Poème:Douleurs
Le Poème
Semblant d’une plaie ouverte, écarquillée,
Brulure qui ne cesse, qui me déchire l’ame.
Comme une blessure qui refuse de guérir,
Un rappel constant de la douleur qui m’habite.
La plaie est profonde, la cicatrice est fragile,
Un souvenir douloureux, qui me fait mal à chaque instant.
Je touche la blessure, je sens la douleur,
Un cri silencieux, qui résonne dans mon cour.
La brulure est intense, la souffrance est réelle,
Un feu qui consume, qui me dévore de l’intérieur.
Les souvenirs affluent, les images me hantent,
Des moments de joie, qui se melent à la peine.
Je revois ton sourire, je revois tes yeux,
Un éclair de bonheur, qui me transperce le cour.
Mais la douleur revient, la blessure se rouvre,
Un flot de larmes, qui me submerge et me noie.
Je suis perdu dans les ténèbres, je suis seul avec ma peine,
Un naufragé qui cherche, un refuge pour son ame en peine.
La nuit est longue, la nuit est froide,
Un manteau de solitude, qui m’enveloppe et me dévore.
Je cherche la lumière, je cherche l’espoir,
Un rayon de soleil, qui me guide vers le rivage.
Mais la tempete fait rage, les vagues me frappent,
Un assaut incessant, qui me laisse sans souffle et sans force.
Je suis un navire, qui a perdu son cap,
Un cour brisé, qui cherche à se réparer.
La plaie est ouverte, la blessure est vive,
Un rappel constant, de l’amour qui m’a quitté.
Je suis un homme, je suis un cour,
Un etre fragile, qui cherche à aimer et à etre aimé.
Je suis un poète, je suis un reveur,
Un artiste qui cherche, à exprimer son cour.
Je suis un etre humain, je suis un cour qui saigne,
Un cour qui aime, un cour qui souffre, un cour qui vit.
Laetitia Comba
14 : 31 (il y a 35 minutes)
À Kevin
Semblant d’une plaie ouverte, écarquillée,
Brulure qui ne cesse, qui me déchire l’ame.
Comme une blessure qui refuse de guérir,
Un rappel constant de la douleur qui m’habite.
La plaie est profonde, la cicatrice est fragile,
Un souvenir douloureux, qui me fait mal à chaque instant.
Je touche la blessure, je sens la douleur,
Un cri silencieux, qui résonne dans mon cour.
La brulure est intense, la souffrance est réelle,
Un feu qui consume, qui me dévore de l’intérieur.
Les souvenirs affluent, les images me hantent,
Des moments de joie, qui se melent à la peine.
Je revois ton sourire, je revois tes yeux,
Un éclair de bonheur, qui me transperce le cour.
Mais la douleur revient, la blessure se rouvre,
Un flot de larmes, qui me submerge et me noie.
Je suis perdu dans les ténèbres, je suis seul avec ma peine,
Un naufragé qui cherche, un refuge pour son ame en peine.
La nuit est longue, la nuit est froide,
Un manteau de solitude, qui m’enveloppe et me dévore.
Je cherche la lumière, je cherche l’espoir,
Un rayon de soleil, qui me guide vers le rivage.
Mais la tempete fait rage, les vagues me frappent,
Un assaut incessant, qui me laisse sans souffle et sans force.
Je suis un navire, qui a perdu son cap,
Un cour brisé, qui cherche à se réparer.
La plaie est ouverte, la blessure est vive,
Un rappel constant, de l’amour qui m’a quitté.
Je suis un homme, je suis un cour,
Un etre fragile, qui cherche à aimer et à etre aimé.
Je suis un poète, je suis un reveur,
Un artiste qui cherche, à exprimer son cour.
Je suis un etre humain, je suis un cour qui saigne,
Un cour qui aime, un cour qui souffre, un cour qui vit.
Brulure qui ne cesse, qui me déchire l’ame.
