Poème:Samarah
Le Poème
Avec sa taille moyenne, son air de flotter sur l’eau,
Sa peau mate et ses yeux de couleur aubergine,
Ses cheveux soignés de teinte « aile de corbeau »
Difficile de déterminer son origine.
Samarah n’en a cure et passe sa journée
Toujours le sourire aux lèvres, jamais pressée.
Elle aime ce qu’elle fait et tient dès le lever
A garder l’œil vif et le visage droit levé.
Allongé sur son lit, après une nuit agitée,
Après quelques brefs moments d’hésitation,
Augustin parvient à dompter sa fébrilité
Et accepte d’être en dessous de la perfection.
Lui, si fier, a de plus en plus de mal à parler.
Sa grande chance, c’est qu’il peut encore bien penser.
Ses souvenirs s’estompent : ils sont flous et voilés
Et il sait désormais qu’il n’ira plus danser.
Parfois, entre deux soins, au cours de sa dure journée,
Une bouffée de nostalgie l’envahit sans prévenir
Avec un léger pincement de douleur perlé :
Le cœur de Samarah a mal à ses souvenirs.
Son village natal auréolé de couleur brun ocre,
Où sa mère Malika lui a donné la vie, tout là-bas,
Le séisme de septembre a fait du beau un médiocre.
C’était le funeste destin d’Imin-tala.
Il n’a pas renoncé. Il se bat et veut durer.
Profiter encore des petits moments de bonheur,
Comme tous ces matins où elle vient le saluer
Et illuminer son présent comme éclot une fleur.
Ces instants où ils parlent de la vie quotidienne,
Il les savoure et il y puise de l’énergie.
Les gestes doux de ses mains de magicienne
Ravivent la flamme de sa vacillante bougie.
A la pause, souvent Samarah reste à l’écart,
Non désireuse de se mêler aux bavardages
Qui parlent exclusivement d’esquarres ou de rencarts.
Elle se ressource avec le ciel et ses nuages.
Mais le temps file. Un appel. Il faut y aller.
D’un geste précis elle rajuste ses longues tresses,
Un peu cachées, emprisonnées dans son bonnet.
Et réagit, mais toujours en douceur, loin du stress.
Augustin a bien compris : maintenant c’est la fin.
Il n’est pas angoissé, s’y était préparé.
Il voudrait juste la revoir une dernière fois ce matin.
Il voulait pas déranger, mais sur le bouton il a poussé.
Elle a franchi la porte et a tout de suite réalisé.
Doucement elle lui prend la main et la serre fort.
Dans leurs regards qui s’échangent, il y a de la beauté.
Elle l’accompagne et l’aide à lâcher le ressort.
Emue et heureuse à la fois, elle essuie une larme.
Une vie s’en va, et ce ne sera pas la dernière.
Mais au plus profond d’elle-même, bien loin du vacarme,
Elle sait qu’elle ne regrettera jamais d’être une infirmière.
Sa peau mate et ses yeux de couleur aubergine,
Ses cheveux soignés de teinte « aile de corbeau »
Difficile de déterminer son origine.
Samarah n’en a cure et passe sa journée
Toujours le sourire aux lèvres, jamais pressée.
Elle aime ce qu’elle fait et tient dès le lever
A garder l’œil vif et le visage droit levé.
Allongé sur son lit, après une nuit agitée,
Après quelques brefs moments d’hésitation,
Augustin parvient à dompter sa fébrilité
Et accepte d’être en dessous de la perfection.
Lui, si fier, a de plus en plus de mal à parler.
Sa grande chance, c’est qu’il peut encore bien penser.
Ses souvenirs s’estompent : ils sont flous et voilés
Et il sait désormais qu’il n’ira plus danser.
Parfois, entre deux soins, au cours de sa dure journée,
Une bouffée de nostalgie l’envahit sans prévenir
Avec un léger pincement de douleur perlé :
Le cœur de Samarah a mal à ses souvenirs.
