Poème:Les Corbeaux De Satin
Le Poème
Bien sûr ! Voici une version du poème découpée pour faciliter la lecture, avec les fautes d’orthographe corrigées :
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Les corbeaux de satin
Enfant, l’on me vantait les beautés panacées
D’une colombe blanche de pureté :
Paix symbolisée par une volaille,
Futur volatile représentant une idée canaille,
S’envolant au gré des cieux, ne répondant qu’aux demandes des dieux,
Revêtant une blancheur mensongère,
Promesse d’une vie paisible, sans galère,
Idéal d’un amour asphyxiant de bonheur,
Représentation mielleuse de ces anges
Aux ailes blanches de satin.
Foutaise ! Balivernes ! Enfants de Satan !
Rapace de fer, ta représentation est mensongère.
Tu nous vends l’amour comme un cadeau des divins
Pour me traiter moins bien qu’une enfant de putain.
Pauvre de moi, m’être laissé piéger dans tes idéaux simplistes.
Ta chaleur me réchauffait quand tes ailes m’enlaçaient,
Ton corps me rassurait quand mes doutes entravaient ta liberté,
Tes mots m’enivraient quand mes yeux m’invectivaient
De ne pas te mériter.
Tes mensonges m’ont saoulé
Et c’est à la souffrance que tu m’as condamné.
Ah, gourgandine ! Ah, putain !
Anneau j’allais te passer, ambroisie je serais parti te cueillir,
Mon âme t’était destinée, ma vie sacrifiée,
Mais tu n’en as eu que faire
Et n’as laissé qu’émoi dans ton sillage.
Telle une tragédie grecque, j’étais prêt à jouer mon dernier acte.
Mes lèvres portées à la ciguë,
Je m’acquittais de mon tribut pour m’être perdu dans tes odes corrompues,
Et c’est à l’aube de l’inévitable que l’originel séraphin vint,
Tendant de ses ailes d’onyx le remède à cette maladie divine.
Partisan des colombes, la foule l’avait traité
Comme solstice de la passion,
Renier du plus grand nombre,
Pour le seul crime de ne pas être tombé amoureux.
Il représentait le corbeau, l’antipode de la blanche ailée semant illusion,
Il n’avait que pour seul fardeau l’immense tâche d’apporter la vérité.
La conclusion de ce poème est celle-ci :
L’amour est un parallèle à l’alcool,
Son premier goût est un baiser,
Son dernier mot est un blessé.
À bonne dose, son effet provoque joie et enivrement,
Mais qui se laisse porter par son flot finit par se noyer dans ses mots.
L’amour n’a de vérité et de représentation que celle qu’on lui prétend.
La colombe blanche de pureté
N’est en réalité qu’une image qui n’engage que ceux qui la regardent.
Et ces deux oiseaux ne sont que la matérialisation
D’une vérité générale bien souvent oubliée :
Si le corbeau est tant haï,
C’est qu’il porte la vérité nue, sans ombrage,
Messager d’une vie crue, sans mirage,
Dure à contempler, un miroir brisé.
La colombe, elle, n’est qu’illusion légère,
Belle et mielleuse, douce chimère,
Enivrante vision au parfum onirique,
Mais fondée sur un songe éphémère.
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Les corbeaux de satin
Enfant, l’on me vantait les beautés panacées
D’une colombe blanche de pureté :
Paix symbolisée par une volaille,
Futur volatile représentant une idée canaille,
S’envolant au gré des cieux, ne répondant qu’aux demandes des dieux,
Revêtant une blancheur mensongère,
Promesse d’une vie paisible, sans galère,
Idéal d’un amour asphyxiant de bonheur,
Représentation mielleuse de ces anges
Aux ailes blanches de satin.
Foutaise ! Balivernes ! Enfants de Satan !
Rapace de fer, ta représentation est mensongère.
Tu nous vends l’amour comme un cadeau des divins
Pour me traiter moins bien qu’une enfant de putain.
Pauvre de moi, m’être laissé piéger dans tes idéaux simplistes.
Ta chaleur me réchauffait quand tes ailes m’enlaçaient,
Ton corps me rassurait quand mes doutes entravaient ta liberté,
Tes mots m’enivraient quand mes yeux m’invectivaient
De ne pas te mériter.
Tes mensonges m’ont saoulé
Et c’est à la souffrance que tu m’as condamné.
Ah, gourgandine ! Ah, putain !
