Poème:77718 - Sans Titre

Trahisson
Pourquoi fallait que sa m’arrive a moi ? ? ?
Me semble que javais pas besoin de tsa. . !
Elle a tellement rit de lui
Parfois je savais meme plus koi en faire. .
Elle qui étais ma meilleire amie et l’autre mon ami d’enfance
Elle se permetais gratuitement de rabaisser le gars que j’aimais
Elles en on dit des conneris. . mais la pire c bien le. . qui se resemble sassemble. .
Non mais c koi sa ? ? ? des amies ? ? ?
J’étais koi moi ? même pas capable de leur répondre ! . .
Je me suis éloigné d’elles mais tellement trop lentetement. .
Surtout que au début elle ne sentendais pas. . que ma meilleure amie
Ne voulais pas de l’autre
Voila qu’après elles sont toute les 2 a rire de moi et mon chum !
J’ai arreter de parler a la pire des 2. .
Mais j’aurais du savoir que l’autre aussi ne vallait rien…

Lui, qui a été plus brillant que moi. .
Savait leur répondre. . un peu plus…
J’me souvien quand il a dit qqc de très blessant a mon amie
J’étais un peu fru. . mais pk ? ? elle le méritais ben !
Elle lui a répondu des paroles très blessante pour lui. .
Mais que faire. . dans un sens il l’avait mériter
. . Elle s’est mêler entre nous. . elle n’aimais pas mon chum
Et lui non plus disais ne pas l’aimer
…
L’alcool trouver, les tentes monter
Ont étais pret pour le party

Dans la rue elle a pleurer
Me disant qu’elles n’avait pas le droi d’être attirer par lui. .
Que c’étais mon chum. .
Comprenant rien a tous sa j’essayais quand meme de la consoler. .
Puis mon chum et son cousin se sont battu
Pkoi ? je ne sai pas

J’suis aller me promener
Laissant mon chum et mon amie ensemble
Le cou fatal a été donner

Ignorant tout ¸
Me rendant compte de rien
Aveugle a cette trahison qui se déroulais sous mes yeux,
Je me suis coucher aupres de celui que j’admirais tant

Ce soir la, pour la premiere fois ;
La glassiere de bierre na pas été vider
Le matin ne sai pas pointer longtemp que nous étions déja
Ds les bras de merphé
Personne ne sait dit le bonne nuit. . qui dure tjrs des heure
Mon amoureux ne ma meme pas pris ds ses bras. .
Meme pas de petit bisou sur ma joue. .
Rien de tous sa
Et moi j’étais la impuisante a tout sa
Ne voiyant rien a se jeux malsin. .
Les 2 etre qui comptait le plus pour moi venait
De tout détruire se qu’ils y avaient entre nous. .

TTTiTTe FFleUUrr !