Prose:Urielle

vois-tu j’ai voyagé
vers un pays étrangé
et je suis tombé
sur un regard en beauté…
Ce fut en octobre
lorsque des arbres, jaillit des ombres ;
jamais pareil, je ne m’étais senti aussi bien
dans ma vie de garçon de chien
au profond de ces yeux, je vis en elle
une femme des plus belle…
Si bien que souvent, je m’amusai d’un tour
à me plonger dans son regard de chaque jours
et croyer moi, je me suis noyé
ce dans la voie lactée de ces yeux étoilé…
Alors le temps à course de vent passa ;
et de nos cœur on « s’amouracha »
des moments de finesse
au sonnorité lobé de souplesse
je me perdis dans ces bras
ce jusqu’au profond de mes draps…
De ce siffon de bohneur en ébulition
jaillit mon cœur en éruption
éruption qui du ciel de mon cœur,
me torpilla de peur
et de cette peur, survint des éclairs
aux écos lourds de bombardement de tonnerre…
Affoler, je fit tomber une pluie de maux
qui tourmenta mon bébé de mots
ce fut l’orage
qui porta notre amour en naufrage…
Des mois passerent depuis la tempète
qui aujourdhui me sonne à coup de trompète
et toujours, défrayer je suis
a l’idée de perdre celle qui m’épannouis…
Chaque jours, je me résigne à l’aimer
et de vouloir tout recommencer
a ma rage de crier que je veux
lui faire parvenir mes voeux
voeux de l’appartenir
pour chaque jours lui revenir…
Françis cabrel,
Ferrais d’elle une hirondelle…
Slai,
écrirais pour elle des mélodies d’ile de corail…
JOJO, un crétin
qui ne lui ramena que chagrin…
chante pour elle l’amour et la rose
sur lequel son cœur fleurit et repose
c’est pourquoi au plaisir de la revoir,
il tatoue pou elle ces mots d’un soir
pour réecrire avec elle une nouvelle histoire
en attendant, je porte son prénom
que je chante en retenons
Urielle