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Poème:Mutilation

Le Poème

C’étais un soir d’hiver, le 18 janvier pour préciser. Je revenais de la fête d’une de mes amies. C’étais environ à 10 minutes de marche. Je n’aimais pas vraiment me promener l’hiver seule le soir car j’ai entendu beaucoup d’histoire d’épouvantes qui arrivaient dans de tels cas. La rue était déserte, jusqu’à ce camion qui s’arrêta à côté de moi. J’accélérai le pas mais un homme vêtu de noir débarqua de son véhicule et s’approcha de moi. Pendant qu’il faisait diversion, un homme encore plus trapu et grand que le premier arriva en arrière de moi, sans que je m’en aperçu. Il m’empoigna sans douceur et mis sa main rugueuse sur ma bouche pour ne pas que je cris.
Ils m’emmenèrent dans leur camions et me mirent un bâillon. Ils m’ordonnèrent de me déshabiller sur le champ. Je refusai, bien entendu. J’allais tout de même pas obéir à ces horribles bêtes à la recherches de corps nus. Voyant mon refus, le plus grand des deux, qui devait faire environ 6pi3, se rua sur moi. Il m’arracha le linge de sur le dos et je me retrouvai complètement dénudée devant ces pervers qui ne pensaient qu’au sexe. Ce qui m’étonna c’est qu’ils ne voulaient pas m’abuser sexuellement mais simplement me regarder me torturer, pour éventuellement mourir.
Ils me donnèrent un scalpel, des allumettes, des pinces et un genre de tournevis pointu comme une dent de requin. Pour commencer ils m’obligèrent à trouer mes bras avec le tournevis. Leur yeux s’agrandissaient à chaque cris de douleur que je j’essayait d’étouffer. Lorsque j’eus les bras bien en sang, ils me dirent de continuer la même chose sur mes jambes mais en ajoutant les allumettes, pour me brûler. Lorsque je mis le feu sur mes jambes, j’entendis ma peau fondre sous la chaleur, un son que je n’oublierai jamais. C’était horrible, je sentais ma peau se soulever et se boursoufler a cause du contact du feu.
Ils m’oublièrent à prendre la paire de pince et m’arracher les ongles de mes orteils. Le sang qui en jaillit m’écœura profondément, peut-être aussi que c’étais la senteur qui me fit vomir, je ne le saurai jamais. Le pire reste encore à venir. Je croyais mourir, ce que je n’aurais point refusé. Seulement ces deux sadiques n’en avaient pas finis avec moi. Je compris qu’ils n’espéraient pas que je meurs mais simplement me voir souffrir pour rester marqué à jamais. Le pire, ce que je n’aurais jamais osé imaginer, me restait à venir.
La pire des souffrances m’était réserver pour finir. Ils me dirent de prendre le scalpel, et de me mutiler les parties génitales ! Bien sur que je ne m’y suis pas exécuter tout de suite car j’étais trop horrifié pour trouver le sens de cet ordre. Un des deux hommes, je ne puis dire lequel car j’étais dans un état disons très pittoresque, me cria d’une voix si inhumaine et perverse « Hey bébé, si tu te dépêche pas je vais t’aider moi ! ! » J’avais tellement honte de tout ce qui venait de ce passer que je me dis que le faire n’aurait pas d’impact psychologique sur ma personne mais je me trompai. Je crois que c’est un des pire supplices qu’il ne peut y avoir mutiler ses propres organes. Je n’avais pas le choix donc je m’exécutai, je pris le scalpel et commençai cet œuvre aussi dégueulasse qu’elle peut paraître.
Ce fut une douleur indescriptible, j’en tremble en écrivant ces quelques lignes tellement l’horreur de ce souvenir me terrifie. Le sang coulait d’entre mes jambes, si on pouvait encore appeler ça des jambes. Je me sentie étourdie et je crois que je m’évanouis car lorsque je me réveillai, j’étais dans un lit d’hôpital. Je ne sais pas ce qui m’est arrivé et personne ne le sait non plus, ça reste un mystère que seuls mes agresseurs connaissent. Cela ne fait seulement qu’un ans, même pas encore et j’aurais réellement préféré mourir que de survivre, mais juste pour faire chier ces connards, je reste en vie. Je ne veux plus accomplir leur désirs, comme qu’ils m’ont obligé à faire l’hiver passé. En me suicidant, j’accomplirais leur dernière volonté. Cependant lorsque je me regarde dans le mirroir ce n’est plus moi que je vois, je vois juste une terrible vengeance qui fait briller les yeux d’un corps si déformé
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Poeme de Miss Belzy

