Poème:De Retour En Enfer

…

Petite fille insidieuse,
Pourquoi ta volonté est-elle sulfureuse.
Je t’ai rien fais petite menteuse,
À ta vue mon âme est malheureuse.
Pourquoi veux-tu me faire partir,
Est-ce pour se don de mentir.
Ou aime-tu me voir dépérir,
Et m. e. r. d. e, Je crois que je vais encor souffrir.

Tout à une fin non ? Dans ce monde où ailleurs, une fois on doit toucher le fond,
Et aujourd’hui, je viens te chercher, mes bras grands ouverts pour te serrer,
Viens je te l’ordonne, tout est fini, tu n’entend pas les carillons qui sonnent,
Il prononce ta mort, rien que ça, maintenant tu es à moi, ton âme ton corps…

Vas-y prend mon corps,
Mais tu n’auras pas ma mort.
Bien que ton baiser me tente,
Et que ta penser me hante.
Il n’est pas question que je dors,
J’ai n’ai point goût de ta vie noire.
Alors je m’oppose à tes légions de tourmentes,
Je me battrai jusqu’a se que je dévale la pente.

Si j’aurais tout ce que je désire, tu viendras avec moi dans mon empire,
L’enfer, tu le connais et tu le redoutes, mais tu meures sur terre,
D’un dernier souffle, tu succombera, viens avec moi si tu ne me crois pas,
Mais au même moment où tu prend ma main, tout est fini, il n’y aura pas de lendemain…

Cette main je la mettrai ou tu le penses,
Je n’embarquerai pas dans ta petite danse.
Je n’essuierai pas cette décadence,
Alors vas, Il n’est point l’heure de ma déchéance.
Je préfère souffrir sur cette terre,
Que de revenir avec toi en enfers.
Avec ma lame de fers,
Je te ferai ressentir ma colère.

Enlève tes sales pattes, je suis venu te chercher mon chère psychopathe,
L’enfer, ce n’est plus moi qui le gouverne, mon mari le diable le vénère,
Je lui ai laissé ma place, pour repartir encore et toujours à la chasse,
Je t’ai sauvé une fois de la mort, mais aujourd’hui tu n’échapperas pas à ton sort…

Et bien vient me cherché ma belle,
Donne moi se chers baisé mortel.
Si tu es capable du moins,
Car je me débâterai sans fin.
Entre tes douces mains,
Qui se tendent vers mon chemin.
Je ne suis plus aussi frêle,
Alors attention a ma lame qui zèle.

Le diable te punira de ton entement, entre nous, ça n’a été que vent,
Oublie ce qu’on à vécu, mon amour na pour habitude de gracier les disparus,
Ils les puni d’innombrables souffrances, pour avoir poser les yeux en transe,
Sur moi, arrête de discuter, je vais te le redemander une fois, tu viens ou pas ?

Qu’es-ce tu en pense ma chère maîtresse ?
Pourquoi serais-je partie pour revenir dans ta laisse ?
Sérieusement non !
Je ne reviendrai pas en demandant pardon.
C’était la dernière fois que j’embrasais ton nom,
Alors attaque moi de front.
Je te déferai ma tentatrice petite déesse,
Même si le goût de ton corps en moi reste.

Arrête, ton imprudence te coûtera chère, il te mettra plus bas que terre,
Tu en as fini avec ma patience, maintenant tu vas connaître cette souffrance,
Celle que je te réserve et promet depuis le début, bientôt tout humanité en toi aura disparu,
Tu fera parti de ses fidèles, tu obéiras, toi qui à été mon mortelle infidèle.

Mon cœur a toujours été un infidèle,
Je me demande même comment il fait pour m’être fidèle.
Alors il ne le sera certainement pas pour toi ma belle,
Même si tu mets le feu a mes prunelles.
Je ne te serai fidèle même mort,
Alors fini moi donc se soir.
Pour que je te suie dans le noir,
De ton monde de foire.

Tes bêtises m’insupportent, tu vas subir son courroux, je t’avais prévenu, il sera fou,
De sa longue lame aiguisée, ton sang vermeil il fera coulé,
Tes mots sont une insulte, pour toi, mes claques brûlantes, tu en veux encore en voilà,
Tu la mérité, et le feu qui bat dans ton cœur n’est qu’une raison de plus a ton malheur.

Ton cher mari je le vaincrai, dans un duel à l’épée,
Ainsi son paradis et sa tendre reine c’est moi qui les posséderai.
Le pauvre petit finira complètement démembré,
Après lui c’est avec toi que je finirai.
Bien sûr je ne t’égratignerai pas,
Se sera plus intéressant d’y aller avec mes doigts.
Ma volonté se resserrera sur toi,
Et cette fois c’est toi qui seras à moi…