Prose:La Prophétie De Lise

D’un chevaux d’or coulait un papillon dans la brume.
Le regard glaciale de l’hiver picotait en son sein,
et elle ne voyait plus les banlieux de sables
ou l’univers se plaint.
Elle ne voyait que l’enchantereseque chrysanthème déposée sur sa sépulture d’argent.
Son cœur battait à tout rompre,
au rythme des palpitations de son inconscient qui lui répétait
pourquoi :
pourquoi se demandait ou est l’horloger du crépuscule.
Demain n’est pas aujourd’hui… alors…
Alors les remords lui susurrer dans la froideur de décembre ;
vole,
petite retardataire,
vole.
L’amour, la haine,
le froid, la glace.
Synonyme.
Antonyme.
N’y a t’il que les anges du passé ;
Pour qui l’aliénation alcoolique de la résurrection
n’est que le fruit de la non acceptation.
Du bruissement d’une brindille au abord du monde sauf,
un monde sans histoire,
un monde sans amour.
Juste l’écho serein de la guillotine
qui l’attend trépassant.
Elle ne peut se résoudre qu’à en découdre :
le claquement d’une porte dans l’odeur de la mort
là ou vogue les âmes torturées
qui ne trouveront jamais le repos
dans ces couloirs sans miroir.
Les draps immaculés dans le noir ;
Cette délicieuse sensation sécuritaire
de la folie par la folie.
Là ou on soigne les maux de l’âme par les lacérations de l’esprit.
Il n’y a que celui qui sait qui peut savoir.
Quelle étrangère inconnu
pourrait comprendre la cloiture de l’aliéné !
Qui dans sa chute oublie la dimension de la vie.
Une porte claque ! une piqûre dans la chair !
Un médecin sans pitié !
Un système bien rodé !
La tristesse dans la passion
qui jamais ne s’égare :
dans un monde sans histoire,
dans un monde sans amour.
le sociétale du pari
qui ne va pas parier !
Juste te rappeler la caresse des alizées ;
Abras los ojos ! ! !
Juste une fois, juste comme ça.
Comme ces trois femme du fils de la vie
qui coupe coupe coupe.
La mythologie nous dit
qu’on ne revient pas des limbes.
Elle les regardent en ricanant
oui elle ne se souvenait pas
mais comme une préférence familière elle leur dit :
Chut ! chut ! Je ne me souviens pas mais je suis là.
Comme si la vie lui avait dit :
tu verras, tu vaincras, et tu mourras.
Elle était venu, elle avait vu, elle avait était vaincu,
Elle savait qu’il n’y avait que l’oasis de l’adol péridol
qui en allant à sa rencontre définirait ses traits.
Dans un désert saharien, les psychotrope comme compagnon
et les lambeau de son visages qui se battait pour exister
machinalement presque automatiquement ;
le mouvement des vas et viens
de ces ongles acérés.
Dans une peau chaude et intense ou se située auparavant l’espoir :
le jaune
le rouge
et enfin le bleu ;
Qui dans un passé lointain
lui susurrer
aime tu le chocolat ?
boulimie nocturne
boulimie tout court : y a t’il un espace entre la place du
et celle du piedéstale
qui n’existe que dans la mémoire des oubliés
les oubliés du passé
la ligne verte.
Réflexions…
Le couloir de la mort
et t’il plus effrayant quand on connaît l’heure et l’endroit
ou la faucheuse viendra nous chercher ?
Je ne le crois pas !
et dans un dernier éclat de rire
sur le sable rêveur de la prophétie,
se dessine une ancre qui n’a pas de point de chute.
Les vagues
indélébile souvenir de ce qui était écrit,
en tout petit :
Amour pestilentiel un jour je crèverai le cœur !