Poète Miss Belzy

Miss Belzy a publié sur le site 80 écrits. Miss Belzy est membre du site depuis l'année 2004.

Syllabation De L'Écrit

Syllabes Hyphénique: Mutilationcé=tais=un=soir=d=hi=ver=le=dix=hu=it=jan=vier=pour=pré=ci=ser=je=re=ve=nais=de=la=fê=te=du=ne=de=mes=a=mies=cé=tais=en=vi=ron=à=dix=mi=nu=tes=de=marche=je=nai=mais=pas=vrai=ment=me=pro=me=ner=l=hi=ver=seu=le=le=soir=car=jai=en=ten=du=beau=coup=d=his=toi=re=dé=pou=van=tes=qui=ar=ri=vaient=dans=de=tels=cas=la=rue=é=tait=dé=ser=te=jus=quà=ce=ca=mion=qui=sar=rê=ta=à=cô=té=de=moi=jac=cé=lé=rai=le=pas=mais=un=hom=me=vê=tu=de=noir=dé=bar=qua=de=son=vé=hi=cu=le=et=sap=pro=cha=de=moi=pen=dant=quil=fai=sait=di=ver=sion=un=hom=me=en=co=re=plus=tra=pu=et=grand=que=le=pre=mier=ar=ri=va=en=ar=riè=re=de=moi=sans=que=je=men=a=per=çu=il=mem=poi=gna=sans=dou=ceur=et=mis=sa=main=ru=gueu=se=sur=ma=bou=che=pour=ne=pas=que=je=cris 196
ils=mem=me=nè=rent=dans=leur=ca=mi=ons=et=me=mi=rent=un=bâil=lon=ils=mor=don=nè=rent=de=me=dé=sha=biller=sur=le=champ=je=re=fu=sai=bien=en=ten=du=jal=lais=tout=de=mê=me=pas=o=béir=à=ces=hor=ri=bles=bê=tes=à=la=re=cher=ches=de=corps=nus=voy=ant=mon=re=fus=le=plus=grand=des=deux=qui=de=vait=fai=re=en=vi=ron=six=pi=trois=se=rua=sur=moi=il=mar=ra=cha=le=lin=ge=de=sur=le=dos=et=je=me=re=trou=vai=com=plè=te=ment=dé=nu=dée=de=vant=ces=per=vers=qui=ne=pen=saient=quau=sexe=ce=qui=mé=ton=na=cest=quils=ne=vou=laient=pas=ma=bu=ser=sexuel=le=ment=mais=sim=ple=ment=me=re=gar=der=me=tor=tu=rer=pour=é=ven=tuel=le=ment=mou=rir 159
ils=me=don=nè=rent=un=s=cal=pel=des=al=lu=met=tes=des=pin=ces=et=un=gen=re=de=tour=ne=vis=poin=tu=com=me=u=ne=dent=de=re=quin=pour=com=men=cer=ils=mo=bli=gè=rent=à=trou=er=mes=bras=a=vec=le=tour=ne=vis=leur=y=eux=sa=gran=dis=saient=à=cha=que=cris=de=dou=leur=que=je=jes=sayait=dé=touf=fer=lors=que=jeus=les=bras=bien=en=sang=ils=me=di=rent=de=con=ti=nuer=la=mê=me=