Prose:La Porte Dans Le Rêve Lucide

Je rêve lucidement une porte esseulée dans le noir mouvant
Une porte qui me subjugue par sa rareté
En ouvrant délibérément cette porte d’aspect ambiguë
Je tomba sur un monde mis prétendument en déshérence
Les arbres donnaient des fruits colorés
Je fus ébahit par ce paysage crépusculaire
Un moment de sérénité où les rossignols chantent avec ivresse les préludes de l’arrière saison
Sous un firmament azuré
Je fus libre et encagé perpétuellement dans la vénusté des arrières fleurs
La terre s’épanouit dans un horizon fleurit Et verdoyant
L’enivrement de mes sens fut à son paroxysme
Je gravissait les marches d’un escalier inconnue
Je fus simple
Je fus humain
Je continuais mes pas avec un plaisir ardent
J’explosait d’euphorie
J’oubliais tous ces environnements glauques qui me suffoquaient
Je continuais à marcher glorieusement avec de la brise qui effleure mes cheveux qui deviennent humectés de volupté et de plaisirs indéfectibles
Je raréfie ces moment pour qu’aucun être humain ne puisse sentir ce que je ressens
Cette rage qui m’emplît va mener mon être à un destin fatal
Et ces marches ne voulaient guerre finir je sentais une envie d’arrêter mais le plaisir m’emporta et je continua à marcher jusqu’au temps où. .