Comme une blessure qui refuse de guérir,
Un rappel constant de la douleur qui m’habite.
La plaie est profonde, la cicatrice est fragile,
Un souvenir douloureux, qui me fait mal à chaque instant.
Je touche la blessure, je sens la douleur,
Un cri silencieux, qui résonne dans mon cour.
La brulure est intense, la souffrance est réelle,
Un feu qui consume, qui me dévore de l’intérieur.
Les souvenirs affluent, les images me hantent,
Des moments de joie, qui se melent à la peine.
Je revois ton sourire, je revois tes yeux,
Un éclair de bonheur, qui me transperce le cour.
Mais la douleur revient, la blessure se rouvre,
Un flot de larmes, qui me submerge et me noie.
Je suis perdu dans les ténèbres, je suis seul avec ma peine,
Un naufragé qui cherche, un refuge pour son ame en peine.
La nuit est longue, la nuit est froide,
Un manteau de solitude, qui m’enveloppe et me dévore.
Je cherche la lumière, je cherche l’espoir,
Un rayon de soleil, qui me guide vers le rivage.
Mais la tempete fait rage, les vagues me frappent,
Un assaut incessant, qui me laisse sans souffle et sans force.
Je suis un navire, qui a perdu son cap,
Un cour brisé, qui cherche à se réparer.
La plaie est ouverte, la blessure est vive,
Un rappel constant, de l’amour qui m’a quitté.
Je suis un homme, je suis un cour,
Un etre fragile, qui cherche à aimer et à etre aimé.
Je suis un poète, je suis un reveur,
Un artiste qui cherche, à exprimer son cour.
Je suis un etre humain, je suis un cour qui saigne,
Un cour qui aime, un cour qui souffre, un cour qui vit.
Laetitia Comba
14 : 31 (il y a 35 minutes)
À Kevin
Semblant d’une plaie ouverte, écarquillée,
Brulure qui ne cesse, qui me déchire l’ame.
Comme une blessure qui refuse de guérir,
Un rappel constant de la douleur qui m’habite.
La plaie est profonde, la cicatrice est fragile,
Un souvenir douloureux, qui me fait mal à chaque instant.
Je touche la blessure, je sens la douleur,
Un cri silencieux, qui résonne dans mon cour.
La brulure est intense, la souffrance est réelle,
Un feu qui consume, qui me dévore de l’intérieur.
Les souvenirs affluent, les images me hantent,
Des moments de joie, qui se melent à la peine.
Je revois ton sourire, je revois tes yeux,
Un éclair de bonheur, qui me transperce le cour.
Mais la douleur revient, la blessure se rouvre,
Un flot de larmes, qui me submerge et me noie.
Je suis perdu dans les ténèbres, je suis seul avec ma peine,
Un naufragé qui cherche, un refuge pour son ame en peine.
La nuit est longue, la nuit est froide,
Un manteau de solitude, qui m’enveloppe et me dévore.
Je cherche la lumière, je cherche l’espoir,
Un rayon de soleil, qui me guide vers le rivage.
Mais la tempete fait rage, les vagues me frappent,
Un assaut incessant, qui me laisse sans souffle et sans force.
Je suis un navire, qui a perdu son cap,
Un cour brisé, qui cherche à se réparer.
La plaie est ouverte, la blessure est vive,
Un rappel constant, de l’amour qui m’a quitté.
Je suis un homme, je suis un cour,
Un etre fragile, qui cherche à aimer et à etre aimé.
Je suis un poète, je suis un reveur,
Un artiste qui cherche, à exprimer son cour.
Je suis un etre humain, je suis un cour qui saigne,
Un cour qui aime, un cour qui souffre, un cour qui vit.
