Poème:Le Voyage Du Coeur

Je dois voyager pour me distraire des enchantements assemblés sur mon cœur
Sur la mer, que j’aime comme si elle me lavait d’une souillure,
Je vois que se lève ma consolation.
A cette heure, tu as le bonheur de l’insoucience, tiens parole.
Tu sais l’ame sans défaut n’existe pas plus que le bonheur idèale,
Je me rapelle ces érements scabreux, là ou l’innocence n’est dupe que parce que l’on le veut.
Oh ! me diras-tu, celà c’est passé.
Je sais aujourd’hui saluer les regrets,
Ce que je perds est lourd et douloureux, pourtant…
Torture subtile, niaise ; source de mes divagations spirituelles,
La nature de l’homme ne s’ennuie pas et pourtant les cadavres de la méchanceté et des bonheurs hasardeux tombent sur le cœur des autres mais je voudrais avoir la vérité, les pensées du cœur de ta pureté.
Pourquoi cette confiance à mon égard ?
Pourquoi cette jalousie de l’inconnue ?
A présent, je sors de mes reves en attendant simplement de me rendormir avec la douce présence de l’etre mystérieuse…