Anneau j’allais te passer, ambroisie je serais parti te cueillir,
Mon âme t’était destinée, ma vie sacrifiée,
Mais tu n’en as eu que faire
Et n’as laissé qu’émoi dans ton sillage.
Telle une tragédie grecque, j’étais prêt à jouer mon dernier acte.
Mes lèvres portées à la ciguë,
Je m’acquittais de mon tribut pour m’être perdu dans tes odes corrompues,
Et c’est à l’aube de l’inévitable que l’originel séraphin vint,
Tendant de ses ailes d’onyx le remède à cette maladie divine.
Partisan des colombes, la foule l’avait traité
Comme solstice de la passion,
Renier du plus grand nombre,
Pour le seul crime de ne pas être tombé amoureux.
Il représentait le corbeau, l’antipode de la blanche ailée semant illusion,
Il n’avait que pour seul fardeau l’immense tâche d’apporter la vérité.
La conclusion de ce poème est celle-ci :
L’amour est un parallèle à l’alcool,
Son premier goût est un baiser,
Son dernier mot est un blessé.
À bonne dose, son effet provoque joie et enivrement,
Mais qui se laisse porter par son flot finit par se noyer dans ses mots.
L’amour n’a de vérité et de représentation que celle qu’on lui prétend.
La colombe blanche de pureté
N’est en réalité qu’une image qui n’engage que ceux qui la regardent.
Et ces deux oiseaux ne sont que la matérialisation
D’une vérité générale bien souvent oubliée :
Si le corbeau est tant haï,
C’est qu’il porte la vérité nue, sans ombrage,
Messager d’une vie crue, sans mirage,
Dure à contempler, un miroir brisé.
La colombe, elle, n’est qu’illusion légère,
Belle et mielleuse, douce chimère,
Enivrante vision au parfum onirique,
Mais fondée sur un songe éphémère.
PostScriptum
Il s’agissait d’un poème fait une soirée nostalgique et particulièrement amère qui m’a replonger dans de vieux souvenirs amoureux. J’avais cristalliser tout cela et ce dernier prenait la poussière. Ne sachant qu’en faire, j’ai donc décider de sortir ce mémoire de mon placard. Il est dédier a celle et ceux qui ont un jour vécu cette amour impossible et qui ne s’en sont peut être jamais remis. Je crois en votre guérison et peut être au bien que pourra vous faire ce poème.
N’oubliez jamais ceci : toute blessure est temporaire et le temps a toute raison de venir a bout de ce mal.
A la revoyure très cher lecteur, au plaisir de vous revoir peut être un jour qui sait
Poète La Fleur De L’anonymat
La Fleur De L’anonymat a publié sur le site 2 écrits. La Fleur De L’anonymat est membre du site depuis l'année 2021.Lire le profil du poète La Fleur De L’anonymatSyllabation De L'Écrit
Syllabes Hyphénique: Les Corbeaux De Satin
bien=sûr=voi=ci=une=ver=sion=du=po=ème=dé=cou=pée=pour=fa=ci=li=ter=la=lec=ture=a=vec=les=fau=tes=dor=tho=gra=phe=cor=ri=gées 33as=té=ris=queas=té=ris=que=les=cor=beaux=de=sa=tin=as=té=ris=queas=té=risque 19
en=fant=lon=me=van=tait=les=beau=tés=pa=na=cées 12
du=ne=co=lom=be=blan=che=de=pu=re=té 11
paix=sym=bo=li=sée=par=u=ne=vo=lail=le 11
fu=tur=vo=la=tile=re=présen=tant=une=i=dée=ca=naille 13
sen=vo=lant=au=gré=des=cieux=ne=ré=pon=dant=quaux=de=mandes=des=dieux 16
re=vê=tant=u=ne=blan=cheur=men=son=gè=re 11
pro=mes=se=du=ne=vie=pai=si=ble=sans=ga=lère 12