Poète Laco Lacombe
Laco Lacombe a publié sur le site 56 écrits. Laco Lacombe est membre du site depuis l'année 2025.Lire le profil du poète Laco LacombeSyllabation De L'Écrit
Syllabes Hyphénique: Douleurs
sem=blant=du=ne=plaie=ou=ver=te=é=car=quil=lée 12bru=lure=qui=ne=ces=se=qui=me=dé=chi=re=lame 12
commeu=ne=bles=su=re=qui=re=fu=se=de=gué=rir 12
un=rap=pel=cons=tant=de=la=dou=leur=qui=mha=bite 12
la=plaieest=pro=fonde=la=ci=ca=tri=ce=est=fra=gile 12
un=souve=nir=dou=lou=reux=qui=me=fait=mal=à=cha=queins=tant 14
je=tou=che=la=bles=su=re=je=sens=la=dou=leur 12
un=cri=si=len=cieux=qui=ré=son=ne=dans=mon=cour 12
la=bru=lureest=inten=se=la=souf=fran=ce=est=réel=le 12
un=feu=qui=con=sume=qui=me=dé=vore=de=lin=té=rieur 13
les=sou=ve=nirs=af=fluent=les=i=ma=ges=me=hantent 12
des=mo=ments=de=joie=qui=se=me=lent=à=la=peine 12
je=re=vois=ton=sou=rire=je=re=vois=tes=y=eux 12
un=é=clair=de=bon=heur=qui=me=trans=perce=le=cour 12
mais=la=dou=leur=re=vient=la=bles=su=re=se=rouvre 12
un=flot=de=lar=mes=qui=me=sub=merge=et=me=noie 12
je=suis=per=du=dans=les=té=nèbres=je=suis=seul=a=vec=ma=peine 15
un=nau=fra=gé=qui=cherche=un=re=fuge=pour=son=a=meen=peine 14
la=nuit=est=lon=gue=la=nuit=est=froi=de 10
un=man=teau=de=so=li=tude=qui=menve=lop=peet=me=dé=vore 14
je=cher=che=la=lu=miè=re=je=cher=che=les=poir 12
un=rayon=de=so=leil=qui=me=guide=vers=le=ri=vage 12
mais=la=tem=pe=te=fait=rage=les=va=gues=me=frap=pent 13
un=as=saut=inces=sant=qui=me=laisse=sans=souf=fleet=sans=force 13
je=suis=un=na=vi=re=qui=a=per=du=son=cap 12
un=cour=bri=sé=qui=cher=che=à=se=ré=pa=rer 12
la=plaie=est=ou=ver=te=la=bles=su=re=est=vive 12
un=rap=pel=cons=tant=de=la=mour=qui=ma=quit=té 12
je=suis=un=hom=me=je=suis=un=cour 9
un=e=tre=fra=gile=qui=cher=cheà=ai=mer=et=à=e=treai=mé 15
je=suis=un=po=è=te=je=suis=un=re=veur 11
un=ar=tiste=qui=cher=che=à=ex=pri=mer=son=cour 12
je=suis=un=e=tre=hu=main=je=suis=un=cour=qui=saigne 13
un=cour=qui=aime=un=cour=qui=souf=fre=un=cour=qui=vit 13
lae=ti=ti=a=com=ba 6
qua=torze=tren=teet=un=il=y=a=trente=cinq=mi=nutes 12
à=ke=vin 3
sem=blant=du=ne=plaie=ou=ver=te=é=car=quil=lée 12
bru=lure=qui=ne=ces=se=qui=me=dé=chi=re=lame 12
commeu=ne=bles=su=re=qui=re=fu=se=de=gué=rir 12
un=rap=pel=cons=tant=de=la=dou=leur=qui=mha=bite 12
la=plaieest=pro=fonde=la=ci=ca=tri=ce=est=fra=gile 12
un=souve=nir=dou=lou=reux=qui=me=fait=mal=à=cha=queins=tant 14
je=tou=che=la=bles=su=re=je=sens=la=dou=leur 12
un=cri=si=len=cieux=qui=ré=son=ne=dans=mon=cour 12
la=bru=lureest=inten=se=la=souf=fran=ce=est=réel=le 12
un=feu=qui=con=sume=qui=me=dé=vore=de=lin=té=rieur 13
les=sou=ve=nirs=af=fluent=les=i=ma=ges=me=hantent 12
des=mo=ments=de=joie=qui=se=me=lent=à=la=peine 12
je=re=vois=ton=sou=rire=je=re=vois=tes=y=eux 12
un=é=clair=de=bon=heur=qui=me=trans=perce=le=cour 12
mais=la=dou=leur=re=vient=la=bles=su=re=se=rouvre 12
un=flot=de=lar=mes=qui=me=sub=merge=et=me=noie 12
je=suis=per=du=dans=les=té=nèbres=je=suis=seul=a=vec=ma=peine 15
un=nau=fra=gé=qui=cherche=un=re=fuge=pour=son=a=meen=peine 14
la=nuit=est=lon=gue=la=nuit=est=froi=de 10
un=man=teau=de=so=li=tude=qui=menve=lop=peet=me=dé=vore 14
je=cher=che=la=lu=miè=re=je=cher=che=les=poir 12
un=rayon=de=so=leil=qui=me=guide=vers=le=ri=vage 12
mais=la=tem=pe=te=fait=rage=les=va=gues=me=frap=pent 13
un=as=saut=inces=sant=qui=me=laisse=sans=souf=fleet=sans=force 13
je=suis=un=na=vi=re=qui=a=per=du=son=cap 12
un=cour=bri=sé=qui=cher=che=à=se=ré=pa=rer 12
la=plaie=est=ou=ver=te=la=bles=su=re=est=vive 12
un=rap=pel=cons=tant=de=la=mour=qui=ma=quit=té 12
je=suis=un=hom=me=je=suis=un=cour 9
un=e=tre=fra=gile=qui=cher=cheà=ai=mer=et=à=e=treai=mé 15
je=suis=un=po=è=te=je=suis=un=re=veur 11
un=ar=tiste=qui=cher=che=à=ex=pri=mer=son=cour 12
je=suis=un=e=tre=hu=main=je=suis=un=cour=qui=saigne 13
un=cour=qui=aime=un=cour=qui=souf=fre=un=cour=qui=vit 13
Phonétique : Douleurs
sɑ̃blɑ̃ dynə plε uvεʁtə, ekaʁkje,bʁylyʁə ki nə sεsə, ki mə deʃiʁə lamə.
kɔmə ynə blesyʁə ki ʁəfyzə də ɡeʁiʁ,
œ̃ ʁapεl kɔ̃stɑ̃ də la dulœʁ ki mabitə.
la plε ε pʁɔfɔ̃də, la sikatʁisə ε fʁaʒilə,
œ̃ suvəniʁ duluʁø, ki mə fε mal a ʃakə ɛ̃stɑ̃.
ʒə tuʃə la blesyʁə, ʒə sɑ̃s la dulœʁ,
œ̃ kʁi silɑ̃sjø, ki ʁezɔnə dɑ̃ mɔ̃ kuʁ.
la bʁylyʁə εt- ɛ̃tɑ̃sə, la sufʁɑ̃sə ε ʁeεllə,
œ̃ fø ki kɔ̃symə, ki mə devɔʁə də lɛ̃teʁjœʁ.
lε suvəniʁz- aflɥe, lεz- imaʒə mə-ɑ̃te,
dε mɔmɑ̃ də ʒwa, ki sə məle a la pεnə.
ʒə ʁəvwa tɔ̃ suʁiʁə, ʒə ʁəvwa tεz- iø,
œ̃n- eklεʁ də bɔnœʁ, ki mə tʁɑ̃spεʁsə lə kuʁ.
mε la dulœʁ ʁəvjɛ̃, la blesyʁə sə ʁuvʁə,
œ̃ flo də laʁmə, ki mə sybmεʁʒə e mə nwa.
ʒə sɥi pεʁdy dɑ̃ lε tenεbʁə, ʒə sɥi səl avεk ma pεnə,
œ̃ nofʁaʒe ki ʃεʁʃə, œ̃ ʁəfyʒə puʁ sɔ̃n- amə ɑ̃ pεnə.
la nɥi ε lɔ̃ɡ, la nɥi ε fʁwadə,
œ̃ mɑ̃to də sɔlitydə, ki mɑ̃vəlɔpə e mə devɔʁə.
ʒə ʃεʁʃə la lymjεʁə, ʒə ʃεʁʃə lεspwaʁ,
œ̃ ʁεjɔ̃ də sɔlεj, ki mə ɡidə vεʁ lə ʁivaʒə.
mε la tɑ̃pətə fε ʁaʒə, lε vaɡ mə fʁape,
œ̃n- aso ɛ̃sesɑ̃, ki mə lεsə sɑ̃ suflə e sɑ̃ fɔʁsə.
ʒə sɥiz- œ̃ naviʁə, ki a pεʁdy sɔ̃ kap,
œ̃ kuʁ bʁize, ki ʃεʁʃə a sə ʁepaʁe.
la plε εt- uvεʁtə, la blesyʁə ε vivə,
œ̃ ʁapεl kɔ̃stɑ̃, də lamuʁ ki ma kite.
ʒə sɥiz- œ̃n- ɔmə, ʒə sɥiz- œ̃ kuʁ,
œ̃n- εtʁə fʁaʒilə, ki ʃεʁʃə a εme e a εtʁə εme.
ʒə sɥiz- œ̃ pɔεtə, ʒə sɥiz- œ̃ ʁəvœʁ,
œ̃n- aʁtistə ki ʃεʁʃə, a εkspʁime sɔ̃ kuʁ.
ʒə sɥiz- œ̃n- εtʁə ymɛ̃, ʒə sɥiz- œ̃ kuʁ ki sεɲə,
œ̃ kuʁ ki εmə, œ̃ kuʁ ki sufʁə, œ̃ kuʁ ki vit.
laetisja kɔ̃ba
katɔʁzə : tʁɑ̃tə e yn (il i a tʁɑ̃tə sɛ̃k minytəs)
a kəvɛ̃
sɑ̃blɑ̃ dynə plε uvεʁtə, ekaʁkje,
bʁylyʁə ki nə sεsə, ki mə deʃiʁə lamə.
kɔmə ynə blesyʁə ki ʁəfyzə də ɡeʁiʁ,
œ̃ ʁapεl kɔ̃stɑ̃ də la dulœʁ ki mabitə.
la plε ε pʁɔfɔ̃də, la sikatʁisə ε fʁaʒilə,
œ̃ suvəniʁ duluʁø, ki mə fε mal a ʃakə ɛ̃stɑ̃.
ʒə tuʃə la blesyʁə, ʒə sɑ̃s la dulœʁ,
œ̃ kʁi silɑ̃sjø, ki ʁezɔnə dɑ̃ mɔ̃ kuʁ.
la bʁylyʁə εt- ɛ̃tɑ̃sə, la sufʁɑ̃sə ε ʁeεllə,
œ̃ fø ki kɔ̃symə, ki mə devɔʁə də lɛ̃teʁjœʁ.
lε suvəniʁz- aflɥe, lεz- imaʒə mə-ɑ̃te,
dε mɔmɑ̃ də ʒwa, ki sə məle a la pεnə.
ʒə ʁəvwa tɔ̃ suʁiʁə, ʒə ʁəvwa tεz- iø,
œ̃n- eklεʁ də bɔnœʁ, ki mə tʁɑ̃spεʁsə lə kuʁ.
mε la dulœʁ ʁəvjɛ̃, la blesyʁə sə ʁuvʁə,
œ̃ flo də laʁmə, ki mə sybmεʁʒə e mə nwa.
ʒə sɥi pεʁdy dɑ̃ lε tenεbʁə, ʒə sɥi səl avεk ma pεnə,
œ̃ nofʁaʒe ki ʃεʁʃə, œ̃ ʁəfyʒə puʁ sɔ̃n- amə ɑ̃ pεnə.
la nɥi ε lɔ̃ɡ, la nɥi ε fʁwadə,
œ̃ mɑ̃to də sɔlitydə, ki mɑ̃vəlɔpə e mə devɔʁə.
ʒə ʃεʁʃə la lymjεʁə, ʒə ʃεʁʃə lεspwaʁ,
œ̃ ʁεjɔ̃ də sɔlεj, ki mə ɡidə vεʁ lə ʁivaʒə.
mε la tɑ̃pətə fε ʁaʒə, lε vaɡ mə fʁape,
œ̃n- aso ɛ̃sesɑ̃, ki mə lεsə sɑ̃ suflə e sɑ̃ fɔʁsə.
ʒə sɥiz- œ̃ naviʁə, ki a pεʁdy sɔ̃ kap,
œ̃ kuʁ bʁize, ki ʃεʁʃə a sə ʁepaʁe.
la plε εt- uvεʁtə, la blesyʁə ε vivə,
œ̃ ʁapεl kɔ̃stɑ̃, də lamuʁ ki ma kite.
ʒə sɥiz- œ̃n- ɔmə, ʒə sɥiz- œ̃ kuʁ,
œ̃n- εtʁə fʁaʒilə, ki ʃεʁʃə a εme e a εtʁə εme.
ʒə sɥiz- œ̃ pɔεtə, ʒə sɥiz- œ̃ ʁəvœʁ,
œ̃n- aʁtistə ki ʃεʁʃə, a εkspʁime sɔ̃ kuʁ.
ʒə sɥiz- œ̃n- εtʁə ymɛ̃, ʒə sɥiz- œ̃ kuʁ ki sεɲə,
œ̃ kuʁ ki εmə, œ̃ kuʁ ki sufʁə, œ̃ kuʁ ki vit.
Syllabes Phonétique : Douleurs
sɑ̃=blɑ̃=dy=nə=plε=u=vεʁ=tə=e=kaʁ=kj=e 12bʁy=ly=ʁə=ki=nə=sεsə=ki=mə=de=ʃi=ʁə=lamə 12
kɔməy=nə=ble=sy=ʁə=ki=ʁə=fy=zə=də=ɡe=ʁiʁ 12
œ̃=ʁa=pεl=kɔ̃s=tɑ̃=də=la=du=lœʁ=ki=ma=bitə 12
la=plε=ε=pʁɔ=fɔ̃də=la=si=ka=tʁi=sə=ε=fʁaʒilə 12
œ̃=suvə=niʁ=du=lu=ʁø=kimə=fε=mal=a=ʃa=kəɛ̃s=tɑ̃ 13
ʒə=tu=ʃə=la=ble=sy=ʁə=ʒə=sɑ̃s=la=du=lœʁ 12
œ̃=kʁi=si=lɑ̃=sjø=ki=ʁe=zɔ=nə=dɑ̃=mɔ̃=kuʁ 12
la=bʁy=lyʁəε=tɛ̃=tɑ̃sə=la=su=fʁɑ̃=sə=ε=ʁe=εllə 12
œ̃=fø=ki=kɔ̃symə=kimə=de=vɔ=ʁə=də=lɛ̃=te=ʁjœʁ 12
lε=suvə=niʁ=zaf=lɥe=lε=zi=ma=ʒə=mə-ɑ̃=te 12
dε=mɔ=mɑ̃=də=ʒwa=ki=sə=mə=le=a=la=pεnə 12
ʒə=ʁə=vwa=tɔ̃=su=ʁiʁə=ʒə=ʁə=vwa=tε=zi=ø 12
œ̃=ne=klεʁdə=bɔ=nœʁ=ki=mə=tʁɑ̃s=pεʁ=sə=lə=kuʁ 12
mε=la=du=lœʁ=ʁə=vjɛ̃=la=ble=sy=ʁə=sə=ʁuvʁə 12
œ̃=flo=də=laʁ=mə=kimə=syb=mεʁ=ʒə=e=mə=nwa 12
ʒə=sɥi=pεʁ=dy=dɑ̃=lε=te=nεbʁə=ʒə=sɥi=səl=a=vεk=mapεnə 14
œ̃=no=fʁa=ʒe=kiʃεʁʃə=œ̃=ʁə=fy=ʒə=puʁ=sɔ̃=naməɑ̃pεnə 12
la=nɥi=ε=lɔ̃ɡ=la=nɥi=ε=fʁwa=də 9
œ̃=mɑ̃todə=sɔ=li=tydə=ki=mɑ̃=və=lɔ=pəe=mə=de=vɔʁə 13
ʒə=ʃεʁ=ʃə=la=ly=mjε=ʁə=ʒə=ʃεʁ=ʃə=lεs=pwaʁ 12
œ̃=ʁε=jɔ̃də=sɔ=lεj=ki=mə=ɡi=də=vεʁ=lə=ʁivaʒə 12
mε=latɑ̃pə=tə=fε=ʁa=ʒə=lε=va=ɡə=mə=fʁa=pe 12
œ̃=na=so=ɛ̃se=sɑ̃=kimə=lε=sə=sɑ̃=su=fləe=sɑ̃fɔʁsə 12
ʒə=sɥi=zœ̃=na=vi=ʁə=ki=a=pεʁ=dy=sɔ̃=kap 12
œ̃=kuʁ=bʁi=ze=ki=ʃεʁ=ʃə=a=sə=ʁe=pa=ʁe 12
la=plε=ε=tu=vεʁ=tə=la=ble=sy=ʁə=ε=vivə 12
œ̃=ʁa=pεl=kɔ̃s=tɑ̃=də=la=muʁ=ki=ma=ki=te 12
ʒə=sɥi=zœ̃=nɔ=mə=ʒə=sɥi=zœ̃=kuʁ 9
œ̃=nεtʁə=fʁaʒilə=ki=ʃεʁ=ʃəa=ε=me=e=a=ε=tʁəε=me 13
ʒə=sɥi=zœ̃=pɔ=ε=tə=ʒə=sɥi=zœ̃=ʁə=vœ=ʁə 12
œ̃=naʁ=tis=tə=ki=ʃεʁʃə=a=εk=spʁ=me=sɔ̃=kuʁ 12
ʒə=sɥi=zœ̃=nεtʁə=y=mɛ̃=ʒə=sɥi=zœ̃=kuʁ=ki=sεɲə 12
œ̃=kuʁ=kiεmə=œ̃=kuʁ=ki=su=fʁə=œ̃=kuʁ=ki=vit 12
la=e=ti=sj=a=kɔ̃=ba 7
katɔʁzə=tʁɑ̃=təe=yn=il=i=a=tʁɑ̃tə=sɛ̃k=mi=ny=təs 12
a=kə=vɛ̃ 3
sɑ̃=blɑ̃=dy=nə=plε=u=vεʁ=tə=e=kaʁ=kj=e 12
bʁy=ly=ʁə=ki=nə=sεsə=ki=mə=de=ʃi=ʁə=lamə 12
kɔməy=nə=ble=sy=ʁə=ki=ʁə=fy=zə=də=ɡe=ʁiʁ 12
œ̃=ʁa=pεl=kɔ̃s=tɑ̃=də=la=du=lœʁ=ki=ma=bitə 12
la=plε=ε=pʁɔ=fɔ̃də=la=si=ka=tʁi=sə=ε=fʁaʒilə 12
œ̃=suvə=niʁ=du=lu=ʁø=kimə=fε=mal=a=ʃa=kəɛ̃s=tɑ̃ 13
ʒə=tu=ʃə=la=ble=sy=ʁə=ʒə=sɑ̃s=la=du=lœʁ 12
œ̃=kʁi=si=lɑ̃=sjø=ki=ʁe=zɔ=nə=dɑ̃=mɔ̃=kuʁ 12
la=bʁy=lyʁəε=tɛ̃=tɑ̃sə=la=su=fʁɑ̃=sə=ε=ʁe=εllə 12
œ̃=fø=ki=kɔ̃symə=kimə=de=vɔ=ʁə=də=lɛ̃=te=ʁjœʁ 12
lε=suvə=niʁ=zaf=lɥe=lε=zi=ma=ʒə=mə-ɑ̃=te 12
dε=mɔ=mɑ̃=də=ʒwa=ki=sə=mə=le=a=la=pεnə 12
ʒə=ʁə=vwa=tɔ̃=su=ʁiʁə=ʒə=ʁə=vwa=tε=zi=ø 12
œ̃=ne=klεʁdə=bɔ=nœʁ=ki=mə=tʁɑ̃s=pεʁ=sə=lə=kuʁ 12
mε=la=du=lœʁ=ʁə=vjɛ̃=la=ble=sy=ʁə=sə=ʁuvʁə 12
œ̃=flo=də=laʁ=mə=kimə=syb=mεʁ=ʒə=e=mə=nwa 12
ʒə=sɥi=pεʁ=dy=dɑ̃=lε=te=nεbʁə=ʒə=sɥi=səl=a=vεk=mapεnə 14
œ̃=no=fʁa=ʒe=kiʃεʁʃə=œ̃=ʁə=fy=ʒə=puʁ=sɔ̃=naməɑ̃pεnə 12
la=nɥi=ε=lɔ̃ɡ=la=nɥi=ε=fʁwa=də 9
œ̃=mɑ̃todə=sɔ=li=tydə=ki=mɑ̃=və=lɔ=pəe=mə=de=vɔʁə 13
ʒə=ʃεʁ=ʃə=la=ly=mjε=ʁə=ʒə=ʃεʁ=ʃə=lεs=pwaʁ 12
œ̃=ʁε=jɔ̃də=sɔ=lεj=ki=mə=ɡi=də=vεʁ=lə=ʁivaʒə 12
mε=latɑ̃pə=tə=fε=ʁa=ʒə=lε=va=ɡə=mə=fʁa=pe 12
œ̃=na=so=ɛ̃se=sɑ̃=kimə=lε=sə=sɑ̃=su=fləe=sɑ̃fɔʁsə 12
ʒə=sɥi=zœ̃=na=vi=ʁə=ki=a=pεʁ=dy=sɔ̃=kap 12
œ̃=kuʁ=bʁi=ze=ki=ʃεʁ=ʃə=a=sə=ʁe=pa=ʁe 12
la=plε=ε=tu=vεʁ=tə=la=ble=sy=ʁə=ε=vivə 12
œ̃=ʁa=pεl=kɔ̃s=tɑ̃=də=la=muʁ=ki=ma=ki=te 12
ʒə=sɥi=zœ̃=nɔ=mə=ʒə=sɥi=zœ̃=kuʁ 9
œ̃=nεtʁə=fʁaʒilə=ki=ʃεʁ=ʃəa=ε=me=e=a=ε=tʁəε=me 13
ʒə=sɥi=zœ̃=pɔ=ε=tə=ʒə=sɥi=zœ̃=ʁə=vœ=ʁə 12
œ̃=naʁ=tis=tə=ki=ʃεʁʃə=a=εk=spʁ=me=sɔ̃=kuʁ 12
ʒə=sɥi=zœ̃=nεtʁə=y=mɛ̃=ʒə=sɥi=zœ̃=kuʁ=ki=sεɲə 12
œ̃=kuʁ=kiεmə=œ̃=kuʁ=ki=su=fʁə=œ̃=kuʁ=ki=vit 12
Récompense
Poesie sans commentaire
16/12/2025Poeme-France
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Poème Colère
Du 15/12/2025 15:10
L'écrit contient 625 mots qui sont répartis dans 9 strophes.