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Poème:Lettre D Une Tueuse A Son Amour

Le Poème

13 octobre 2003
Les feuilles rougissent de l’automne comme le pavé rougis du sang que je fait couler. Ce doux nectare qu’on apelle tendrement la vie. Qu’on chéri et déteste à la fois. Qui nous fait horreur parfois. À la lueur de ma chandelle noire je t’écris la douceur de ces meutres qu’on dit horribles et dégoutants. Mais elles la méritent. Cette bande de prositués sans âme. Elles n’ont pas le droit de vivre. Vendre leurs corps, leurs vertus a d’homme qui n’ont qu’un désir dégoutant et pervers. La masturbation est une solution bien moins malsaine. Avoue donc qu’elles le méritent c’est putes qui font le coin de rue et détruisent notre monde. Je les hait. C’est une affaire personnelle tu sais.
Je prend un plaisir fou a fare couler leurs vies, leurs désirs, leurs espoirs et leurs sang de la lame aiguisée de mon couteau adoré. Cette douce vangeance, je les tuerai toutes. J’aime les voirs me supplier de les laisser en vie, mais cette perversion a asser durer. Pauvres elle qui exercent ce métier destructeur qui ne demandent rien de plus qu’un peu de charme et le pouvoir de n’avoir aucun remord. Les policiers chercheront longtemps. Ils cherchent un homme. Bien sure. Qui voudrait avoir une envie sanglante de tuer toutes c’est prostituées ? Je prend les traces de Jack L’Éventreur, je comprend sa passion pour l’éventrement. J’aime voir leurs intestins s’écouler lentement sur le plancher. Ce qui me chagrine un peu, c’est de devoir me dépècher pour voir leurs cœur s’arrêter de battre.
Le meutre qui fut le plus mémorable fut évidemment celui avec le petit liquide qui gèle tout le corps. Tu vois, elle ne pouvait plus bouger mais avait encore conscience et voyait très bien ce qui se passait. Elle ne pouvait pas crier et ne sentait pas non plus ce que je lui faisait. Mais quel regard elle lançait chaque fois que je lui montrait une partie de son corps. Je commencé par lui arracher un a un les ongles. Je les lui montrai et continua mon oeuvre ; ses cheveux, quelques dents. Je lui cassai ses doigts. Vous auriez dut entendre ce bruit si plaisant, se craquement annonçant ma libération, ma vangeance. De son regard cochon elle me supplait d’arrêter, mais je n’avait pas fini, oh non. Je cassai ses bras et ses jambes et puis la j’attendit que le gèle ne fasse plus effet. Deux heures plus tard des larmes commençaient a couler sur ses joues et elle se lamentait. Ensuite j’attendit une autre heure et la elle ressentit enfin ce que je lui avait fait. J’avait bien évidemment prit le soin de la baillonner et elle criait et criait. Elle souffrait. Pour la faire taire je lui fit une entaille au niveaux tu cœur et sans aucune délicatesse y plongea mes deux mains pour élargir la plaie. Le hurlement de douleur qui s’échappa de sa gorge parcourru de sanglots me donna des frissons. Je la défigurai pour qu’on ne la reconaisse pas et enlevai toute preuve. Je fait très bien mon travail. Tu sais. Tout est pensé. Je prend mon temps.
Mon amour, dès que tu liras cette lettre, ce sort te seras réservé. Veut tu que je te décrive ta mort ? Encore une fois je prendrai mon temps. Je commencerai par te couper les orteilles et graver de jolis dessins sur tes jambes. Ensuite, dès que mon chef-d’oeuvre seras terminer, ça iras bien vite ; je te découperai en entier. Mais, quand ils te retrouveront mon amour, tu n’auras plsu ton cœur. Je le garderai Chéri, parceque tu disais que je serai toujours la seule a y avoir accès et tu m’a trahit. Tu m’a trompé avec une de c’est femmes que je m’amuse tellement à tuer. Je te hait mon amour. Je te déteste.
Ta tendre moitié.
Marie.