cho=se=sur=mes=jam=bes=mais=en=a=jou=tant=les=al=lu=met=tes=pour=me=brû=ler=lors=que=je=mis=le=feu=sur=mes=jam=bes=jen=ten=dis=ma=peau=fon=dre=sous=la=cha=leur=un=son=que=je=nou=blie=rai=ja=mais=cé=tait=hor=ri=ble=je=sen=tais=ma=peau=se=sou=le=ver=et=se=bour=sou=fler=a=cau=se=du=con=tact=du=feu 172
ils=mou=bli=è=rent=à=pren=dre=la=pai=re=de=pin=ce=et=mar=ra=cher=les=on=gles=de=mes=or=teils=le=sang=qui=en=jail=lit=mé=cœu=ra=pro=fon=dé=ment=peut=tê=tre=aus=si=que=cé=tais=la=sen=teur=qui=me=fit=vo=mir=je=ne=le=sau=rai=ja=mais=le=pi=re=res=te=en=co=re=à=ve=nir=je=cro=yais=mou=rir=ce=que=je=nau=rais=point=re=fu=sé=seu=le=ment=ces=deux=sa=di=ques=nen=a=vaient=pas=fi=nis=a=vec=moi=je=com=pris=quils=nes=pé=raient=pas=que=je=meurs=mais=sim=ple=ment=me=voir=souf=frir=pour=res=ter=mar=qué=à=ja=mais=le=pi=re=ce=que=je=nau=rais=ja=mais=o=sé=i=ma=gi=ner=me=res=tait=à=ve=nir 152
la=pire=des=souf=fran=ces=mé=tait=ré=ser=ver=pour=fi=nir=ils=me=di=rent=de=pren=dre=le=s=cal=pel=et=de=me=mu=ti=ler=les=par=ties=gé=ni=ta=les=bien=sur=que=je=ne=my=suis=pas=exé=cu=ter=tout=de=sui=te=car=jé=tais=trop=hor=ri=fié=pour=trou=ver=le=sens=de=cet=ordre=un=des=deux=hom=mes=je=ne=puis=di=re=le=quel=car=jé=tais=dans=un=é=tat=di=sons=très=pit=to=res=que=me=cria=du=ne=voix=si=in=hu=mai=neet=per=ver=se=hey=bé=bé=si=tu=te=dé=pê=che=pas=je=vais=tai=der=moi=ja=vais=tel=le=ment=hon=te=de=tout=ce=qui=ve=nait=de=ce=pas=ser=que=je=me=dis=que=le=fai=re=nau=rait=pas=dim=pact=psy=cho=lo=gi=que=sur=ma=per=son=ne=mais=je=me=trom=pai=je=crois=que=cest=un=des=pi=re=sup=pli=ces=quil=ne=peut=y=a=voir=mu=ti=ler=ses=pro=pres=or=ganes=je=na=vais=pas=le=choix=donc=je=mexé=cu=tai=je=pris=le=s=cal=pel=et=com=men=çai=cet=œu=vre=aus=si=dé=gueu=las=se=quel=le=peut=pa=raître 227