Son village natal auréolé de couleur brun ocre,
Où sa mère Malika lui a donné la vie, tout là-bas,
Le séisme de septembre a fait du beau un médiocre.
C’était le funeste destin d’Imin-tala.
Il n’a pas renoncé. Il se bat et veut durer.
Profiter encore des petits moments de bonheur,
Comme tous ces matins où elle vient le saluer
Et illuminer son présent comme éclot une fleur.
Ces instants où ils parlent de la vie quotidienne,
Il les savoure et il y puise de l’énergie.
Les gestes doux de ses mains de magicienne
Ravivent la flamme de sa vacillante bougie.
A la pause, souvent Samarah reste à l’écart,
Non désireuse de se mêler aux bavardages
Qui parlent exclusivement d’esquarres ou de rencarts.
Elle se ressource avec le ciel et ses nuages.
Mais le temps file. Un appel. Il faut y aller.
D’un geste précis elle rajuste ses longues tresses,
Un peu cachées, emprisonnées dans son bonnet.
Et réagit, mais toujours en douceur, loin du stress.
Augustin a bien compris : maintenant c’est la fin.
Il n’est pas angoissé, s’y était préparé.
Il voudrait juste la revoir une dernière fois ce matin.
Il voulait pas déranger, mais sur le bouton il a poussé.
Elle a franchi la porte et a tout de suite réalisé.
Doucement elle lui prend la main et la serre fort.
Dans leurs regards qui s’échangent, il y a de la beauté.
Elle l’accompagne et l’aide à lâcher le ressort.
Emue et heureuse à la fois, elle essuie une larme.
Une vie s’en va, et ce ne sera pas la dernière.
Mais au plus profond d’elle-même, bien loin du vacarme,
Elle sait qu’elle ne regrettera jamais d’être une infirmière.
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Syllabes Hyphénique: Samarah
a=vec=sa=tail=le=moyen=ne=son=air=de=flot=ter=sur=leau 14sa=peau=ma=te=et=ses=y=eux=de=cou=leur=au=ber=gine 14
ses=che=veux=soi=gnés=de=tein=te=ai=le=de=cor=beau 13
dif=fi=ci=le=de=dé=ter=mi=ner=son=o=ri=gi=ne 14
sa=ma=rah=nen=a=cu=re=et=pas=se=sa=jour=née 13
tou=jours=le=sou=ri=re=aux=lè=vres=ja=mais=pres=sée 13
el=le=ai=me=ce=quel=le=fait=et=tient=dès=le=le=ver 14
a=gar=der=lœil=vif=et=le=vi=sa=ge=droit=le=vé 13
al=lon=gé=sur=son=lit=a=près=u=ne=nuit=a=gi=tée 14
après=quel=ques=brefs=mo=ments=d=hé=si=ta=ti=on 12
au=gus=tin=par=vient=à=domp=ter=sa=fé=bri=li=té 13
et=ac=cep=te=dê=tre=en=des=sous=de=la=per=fec=tion 14
lui=si=fi=er=a=de=plus=en=plus=de=mal=à=par=ler 14
sa=gran=de=chan=ce=cest=quil=peut=en=co=re=bien=pen=ser 14