P. S : Ne t’inquiète pas, cette lettre je la brulerai, ainsi que l’enveloppe. Je ne suis pas stupide, il n’y auras aucune preuve que c’est moi, mon amour
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Poeme de Miss Belzy

Poète Miss Belzy

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Syllabation De L'Écrit

Syllabes Hyphénique: Lettre D Une Tueuse A Son Amourtrei=ze=oc=tobre=deux=mil=le=trois 8
les=feu=illes=rou=gissent=de=lau=tom=ne=com=me=le=pa=vé=rou=gis=du=sang=que=je=fait=cou=ler=ce=doux=nec=ta=re=quon=a=pel=le=ten=dre=ment=la=vie=quon=ché=ri=et=dé=tes=teà=la=fois=qui=nous=fait=hor=reur=par=fois=à=la=lueur=de=ma=chan=del=le=noi=re=je=té=cris=la=dou=ceur=de=ces=meu=tres=quon=dit=hor=ri=bles=et=dé=gou=tants=mais=elles=la=mé=ritent=cet=te=ban=de=de=pro=si=tués=sans=âme=el=les=nont=pas=le=droit=de=vivre=ven=dre=leurs=corps=leurs=ver=tus=a=dhom=me=qui=nont=quun=dé=sir=dé=gou=tant=et=per=vers=la=mas=tur=ba=tion=est=u=ne=so=lu=ti=on=bien=moins=mal=saine=avoue=donc=quel=les=le=mé=ri=tent=cest=pu=tes=qui=font=le=coin=de=rue=et=dé=trui=sent=no=tre=monde=je=les=hait=cest=u=ne=af=fai=re=per=son=nel=le=tu=sais 181
je=prend=un=plai=sir=fou=a=fare=cou=ler=leurs=vies=leurs=dé=sirs=leurs=es=poirs=et=leurs=sang=de=la=la=meai=gui=sée=de=mon=cou=teau=a=do=ré=cet=te=dou=ce=van=gean=ce=je=les=tue=rai=toutes=jai=me=les=voirs=me=sup=plier=de=les=lais=ser=en=vie=mais=cet=te=per=ver=sion=a=as=ser=du=rer=pau=vres=elle=qui=exer=cent=ce=mé=tier=des=truc=teur=qui=ne=de=man=dent=rien=de=plus=quun=peu=de=char=me=et=le=pou=voir=de=na=voir=au=cun=re=mord=les=po=li=ciers=cher=che=ront=long=temps=ils=cher=chent=un=hom=me=bien=su=re=qui=vou=drait=a=voir=u=ne=en=vie=san=glan=te=de=tuer=tou=tes=cest=pros=ti=tuées=je=prend=les=tra=ces=de=ja=ck=lé=ven=treur=je=com=prend=sa=pas=sion=pour=lé=ven=tre=ment=jai=me=voir=leurs=in=tes=tins=sé=cou=ler=len=te=ment=sur=le=plan=cher=ce=qui=me=cha=gri=ne=un=peu=cest=de=de=voir=me=dé=pè=cher=pour=voir=leurs=cœur=sar=rê=ter=de=battre 208
le=meutre=qui=fut=le=plus=mé=mo=ra=ble=fut=é=vi=dem=ment=ce=lui=a=vec=le=pe=tit=li=qui=de=qui=gè=le=tout=le=corps=tu=vois=el=le=ne=pou=vait=plus=bou=ger=mais=a=vait=en=co=re=cons=cien=ceet=vo=yait=très=bien=ce=qui=se=pas=sait=el=le=ne=pou=vait=pas=crier=et=ne=sen=tait=pas=non=plus=ce=que=je=lui=fai=sait=mais=quel=re=gard=elle=lan=çait=cha=que=fois=que=je=lui=mon=trait=u=ne=par=tie=de=son=corps=je=com=men=cé=par=lui=ar=ra=cher=un=a=un=les=ongles=je=les=lui=mon=trai=et=con=ti=nua=mon=oeu=vre=ses=che=veux=quel=ques=dents=je=lui=cas=sai=ses=doigts=vous=au=riez=dut=en=ten=dre=ce=bruit=si=plai=sant=se=cra=que=ment=an=non=çant=ma=li=bé=ra=tion=ma=van=geance=de=son=re=gard=co=chon=el=le=me=sup=plait=dar=rê=ter=mais=je=na=vait=pas=fi=ni=oh=non=je=cas=sai=ses=bras=et=ses=jam=bes=et=puis=la=jat=ten=dit=que=le=gè=le=ne=fas=se=plus=ef=fet=deux=heu=res=plus=tard=des=lar=mes=com=men=çaient=a=cou=ler=sur=ses=joues=et=el=le=se=la=men=tait=en=sui=te=jat=ten=dit=u=ne=au=tre=heu=re=et=la=el=le=res=sen=tit=en=fin=ce=que=je=lui=a=vait=fait=ja=vait=bien=é=vi=dem=ment=prit=le=soin=de=la=baillon=ner=et=el=le=criait=et=criait=el=le=souf=frait=pour=la=fai=re=tai=re=je=lui=fit=u=ne=en=taille=au=ni=veaux=tu=cœur=et=sans=au=cu=ne=dé=li=ca=tes=se=y=plon=gea=mes=deux=mains=pour=é=lar=gir=la=plaie=le=hur=le=ment=de=dou=leur=qui=sé=chap=pa=de=sa=gor=ge=par=cour=ru=de=san=glots=me=don=na=des=fris=sons=je=la=dé=fi=gu=rai=pour=quon=ne=la=re=co=nais=se=pas=et=en=le=vai=tou=te=preuve=je=fait=très=bien=mon=tra=vail=tu=sais=tout=est=pen=sé=je=prend=mon=temps 396
mon=a=mour=dès=que=tu=li=ras=cette=let=tre=ce=sort=te=se=ras=ré=ser=vé=veut=tu=que=je=te=dé=cri=ve=ta=mort=en=co=reu=ne=fois=je=pren=drai=mon=temps=je=com=men=ce=rai=par=te=cou=per=les=or=tei=lles=et=gra=ver=de=jo=lis=des=sins=sur=tes=jambes=en=sui=te=dès=que=mon=chef=doeu=vre=se=ras=ter=mi=ner=ça=i=ras=bien=vi=te=je=te=dé=cou=pe=rai=en=en=tier=mais=quand=ils=te=re=trou=ve=ront=mon=a=mour=tu=nau=ras=pl=su=ton=cœur=je=le=gar=de=rai=ché=ri=par=ce=que=tu=di=sais=que=je=se=rai=tou=jours=la=seu=le=a=y=a=voir=ac=cès=et=tu=ma=tra=hit=tu=ma=trom=pé=a=vec=u=ne=de=cest=fem=mes=que=je=ma=mu=se=tel=le=ment=à=tuer=je=te=hait=mon=a=mour=je=te=dé=teste 175
ta=ten=dre=moi=ti=é 6
ma=rie 2
post=scrip=tum=ne=tin=quiète=pas=cet=te=let=tre=je=la=bru=le=rai=ain=si=que=len=ve=loppe=je=ne=suis=pas=stu=pi=de=il=ny=au=ras=au=cu=ne=preu=ve=que=cest=moi=mon=a=mour 44
Phonétique : Lettre D Une Tueuse A Son Amourtʁεzə ɔktɔbʁə dø milə tʁwa
lε fœjə ʁuʒise də lotɔmnə kɔmə lə pave ʁuʒi dy sɑ̃ kə ʒə fε kule. sə du nεktaʁə kɔ̃n- apεllə tɑ̃dʁəmɑ̃ la vi. kɔ̃ ʃeʁi e detεstə a la fwa. ki nu fε ɔʁœʁ paʁfwa. a la lɥœʁ də ma ʃɑ̃dεllə nwaʁə ʒə tekʁi la dusœʁ də sε møtʁə- kɔ̃ di ɔʁibləz- e deɡutɑ̃. mεz- εllə la meʁite. sεtə bɑ̃də də pʁozitye sɑ̃z- amə. εllə nɔ̃ pa lə dʁwa də vivʁə. vɑ̃dʁə lœʁ kɔʁ, lœʁ vεʁtysz- a dɔmə ki nɔ̃ kœ̃ deziʁ deɡutɑ̃ e pεʁve. la mastyʁbasjɔ̃ εt- ynə sɔlysjɔ̃ bjɛ̃ mwɛ̃ malsεnə. avu dɔ̃k kεllə lə meʁite sε pytə ki fɔ̃ lə kwɛ̃ də ʁy e detʁɥize nɔtʁə mɔ̃də. ʒə lεz- ε. sεt- ynə afεʁə pεʁsɔnεllə ty sε.