ce=fut=une=dou=leur=in=des=crip=ti=ble=jen=trem=bleen=é=cri=vant=ces=quel=ques=li=gnes=tel=le=ment=lhor=reur=de=ce=sou=ve=nir=me=ter=ri=fie=le=sang=cou=lait=den=tre=mes=jam=bes=si=on=pou=vait=en=co=re=ap=pe=ler=ça=des=jambes=je=me=sen=tie=é=tour=die=et=je=crois=que=je=mé=va=nouis=car=lors=que=je=me=ré=veillai=jé=tais=dans=un=lit=d=hô=pi=tal=je=ne=sais=pas=ce=qui=mest=ar=ri=vé=et=per=son=ne=ne=le=sait=non=plus=ça=res=te=un=mys=tè=re=que=seuls=mes=a=gres=seurs=con=naissent=ce=la=ne=fait=seu=le=ment=quun=ans=mê=me=pas=en=co=re=et=jau=rais=réel=le=ment=pré=fé=ré=mou=rir=que=de=sur=vi=vre=mais=jus=te=pour=fai=re=chier=ces=con=nards=je=res=te=en=vie=je=ne=veux=plus=ac=com=plir=leur=dé=sirs=com=me=quils=mont=o=bli=gé=à=fai=re=l=hi=ver=pas=sé=en=me=sui=ci=dant=jac=com=pli=rais=leur=der=niè=re=vo=lon=té=ce=pen=dant=lors=que=je=me=re=gar=de=dans=le=mir=roir=ce=nest=plus=moi=que=je=vois=je=vois=jus=te=u=ne=ter=ri=ble=ven=gean=ce=qui=fait=briller=les=yeux=dun=corps=si=dé=for=mé 253
Phonétique : Mutilationsetεz- œ̃ swaʁ divεʁ, lə diz- ɥi ʒɑ̃vje puʁ pʁesize. ʒə ʁəvənε də la fεtə dynə də mεz- ami. setεz- ɑ̃viʁɔ̃ a di- minytə də maʁʃə. ʒə nεmε pa vʁεmɑ̃ mə pʁɔməne livεʁ sələ lə swaʁ kaʁ ʒε ɑ̃tɑ̃dy boku distwaʁə depuvɑ̃tə ki aʁivε dɑ̃ də tεl ka. la ʁy etε dezεʁtə, ʒyska sə kamjɔ̃ ki saʁεta a kote də mwa. ʒakseleʁε lə pa mεz- œ̃n- ɔmə vεty də nwaʁ debaʁka də sɔ̃ veikylə e sapʁoʃa də mwa. pɑ̃dɑ̃ kil fəzε divεʁsjɔ̃, œ̃n- ɔmə ɑ̃kɔʁə plys tʁapy e ɡʁɑ̃ kə lə pʁəmje aʁiva ɑ̃n- aʁjεʁə də mwa, sɑ̃ kə ʒə mɑ̃n- apεʁsy. il mɑ̃pwaɲa sɑ̃ dusœʁ e mi sa mɛ̃ ʁyɡøzə syʁ ma buʃə puʁ nə pa kə ʒə kʁi.
il mamənεʁe dɑ̃ lœʁ kamjɔ̃z- e mə miʁe œ̃ bajɔ̃. il mɔʁdɔnεʁe də mə dezabije syʁ lə ʃɑ̃. ʒə ʁəfyzε, bjɛ̃ ɑ̃tɑ̃dy. ʒalε tu də mεmə pa ɔbeiʁ a sεz- ɔʁiblə bεtəz- a la ʁəʃεʁʃə də kɔʁ nys. vwajɑ̃ mɔ̃ ʁəfy, lə plys ɡʁɑ̃ dε dø, ki dəvε fεʁə ɑ̃viʁɔ̃ si- pi tʁwa, sə ʁɥa syʁ mwa. il maʁaʃa lə lɛ̃ʒə də syʁ lə doz- e ʒə mə ʁətʁuvε kɔ̃plεtəmɑ̃ denyde dəvɑ̃ sε pεʁve ki nə pɑ̃sε ko sεksə. sə ki metɔna sε kil nə vulε pa mabyze sεksɥεllmɑ̃ mε sɛ̃pləmɑ̃ mə ʁəɡaʁde mə tɔʁtyʁe, puʁ evɑ̃tɥεllmɑ̃ muʁiʁ.
