Poème:Sombre Souvenir. (Duo)

Jamais regarder toujours ignorée
Elle ne pouvais continuer
Elle ne pouvais se suicider
Car de la mort, mon Dieu qu’elle étais efrayée
Elle décida de tout coupé
De se renfermer
En noir elle voyais tout, c’étais meme la seul couleur kelle prenait pour s’habillée

Elle croyais être devenu forte
Mais de l’intérieur elle étais deja morte
Ses parents ne lui parlais plus non pas qu’ils n’avaient plus de cœur
Mais ils en avais tellement peur et vous aussi vous auriez eu peur
À voir dans ses yeux cette imensse froideur
C’étais l’horreur

Cette petite fille qui étais autrefois tellement gênée
Pour le monde elle étais devenu lucifer incarnée
Plus personne n’ausait la regarder surtout pas la critiquer
De peur que sur le coup la foudre allait les foudroyé

Je vous ai parlée de comment le monde de dehors la voyait
Maintenant voyez comment elle, elle se sentait

Elle n’étais pas lucifer loin de la
Elle étais comme un bébé, tout ce qu’elle voulais cest quon la prenne dans nos bras
Mais personne ne se doutait de sa
Alors elle a commencé
Elle est tombé, elle commencais a se droguer
Mais même sa ne pouvais l’apaiser donc elle à arrêter
Aussi vie qu’elle avais commencée

Comme elle ne pouvais se tuer car avec sa peur elle étais paralizée
Elle a comencée doucement à se mutiler
Elle prenais la lame de rasoir de son père
Et lentement elle traverssait sa delicate chair
Plus c’étais profond
Plus c’étais bon, c’étais comme une satisfaction

Mais un jour elle ne pouvais plus suporter sa propre existence
Longtemps elle a réfléchie, elle étais comme entrée dans une transe
Elle penssais, plus rien de vaut la peine
Alors d’un coup sec elle s’ouvra les veines
Le sang coula, elle regardait
Mais en moin de 7seconde elle s’évanhouissait
Non, elle n’étais pas dans le coma mais décédée
C’étais le soir de cet affreux 25 février

A la mort qui lui faisait si peur
Elle à fini par rendre honneur
Et doucement elle s’en est allée
Sans que personne ne puisse l’arrêter
Et maintenant vous qui êtes ici
Vous qui ne l’avez pas compris
Vous vous dites quel horreur
Pourquoi tant de douleur