elle courait rejoindre la porte pour partir, pour s’enfuir. Elle ne pensait plus qu’a ressortir et comme la plupart des gens, fuir.
Fuir loin de cette fatalité, cette fatalité malgré tout qui lui a donné le droit d’exister.
Parce que croyiez moi ce qu’il nous fait exister est bien plus fort que l’amour d’autrui, mais c’est celui que l’on se donne à soit même et auquel on s’abandonne à vie.
Et parce qu’en réalité ce dont on a le plus peur ce n’est pas de mourir, mais avouez le, c’est de vivre sans arriver à sourire.
Beaucoup de gens ici ne souri plus mais on ne les voit pas, on ne s’intéresse pas, on passe notre chemin, parce qu’on ne pense cas notre propre destin.
Un destin qui de toute façon nous réunira tous les uns à coté des autres, la tout près des nôtres.
Je me rappel d’un détail qu’elle me racontait, un détail pour moi mais dont elle se souvenait.
Dans sa course qui n’avait que seul but de ressortir de cet endroit elle a été surprise par quelque goutte de pluie qui tombaient, ce temps qui d’un seul coup changeait, mais en fait ce n’était qu’autre que des larme sur son visage qui coulait.
Pleurer, ce mot sortit de son vocabulaire depuis des années, il reprenait doucement forme face à une réalité.
Une réalité qui la mettaient face à elle-même et qui ce jour la lui en a bien plus apprit, que tout ce que jusqu’à présent elle n’avait vu de la vie.
Elle s’est agenouillée comme pour se laisser porter par ce qu’elle vivait à cet instant bien précis et désormais elle ne sentait plus rien sur quoi prendre appuis, mais elle savait que des qu’elle serait sortit, différemment elle verrait la vie.
Alors elle s’est relevée et jeta un dernier regard, remplit de larmes, ses yeux se portaient juste à côté d’elle où se tenais quelqu’un qu’elle avait connue mais il était trop tard.
Il était trop tard pour lui dire, excuse-moi, je ne t’en veux pas ou encore, je t’aime, la elle n’était plus que face à elle-même.
Elle aurait voulu crier et hurler mais qui l’aurait entendu ici ? la où plus rien ne vit.
Malgré tout elle m’a dit être repartit avec le sourire ce jour la, parce qu’elle savait avoir franchi un pas. Et peut-être le plus important qui soit,
Que l’ont pouvait faire de la vie une vie différente de ce que l’on voit !
J’aurai bien eu envie de pleurer en l’écoutant me parler, mais je souriais parce que ce n’étais que face à moi-même que je venais de me confronter.

Mel
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Poeme de Jolicoeur

Poète Jolicoeur

Jolicoeur a publié sur le site 9 écrits. Jolicoeur est membre du site depuis l'année 2005.

Syllabation De L'Écrit

Syllabes Hyphénique: Cimetière En Slamje=vou=drai=vous=fai=re=part=dun=sou=ve=nir=un=sou=ve=nir=quel=le=me=ra=con=tait=et=qui=me=fai=sait=tou=jours=sou=rire 30
