Poème:La Raison D’un Fou

Je me suis glisé la nuit dernière, dans sa chambre. Elle dormait si bien. Elle était si belle. J’aurais pu la tuer, ça n’aurait en rien changé la beauté de son visage. Je suis resté ainis trois heures, assis pars terre devant son lit, à la contempler, elle qui dormait si bien. Elle souriait dans son sommeil ; Pensait-elle à moi ? Autant que moi je pensais à elle ?
J’ai rêvé d’elle cette nuit. Dans mon rêve, elle m’aimait. Elle m’aimait. Elle étyait tout prés de moiu et je la serrais tout contre moi. Serré fort pour ne pas qu’elle parte. Et elle souriait, elle était hereuse de m’aimer. Dans mon rêve. Etait-ce vrai dans la réalité ?
Je l’ai croisé ce matin. Je suis prêt à jurer qu’elle m’a souri. A moi, elle m’a adressé un de ses sourires du matin, avec les étoiles qui gerement. Ce sourire que j’adore. Est-ce que cela vouldrait dire qu’elle m’aime ?
Je l’ai vu hier soir. Je sortais du travail. Elle était là, et lui aussi. Il lui faisait du charme. Ce n’était que du barratin. Pourquoi se laissait-elle embobiner pars un type comme lui ? Elle lui a souri. A lui, elle lui a adressé un de ses sourires de lorsqu’elle est amoureuse, avec les étoiles qui explosent. Ai-je raison de croire qu’elle ma trahi ?
Le lendemain, j’étais encore dans sa chambre. Les yeux fermés, l’air si placide, elle était à croquer, vraiment. Le sang coulait du flanc de traîtresse et de celui de ce coureur de jupons. Est-ce que quand je mourrais, je pourrais la rejoindre ?