idé=al=dun=a=mour=as=phy=xi=ant=de=bon=heur 12
re=pré=sen=ta=ti=on=miel=leu=se=de=ces=anges 12
aux=ai=les=blan=ches=de=sa=tin 8
fou=tai=se=ba=li=ver=nes=en=fants=de=sa=tan 12
ra=pace=de=fer=ta=re=présen=ta=tion=est=men=son=gère 13
tu=nous=vends=la=mour=comme=un=ca=deau=des=di=vins 12
pour=me=trai=ter=moins=bien=quune=en=fant=de=pu=tain 12
pauvre=de=moi=mêtre=lais=sé=pié=ger=dans=tes=i=dé=aux=sim=plistes 15
ta=cha=leur=me=ré=chauf=fait=quand=tes=ailes=men=la=çaient 13
ton=corps=me=ras=su=rait=quand=mes=doutes=en=tra=vaient=ta=li=ber=té 16
tes=mots=men=ivraient=quand=mes=y=eux=min=vec=ti=vaient 12
de=ne=pas=te=mé=ri=ter 7
tes=men=son=ges=mont=saou=lé 7
et=cest=à=la=souf=france=que=tu=mas=con=dam=né 12
ah=gour=gan=di=ne=ah=pu=tain 8
an=neau=jal=lais=te=pas=ser=am=broi=sie=je=se=rais=par=ti=te=cueillir 17
mon=â=me=té=tait=des=ti=née=ma=vie=sa=cri=fi=ée 14
mais=tu=nen=as=eu=que=fai=re 8
et=nas=lais=sé=qué=moi=dans=ton=silla=ge 10
tel=leune=tra=gé=die=grec=que=jé=tais=prêt=à=jouer=mon=der=nier=acte 16
mes=lè=vres=por=tées=à=la=ci=guë 9
je=mac=quit=tais=de=mon=tri=but=pour=mêtre=per=du=dans=tes=odes=cor=rom=pues 18
et=cest=à=laube=de=li=né=vi=table=que=lo=ri=gi=nel=sé=ra=phin=vint 18
ten=dant=de=ses=ailes=do=nyx=le=re=mè=deà=cette=ma=la=die=di=vine 17
par=ti=san=des=co=lombes=la=foule=la=vait=trai=té 12
com=me=sol=sti=ce=de=la=pas=si=on 10
re=ni=er=du=plus=grand=nom=bre 8
pour=le=seul=crime=de=ne=pas=être=tom=bé=a=mou=reux 13
il=re=présen=tait=le=cor=beau=lan=ti=pode=de=la=blan=cheai=lée=se=mant=illu=sion 19
il=na=vait=que=pour=seul=far=deau=limmense=tâ=che=dap=por=ter=la=vé=ri=té 18
la=con=clu=sion=de=ce=po=ème=est=cel=le=ci 12
la=mour=est=un=pa=ral=lè=le=à=lal=cool 11
son=pre=mi=er=goût=est=un=bai=ser 9
son=der=ni=er=mot=est=un=bles=sé 9
à=bonne=dose=son=ef=fet=pro=vo=que=joieet=en=ivre=ment 13
mais=qui=se=laisse=por=ter=par=son=flot=fi=nit=par=se=noyer=dans=ses=mots 17
la=mour=na=de=vé=ri=té=et=de=re=présen=ta=tion=que=cel=le=quon=lui=pré=tend 20
la=co=lom=be=blan=che=de=pu=re=té 10
nest=en=ré=a=li=té=quune=i=mage=qui=nen=gage=que=ceux=qui=la=re=gardent 18
et=ces=deux=oi=seaux=ne=sont=que=la=ma=té=ria=li=sa=tion 15
dune=vé=ri=té=gé=né=rale=bien=souvent=ou=bli=ée 12
si=le=cor=beau=est=tant=haï 7
cest=quil=por=te=la=vé=ri=té=nue=sans=om=brage 12
mes=sa=ger=du=ne=vie=crue=sans=mi=ra=ge 11
du=re=à=con=tem=pler=un=mi=roir=bri=sé 11
la=co=lom=be=el=le=nest=quillu=sion=lé=gè=re 12
bel=le=et=miel=leu=se=dou=ce=chi=mè=re 11
en=ivran=te=vi=sion=au=par=fum=o=ni=ri=que 12
mais=fon=dée=sur=un=son=ge=é=phé=mè=re 11
Phonétique : Les Corbeaux De Satin
bjɛ̃ syʁ ! vwasi ynə vεʁsjɔ̃ dy pɔεmə dekupe puʁ fasilite la lεktyʁə, avεk lε fotə dɔʁtɔɡʁafə kɔʁiʒe :asteʁiskə asteʁiskə lε kɔʁbo də satɛ̃ asteʁiskə asteʁiskə
ɑ̃fɑ̃, lɔ̃ mə vɑ̃tε lε bote panase
dynə kɔlɔ̃bə blɑ̃ʃə də pyʁəte :
pε sɛ̃bɔlize paʁ ynə vɔlajə,
fytyʁ vɔlatilə ʁəpʁezɑ̃tɑ̃ ynə ide kanajə,
sɑ̃vɔlɑ̃ o ɡʁe dε sjø, nə ʁepɔ̃dɑ̃ ko dəmɑ̃də dε djø,
ʁəvεtɑ̃ ynə blɑ̃ʃœʁ mɑ̃sɔ̃ʒεʁə,
pʁɔmεsə dynə vi pεziblə, sɑ̃ ɡalεʁə,
ideal dœ̃n- amuʁ asfiksjɑ̃ də bɔnœʁ,
ʁəpʁezɑ̃tasjɔ̃ mjεlløzə də sεz- ɑ̃ʒə
oz- εlə blɑ̃ʃə də satɛ̃.
