Poème:Nuit Paternelle,

Pendant que papa dormait d’un sommeil bien méritoire, moi je me réveillai.
Maman qui dormait d’un sommeil bien plus profond.
Papa n’avait d’autre choix que de se lever.

Il crut bien faire, de me rafraichir.
Mais ce ne fut pas nécessaire.
Croyant bien faire, pensant faire une économie, pas de chance, j’arrosai son pyjama.

Maladroitement, papa m’emmaillota à nouveau.
Croyant être quitte de l’affaire me remit dans mon petit lit.
Mon pauvre petit ventre pas très satisfait continuait à gronder.

Papa, pas d’autres choix que de se relever.
Puisque maman ne sortit pas de son profond sommeil.
Malheureusement pour moi, les tétons de papa étaient bien trop secs.

Alors, pauvre papa, une nouvelle fois n’eut d’autres choix que de réveiller maman en douceur.
Pauvre maman, mais moi toute contente de voler maman à papa pour un bien agréable instant.
Malheureusement, j’ai bien dû me contenter de papa pour faire mon petit rototo.

Rototo, qui est arrivé bien trop vite.
Puisque papa profitant de ce petit rototo pour se débarrasser de moi dans mon petit lit.
Papa qui croyait être quitte de moi en échange d’un agréable sommeil dut se détromper bien
Vite.

Protestant à ma manière de mon lange mal attaché.
Je me dis, faisons d’une pierre deux coups.
Papa dut se relever à cause d’une odeur persistante.

Comme j’étais toute sale, papa dut me faire une toilette qui me fut fort agréable.
Me voilà toute propre et toute contente.
Bien contente de retrouver mon petit lit.

Quant à la satisfaction de mon bien aimé petit papa de retrouver enfin son lit douillet.
Fut une nouvelle fois de bien courte durée.
Puisque le coq se mit à chanter l’heure du lever.
3090 OVERIJSE, le vendredi 03 avril 2009.
Thierry MAFFEI.