Poème:L’éto Du Déchirement

Cœur déchirer en deux
Pour des êtres merveilleux
Sans vouloir me démentir
C’est fou se qu’elles m’attire

J’en pleure, de douleur
De joie de peine, de peur d’amour et de haine
Je souffre encor aux lueurs, lorsque je cherche un instant de bonheur
C’est fou j’ai l’impression que mon cœur saigne, remplie de peine la confusion y règne

Protéger moi mon dieux, de cette instant brumeux
Au cœur de la tempête meure les malheureux, au moment qu’il regardais les cieux
DEUX être fabuleusement irrésistible, Je leur porte un amour irréversible
Bien qu’elle me soit presque invisible, l’amour que je leur porte n’est pas risible

Je ne sais si se n’est que de l’amitié pousser, mais je sais que par tout les possibilités je les protègerai.
Bien qu’il me soit trop loin, l’intensité n’en n’est pas moins.
VOUS je vous désire plus que tout, bien qu’il me soit dur de ne pas me prendre pour un fou
Je vous adore tout les deux autan, Mais votre inaccessibilité est peut-être trop importante

Mais pourquoi abandonner, lorsque je ne peux vous oublier
Peut-être que je me contenterai, de garder votre amitié
Car par dessus tous je ne veux pas vous faire du mal, je m’en voudrais trop pour rester normal
Notre amitié n’est pas banal, je vous aime toujours plus c’est comme un canal

Mon amour pour vous ne s’éteindras jamais, Car vous este la source et vous ne vous éteindrez jamais.

Le Satyre Blanc