Poème:Cent Soixante Treize

Je te porterai, dans mes bras à l’autel
Dans l’étoffe des reines, ma belle,
Douce comme, la soie des colombes

Ecartons nos blessures, nos souvenirs
Se les avouer, sans se trahir
Pour que les griffes, n’écorchent nos rêves

Puis vaincre le passé, vide et futile
En passant à ton doigt, l’anneau brodé,
L’or blanc, éclat de mon astre

Et tes yeux m’offrent une trêve
Où je cueille ton âme,
Sur l’onde naissante
De nos amours sincères

Puis naît en nous l’ultime note
Où nos corps, dansent les ombres
Pour chérir un à un, les contours, de tes
Cent soixante treize, centimètres d’amours