ho=bien=des=gens=en=au=rait=pleu=ré=ou=se=se=rait=a=pi=toyé=sur=son=sort=mais=moi=je=sa=vais=quel=le=na=vait=pas=tors 30
bien=sur=comme=tout=le=mon=de=el=le=a=des=ran=cœurs=et=par=fois=mê=me=el=le=pleur=mais=au=jourd=hui=el=le=na=plus=peur 30
la=mort=la=fas=ci=nait=mais=sur=tout=el=le=sa=vait=el=le=sa=vait=mieux=que=per=son=ne=quun=jour=tout=sar=rê=te=rai 29
en=fin=tout=le=mon=de=en=est=cons=cient=mais=cest=pas=pour=sa=que=lont=sait=plus=ap=pré=ci=er=lins=tant 25
nêtes=vous=ja=mais=pas=ser=à=co=té=dun=ci=me=tiè=reen=ayant=peur=de=re=gar=der=au=des=sus=du=mur=e=vi=dem=ment=que=si=puis=que=vous=chan=gez=de=trot=toir=pour=de=vous=en=ê=tre=plus=sur 47
mais=qui=as=t=il=de=plus=sur=que=la=mort=rien=ou=peut=têtre=jus=te=le=fait=de=fu=ir=en=se=di=sant=que=de=tou=te=fa=çon=se=se=ra=à=tous=no=tre=sors 40
ce=jour=la=el=le=el=leest=ren=trée=dans=ce=cime=tiè=re=et=croyez=moi=ce=nest=pas=si=som=bre=que=ça=puis=quel=le=el=le=a=vu=de=la=lu=mière 36
elle=mar=chait=pas=à=pas=ra=pide=ment=au=dé=part=mais=au=fil=de=ses=pas=el=lea=vi=te=com=prit=que=ce=né=tait=pas=la=pei=ne=de=cou=rir=par=ce=quon=en=ar=ri=ve=rai=tous=un=jour=la=quel=que=part 50
a=lors=elle=sest=ar=rê=tée=un=moment=et=à=re=gar=der=au=tour=del=le=com=me=ja=mais=el=le=ne=la=vait=fait=au=pa=ra=vant=au=jourdhui=el=le=se=sou=vient=de=cet=ins=tant 43
en=se=tour=nant=à=droiteelle=a=vu=le=nom=dun=ar=tis=te=con=nu=cé=tait=u=ne=su=per=star=des=an=nées=que=lon=na=pas=vé=cu 32
a=gauche=el=le=sest=ac=crou=pit=vers=u=nea=do=les=cen=te=de=dix=sept=ans=à=pei=ne=dé=cé=dée=par=les=la=mes=quel=le=sé=tait=mi=se=dans=les=veines 38
jus=teà=co=té=un=homme=en=co=re=en=pri=son=à=per=pé=tui=té=re=mar=qué=com=me=pri=son=il=ny=a=pas=mieux=que=la=mort=sa=a=é=té=sa=pre=miè=re=pen=sée 42
un=peu=plus=loin=unea=gres=sion=pour=u=ne=ci=ga=ret=te=et=voi=là=com=ment=on=se=re=trou=ve=a=vec=deux=bal=les=dans=la=tête 32
le=cœur=sé=ré=elle=sest=re=tour=ner=et=a=peu=ré=el=le=cou=rait=re=joindre=la=por=te=pour=par=tir=pour=sen=fu=ir=el=le=ne=pen=sait=plus=qua=res=sor=tir=et=com=me=la=plu=part=des=gens=fuir 48
fu=ir=loin=de=cet=te=fa=ta=li=té=cet=te=fa=ta=li=té=mal=gré=tout=qui=lui=a=don=né=le=droit=dexis=ter 28
par=ce=que=croyiez=moi=ce=quil=nous=fait=exis=ter=est=bien=plus=fort=que=la=mour=dau=trui=mais=cest=ce=lui=que=lon=se=donneà=soit=mê=me=et=au=quel=on=sa=ban=don=ne=à=vie 41
et=par=ce=quen=ré=a=li=té=ce=dont=on=a=le=plus=peur=ce=nest=pas=de=mou=rir=mais=a=vouez=le=cest=de=vivre=sans=ar=ri=ver=à=sou=rire 35
beau=coup=de=gens=i=ci=ne=sou=ri=plus=mais=on=ne=les=voit=pas=on=ne=sin=téres=se=pas=on=pas=se=no=tre=che=min=par=ce=quon=ne=pen=se=cas=no=tre=pro=pre=des=tin 42