il mə dɔnεʁe œ̃ skalpεl, dεz- alymεtə, dε pɛ̃səz- e œ̃ ʒɑ̃ʁə də tuʁnəvi pwɛ̃ty kɔmə ynə dɑ̃ də ʁəkɛ̃. puʁ kɔmɑ̃se il mɔbliʒεʁe a tʁue mε bʁaz- avεk lə tuʁnəvi. lœʁ iø saɡʁɑ̃disε a ʃakə kʁi də dulœʁ kə ʒə ʒesεjε detufe. lɔʁskə ʒy lε bʁa bjɛ̃ ɑ̃ sɑ̃, il mə diʁe də kɔ̃tinɥe la mεmə ʃozə syʁ mε ʒɑ̃bə mεz- ɑ̃n- aʒutɑ̃ lεz- alymεtə, puʁ mə bʁyle. lɔʁskə ʒə mi lə fø syʁ mε ʒɑ̃bə, ʒɑ̃tɑ̃di ma po fɔ̃dʁə su la ʃalœʁ, œ̃ sɔ̃ kə ʒə nubljəʁε ʒamε. setε ɔʁiblə, ʒə sɑ̃tε ma po sə suləve e sə buʁsufle a kozə dy kɔ̃takt dy fø.
il mubljεʁe a pʁɑ̃dʁə la pεʁə də pɛ̃sə e maʁaʃe lεz- ɔ̃ɡlə də mεz- ɔʁtεj. lə sɑ̃ ki ɑ̃ ʒaji mekeyʁa pʁɔfɔ̃demɑ̃, pø tεtʁə osi kə setε la sɑ̃tœʁ ki mə fi vɔmiʁ, ʒə nə lə soʁε ʒamε. lə piʁə ʁεstə ɑ̃kɔʁə a vəniʁ. ʒə kʁwajε muʁiʁ, sə kə ʒə noʁε pwɛ̃ ʁəfyze. sələmɑ̃ sε dø sadik nɑ̃n- avε pa finiz- avεk mwa. ʒə kɔ̃pʁi kil nεspeʁε pa kə ʒə mœʁ mε sɛ̃pləmɑ̃ mə vwaʁ sufʁiʁ puʁ ʁεste maʁke a ʒamε. lə piʁə, sə kə ʒə noʁε ʒamεz- oze imaʒine, mə ʁεstε a vəniʁ.
la piʁə dε sufʁɑ̃sə metε ʁezεʁve puʁ finiʁ. il mə diʁe də pʁɑ̃dʁə lə skalpεl, e də mə mytile lε paʁti ʒenitalə ! bjɛ̃ syʁ kə ʒə nə mi sɥi pa εɡzekyte tu də sɥitə kaʁ ʒetε tʁo ɔʁifje puʁ tʁuve lə sɑ̃s də sεt ɔʁdʁə. œ̃ dε dø ɔmə, ʒə nə pɥi diʁə ləkεl kaʁ ʒetε dɑ̃z- œ̃n- eta dizɔ̃ tʁε pitɔʁεskə, mə kʁja dynə vwa si inymεnə e pεʁvεʁsə « e bebe, si ty tə depεʃə pa ʒə vε tεde mwa ! ! » ʒavε tεllmɑ̃ ɔ̃tə də tu sə ki vənε də sə pase kə ʒə mə di kə lə fεʁə noʁε pa dɛ̃pakt psikɔlɔʒikə syʁ ma pεʁsɔnə mε ʒə mə tʁɔ̃pε. ʒə kʁwa kə sεt- œ̃ dε piʁə syplisə kil nə pø i avwaʁ mytile sε pʁɔpʁəz- ɔʁɡanə. ʒə navε pa lə ʃwa dɔ̃k ʒə mεɡzekytε, ʒə pʁi lə skalpεl e kɔmɑ̃sε sεt œvʁə osi deɡəlasə kεllə pø paʁεtʁə.