ses=sou=ve=nirs=ses=tom=pent=ils=sont=flous=et=voi=lés 13
et=il=sait=dé=sor=mais=quil=ni=ra=plus=dan=ser 12
par=fois=en=tre=deux=soins=au=cours=de=sa=du=re=jour=née 14
une=bouf=fée=de=nos=tal=gie=len=va=hit=sans=pré=ve=nir 14
a=vec=un=lé=ger=pin=ce=ment=de=dou=leur=per=lé 13
le=cœur=de=sa=ma=rah=a=mal=à=ses=sou=ve=nirs 13
son=vil=la=ge=na=tal=au=réo=lé=de=cou=leur=brun=ocre 14
où=sa=mère=ma=li=ka=lui=a=don=né=la=vie=tout=là=bas 15
le=séis=me=de=sep=tem=bre=a=fait=du=beau=un=mé=diocre 14
cé=tait=le=fu=nes=te=des=tin=di=min=ta=la 12
il=na=pas=re=non=cé=il=se=bat=et=veut=du=rer 13
pro=fi=ter=en=co=re=des=pe=tits=mo=ments=de=bon=heur 14
com=me=tous=ces=ma=tins=où=el=le=vient=le=sa=luer 13
et=illu=mi=ner=son=pré=sent=com=me=é=clot=u=ne=fleur 14
ces=ins=tants=où=ils=par=lent=de=la=vie=quo=ti=dien=ne 14
il=les=sa=vou=re=et=il=y=pui=se=de=l=éner=gie 14
les=ges=tes=doux=de=ses=mains=de=ma=gi=cien=ne 12
ra=vi=vent=la=flam=me=de=sa=va=cillan=te=bou=gie 13
a=la=pau=se=sou=vent=sa=ma=rah=res=te=à=lé=cart 14
non=dé=si=reu=se=de=se=mê=ler=aux=ba=var=da=ges 14
qui=par=lent=ex=clu=sive=ment=des=quar=res=ou=de=ren=carts 14
el=le=se=res=sour=ce=a=vec=le=ciel=et=ses=nua=ges 14
mais=le=temps=fi=le=un=ap=pel=il=faut=y=al=ler 13
dun=ges=te=pré=cis=elle=ra=jus=te=ses=lon=gues=tres=ses 14
un=peu=ca=chées=em=pri=son=nées=dans=son=bon=net 12
et=ré=a=git=mais=tou=jours=en=dou=ceur=loin=du=stress 13
au=gus=tin=a=bien=com=pris=main=te=nant=cest=la=fin 13
il=nest=pas=an=gois=sé=sy=é=tait=pré=pa=ré 12
il=vou=drait=jus=te=la=re=voir=une=der=nière=fois=ce=ma=tin 15
il=vou=lait=pas=dé=ran=ger=mais=sur=le=bou=ton=il=a=pous=sé 16
ellea=fran=chi=la=porte=et=a=tout=de=suite=ré=a=li=sé 14
dou=ce=ment=el=le=lui=prend=la=main=et=la=ser=re=fort 14
dans=leurs=re=gards=qui=sé=changent=il=y=a=de=la=beau=té 14
el=le=lac=com=pa=gne=et=laide=à=lâ=cher=le=res=sort 14
emue=et=heu=reuse=à=la=fois=el=le=es=suie=u=ne=larme 14
u=ne=vie=sen=va=et=ce=ne=se=ra=pas=la=der=nière 14
mais=au=plus=pro=fond=del=le=même=bien=loin=du=va=car=me 14
elle=sait=quel=le=ne=re=grette=ra=ja=mais=dê=treunein=fir=mière 14
Phonétique : Samarah
avεk sa tajə mwajεnə, sɔ̃n- εʁ də flɔte syʁ lo,sa po matə e sεz- iø də kulœʁ obεʁʒinə,
sε ʃəvø swaɲe də tɛ̃tə « εlə də kɔʁbo »
difisilə də detεʁmine sɔ̃n- ɔʁiʒinə.
samaʁa nɑ̃n- a kyʁə e pasə sa ʒuʁne
tuʒuʁ lə suʁiʁə o lεvʁə, ʒamε pʁese.