un=des=tin=qui=de=tou=te=fa=çon=nous=ré=u=ni=ra=tous=les=uns=à=co=té=des=au=tres=la=tout=près=des=nô=tres 29
je=me=rap=pel=dun=dé=tail=quel=le=me=ra=con=tait=un=dé=tail=pour=moi=mais=dont=el=le=se=sou=ve=nait 26
dans=sa=course=qui=na=vait=que=seul=but=de=res=sor=tir=de=cet=en=droit=ellea=é=té=sur=pri=se=par=quel=que=gout=te=de=pluie=qui=tom=baient=ce=temps=qui=dun=seul=coup=chan=geait=mais=en=fait=ce=né=tait=quau=tre=que=des=lar=me=sur=son=vi=sa=ge=qui=cou=lait 61
pleu=rer=ce=mot=sor=tit=de=son=vo=ca=bu=laire=de=puis=des=an=nées=il=re=pre=nait=dou=ce=ment=for=me=fa=ceà=u=ne=ré=a=li=té 34
une=ré=a=li=té=qui=la=met=taient=fa=ceà=elle=mê=me=et=qui=ce=jour=la=lui=en=a=bien=plus=ap=prit=que=tout=ce=que=jus=quà=pré=sent=el=le=na=vait=vu=de=la=vie 42
elle=sest=age=nouillée=com=me=pour=se=lais=ser=por=ter=par=ce=quel=le=vi=vait=à=cet=ins=tant=bien=pré=cis=et=dé=sor=mais=el=le=ne=sen=tait=plus=rien=sur=quoi=pren=dreap=puis=mais=el=le=sa=vait=que=des=quel=le=se=rait=sor=tit=dif=fé=rem=ment=el=le=ver=rait=la=vie 64
a=lors=elle=sest=re=le=vée=et=je=ta=un=der=nier=re=gard=rem=plit=de=lar=mes=ses=yeux=se=por=taient=jus=teà=cô=té=del=le=où=se=te=nais=quel=quun=quel=le=a=vait=con=nue=mais=il=é=tait=trop=tard 49
il=é=tait=trop=tard=pour=lui=di=re=ex=cu=se=moi=je=ne=ten=veux=pas=ou=en=co=re=je=tai=me=la=el=le=né=tait=plus=que=fa=ce=à=el=le=mê=me 39
el=le=au=rait=vou=lu=cri=er=et=hur=ler=mais=qui=lau=rait=en=ten=du=i=ci=la=où=plus=rien=ne=vit 26
mal=gré=tout=elle=ma=dit=être=re=par=tit=a=vec=le=sou=ri=re=ce=jour=la=par=ce=quel=le=sa=vait=a=voir=fran=chi=un=pas=et=peut=tê=tre=le=plus=im=por=tant=qui=soit 42
que=lont=pou=vait=fai=re=de=la=vie=u=ne=vie=dif=fé=ren=te=de=ce=que=lon=voit 21
jau=rai=bien=eu=en=vie=de=pleu=rer=en=lé=cou=tant=me=par=ler=mais=je=sou=riais=par=ce=que=ce=né=tais=que=fa=ce=à=moi=mê=me=que=je=ve=nais=de=me=con=fron=ter 42

mel 1
Phonétique : Cimetière En Slamʒə vudʁε vu fεʁə paʁ dœ̃ suvəniʁ, œ̃ suvəniʁ kεllə mə ʁakɔ̃tε e ki mə fəzε tuʒuʁ suʁiʁə.
o bjɛ̃ dε ʒɑ̃z- ɑ̃n- oʁε pləʁe u sə səʁε apitwaje syʁ sɔ̃ sɔʁ, mε mwa ʒə savε kεllə navε pa tɔʁ.
bjɛ̃ syʁ kɔmə tu lə mɔ̃də εllə a dε ʁɑ̃kœʁz- e paʁfwa mεmə εllə plœʁ, mεz- oʒuʁdɥi εllə na plys pœʁ.
la mɔʁ la fasinε, mε syʁtu εllə savε. εllə savε mjø kə pεʁsɔnə kœ̃ ʒuʁ tu saʁεtəʁε.
ɑ̃fɛ̃ tu lə mɔ̃də ɑ̃n- ε kɔ̃sjɑ̃, mε sε pa puʁ sa kə lɔ̃ sε plysz- apʁesje lɛ̃stɑ̃.
nεtə vu ʒamε pase a kɔte dœ̃ simətjεʁə ɑ̃n- εjɑ̃ pœʁ də ʁəɡaʁde o dəsy dy myʁ ? əvidamɑ̃ kə si ! pɥiskə vu ʃɑ̃ʒe də tʁɔtwaʁ puʁ də vuz- ɑ̃n- εtʁə plys syʁ.
mε ki a te il də plys syʁ kə la mɔʁ ? ʁjɛ̃ u pø tεtʁə ʒystə lə fε də fɥiʁ ɑ̃ sə dizɑ̃ kə də tutə fasɔ̃ sə səʁa a tus nɔtʁə sɔʁ.
sə ʒuʁ la, εllə, εllə ε ʁɑ̃tʁe dɑ̃ sə simətjεʁə e kʁwaje mwa sə nε pa si sɔ̃bʁə kə sa pɥiskεllə, εllə a vy də la lymjεʁə.