sə fy ynə dulœʁ ɛ̃dεskʁiptiblə, ʒɑ̃ tʁɑ̃blə ɑ̃n- ekʁivɑ̃ sε kεlk liɲə tεllmɑ̃ lɔʁœʁ də sə suvəniʁ mə teʁifi. lə sɑ̃ kulε dɑ̃tʁə mε ʒɑ̃bə, si ɔ̃ puvε ɑ̃kɔʁə apəle sa dε ʒɑ̃bə. ʒə mə sɑ̃ti etuʁdi e ʒə kʁwa kə ʒə mevanui kaʁ lɔʁskə ʒə mə ʁevεjε, ʒetε dɑ̃z- œ̃ li dopital. ʒə nə sε pa sə ki mεt- aʁive e pεʁsɔnə nə lə sε nɔ̃ plys, sa ʁεstə œ̃ mistεʁə kə səl mεz- aɡʁesœʁ kɔnεse. səla nə fε sələmɑ̃ kœ̃n- ɑ̃, mεmə pa ɑ̃kɔʁə e ʒoʁε ʁeεllmɑ̃ pʁefeʁe muʁiʁ kə də syʁvivʁə, mε ʒystə puʁ fεʁə ʃje sε kɔnaʁd, ʒə ʁεstə ɑ̃ vi. ʒə nə vø plysz- akɔ̃pliʁ lœʁ deziʁ, kɔmə kil mɔ̃ ɔbliʒe a fεʁə livεʁ pase. ɑ̃ mə sɥisidɑ̃, ʒakɔ̃pliʁε lœʁ dεʁnjεʁə vɔlɔ̃te. səpɑ̃dɑ̃ lɔʁskə ʒə mə ʁəɡaʁdə dɑ̃ lə miʁwaʁ sə nε plys mwa kə ʒə vwa, ʒə vwa ʒystə ynə teʁiblə vɑ̃ʒɑ̃sə ki fε bʁije lεz- iø dœ̃ kɔʁ si defɔʁme
Syllabes Phonétique : Mutilationse=tε=zœ̃=swaʁ=di=vεʁ=lə=diz=ɥi=ʒɑ̃=vje=puʁ=pʁe=si=ze=ʒə=ʁə=və=nεdə=la=fε=tə=dy=nə=də=mε=za=mi=se=tε=zɑ̃=vi=ʁɔ̃=a=di=mi=ny=tə=də=maʁ=ʃə=ʒə=nε=mε=pa=vʁε=mɑ̃=mə=pʁɔ=mə=ne=li=vεʁ=sə=lə=lə=swaʁ=kaʁ=ʒε=ɑ̃=tɑ̃=dy=bo=ku=dis=twa=ʁə=de=pu=vɑ̃=tə=ki=a=ʁi=vε=dɑ̃=də=tεl=ka=la=ʁy=e=tε=de=zεʁ=tə=ʒys=ka=sə=ka=mjɔ̃=ki=sa=ʁε=ta=a=ko=te=də=mwa=ʒak=se=le=ʁε=lə=pa=mε=zœ̃=nɔ=mə=vε=ty=də=nwaʁ=de=baʁ=ka=də=sɔ̃=ve=i=ky=lə=e=sa=pʁo=ʃa=də=mwa=pɑ̃=dɑ̃=kil=fə=zε=di=vεʁ=sjɔ̃=œ̃=nɔ=mə=ɑ̃=kɔ=ʁə=plys=tʁa=py=e=ɡʁɑ̃=kə=lə=pʁə=mje=a=ʁi=va=ɑ̃=na=ʁjε=ʁə=də=mwa=sɑ̃=kə=ʒə=mɑ̃=na=pεʁ=sy=il=mɑ̃=pwa=ɲa=sɑ̃=du=sœʁ=e=mi=sa=mɛ̃=ʁy=ɡø=zə=syʁ=ma=bu=ʃə=puʁ=nə=pa=kə=ʒə=kʁi 192
il=ma=mə=nε=ʁe=dɑ̃=lœ=ʁə=ka=mj=ɔ̃=ze=mə=mi=ʁe=œ̃=ba=j=ɔ̃=il=mɔʁ=dɔ=nε=ʁe=də=mə=de=za=bi=je=syʁ=lə=ʃɑ̃=ʒə=ʁə=fy=zε=bjɛ̃=ɑ̃=tɑ̃=dy=ʒa=lε=tu=də=mε=mə=pa=ɔ=be=iʁ=a=sε=zɔ=ʁi=blə=bε=tə=za=la=ʁə=ʃεʁ=ʃə=də=kɔʁ=nys=vwa=jɑ̃=mɔ̃=ʁə=fy=lə=plys=ɡʁɑ̃=dε=dø=ki=də=vε=fε=ʁə=ɑ̃=vi=ʁɔ̃=si=pi=tʁwa=sə=ʁɥa=syʁ=mwa=il=ma=ʁa=ʃa=lə=lɛ̃=ʒə=də=syʁ=lə=do=ze=ʒə=mə=ʁə=tʁu=vε=kɔ̃=plε=tə=mɑ̃=de=ny=de=də=vɑ̃=sε=pεʁ=ve=ki=nə=pɑ̃=sε=ko=sεk=sə=sə=ki=me=tɔ=na=sε=kil=nə=vu=lε=pa=ma=by=ze=sεk=sɥεl=lmɑ̃=mε=sɛ̃=plə=mɑ̃=mə=ʁə=ɡaʁ=de=mə=tɔʁ=ty=ʁe=puʁ=e=vɑ̃t=ɥεl=lmɑ̃=mu=ʁiʁ 163