futεzə ! balivεʁnə ! ɑ̃fɑ̃ də satɑ̃ !
ʁapasə də fεʁ, ta ʁəpʁezɑ̃tasjɔ̃ ε mɑ̃sɔ̃ʒεʁə.
ty nu vɑ̃ lamuʁ kɔmə œ̃ kado dε divɛ̃
puʁ mə tʁεte mwɛ̃ bjɛ̃ kynə ɑ̃fɑ̃ də pytɛ̃.
povʁə də mwa, mεtʁə lεse pjeʒe dɑ̃ tεz- ideo sɛ̃plistə.
ta ʃalœʁ mə ʁeʃofε kɑ̃ tεz- εlə mɑ̃lasε,
tɔ̃ kɔʁ mə ʁasyʁε kɑ̃ mε dutəz- ɑ̃tʁavε ta libεʁte,
tε mo mɑ̃nivʁε kɑ̃ mεz- iø mɛ̃vεktivε
də nə pa tə meʁite.
tε mɑ̃sɔ̃ʒə mɔ̃ saule
e sεt- a la sufʁɑ̃sə kə ty ma kɔ̃damne.
a, ɡuʁɡɑ̃dinə ! a, pytɛ̃ !
ano ʒalε tə pase, ɑ̃bʁwazi ʒə səʁε paʁti tə kœjiʁ,
mɔ̃n- amə tetε dεstine, ma vi sakʁifje,
mε ty nɑ̃n- a y kə fεʁə
e na lεse kemwa dɑ̃ tɔ̃ sijaʒə.
tεllə ynə tʁaʒedi ɡʁεk, ʒetε pʁε a ʒue mɔ̃ dεʁnje aktə.
mε lεvʁə- pɔʁtez- a la siɡy,
ʒə makitε də mɔ̃ tʁiby puʁ mεtʁə pεʁdy dɑ̃ tεz- ɔdə kɔʁɔ̃pɥ,
e sεt- a lobə də linevitablə kə lɔʁiʒinεl seʁafɛ̃ vɛ̃,
tɑ̃dɑ̃ də sεz- εlə dɔniks lə ʁəmεdə a sεtə maladi divinə.
paʁtizɑ̃ dε kɔlɔ̃bə, la fulə lavε tʁεte
kɔmə sɔlstisə də la pasjɔ̃,
ʁənje dy plys ɡʁɑ̃ nɔ̃bʁə,
puʁ lə səl kʁimə də nə pa εtʁə tɔ̃be amuʁø.
il ʁəpʁezɑ̃tε lə kɔʁbo, lɑ̃tipɔdə də la blɑ̃ʃə εle səmɑ̃ ilyzjɔ̃,
il navε kə puʁ səl faʁdo limɑ̃sə taʃə dapɔʁte la veʁite.
la kɔ̃klyzjɔ̃ də sə pɔεmə ε sεllə si :
lamuʁ εt- œ̃ paʁalεlə a lalkɔl,
sɔ̃ pʁəmje ɡu εt- œ̃ bεze,
sɔ̃ dεʁnje mo εt- œ̃ blese.
a bɔnə dozə, sɔ̃n- efε pʁɔvɔkə ʒwa e ɑ̃nivʁəmɑ̃,
mε ki sə lεsə pɔʁte paʁ sɔ̃ flo fini paʁ sə nwaje dɑ̃ sε mo.
lamuʁ na də veʁite e də ʁəpʁezɑ̃tasjɔ̃ kə sεllə kɔ̃ lɥi pʁetɑ̃.
la kɔlɔ̃bə blɑ̃ʃə də pyʁəte
nεt- ɑ̃ ʁealite kynə imaʒə ki nɑ̃ɡaʒə kə sø ki la ʁəɡaʁde.
