Poème:Une Gifle A Détruit Sa Vie. (A Ma Soeur) .

Ah il était bien là ton bonheur !
Mais celui ci ne rimera t’ il pas avec douleur ?
Il a été si éphémère…
Bonheur, peut on l’appeler ainsi ?
Ca ne serait pas correct envers toi et tes enfants.
Tes années passent,
Ta douleur reste.
Mais qui s’est permis de te faire cette mauvaise farce ?
Ce n’est pas moi, je te le jure,
Mais plutôt cet amour impur !
Il t’apparu si fort, mais bien à tord.
Que de mensonges dans cette union.
A recevoir des coups sans raison.
A présent il est où ce parfait amour,
Avec son regard de velours,
Qui te disait « je t’aime ».
Que d’hypocrisie dans cette phrase !
On la lance à tout va, sans se soucier des conséquences.
Il est parti et vous a désunis,
Pour ne laissser sur son chemin,
Qu’une passion remplie de haine !
A présent rend lui bien ce qu’il t’a fait :
Ses coups, ses injures, et son dégoût pour ta vie.
Oh, et puis non il vaut mieux l’oublier,
Le mettre de côté, il ne mérite pas que l’on s’attarde trop !
Mais qui sont ces hommes, ces lâches,
Qui frappent avant même de parler.
Sans que l’on puisse s’expliquer.
Calmez votre ardeur,
Devant vos gifles, vos coups.
Devant cruellement notre PEUR !
Une gifle ce n’est « rien »,
Quand on la reçois une fois.
Une paire de « baffes » quand elles volent en éclat,
C’est grave cette fois !
Cette gifle, ces baffes,
Vont se transformer en enfer,
Si vous laissez faire.
Ce sera votre quotidien pour un petit rien.
Ne la aissez pas s’installer,
L’espace d’une journée ;
Car elle grandit à pas feutrés,
Cette dureté, cette nullité !
Soyez pleine de courage,
Ecartez les barreaux de votre cage, et partez…
Ma frangine tu as eu du courage devant cet enfer là,
Tu as retrouvé un nouveau bonheur et en même temps, moi, ta sœur !