εllə maʁʃε, pa a pa, ʁapidəmɑ̃ o depaʁ, mεz- o fil də sε pa εllə a vitə kɔ̃pʁi kə sə netε pa la pεnə də kuʁiʁ, paʁsə kɔ̃n- ɑ̃n- aʁivəʁε tusz- œ̃ ʒuʁ la, kεlkə paʁ.
alɔʁz- εllə sεt- aʁεte œ̃ mɔmɑ̃ e a ʁəɡaʁde otuʁ dεllə kɔmə ʒamεz- εllə nə lavε fε opaʁavɑ̃, oʒuʁdɥi εllə sə suvjɛ̃ də sεt ɛ̃stɑ̃.
ɑ̃ sə tuʁnɑ̃ a dʁwatə εllə a vy lə nɔ̃ dœ̃n- aʁtistə kɔny, setε ynə sype staʁ dεz- ane kə lɔ̃ na pa veky.
a ɡoʃə, εllə sεt- akʁupi vεʁz- ynə adɔlesɑ̃tə də di- sεt ɑ̃ a pεnə, desede paʁ lε lamə kεllə setε mizə dɑ̃ lε vεnə.
ʒystə a kɔte, œ̃n- ɔmə ɑ̃kɔʁə ɑ̃ pʁizɔ̃ a pεʁpetɥite, ʁəmaʁke kɔmə pʁizɔ̃ il ni a pa mjø kə la mɔʁ, sa a ete sa pʁəmjεʁə pɑ̃se.
œ̃ pø plys lwɛ̃ ynə aɡʁesjɔ̃ puʁ ynə siɡaʁεtə e vwala kɔmɑ̃ ɔ̃ sə ʁətʁuvə avεk dø balə dɑ̃ la tεtə.
lə kœʁ seʁe εllə sε ʁətuʁne e apəʁe εllə kuʁε ʁəʒwɛ̃dʁə la pɔʁtə puʁ paʁtiʁ, puʁ sɑ̃fɥiʁ. εllə nə pɑ̃sε plys ka ʁəsɔʁtiʁ e kɔmə la plypaʁ dε ʒɑ̃, fɥiʁ.
fɥiʁ lwɛ̃ də sεtə fatalite, sεtə fatalite malɡʁe tu ki lɥi a dɔne lə dʁwa dεɡziste.
paʁsə kə kʁwajje mwa sə kil nu fε εɡziste ε bjɛ̃ plys fɔʁ kə lamuʁ dotʁɥi, mε sε səlɥi kə lɔ̃ sə dɔnə a swa mεmə e okεl ɔ̃ sabɑ̃dɔnə a vi.
e paʁsə kɑ̃ ʁealite sə dɔ̃ ɔ̃n- a lə plys pœʁ sə nε pa də muʁiʁ, mεz- avue lə, sε də vivʁə sɑ̃z- aʁive a suʁiʁə.
boku də ʒɑ̃z- isi nə suʁi plys mεz- ɔ̃ nə lε vwa pa, ɔ̃ nə sɛ̃teʁεsə pa, ɔ̃ pasə nɔtʁə ʃəmɛ̃, paʁsə kɔ̃ nə pɑ̃sə ka nɔtʁə pʁɔpʁə dεstɛ̃.
œ̃ dεstɛ̃ ki də tutə fasɔ̃ nu ʁeyniʁa tus lεz- œ̃ a kɔte dεz- otʁə, la tu pʁε dε notʁə.
ʒə mə ʁapεl dœ̃ detaj kεllə mə ʁakɔ̃tε, œ̃ detaj puʁ mwa mε dɔ̃ εllə sə suvənε.
dɑ̃ sa kuʁsə ki navε kə səl byt də ʁəsɔʁtiʁ də sεt ɑ̃dʁwa εllə a ete syʁpʁizə paʁ kεlkə ɡutə də plɥi ki tɔ̃bε, sə tɑ̃ ki dœ̃ səl ku ʃɑ̃ʒε, mεz- ɑ̃ fε sə netε kotʁə kə dε laʁmə syʁ sɔ̃ vizaʒə ki kulε.
pləʁe, sə mo sɔʁti də sɔ̃ vɔkabylεʁə dəpɥi dεz- ane, il ʁəpʁənε dusəmɑ̃ fɔʁmə fasə a ynə ʁealite.
ynə ʁealite ki la mεtε fasə a εllə mεmə e ki sə ʒuʁ la lɥi ɑ̃n- a bjɛ̃ plysz- apʁi, kə tu sə kə ʒyska pʁezɑ̃ εllə navε vy də la vi.