εllə εmə sə kεllə fε e tjɛ̃ dε lə ləve
a ɡaʁde lœj vif e lə vizaʒə dʁwa ləve.
alɔ̃ʒe syʁ sɔ̃ li, apʁεz- ynə nɥi aʒite,
apʁε kεlk bʁεf mɔmɑ̃ dezitasjɔ̃,
oɡystɛ̃ paʁvjɛ̃ a dɔ̃pte sa febʁilite
e aksεptə dεtʁə ɑ̃ dəsu də la pεʁfεksjɔ̃.
lɥi, si fje, a də plysz- ɑ̃ plys də mal a paʁle.
sa ɡʁɑ̃də ʃɑ̃sə, sε kil pø ɑ̃kɔʁə bjɛ̃ pɑ̃se.
sε suvəniʁ sεstɔ̃pe : il sɔ̃ flusz- e vwale
e il sε dezɔʁmε kil niʁa plys dɑ̃se.
paʁfwa, ɑ̃tʁə dø swɛ̃, o kuʁ də sa dyʁə ʒuʁne,
ynə bufe də nɔstalʒi lɑ̃vai sɑ̃ pʁevəniʁ
avεk œ̃ leʒe pɛ̃səmɑ̃ də dulœʁ pεʁle :
lə kœʁ də samaʁa a mal a sε suvəniʁ.
sɔ̃ vilaʒə natal oʁeɔle də kulœʁ bʁœ̃ ɔkʁə,
u sa mεʁə malika lɥi a dɔne la vi, tu la ba,
lə seismə də sεptɑ̃bʁə a fε dy bo œ̃ medjɔkʁə.
setε lə fynεstə dεstɛ̃ dimɛ̃ tala.
il na pa ʁənɔ̃se. il sə ba e vø dyʁe.
pʁɔfite ɑ̃kɔʁə dε pəti mɔmɑ̃ də bɔnœʁ,
kɔmə tus sε matɛ̃z- u εllə vjɛ̃ lə salɥe
e ilymine sɔ̃ pʁezɑ̃ kɔmə eklo ynə flœʁ.
sεz- ɛ̃stɑ̃z- u il paʁle də la vi kɔtidjεnə,
il lε savuʁə e il i pɥizə də lenεʁʒi.
lε ʒεstə du də sε mɛ̃ də maʒisjεnə
ʁavive la flamə də sa vasijɑ̃tə buʒi.
a la pozə, suvɑ̃ samaʁa ʁεstə a lekaʁ,
nɔ̃ deziʁøzə də sə mεle o bavaʁdaʒə
ki paʁle εksklyzivəmɑ̃ dεskaʁəz- u də ʁɑ̃kaʁ.
εllə sə ʁəsuʁsə avεk lə sjεl e sε nɥaʒə.
mε lə tɑ̃ filə. œ̃n- apεl. il fo i ale.
dœ̃ ʒεstə pʁesiz- εllə ʁaʒystə sε lɔ̃ɡ tʁesə,
œ̃ pø kaʃe, ɑ̃pʁizɔne dɑ̃ sɔ̃ bɔnε.
e ʁeaʒi, mε tuʒuʁz- ɑ̃ dusœʁ, lwɛ̃ dy stʁεs.
oɡystɛ̃ a bjɛ̃ kɔ̃pʁi : mɛ̃tənɑ̃ sε la fɛ̃.
il nε pa ɑ̃ɡwase, si etε pʁepaʁe.
il vudʁε ʒystə la ʁəvwaʁ ynə dεʁnjεʁə fwa sə matɛ̃.
il vulε pa deʁɑ̃ʒe, mε syʁ lə butɔ̃ il a puse.
εllə a fʁɑ̃ʃi la pɔʁtə e a tu də sɥitə ʁealize.
dusəmɑ̃ εllə lɥi pʁɑ̃ la mɛ̃ e la seʁə fɔʁ.
dɑ̃ lœʁ ʁəɡaʁd ki seʃɑ̃ʒe, il i a də la bote.
εllə lakɔ̃paɲə e lεdə a laʃe lə ʁəsɔʁ.
əmɥ e œʁøzə a la fwa, εllə esɥi ynə laʁmə.
ynə vi sɑ̃ va, e sə nə səʁa pa la dεʁnjεʁə.
mεz- o plys pʁɔfɔ̃ dεllə mεmə, bjɛ̃ lwɛ̃ dy vakaʁmə,
εllə sε kεllə nə ʁəɡʁεtəʁa ʒamε dεtʁə ynə ɛ̃fiʁmjεʁə.