e sε døz- wazo nə sɔ̃ kə la mateʁjalizasjɔ̃
dynə veʁite ʒeneʁalə bjɛ̃ suvɑ̃ ublje :
si lə kɔʁbo ε tɑ̃-aj,
sε kil pɔʁtə la veʁite nɥ, sɑ̃z- ɔ̃bʁaʒə,
mesaʒe dynə vi kʁy, sɑ̃ miʁaʒə,
dyʁə a kɔ̃tɑ̃ple, œ̃ miʁwaʁ bʁize.
la kɔlɔ̃bə, εllə, nε kilyzjɔ̃ leʒεʁə,
bεllə e mjεlløzə, dusə ʃimεʁə,
ɑ̃nivʁɑ̃tə vizjɔ̃ o paʁfœ̃ ɔniʁikə,
mε fɔ̃de syʁ œ̃ sɔ̃ʒə efemεʁə.
Syllabes Phonétique : Les Corbeaux De Satin
bjɛ̃=syʁ=vwasiynə=vεʁ=sjɔ̃=dy=pɔ=ε=mə=de=ku=pe=puʁ=fa=si=li=te=la=lεk=ty=ʁə=a=vεk=lε=fo=tə=dɔʁ=tɔ=ɡʁa=fə=kɔ=ʁi=ʒe 33as=te=ʁiskəas=te=ʁiskə=lε=kɔʁ=bodə=sa=tɛ̃=as=te=ʁis=kəas=te=ʁiskə 16
ɑ̃=fɑ̃=lɔ̃mə=vɑ̃=tε=lε=bo=te=pa=nase 10
dy=nə=kɔ=lɔ̃bə=blɑ̃=ʃə=də=py=ʁə=te 10
pε=sɛ̃=bɔ=li=ze=paʁ=y=nə=vɔ=lajə 10
fy=tyʁ=vɔlatilə=ʁə=pʁe=zɑ̃=tɑ̃=y=nə=i=de=ka=najə 13
sɑ̃=vɔ=lɑ̃=o=ɡʁe=dε=sjø=nə=ʁe=pɔ̃dɑ̃kodə=mɑ̃=də=dε=djø 14
ʁə=vε=tɑ̃=y=nə=blɑ̃=ʃœʁ=mɑ̃=sɔ̃=ʒεʁə 10
pʁɔ=mεsə=dy=nə=vi=pε=zi=blə=sɑ̃=ɡalεʁə 10
i=de=al=dœ̃=na=muʁ=as=fik=sjɑ̃də=bɔ=nœʁ 11
ʁə=pʁe=zɑ̃=ta=sjɔ̃=mjεl=løzə=də=sε=zɑ̃ʒə 10
o=zε=lə=blɑ̃=ʃə=də=sa=tɛ̃ 8
futεzə=ba=li=vεʁ=nə=ɑ̃=fɑ̃=də=sa=tɑ̃ 10
ʁapasə=də=fεʁ=taʁə=pʁe=zɑ̃=ta=sjɔ̃=ε=mɑ̃sɔ̃ʒεʁə 10
ty=nu=vɑ̃=la=muʁkɔməœ̃=ka=do=dε=di=vɛ̃ 10
puʁmə=tʁε=te=mwɛ̃=bjɛ̃=ky=nəɑ̃=fɑ̃də=py=tɛ̃ 10
povʁə=də=mwa=mεtʁə=lεse=pje=ʒe=dɑ̃=tε=zi=de=osɛ̃plistə 12
ta=ʃa=lœʁ=mə=ʁe=ʃo=fε=kɑ̃tεzεlə=mɑ̃=la=sε 11
tɔ̃kɔʁmə=ʁa=sy=ʁε=kɑ̃=mε=dutə=zɑ̃=tʁa=vε=ta=li=bεʁ=te 14
tε=mo=mɑ̃=ni=vʁε=kɑ̃=mε=ziø=mɛ̃=vεk=ti=vε 12
də=nə=pa=tə=me=ʁi=te 7
tε=mɑ̃=sɔ̃=ʒə=mɔ̃=sa=u=le 8
e=sε=ta=la=sufʁɑ̃sə=kə=ty=ma=kɔ̃=dan 10
a=ɡuʁ=ɡɑ̃=di=nə=a=py=tɛ̃ 8
a=noʒalεtə=pa=se=ɑ̃=bʁwa=zi=ʒə=sə=ʁε=paʁ=ti=tə=kœjiʁ 14
mɔ̃namə=te=tε=dεs=ti=ne=ma=vi=sa=kʁi=fje 11
mε=ty=nɑ̃=na=y=kə=fε=ʁə 8
