Poème:Si L’on Peut Dire Une Mère

Pendant longtemps, trop longtemps laisser de coté
Tu as était ignoré, trahi, abandonner et oublié
Elle à passer ces dix-huit années à se moqué
Elle n’a jamais était là lorsque ton cœur crié

Pourtant c’était ta mère, celle qui devait penser tes blessures
Une femme qui devait t’aider à reconstruire ton armure
Mais elle t’a laissé, et n’a pas arrêter de t’insulter au fur et a mesure
Alors pourquoi et t’elle ta mère, elle ressemble à un mur ?

Aujourd’hui tu pleur car elle t’a encore blessé
Elle a passé sa journée à t’insulter à te traité
Même jusqu’à aller te dire que tu étais une prostituée
Sur toi elle à hurler des injures sans se rendre compte que tu pleuré

Pourtant c’était ta mère, celle que tu as connue depuis temps d’années
Celle qui t’a dit lorsque ta sœur est partie qu’elle ne t’avait jamais écouté
Tu as passé tant d’années à espéré qu’un jour ta mère t’aimerais
Aujourd’hui tu en à décidé ainsi, elle ne pourra plus jamais te briser

Et ta dit tant de chose, elle t’a fait tant de mal en te disant que tu étais une trainée
Qu’elle aurait souhaité que dans sa vie tu disparaisses, qu’elle voulait que tu ne sois pas née
Mais pourquoi passer sa vie à te rabaisser en te disant que tu étais une vache à lait ?
Qu’elle te disant que ta sœur était mieux qu’elle est qu’elle aurait un jour préféré

Que se sois-toi qui sois parti à la place de ta sœur
Que tu ne fait plus parti de sa vie ni de son cœur
Chaque soir en silence dans tes rêves tu pleures
Et tu te dis que se qu’elle veut c’est que tu meurs

Aujourd’hui pour toi cette mère si on peu l’appeler comme cela
Ne feras plus jamais partit de ta vie se jour là
Car dans un coin très sombre de ton cœur tu l’emprisonneras
Pour que jamais elle ne vienne dire qu’elle que chose qui te feras souffrir devant toi