Poème:Mon Suicide

Sur du son je m’anime,
Des gellules je trouve, des gellules j’avale,
Sur le son, je danse, je ne pense plus a toi.

Je sent mes menbres s’alourdir, je suis a bout de force,
Je m’écroule sur le sol glacé où je ne suis,
Plus qu’ une épave.

J’enttend des sifflements puis des sirènes qui se rapproche,
On me glisse sur un brancard, on m’enmene.

Je suis a l’hopital dans une pièce sombre, étandu,
J’ai des fils qui me sorte du nez et de mes veines.
Je perd mon sang, je suis afaibli, j’ai peur de ce qui m’ai arriver.

Un infirmier a mes cotés me dit que j’ai tenter de me tuer,
Et que c’est raté, que je vais m’en tirer,
Que ce n’été qu’un cochemard réalité.

Brusquement mes yeux se ferment, mon corps convulse,
Je suis dans le coma,
Seul un doux baiser de mon bien aimer pourrai me réanimé,
Mais tu n’est pas là et je meurt.

Il ne faut pas s’en soucier c’est ce que je voulais.
Je voulais crever, m’arracher de cette humanité,
De ce désastre que ma vie était.

Adieu.