Poème:États D’âmes

…

Flot torrentiel qui désoriente le ciel,
Ma folie est au comble de son éveil.

Je délire Lyriquement,
Je suis un pauvre dément.
Qui ne cesse de chanter ses tourments,
Par-dessus la pénombre de son esprit.
Je me camoufle sous mes délits,
Pour fuir la vérité qui m’envahit.
Je me terre plus profond que l’enfer,
Apercevant la misère sur les parterres.
Ma raison se révèle être un grand désert,

Un grand désert sombre,
Où pousse des tombes.
Témoignant de mes espoirs qui sombrent,
Malgré tout les gens présent pour me supporté.
Je demeure complètement assommé,
Que par de telle horreur les autres ont puent être attaqué.
Malgré tous les efforts que je déploie,
J’ai l’impression de vous servir à rien parfois.
Mais je garde toujours la foie en moi…

Les nuages dérivent dans mes tristes mirages,
Et je m’enivre au gré des rivages.
Alors comment pourrais-je rester sage,
Face a la tentation des corrompus.
Même si l’envie ne me manque, Ce n’est pas moi qui les tue,
Pourtant c’est tout se que j’aurais voulu.
Mes chois me paraissent parfois très pénible,
Mais j’ai toujours atteint ma cible.
Ce n’est pas aujourd’hui que je vais décevoir les scribes.

Je suis prit dans le sion de si on,
Briser par mes chutes sans fonds.
Je me révèle être au tréfonds,
De mon incompréhension tortueuse.
Se répandant comme une cellule cancéreuse,
Son apogée commence à être très sérieuse.
Ensor une fois je fais la vrille, du condamner qui jubile,
À la vu de sa folie none stérile.
Mais malgré tout je ne suis pas débile.

Encor une fois mon âme sonne,
Comme le fou qui cri à la somme.
« J’ai droit à l’indépendance,
De ma piètre existence.
C’est tu assez claire ou il faut que je vous face une danse, »
Parce que là je vous dit ya des choses qui m’étonnent.
Allez-vous en de ma misère ou sinon se sera la guerre,
C’est-tu bien claire ou il faut que je vous éclaire.
Avec le tumulte de mon tonnerre.

Voici la rancœur,
Du triste seigneur,
Des petits pécheurs…