Poème:Sams Toi

Comme le nouveau-né, à l’aube du premier jour
Aime sa mère et son père, découvre ce qu’est l’amour
Comme le loup-garou aime la lune blême
Tu vois Maëlyse, c’est comme sa que je t’aime

Sans toi, je ne vis pas ; sans toi, je ne vis plus
Sans toi, je ne suis rien ; sans toi, je ne suis plus
Qu’un homme au bord du gouffre et qui regarde en bas
Sans toi, il n’y a plys de larmes, d’air ni de joie

Sans toi, je voix mon monde disparaître en fumée
Et je le vois renaître dès que j’entend ta voix
Sans toi, mon ciel est rouge, noir et épais
C’est l’enfer que je voix dès que je suis sans toi

Sans toi, le monde n’a plus aucune saveur
Tout autour de moi n’est que peine et douleur
Plus un seul « Je t’aime », plus d’ « Il était une fois »
Plus qu’un monde fade, dès que je suis sans toi

Sans toi, plus rien n’a d’intéret
Sans toi, plus rien autour n’existe
Sans toi, je suis seul abandonné
Sans toi, il n’y a plus ni vertu ni vice

Sans toi, c’est le cauchemar à l’état pur
Sans toi, c’est un calvaire, une torture
C’est le soleil qui se couche, sans jamais se relever
ET je le vois renaître dès que tu réapparais

Sans toi, c’est tellement dur d’écrire ce que je ressens
Je suis l’infini petit dans un monde infiniment grand
Mais dès que tu es là, je suis maître de l’univers
Maître du temps, de l’amour, du ciel et de la Terre

Sans toi, je suis mort ou encore pire que ça
Sans toi, c’est tout mon monde qui s’en va
Il s’en va sans me dire « au revoir » et sans me regarder
Et mourir seraït plus agréable que de ne pas l’écouter

Sans toi, je pense à toi ; sans toi, je pense à nous
Sans toi, je vis pour toi ; sans toi, je vis pour nous
A ces minutes bénies où je peux entendre ta voix
Sans toi, il n’y a plus de larmes, d’air ni de joie

Comme le nouveau-né, à l’aube du premier jour
Aime son père et sa mère, découvre ce qu’est l’amour
Comme j’aime à t’écrire ce genre de poème
Tu voix Maëlyse, c’est comme ça que je t’aime.