εllə sεt- aʒənuje kɔmə puʁ sə lεse pɔʁte paʁ sə kεllə vivε a sεt ɛ̃stɑ̃ bjɛ̃ pʁesiz- e dezɔʁmεz- εllə nə sɑ̃tε plys ʁjɛ̃ syʁ kwa pʁɑ̃dʁə apɥi, mεz- εllə savε kə dε kεllə səʁε sɔʁti, difeʁamɑ̃ εllə veʁε la vi.
alɔʁz- εllə sε ʁələve e ʒəta œ̃ dεʁnje ʁəɡaʁ, ʁɑ̃pli də laʁmə, sεz- iø sə pɔʁtε ʒystə a kote dεllə u sə tənε kεlkœ̃ kεllə avε kɔnɥ mεz- il etε tʁo taʁ.
il etε tʁo taʁ puʁ lɥi diʁə, εkskyzə mwa, ʒə nə tɑ̃ vø pa u ɑ̃kɔʁə, ʒə tεmə, la εllə netε plys kə fasə a εllə mεmə.
εllə oʁε vuly kʁje e yʁle mε ki loʁε ɑ̃tɑ̃dy isi ? la u plys ʁjɛ̃ nə vit.
malɡʁe tut- εllə ma di εtʁə ʁəpaʁti avεk lə suʁiʁə sə ʒuʁ la, paʁsə kεllə savε avwaʁ fʁɑ̃ʃi œ̃ pa. e pø tεtʁə lə plysz- ɛ̃pɔʁtɑ̃ ki swa,
kə lɔ̃ puvε fεʁə də la vi ynə vi difeʁɑ̃tə də sə kə lɔ̃ vwa !
ʒoʁε bjɛ̃ y ɑ̃vi də pləʁe ɑ̃ lekutɑ̃ mə paʁle, mε ʒə suʁjε paʁsə kə sə netε kə fasə a mwa mεmə kə ʒə vənε də mə kɔ̃fʁɔ̃te.

mεl
Syllabes Phonétique : Cimetière En Slamʒə=vu=dʁε=vu=fε=ʁə=paʁ=dœ̃=su=və=niʁ=œ̃=su=və=niʁ=kεl=lə=mə=ʁa=kɔ̃=tε=e=ki=mə=fə=zε=tu=ʒuʁ=su=ʁi=ʁə 31
o=bj=ɛ̃=dε=ʒɑ̃=zɑ̃=no=ʁε=plə=ʁe=u=sə=sə=ʁε=a=pi=twa=j=e=syʁ=sɔ̃=sɔʁ=mε=mwa=ʒə=sa=vε=kεl=lə=na=vε=pa=tɔʁ 33
bj=ɛ̃=syʁ=kɔ=mə=tu=lə=mɔ̃=də=εl=lə=a=dε=ʁɑ̃=kœ=ʁə=ze=paʁ=fwa=mε=mə=εl=lə=plœʁ=mε=zo=ʒuʁ=dɥi=εl=lə=na=plys=pœʁ 33
la=mɔʁ=la=fa=si=nε=mε=syʁ=tu=εl=lə=sa=vε=εl=lə=sa=vε=mj=ø=kə=pεʁ=sɔ=nə=kœ̃=ʒuʁ=tu=sa=ʁε=tə=ʁε 30
ɑ̃=fɛ̃=tu=lə=mɔ̃=də=ɑ̃=nε=kɔ̃=sj=ɑ̃=mε=sε=pa=puʁ=sa=kə=lɔ̃=sε=plys=za=pʁe=sj=e=lɛ̃s=tɑ̃ 26
nεtə=vu=ʒa=mε=pa=se=a=kɔ=te=dœ̃=si=mə=tjε=ʁəɑ̃=nε=jɑ̃=pœʁ=də=ʁə=ɡaʁ=de=o=də=sy=dy=myʁ=ə=vi=da=mɑ̃=kə=si=pɥis=kə=vu=ʃɑ̃=ʒe=də=tʁɔ=twaʁ=puʁ=də=vu=zɑ̃=nε=tʁə=plys=syʁ 48
mε=ki=a=te=il=də=plys=syʁ=kə=la=mɔʁ=ʁjɛ̃=u=pø=tεtʁə=ʒys=tə=lə=fε=də=fɥ=iʁ=ɑ̃=sə=di=zɑ̃=kə=də=tu=tə=fa=sɔ̃=sə=sə=ʁa=a=tus=nɔ=tʁə=sɔʁ 40