e=na=lε=se=ke=mwa=dɑ̃=tɔ̃=si=jaʒə 10
tεlləynə=tʁa=ʒe=di=ɡʁεk=ʒe=tε=pʁε=a=ʒu=e=mɔ̃=dεʁ=nje=ak=tə 16
mε=lε=vʁə=pɔʁ=te=za=la=si=ɡy 9
ʒə=makitεdə=mɔ̃=tʁi=by=puʁ=mε=tʁə=pεʁ=dy=dɑ̃=tε=zɔ=də=kɔ=ʁɔ̃pɥ 16
e=sεtalobə=də=li=ne=vi=ta=blə=kə=lɔ=ʁi=ʒi=nεl=se=ʁa=fɛ̃=vɛ̃ 17
tɑ̃dɑ̃də=sε=zεlə=dɔ=niks=lə=ʁə=mε=dəa=sε=tə=ma=la=didivinə 14
paʁ=ti=zɑ̃=dεkɔlɔ̃bə=la=fu=lə=la=vε=tʁε=te 11
kɔ=mə=sɔl=stisə=də=la=pa=sjɔ̃ 8
ʁə=nj=e=dy=plys=ɡʁɑ̃=nɔ̃=bʁə 8
puʁlə=səl=kʁimə=də=nə=pa=εtʁə=tɔ̃=be=a=mu=ʁø 12
il=ʁə=pʁe=zɑ̃tεlə=kɔʁ=bo=lɑ̃=ti=pɔdə=də=la=blɑ̃=ʃəε=le=sə=mɑ̃=i=ly=zjɔ̃ 19
il=navεkə=puʁ=səl=faʁ=do=li=mɑ̃sə=ta=ʃə=da=pɔʁ=te=la=ve=ʁi=te 17
la=kɔ̃=kly=zjɔ̃də=sə=pɔ=ε=məε=sεllə=si 10
la=muʁ=ε=tœ̃=pa=ʁa=lεləa=lal=kɔl 9
sɔ̃=pʁə=mje=ɡu=ε=tœ̃=bε=ze 8
sɔ̃=dεʁ=nje=mo=ε=tœ̃=ble=se 8
abɔnə=dozə=sɔ̃=ne=fε=pʁɔ=vɔ=kə=ʒwa=e=ɑ̃=ni=vʁə=mɑ̃ 14
mεkisə=lεsə=pɔʁ=te=paʁ=sɔ̃=flo=fi=ni=paʁ=sə=nwa=je=dɑ̃=sε=mo 16
lamuʁnadə=ve=ʁi=te=e=də=ʁə=pʁe=zɑ̃=ta=sjɔ̃=kə=sεllə=kɔ̃=lɥi=pʁe=tɑ̃ 17
la=kɔ=lɔ̃=bə=blɑ̃=ʃə=də=py=ʁə=te 10
nε=tɑ̃=ʁe=a=li=te=kynə=imaʒə=ki=nɑ̃=ɡa=ʒə=kə=sø=ki=la=ʁə=ɡaʁ=de 19
e=sε=dø=zwazonə=sɔ̃kə=la=ma=te=ʁja=li=za=sjɔ̃ 12
dynə=ve=ʁi=te=ʒe=ne=ʁalə=bjɛ̃=su=vɑ̃=u=blje 12
si=lə=kɔʁ=bo=ε=tɑ̃-aj 7
sε=kil=pɔʁtə=la=ve=ʁi=te=nɥ=sɑ̃=zɔ̃bʁaʒə 10
me=sa=ʒe=dy=nə=vi=kʁy=sɑ̃=mi=ʁaʒə 10
dyʁə=a=kɔ̃=tɑ̃=ple=œ̃=mi=ʁwaʁ=bʁi=ze 10
la=kɔlɔ̃bə=εl=lə=nε=ki=ly=zjɔ̃=le=ʒεʁə 10
bεl=lə=e=mjεl=lø=zə=du=sə=ʃi=mεʁə 10
ɑ̃=ni=vʁɑ̃tə=vi=zjɔ̃=o=paʁ=fœ̃=ɔ=niʁikə 10
mε=fɔ̃=de=syʁ=œ̃=sɔ̃=ʒə=e=fe=mεʁə 10
Récompense
Poesie sans commentaire

16/06/2025Poeme-France
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Poème Amour
Du 12/11/2024 20:58
L'écrit contient 488 mots qui sont répartis dans 20 strophes.