Poème:Les Corbeaux

Depuis ça plus tendre enfance elle était passionnée par les corbeaux
Elle les trouvait énigmatique, celtique et beaux
Toujours à essayer de les approchaient
Dans le seul but de les capturer pour les apprivoiser.
La mère de cette fille trouva cette passion inquiétante,
Et ne se trompa pas, sa fille commença a dévaler la pente.
Elle devenait folle et ne vivait que pour eux
Et au fil du temps tous devenait de plus en plus désastreux.
La mère n’en pouvait plus allant même jusqu’à sa propre fille abhorrer.
Cette dernière en pris conscience et ordonna a ses corbeaux de la tuer.
Depuis ce jour tous ne faisait qu’empirer
Chaque jour des milliers de nouveau corbeaux elle apprivoisait
Elle se mit a ne plus jamais sortir de chez elle
Et alla même jusqu’a, dans sa demeure isolé, se fabriquer une pair d’ailes.
Partout était affichés des corbeaux en portrait.
Dans le seul but de ne pas oublier ceux qui avaient trépassés.
Tous la croyaient morte depuis des années
Quand dix ans après on décida de chasser les corbeaux domestiqués.
Quelle ne fut pas la surprise et l’horreur
De découvrit la fille allongé, pâle, ayant perdu toutes couleurs.
Et les corbeaux qu’elle avait si longtemps idolâtrés
Etaient tous sur elle et la mangeait bectée par bectée…