sə=ʒuʁ=la=εl=lə=εl=ləε=ʁɑ̃=tʁe=dɑ̃sə=si=mə=tjε=ʁə=e=kʁwa=je=mwa=sə=nε=pa=si=sɔ̃=bʁə=kə=sa=pɥis=kεllə=εl=lə=a=vy=də=la=ly=mjεʁə 36
εllə=maʁ=ʃε=pa=a=pa=ʁa=pidə=mɑ̃=o=de=paʁ=mε=zo=fil=də=sε=pa=εl=ləa=vi=tə=kɔ̃=pʁi=kə=sə=ne=tε=pa=la=pε=nə=də=ku=ʁiʁ=paʁ=sə=kɔ̃=nɑ̃=na=ʁi=və=ʁε=tus=zœ̃=ʒuʁ=la=kεl=kə=paʁ 50
a=lɔʁ=zεllə=sε=ta=ʁε=te=œ̃=mɔ=mɑ̃=e=aʁə=ɡaʁ=de=o=tuʁ=dεl=lə=kɔ=mə=ʒa=mε=zεl=lə=nə=la=vε=fε=o=pa=ʁa=vɑ̃=o=ʒuʁ=dɥi=εl=lə=sə=su=vjɛ̃=də=sεt=ɛ̃s=tɑ̃ 44
ɑ̃=sə=tuʁ=nɑ̃=a=dʁwa=tə=εl=lə=a=vy=lə=nɔ̃=dœ̃=naʁ=tis=tə=kɔ=ny=se=tε=y=nə=sy=pe=staʁ=dε=za=ne=kə=lɔ̃=na=pa=ve=ky 35
a=ɡo=ʃə=εl=lə=sε=ta=kʁu=pi=vεʁ=zy=nə=a=dɔ=le=sɑ̃=tə=də=di=sεt=ɑ̃=a=pε=nə=de=se=de=paʁ=lε=la=mə=kεl=lə=se=tε=mi=zə=dɑ̃=lε=vε=nə 41
ʒys=tə=a=kɔ=te=œ̃=nɔ=mə=ɑ̃=kɔ=ʁə=ɑ̃=pʁi=zɔ̃=a=pεʁ=pet=ɥi=te=ʁə=maʁ=ke=kɔ=mə=pʁi=zɔ̃=il=ni=a=pa=mjø=kə=la=mɔʁ=sa=a=e=te=sa=pʁə=mjε=ʁə=pɑ̃=se 44
œ̃=pø=plys=lwɛ̃=y=nə=a=ɡʁe=sj=ɔ̃=puʁ=y=nə=si=ɡa=ʁε=tə=e=vwa=la=kɔ=mɑ̃=ɔ̃=sə=ʁə=tʁu=və=a=vεk=dø=ba=lə=dɑ̃=la=tε=tə 36
lə=kœʁ=se=ʁe=εllə=sεʁə=tuʁ=ne=e=a=pə=ʁe=εl=lə=ku=ʁε=ʁə=ʒwɛ̃=dʁə=la=pɔʁ=tə=puʁ=paʁ=tiʁ=puʁ=sɑ̃f=ɥiʁ=εl=lə=nə=pɑ̃=sε=plys=ka=ʁə=sɔʁ=tiʁ=e=kɔ=mə=la=ply=paʁ=dε=ʒɑ̃=fɥiʁ 47
fɥ=iʁ=lwɛ̃=də=sε=tə=fa=ta=li=te=sε=tə=fa=ta=li=te=mal=ɡʁe=tu=ki=lɥi=a=dɔ=ne=lə=dʁwa=dεɡ=zis=te 29
paʁsə=kə=kʁwa=jje=mwa=sə=kil=nu=fε=εɡ=zis=te=ε=bjɛ̃=plys=fɔʁ=kə=la=muʁ=dot=ʁɥi=mε=sε=səl=ɥi=kə=lɔ̃=sə=dɔ=nə=a=swa=mε=mə=e=o=kεl=ɔ̃=sa=bɑ̃=dɔ=nə=a=vi 44
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Commentaire poème
25/04/2024Poeme-France
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Poème Mort
Du 16/08/2006 01:14

L'écrit contient 868 mots qui sont répartis dans 2 strophes.