Poème:Un Cœur Trop Lourd

…

Mon cœur devient très lourd,
Et à ma peine je reste encor sourd.
L’asséché ? Non je n’ai rien fais pour,
Je la garde depuis mon tout premier jour.
Trop peut souvent j’ai déjà pleuré,
J’ai toujours été bon pour l’oublier.
Mon cœur doucement est en train de se noyer,
Seule, car il ne veut pas être regardé.

Mes ailes sont resplendissantes,
Mais ma tourmente se fait envahissante.
Les ombres ne m’entour pas,
Parce qu’il sortent de moi.
Mais je ne perds pas pour autan ma fois,
Même si hier, dans une longue agonit je perdis ma joie.
Mes mains ne sont pas encor tremblantes,
Mais ma douleur est surprenante.

Lentement mes forces tombes,
Mais je n’aurai pas à creuser leur tombe.
Même si mon cœur semble très noir,
Il n’a jamais perdu une onze d’espoir.
Mon avenir n’est nullement sombre,
Mais présentement le tonnerre gronde.
Il m’efforce au désespoir,
Mais c’est lui qui va choir.

Car je n’ai point fini,
Se combat est infini.
Un jour cessera la pluie,
Mais se n’est pas Aujourd’hui.
DéSoLé mon cœur,
De te faire subir de telle malheur.
Si au moins au saurais se que sa fais quand on pleure,
On connaîtrait mieux le bonheur.

Beaucoup de mes tourments n’auraient pas eut à finir,
Je connaîtrais moins bien le verbe Souffrir.
Ces douleurs m’étaient du,
Car, dans le passé je les ai mal perdu.
J’ai rien écouté j’ai rien entendue,
Une peine toujours retenue.
Donne un cœur lourd à en mourir,
Jusqu’au jour où il saura s’ouvrir.