Syllabes Phonétique : Samarah
a=vεk=sa=ta=jə=mwa=jεnə=sɔ̃=nεʁ=də=flɔ=te=syʁ=lo 14sa=po=ma=tə=e=sε=zi=ø=də=ku=lœʁ=o=bεʁ=ʒinə 14
sε=ʃə=vø=swa=ɲe=də=tɛ̃=tə=ε=lə=də=kɔʁ=bo 13
di=fi=si=lə=də=de=tεʁ=mi=ne=sɔ̃=nɔ=ʁi=ʒi=nə 14
sa=ma=ʁa=nɑ̃=na=ky=ʁə=e=pa=sə=sa=ʒuʁ=ne 13
tu=ʒuʁ=lə=su=ʁi=ʁə=o=lε=vʁə=ʒa=mε=pʁe=se 13
εl=lə=ε=mə=sə=kεl=lə=fε=e=tjɛ̃=dε=lə=lə=ve 14
a=ɡaʁ=de=lœj=vif=e=lə=vi=za=ʒə=dʁwa=lə=ve 13
a=lɔ̃=ʒe=syʁ=sɔ̃=li=a=pʁε=zy=nə=nɥi=a=ʒi=te 14
a=pʁε=kεl=kə=bʁεf=mɔ=mɑ̃=de=zi=ta=s=j=ɔ̃ 13
o=ɡys=tɛ̃=paʁ=vj=ɛ̃=a=dɔ̃p=te=sa=fe=bʁi=li=te 14
e=ak=sεp=tə=dε=tʁə=ɑ̃=də=su=də=la=pεʁ=fεk=sjɔ̃ 14
lɥi=si=fj=e=a=də=plys=zɑ̃=plys=də=mal=a=paʁ=le 14
sa=ɡʁɑ̃=də=ʃɑ̃=sə=sε=kil=pø=ɑ̃=kɔ=ʁə=bjɛ̃=pɑ̃=se 14
sε=su=və=niʁ=sεs=tɔ̃=pe=il=sɔ̃=flus=ze=vwa=le 13
e=il=sε=de=zɔʁ=mε=kil=ni=ʁa=plys=dɑ̃=se 12
paʁ=fwa=ɑ̃=tʁə=dø=swɛ̃=o=kuʁ=də=sa=dy=ʁə=ʒuʁ=ne 14
ynə=bu=fe=də=nɔs=tal=ʒi=lɑ̃=va=i=sɑ̃=pʁe=və=niʁ 14
a=vεk=œ̃=le=ʒe=pɛ̃=sə=mɑ̃=də=du=lœ=ʁə=pεʁ=le 14
lə=kœ=ʁə=də=sa=ma=ʁa=a=mal=a=sε=su=və=niʁ 14
sɔ̃=vi=laʒə=na=tal=o=ʁe=ɔ=le=də=ku=lœʁ=bʁœ̃=ɔkʁə 14
u=samεʁə=ma=li=ka=lɥi=a=dɔ=ne=la=vi=tu=la=ba 14
lə=se=is=mə=də=sεp=tɑ̃bʁə=a=fε=dy=bo=œ̃=me=djɔkʁə 14
se=tε=lə=fy=nεs=tə=dεs=tɛ̃=di=mɛ̃=ta=la 12
il=na=pa=ʁə=nɔ̃=se=il=sə=ba=e=vø=dy=ʁe 13
pʁɔ=fi=te=ɑ̃=kɔ=ʁə=dε=pə=ti=mɔ=mɑ̃=də=bɔ=nœʁ 14
kɔ=mə=tus=sε=ma=tɛ̃=zu=εl=lə=vj=ɛ̃=lə=sal=ɥe 14
e=i=ly=mi=ne=sɔ̃=pʁe=zɑ̃=kɔmə=e=klo=y=nə=flœʁ 14
sε=zɛ̃s=tɑ̃=zu=il=paʁ=le=də=la=vi=kɔ=ti=djε=nə 14
il=lε=sa=vu=ʁə=e=il=i=pɥi=zə=də=le=nεʁ=ʒi 14