il=mə=dɔ=nε=ʁe=œ̃=skal=pεl=dε=za=ly=mε=tə=dε=pɛ̃=sə=ze=œ̃=ʒɑ̃=ʁə=də=tuʁ=nə=vi=pwɛ̃=ty=kɔ=mə=y=nə=dɑ̃=də=ʁə=kɛ̃=puʁ=kɔ=mɑ̃=se=il=mɔ=bli=ʒε=ʁe=a=tʁu=e=mε=bʁa=za=vεk=lə=tuʁ=nə=vi=lœ=ʁə=i=ø=sa=ɡʁɑ̃=di=sε=a=ʃa=kə=kʁi=də=du=lœʁ=kə=ʒə=ʒe=sε=j=ε=de=tu=fe=lɔʁ=skə=ʒy=lε=bʁa=bj=ɛ̃=ɑ̃=sɑ̃=il=mə=di=ʁe=də=kɔ̃=tin=ɥe=la=mε=mə=ʃo=zə=syʁ=mε=ʒɑ̃=bə=mε=zɑ̃=na=ʒu=tɑ̃=lε=za=ly=mε=tə=puʁ=mə=bʁy=le=lɔʁ=skə=ʒə=mi=lə=fø=syʁ=mε=ʒɑ̃=bə=ʒɑ̃=tɑ̃=di=ma=po=fɔ̃=dʁə=su=la=ʃa=lœʁ=œ̃=sɔ̃=kə=ʒə=nu=bljə=ʁε=ʒa=mε=se=tε=ɔ=ʁi=blə=ʒə=sɑ̃=tε=ma=po=sə=su=lə=ve=e=sə=buʁ=su=fle=a=ko=zə=dy=kɔ̃=takt=dy=fø 175
il=mu=blj=ε=ʁe=a=pʁɑ̃=dʁə=la=pε=ʁə=də=pɛ̃=sə=e=ma=ʁa=ʃe=lε=zɔ̃=ɡlə=də=mε=zɔʁ=tεj=lə=sɑ̃=ki=ɑ̃=ʒa=ji=me=ke=y=ʁa=pʁɔ=fɔ̃=de=mɑ̃=pø=tε=tʁə=o=si=kə=se=tε=la=sɑ̃=tœ=ʁə=ki=mə=fi=vɔ=miʁ=ʒə=nə=lə=so=ʁε=ʒa=mε=lə=pi=ʁə=ʁεs=tə=ɑ̃=kɔ=ʁə=a=və=niʁ=ʒə=kʁwa=j=ε=mu=ʁiʁ=sə=kə=ʒə=no=ʁε=pwɛ̃=ʁə=fy=ze=sə=lə=mɑ̃=sε=dø=sa=dik=nɑ̃=na=vε=pa=fi=ni=za=vεk=mwa=ʒə=kɔ̃=pʁi=kil=nεs=pe=ʁε=pa=kə=ʒə=mœʁ=mε=sɛ̃=plə=mɑ̃=mə=vwaʁ=su=fʁiʁ=puʁ=ʁεs=te=maʁ=ke=a=ʒa=mε=lə=pi=ʁə=sə=kə=ʒə=no=ʁε=ʒa=mε=zo=ze=i=ma=ʒi=ne=mə=ʁεs=tε=a=və=niʁ 154
la=piʁə=dε=su=fʁɑ̃=sə=me=tε=ʁe=zεʁ=ve=puʁ=fi=niʁ=il=mə=di=ʁe=də=pʁɑ̃=dʁə=lə=skal=pεl=e=də=mə=my=ti=le=lε=paʁ=ti=ʒe=ni=ta=lə=bjɛ̃=syʁ=kə=ʒə=nə=mi=sɥi=pa=εɡ=ze=ky=te=tu=də=sɥi=tə=kaʁ=ʒe=tε=tʁo=ɔ=ʁi=fje=puʁ=tʁu=ve=lə=sɑ̃s=də=sεt=ɔʁ=dʁə=œ̃=dε=dø=ɔ=mə=ʒə=nə=pɥi=di=ʁə=lə=kεl=kaʁ=ʒe=tε=dɑ̃=zœ̃=ne=ta=di=zɔ̃=tʁε=pi=tɔ=ʁεs=kə=mə=kʁja=dy=nə=vwa=si=i=ny=mε=nəe=pεʁ=vεʁ=sə=e=be=be=si=ty=tə=de=pε=ʃə=pa=ʒə=vε=tε=de=mwa=ʒa=vε=tεl=lmɑ̃=ɔ̃=tə=də=tu=sə=ki=və=nε=də=sə=pa=se=kə=ʒə=mə=di=kə=lə=fε=ʁə=no=ʁε=pa=dɛ̃=pakt=psi=kɔ=lɔ=ʒi=kə=syʁ=ma=pεʁ=sɔ=nə=mε=ʒə=mə=tʁɔ̃=pε=ʒə=kʁwa=kə=sε=tœ̃=dε=pi=ʁə=sy=pli=sə=kil=nə=pø=i=a=vwaʁ=my=ti=le=sε=pʁɔ=pʁə=zɔʁ=ɡa=nə=ʒə=na=vε=pa=lə=ʃwa=dɔ̃k=ʒə=mεɡ=ze=ky=tε=ʒə=pʁi=lə=skal=pεl=e=kɔ=mɑ̃=sε=sεt=œ=vʁə=o=si=de=ɡə=la=sə=kεllə=pø=pa=ʁεtʁə 227
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Commentaires Sur La Poesie

