Poème:Noire Cerise,

Toi qui n’es pas pâtissière renommer.
Simple boulangère, d’un petit village perdu.
Elle te va si bien ta jolie robe noire cerise.
Parmi tes gâteaux fruitiers, tes baguettes et tes Viennoises.

J’aime passer chez toi, chercher ma baguette matinale.
Sur ta robe noire cerise, quelques branches de cerise.
Si bien dessiner sur ta robe noir cerise, que tu te confonds dans tes tartes fruitières.
Un air hésitant, je prends un air barguigné sur tes tartes.

Sur ta robe noir cerise, j’aperçois fleurir des fleurs blanc cerise.
Elles font mieux ressortir les détails de ces quelques branches de cerisier.
J’adore entendre de ta bouche le chant du merle enchanteur.
Par quel délice fais-je finalement me laisser tenter ?

Par magie, un jeune feuillage se peint sur ta robe noir cerise.
Semblable aux saisons qui passent au travers de ta robe noir cerise.
Soutènement, apparaissent les premières cerises
Le soleil provincial qui traverse ta vitrine fait ressortir les reflets des cerises fleuries.

Entre tentation et gourmandise, je me laisse faire par une tarte cerises.
Rends curieux ceux qui me verront arrivé de ta tarte cerise au goût délicieux certain.
Sans un instant, s’imaginer de l’image de la jeune boulangère qui imprègne ma mémoire.
Patientant le lendemain, pour retourner cherchez une ficelle chez la boulangère, noir cerise.

3090 OVERIJSE (Belgica) le vendredi 13 juin 2014.

Thierry MAFFEI.