lε=ʒεs=tə=du=də=sε=mɛ̃=də=ma=ʒi=sj=ε=nə 13
ʁa=vi=ve=la=fla=mə=də=sa=va=si=jɑ̃=tə=bu=ʒi 14
a=la=po=zə=su=vɑ̃=sa=ma=ʁa=ʁεs=tə=a=le=kaʁ 14
nɔ̃=de=zi=ʁø=zə=də=sə=mε=le=o=ba=vaʁ=da=ʒə 14
ki=paʁ=le=εk=skl=zivə=mɑ̃=dεs=ka=ʁə=zu=də=ʁɑ̃=kaʁ 14
εl=lə=sə=ʁə=suʁ=sə=a=vεk=lə=sjεl=e=sε=nɥ=aʒə 14
mε=lə=tɑ̃=fi=lə=œ̃=na=pεl=il=fo=i=a=le 13
dœ̃=ʒεs=tə=pʁe=si=zεl=lə=ʁa=ʒys=tə=sε=lɔ̃ɡ=tʁe=sə 14
œ̃=pø=ka=ʃe=ɑ̃=pʁi=zɔ=ne=dɑ̃=sɔ̃=bɔ=nε 12
e=ʁe=a=ʒi=mε=tu=ʒuʁ=zɑ̃=du=sœ=ʁə=lwɛ̃=dy=stʁεs 14
o=ɡys=tɛ̃=a=bj=ɛ̃=kɔ̃=pʁi=mɛ̃=tə=nɑ̃=sε=la=fɛ̃ 14
il=nε=pa=ɑ̃=ɡwa=se=si=e=tε=pʁe=pa=ʁe 12
il=vu=dʁε=ʒys=tə=laʁə=vwaʁynə=dεʁ=njε=ʁə=fwa=sə=ma=tɛ̃ 14
il=vu=lε=pa=de=ʁɑ̃=ʒe=mε=syʁ=lə=bu=tɔ̃=il=a=puse 15
εlləa=fʁɑ̃=ʃi=lapɔʁtə=e=a=tu=də=sɥi=tə=ʁe=a=li=ze 14
du=sə=mɑ̃=εl=lə=lɥi=pʁɑ̃=la=mɛ̃=e=la=se=ʁə=fɔʁ 14
dɑ̃=lœʁ=ʁə=ɡaʁd=kise=ʃɑ̃=ʒe=il=i=a=də=la=bo=te 14
εl=lə=la=kɔ̃=paɲə=e=lε=də=a=la=ʃe=lə=ʁə=sɔʁ 14
əmɥ=e=œ=ʁøzə=a=la=fwa=εl=lə=es=ɥi=y=nə=laʁmə 14
y=nə=vi=sɑ̃=va=e=sə=nə=sə=ʁa=pa=la=dεʁ=njεʁə 14
mε=zo=plys=pʁɔ=fɔ̃=dεl=lə=mε=mə=bjɛ̃=lwɛ̃=dy=va=kaʁmə 14
εllə=sε=kεl=lə=nəʁə=ɡʁεtə=ʁa=ʒa=mε=dε=tʁəynə=ɛ̃=fiʁ=mjεʁə 14
Récompense
Commentaire Sur La Poesie
01/09/2024 13:53Anya
Une chute bien amenée dans ce poème plein d’empathie et de tendresse Merci pour ce bel écrit qui touche au coeur
Poème Mort
Du 01/09/2024 08:51
L'écrit contient 476 mots qui sont répartis dans 13 strophes. Toutes les strophes sont composés de 4 vers. Il est possible que le texte suive une forme de poésie classique.