ʒə pʁɑ̃t- œ̃ plεziʁ fu a faʁə kule lœʁ vi, lœʁ deziʁ, lœʁz- εspwaʁz- e lœʁ sɑ̃ də la lamə εɡize də mɔ̃ kuto adɔʁe. sεtə dusə vɑ̃ʒɑ̃sə, ʒə lε tɥəʁε tutə. ʒεmə lε vwaʁ mə syplje də lε lεse ɑ̃ vi, mε sεtə pεʁvεʁsjɔ̃ a ase dyʁe. povʁəz- εllə ki εɡzεʁse sə metje dεstʁyktœʁ ki nə dəmɑ̃de ʁjɛ̃ də plys kœ̃ pø də ʃaʁmə e lə puvwaʁ də navwaʁ okœ̃ ʁəmɔʁ. lε pɔlisje ʃεʁʃəʁɔ̃ lɔ̃tɑ̃. il ʃεʁʃe œ̃n- ɔmə. bjɛ̃ syʁə. ki vudʁε avwaʁ ynə ɑ̃vi sɑ̃ɡlɑ̃tə də tɥe tutə sε pʁɔstitye ? ʒə pʁɑ̃ lε tʁasə də ʒak levɑ̃tʁœʁ, ʒə kɔ̃pʁɑ̃ sa pasjɔ̃ puʁ levɑ̃tʁəmɑ̃. ʒεmə vwaʁ lœʁz- ɛ̃tεstɛ̃ sekule lɑ̃təmɑ̃ syʁ lə plɑ̃ʃe. sə ki mə ʃaɡʁinə œ̃ pø, sε də dəvwaʁ mə depεʃe puʁ vwaʁ lœʁ kœʁ saʁεte də batʁə.
lə møtʁə ki fy lə plys memɔʁablə fy evidamɑ̃ səlɥi avεk lə pəti likidə ki ʒεlə tu lə kɔʁ. ty vwa, εllə nə puvε plys buʒe mεz- avε ɑ̃kɔʁə kɔ̃sjɑ̃sə e vwajε tʁε bjɛ̃ sə ki sə pasε. εllə nə puvε pa kʁje e nə sɑ̃tε pa nɔ̃ plys sə kə ʒə lɥi fəzε. mε kεl ʁəɡaʁ εllə lɑ̃sε ʃakə fwa kə ʒə lɥi mɔ̃tʁε ynə paʁti də sɔ̃ kɔʁ. ʒə kɔmɑ̃se paʁ lɥi aʁaʃe œ̃n- a œ̃ lεz- ɔ̃ɡlə. ʒə lε lɥi mɔ̃tʁε e kɔ̃tinɥa mɔ̃n- œvʁə, sε ʃəvø, kεlk dɑ̃. ʒə lɥi kasε sε dwa. vuz- oʁje dy ɑ̃tɑ̃dʁə sə bʁɥi si plεzɑ̃, sə kʁakəmɑ̃ anɔ̃sɑ̃ ma libeʁasjɔ̃, ma vɑ̃ʒɑ̃sə. də sɔ̃ ʁəɡaʁ koʃɔ̃ εllə mə syplε daʁεte, mε ʒə navε pa fini, ɔ nɔ̃. ʒə kasε sε bʁaz- e sε ʒɑ̃bəz- e pɥi la ʒatɑ̃di kə lə ʒεlə nə fasə plysz- efε. dø œʁ plys taʁ dε laʁmə- kɔmɑ̃sε a kule syʁ sε ʒuz- e εllə sə lamɑ̃tε. ɑ̃sɥitə ʒatɑ̃di ynə otʁə œʁ e la εllə ʁəsɑ̃ti ɑ̃fɛ̃ sə kə ʒə lɥi avε fε. ʒavε bjɛ̃ evidamɑ̃ pʁi lə swɛ̃ də la bajɔne e εllə kʁjε e kʁjε. εllə sufʁε. puʁ la fεʁə tεʁə ʒə lɥi fi ynə ɑ̃tajə o nivo ty kœʁ e sɑ̃z- okynə delikatεsə i plɔ̃ʒa mε dø mɛ̃ puʁ elaʁʒiʁ la plε. lə yʁləmɑ̃ də dulœʁ ki seʃapa də sa ɡɔʁʒə paʁkuʁʁy də sɑ̃ɡlo mə dɔna dε fʁisɔ̃. ʒə la defiɡyʁε puʁ kɔ̃ nə la ʁəkɔnεsə pa e ɑ̃ləvε tutə pʁəvə. ʒə fε tʁε bjɛ̃ mɔ̃ tʁavaj. ty sε. tut- ε pɑ̃se. ʒə pʁɑ̃ mɔ̃ tɑ̃.
mɔ̃n- amuʁ, dε kə ty liʁa sεtə lεtʁə, sə sɔʁ tə səʁa ʁezεʁve. vø ty kə ʒə tə dekʁivə ta mɔʁ ? ɑ̃kɔʁə ynə fwa ʒə pʁɑ̃dʁε mɔ̃ tɑ̃. ʒə kɔmɑ̃səʁε paʁ tə kupe lεz- ɔʁtεjəz- e ɡʁave də ʒɔli desɛ̃ syʁ tε ʒɑ̃bə. ɑ̃sɥitə, dε kə mɔ̃ ʃεf dœvʁə səʁa tεʁmine, sa iʁa bjɛ̃ vitə, ʒə tə dekupəʁε ɑ̃n- ɑ̃tje. mε, kɑ̃t- il tə ʁətʁuvəʁɔ̃ mɔ̃n- amuʁ, ty noʁa plsy tɔ̃ kœʁ. ʒə lə ɡaʁdəʁε ʃeʁi, paʁsəkə ty dizε kə ʒə səʁε tuʒuʁ la sələ a i avwaʁ aksεz- e ty ma tʁai. ty ma tʁɔ̃pe avεk ynə də sε famə kə ʒə mamyzə tεllmɑ̃ a tɥe. ʒə tə-ε mɔ̃n- amuʁ. ʒə tə detεstə.
ta tɑ̃dʁə mwatje.
maʁi.
pɔstskʁiptɔm : nə tɛ̃kjεtə pa, sεtə lεtʁə ʒə la bʁyləʁε, ɛ̃si kə lɑ̃vəlɔpə. ʒə nə sɥi pa stypidə, il ni oʁaz- okynə pʁəvə kə sε mwa, mɔ̃n- amuʁ
Syllabes Phonétique : Lettre D Une Tueuse A Son Amourtʁε=zə=ɔk=tɔbʁə=dø=mi=lə=tʁwa 8
lε=fœjə=ʁu=ʒise=də=lo=tɔm=nə=kɔ=mə=lə=pa=ve=ʁu=ʒi=dy=sɑ̃=kə=ʒə=fε=ku=le=sə=du=nεk=ta=ʁə=kɔ̃=na=pεllə=tɑ̃=dʁə=mɑ̃=la=vi=kɔ̃=ʃe=ʁi=e=de=tεs=təa=la=fwa=ki=nu=fε=ɔ=ʁœʁ=paʁ=fwa=a=la=lɥœʁ=də=ma=ʃɑ̃=dεl=lə=nwa=ʁə=ʒə=te=kʁi=la=du=sœʁ=də=sε=mø=tʁə=kɔ̃=di=ɔ=ʁi=blə=ze=de=ɡu=tɑ̃=mε=zεl=lə=la=me=ʁi=te=sε=tə=bɑ̃=də=də=pʁo=zi=ty=e=sɑ̃=za=mə=εl=lə=nɔ̃=pa=lə=dʁwa=də=vi=vʁə=vɑ̃=dʁə=lœʁ=kɔʁ=lœʁ=vεʁ=tys=za=dɔ=mə=ki=nɔ̃=kœ̃=de=ziʁ=de=ɡu=tɑ̃=e=pεʁ=ve=la=mas=tyʁ=ba=sjɔ̃=ε=ty=nə=sɔ=ly=sjɔ̃=bjɛ̃=mwɛ̃=mal=sε=nə=a=vu=dɔ̃k=kεl=lə=lə=me=ʁi=te=sε=py=tə=ki=fɔ̃=lə=kwɛ̃=də=ʁy=e=det=ʁɥi=ze=nɔ=tʁə=mɔ̃=də=ʒə=lε=zε=sε=ty=nə=a=fε=ʁə=pεʁ=sɔ=nεl=lə=ty=sε 186
ʒə=pʁɑ̃=tœ̃=plε=ziʁ=fu=a=faʁə=ku=le=lœʁ=vi=lœʁ=de=ziʁ=lœʁ=zεs=pwaʁ=ze=lœʁ=sɑ̃=də=la=la=məε=ɡi=ze=də=mɔ̃=ku=to=a=dɔ=ʁe=sε=tə=du=sə=vɑ̃=ʒɑ̃=sə=ʒə=lε=tɥə=ʁε=tu=tə=ʒε=mə=lε=vwaʁ=mə=sy=plje=də=lε=lε=se=ɑ̃=vi=mε=sε=tə=pεʁ=vεʁ=sjɔ̃=a=a=se=dyʁe=po=vