Univers de poésie d'un auteur

Prose:I Was Dreaming…

La Prose

[… ] 19h29 l’exitation est à son comble devant le portail des Nuits de Fourvière…
Une minute plus tard les portes s’ouvrent… ruée vers l’avant, « P*tain de pierres à la con ! ! », tout le monde trébuche, tout le monde cours, arrivée dans la fosse, premier rang, premier rang au centre, et je n’arrive toujours pas à réaliser, exitation totale, mais quand même… Commence la longue attente, le stress on ne sait pas vraiment pourquoi, peur de quoi exactement ? De ne pas être à la hauteur ? J’sais pas trop… toujours est-il que tout le monde est fébrile, les gradins se remplissent, t-shirts colorés et banderoles diverses, des gens de tous âges, de tous sexes, tous réunis… certains ont des tenues magnifiques, des maquillages grandioses, des accessoires, des coiffures géniales… le ciel est bleu, pas l’ombre d’un nuage, tout semble réunit pour que le concert soit parfait… à 21h arrivent les membres du groupe AqME, interprétant différents morceaux, à vrai dire je n’me souviens plus vraiment, c’était sympa… mais agaçant d’attendre, encore et encore. La première partie s’achève, la musique de fond reprend, le public s’exite, crie, scande. In-do-chine. Ces trois petites syllabes qui prennent un autre sens quand elles sont reprises en chœur par des milliers de personnes impatientes… In-do-chine, in-do-chine… Et quand apparaît sur l’écran géant cette si belle animation qu’est la fille au tambour, la foule explose. Et quand c’est au tour de Nico, c’est moi qui implose. Je suis tellement bien placée… Les arbres, l’herbe, les peluches, tout est magique… retentissent les premières notes de Dunkerque. Le public reprend, encore et encore, les paroles. Ils sont beaux, débordant d’énergie, nos Indochinois. Enchaînement avec les magnifiques Portes du Soir, Nicola qui s’avance et se penche vers nous, déclanchant les cris suraïgus de nombreuses personnes, dont moi évidemment ! Les chansons s’enchaînent et ne se ressemblent pas, Alice et June, Marilyn, Nous on veut jouir, jouir encore plus fort, la foule tangue, les bras se lèvent, et les bouches reprennent à l’unisson les paroles tant répétées… Shaéé ! Adora, le nouveau single, si violente et si belle à la fois, Punker, « Je suis sûr qu’à Lyon, on aime le sexe ! » héhé, surtout avec Nico… Est-ce que tu saura faire… Gang Bang, et ses paroles si vraies… Le prince charmant existe, il est là sur scène, avec ses quatre magiciens, LadyBoy, J’ai demandé à la lune, tout passe si vite… Boris et Oli se déchaînent, Matu assure, Marco aussi, Nicola saute de partout pour notre plus grande joie… Suit le magnifique Morphine, les images défilent sur l’écran géant, magnifiques montages, le public est de plus en plus présent, « Est-ce que vous êtes prêêêêts ? » mais qui ne l’est pas après avoir attendu avec tant d’impatience cette date ? Puis c’est au tour de June de faire chanter tout le monde, on se pousse, on se bouscule pour toucher du doigt un des musiciens, ou alors Nicola, symbole en quelque sorte de ce rêve qu’est Indochine… Ensuite, nous avons le droit à Popstitute, personne n’a envie d’aller faire un tour en enfer, quant au paradis, il me semble y être déjà… Vient le cultissime 3 nuits par semaine. Dès les premiers accords, la fosse tremble sous le poids de la foule qui saute en rythme, trois doigts tendus vers la scène, hurlant de toutes ses forces les paroles de la chanson, un vrai tube. Le « Club Paramount » génère un enthousiasme tout aussi remarquable, avec Miss Paramount, puis Monte Cristo, Stef II et Astroboy, à tomber. Indo explore et déflore le rock’n’roll, pour notre plus grand bonheur. Quant au set accoustique, composé de La chevauché des champs de blé, de Salombô, aussi magnifique en live qu’en studio, et de la légère et lumineuse Colline des Roses, c’est une vrai réussite, les gens allument leurs briquets, murmurent encore les paroles, inlassablement… magique. Ensuite, Punishment Park qui nous enchante encore. Les mains tendues, toujours, les cris, les flashs qui crépitent… Puis Nicola nous demande d’accueillir AqME, avec qui le groupe interprète le duo d’Alice & June, Aujourd’hui Je Pleure, que dire de plus, c’était vraiment bien aussi. Viens le dernier morceau, déjà… L’aventurier, bien sûr. C’est plus que de la folie qui s’empare du public. L’hystérie est totale, la communion aussi. Tout le monde saute dans tous les sens, un fois encore, Nicola s’approche, va et viens, Marco et Boris dansent sur la scène, et quand la chanson s’achève l’ambiance est électrique… Une autre, une autre… Ils reviennent… « Il paraît qu’on peut en faire une autre »… Tallula. Oooh tallula. Je l’aime tant, cette chanson. Nicola chante quand une fille à côté de moi monte sur scène… My god ils font monter des gens… suivent, deux, trois, quatre personnes… Je tends ma main dans le fol espoir d’être « choisie »… Et là Nico l’attrape, et l’espace d’un instant, chante Tallula en me regardant… Ooh je crois mourir… Je me hisse tant bien que mal sur la barrière, et quelqu’un de la sécurité me fais monter sur scène… J’arrive même pas à y croire tellement c’est magique. Je chancelle sur la scène, rejoint l’extrémité gauche de la chaîne qu’on formé les précédents, et je chante avec eux… C’est tellement inéspéré, j’en tremble encore ! Puis Nicola vient de mon côté, et, je ne sais pas trop comment je me retrouve dans ses bras… pfiuh, trop plein d’émotion ! Tout va si vite, je suis reconduite à la sortie de la scène, je retourne dans le public en larmes… de joie ! J’ai réalisé un de mes rêves. Le plus important à mes yeux, je crois… C’est bien fini, cette fois. Un videur nous pousse gentiment dehors… « Tous les rêves ont une fin, mademoiselle. » Une fin ? Non… Je crois que je garderai ce moment dans ma mémoire et dans mon cœur pendant plus que longtemps… Une histoire d’amour sans fin. Indochine et son public. Indochine et moi. 25 ans plus tard ils sont toujours là. Et il se trouvera toujours des milliers de gens pour les aimer comme je les aime. Ne vous arrêtez jamais. Jamais…
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PostScriptum

Moment U-N-I-K-E ! J’espère avoir réussi à vous transmettre ce que j’ai ressenti…

Poeme de Laeron

Poète Laeron

Laeron a publié sur le site 6 écrits. Laeron est membre du site depuis l'année 2006.

Syllabation De L'Écrit

Phonétique : I Was Dreaming…uvʁə kʁoʃε… fεʁmə kʁoʃε diz- nəf aʃ vɛ̃t- nəf lεɡzitasjɔ̃ εt- a sɔ̃ kɔ̃blə dəvɑ̃ lə pɔʁtaj dε nɥi də fuʁvjεʁə…
ynə minytə plys taʁ lε pɔʁtə- suvʁe… ʁye vεʁ lavɑ̃, « p asteʁiskə tɛ̃ də pjeʁəz- a la kɔ̃ ! ! », tu lə mɔ̃də tʁebyʃə, tu lə mɔ̃də kuʁ, aʁive dɑ̃ la fɔsə, pʁəmje ʁɑ̃, pʁəmje ʁɑ̃ o sɑ̃tʁə, e ʒə naʁivə tuʒuʁ pa a ʁealize, εɡzitasjɔ̃ tɔtalə, mε kɑ̃ mεmə… kɔmɑ̃sə la lɔ̃ɡ atɑ̃tə, lə stʁεsz- ɔ̃ nə sε pa vʁεmɑ̃ puʁkwa, pœʁ də kwa εɡzaktəmɑ̃ ? də nə pa εtʁə a la-otœʁ ? ʒsε pa tʁo… tuʒuʁz- εt- il kə tu lə mɔ̃də ε febʁilə, lε ɡʁadɛ̃ sə ʁɑ̃plise, te ʃiʁ kɔlɔʁez- e bɑ̃dəʁɔlə divεʁsə, dε ʒɑ̃ də tusz- aʒə, də tus sεksə, tus ʁeyni… sεʁtɛ̃z- ɔ̃ dε tənɥ maɲifik, dε makjaʒə ɡʁɑ̃djozə, dεz- akseswaʁə, dε kwafyʁə ʒenjalə… lə sjεl ε blø, pa lɔ̃bʁə dœ̃ nɥaʒə, tu sɑ̃blə ʁeyni puʁ kə lə kɔ̃sεʁ swa paʁfε… a vɛ̃t- e œ̃ aʃ aʁive lε mɑ̃bʁə- dy ɡʁupə akmə, ɛ̃tεʁpʁetɑ̃ difeʁɑ̃ mɔʁso, a vʁε diʁə ʒə nmə suvjɛ̃ plys vʁεmɑ̃, setε sɛ̃pa… mεz- aɡasɑ̃ datɑ̃dʁə, ɑ̃kɔʁə e ɑ̃kɔʁə. la pʁəmjεʁə paʁti saʃεvə, la myzikə də fɔ̃ ʁəpʁɑ̃, lə pyblik sεɡzitə, kʁi, skɑ̃də. ɛ̃ do ʃinə. sε tʁwa pətitə silabə ki pʁεne œ̃n- otʁə sɑ̃s kɑ̃t- εllə sɔ̃ ʁəpʁizəz- ɑ̃ ʃœʁ paʁ dε milje də pεʁsɔnəz- ɛ̃pasjɑ̃tə… ɛ̃ do ʃinə, ɛ̃ do ʃinə… e kɑ̃t- apaʁε syʁ lekʁɑ̃ ʒeɑ̃ sεtə si bεllə animasjɔ̃ kε la fijə o tɑ̃buʁ, la fulə εksplozə. e kɑ̃ sεt- o tuʁ də niko, sε mwa ki ɛ̃plozə. ʒə sɥi tεllmɑ̃ bjɛ̃ plase… lεz- aʁbʁə, lεʁbə, lε pəlyʃə, tut- ε maʒikə… ʁətɑ̃tise lε pʁəmjεʁə nɔtə də dœ̃kεʁkə. lə pyblik ʁəpʁɑ̃, ɑ̃kɔʁə e ɑ̃kɔʁə, lε paʁɔlə. il sɔ̃ bo, debɔʁdɑ̃ denεʁʒi, noz- ɛ̃doʃinwa. ɑ̃ʃεnəmɑ̃ avεk lε maɲifik pɔʁtə- dy swaʁ, nikɔla ki savɑ̃sə e sə pɑ̃ʃə vεʁ nu, deklɑ̃ʃɑ̃ lε kʁi syʁajɡys də nɔ̃bʁøzə pεʁsɔnə, dɔ̃ mwa evidamɑ̃ ! lε ʃɑ̃sɔ̃ sɑ̃ʃεne e nə sə ʁəsɑ̃ble pa, alisə e ʒynə, maʁilin, nuz- ɔ̃ vø ʒuiʁ, ʒuiʁ ɑ̃kɔʁə plys fɔʁ, la fulə tɑ̃ɡ, lε bʁa sə lεve, e lε buʃə ʁəpʁεne a lynisɔ̃ lε paʁɔlə tɑ̃ ʁepete… ʃaee ! adɔʁa, lə nuvo sɛ̃ɡlə, si vjɔlɑ̃tə e si bεllə a la fwa, pœ̃ke, « ʒə sɥi syʁ ka liɔ̃, ɔ̃n- εmə lə sεksə ! » ee, syʁtu avεk niko… ε sə kə ty soʁa fεʁə… ɡɑ̃ɡ bɑ̃ɡ, e sε paʁɔlə si vʁε… lə pʁɛ̃sə ʃaʁmɑ̃ εɡzistə, il ε la syʁ sεnə, avεk sε katʁə maʒisjɛ̃, ladibwa, ʒε dəmɑ̃de a la lynə, tu pasə si vitə… bɔʁiz- e ɔli sə deʃεne, maty asyʁə, maʁko osi, nikɔla sotə də paʁtu puʁ nɔtʁə plys ɡʁɑ̃də ʒwa… sɥi lə maɲifikə mɔʁfinə, lεz- imaʒə defile syʁ lekʁɑ̃ ʒeɑ̃, maɲifik mɔ̃taʒə, lə pyblik ε də plysz- ɑ̃ plys pʁezɑ̃, « εst sə kə vuz- εtə pʁεεεε ? » mε ki nə lε pa apʁεz- avwaʁ atɑ̃dy avεk tɑ̃ dɛ̃pasjɑ̃sə sεtə datə ? pɥi sεt- o tuʁ də ʒynə də fεʁə ʃɑ̃te tu lə mɔ̃də, ɔ̃ sə pusə, ɔ̃ sə buskylə puʁ tuʃe dy dwa œ̃ dε myzisjɛ̃, u alɔʁ nikɔla, sɛ̃bɔlə ɑ̃ kεlkə sɔʁtə də sə ʁεvə kεt- ɛ̃doʃinə… ɑ̃sɥitə, nuz- avɔ̃ lə dʁwa a pɔpstitytə, pεʁsɔnə na ɑ̃vi dale fεʁə œ̃ tuʁ ɑ̃n- ɑ̃fe, kɑ̃ o paʁadi, il mə sɑ̃blə i εtʁə deʒa… vjɛ̃ lə kyltisimə tʁwa nɥi paʁ səmεnə. dε lε pʁəmjez- akɔʁd, la fɔsə tʁɑ̃blə su lə pwa də la fulə ki sotə ɑ̃ ʁitmə, tʁwa dwa tɑ̃dys vεʁ la sεnə, yʁlɑ̃ də tutə sε fɔʁsə- lε paʁɔlə də la ʃɑ̃sɔ̃, œ̃ vʁε tybə. lə « klyb paʁamunt » ʒenεʁə œ̃n- ɑ̃tuzjasmə tut- osi ʁəmaʁkablə, avεk mis paʁamun, pɥi mɔ̃tə kʁisto, stεf ji e astʁɔbwa, a tɔ̃be. ɛ̃do εksplɔʁə e deflɔʁə lə ʁɔknʁɔl, puʁ nɔtʁə plys ɡʁɑ̃ bɔnœʁ. kɑ̃ o sεt akustikə, kɔ̃poze də la ʃəvoʃe dε ʃɑ̃ də ble, də salɔ̃bo, osi maɲifikə ɑ̃ livə kɑ̃ stydjo, e də la leʒεʁə e lyminøzə kɔlinə dε ʁozə, sεt- ynə vʁε ʁeysitə, lε ʒɑ̃z- alymɑ̃ lœʁ bʁikε, myʁmyʁe ɑ̃kɔʁə lε paʁɔlə, ɛ̃lasabləmɑ̃… maʒikə. ɑ̃sɥitə, pyniʃme paʁk ki nuz- ɑ̃ʃɑ̃tə ɑ̃kɔʁə. lε mɛ̃ tɑ̃dɥ, tuʒuʁ, lε kʁi, lε flaʃ ki kʁepite… pɥi nikɔla nu dəmɑ̃də dakœjiʁ akmə, avεk ki lə ɡʁupə ɛ̃tεʁpʁεtə lə dyo dalisə e ʒynə, oʒuʁdɥi ʒə plœʁə, kə diʁə də plys, setε vʁεmɑ̃ bjɛ̃ osi. vjɛ̃ lə dεʁnje mɔʁso, deʒa… lavɑ̃tyʁje, bjɛ̃ syʁ. sε plys kə də la fɔli ki sɑ̃paʁə dy pyblik. listeʁi ε tɔtalə, la kɔmynjɔ̃ osi. tu lə mɔ̃də sotə dɑ̃ tus lε sɑ̃s, œ̃ fwaz- ɑ̃kɔʁə, nikɔla sapʁoʃə, va e vjɛ̃, maʁko e bɔʁi dɑ̃se syʁ la sεnə, e kɑ̃ la ʃɑ̃sɔ̃ saʃεvə lɑ̃bjɑ̃sə εt- elεktʁikə… ynə otʁə, ynə otʁə… il ʁəvjεne… « il paʁε kɔ̃ pø ɑ̃ fεʁə ynə otʁə »… talyla. uɔ talyla. ʒə lεmə tɑ̃, sεtə ʃɑ̃sɔ̃. nikɔla ʃɑ̃tə kɑ̃t- ynə fijə a kote də mwa mɔ̃tə syʁ sεnə… mi ɡɔd il fɔ̃ mɔ̃te dε ʒɑ̃… sɥive, dø, tʁwa, katʁə pεʁsɔnə… ʒə tɑ̃ ma mɛ̃ dɑ̃ lə fɔl εspwaʁ dεtʁə « ʃwazjə »… e la niko latʁapə, e lεspasə dœ̃n- ɛ̃stɑ̃, ʃɑ̃tə talyla ɑ̃ mə ʁəɡaʁdɑ̃… u ʒə kʁwa muʁiʁ… ʒə mə isə tɑ̃ bjɛ̃ kə mal syʁ la baʁjεʁə, e kεlkœ̃ də la sekyʁite mə fε mɔ̃te syʁ sεnə… ʒaʁivə mεmə pa a i kʁwaʁə tεllmɑ̃ sε maʒikə. ʒə ʃɑ̃sεllə syʁ la sεnə, ʁəʒwɛ̃ lεkstʁemite ɡoʃə də la ʃεnə kɔ̃ fɔʁme lε pʁesedɑ̃, e ʒə ʃɑ̃tə avεk ø… sε tεllmɑ̃ inespeʁe, ʒɑ̃ tʁɑ̃blə ɑ̃kɔʁə ! pɥi nikɔla vjɛ̃ də mɔ̃ kote, e, ʒə nə sε pa tʁo kɔmɑ̃ ʒə mə ʁətʁuvə dɑ̃ sε bʁa… pfjy, tʁo plɛ̃ demɔsjɔ̃ ! tu va si vitə, ʒə sɥi ʁəkɔ̃dɥitə a la sɔʁti də la sεnə, ʒə ʁətuʁnə dɑ̃ lə pyblik ɑ̃ laʁmə… də ʒwa ! ʒε ʁealize œ̃ də mε ʁεvə. lə plysz- ɛ̃pɔʁtɑ̃ a mεz- iø, ʒə kʁwa… sε bjɛ̃ fini, sεtə fwa. œ̃ vidœʁ nu pusə ʒɑ̃time dəɔʁ… « tus lε ʁεvəz- ɔ̃ ynə fɛ̃, madəmwazεllə. » ynə fɛ̃ ? nɔ̃… ʒə kʁwa kə ʒə ɡaʁdəʁε sə mɔmɑ̃ dɑ̃ ma memwaʁə e dɑ̃ mɔ̃ kœʁ pɑ̃dɑ̃ plys kə lɔ̃tɑ̃… ynə istwaʁə damuʁ sɑ̃ fɛ̃. ɛ̃doʃinə e sɔ̃ pyblik. ɛ̃doʃinə e mwa pwɛ̃ vɛ̃t- sɛ̃k ɑ̃ plys taʁ il sɔ̃ tuʒuʁ la. e il sə tʁuvəʁa tuʒuʁ dε milje də ʒɑ̃ puʁ lεz- εme kɔmə ʒə lεz- εmə. nə vuz- aʁεte ʒamε. ʒamε…

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Poesie sans commentaire

Commentaire poème
26/04/2024Poeme-France
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Prose - Sans Thème -
Du 17/08/2007 14:29

L'écrit contient 1069 mots qui sont répartis dans 1 strophes.