Auteur de Poésie
27/11/2004 00:00Guardienne_Des_Enfer

oh mon dieu cette ecrit ma vraiment laisée bouche bée
et je ne sais meêm plus quoi dire a part que ses gens sont
des salops!!!et que c’est inadmissible davoir fait sa!!!

Auteur de Poésie
28/11/2004 00:00Titefille

Mon dieu !!! cest A-F-F-R-E-U-X ce quil ton fait javais les larmes au yeux a lire sa
cest une réalité ou une histoire inventé? jespre ke cest inventé técrit vrm trop bient
continu ton travaille en passant ton texte presske lamour il est genial

Val(K)xx(K)

Auteur de Poésie
29/11/2004 00:00Miss Belzy

je vous rassure en paartie mes amis car ce n est pas a moi mais a une des filles ki se confie a moi ke c arrivé les gens se confie moi et kan jje fais un ecrit de leur parole ca les clmes parfois elle s en est allez en paix apres avoir lu celui si mais tjs ds la soufrance des souvenirs
paix a son ame RIP Jade je ne t oublie pas

Auteur de Poésie
08/01/2005 00:00Tristesse

:’( c est horrible

Auteur de Poésie
26/06/2005 19:02(B)_Milie_(B)

Affreux...Sont si cons yon vraiment rien a faire...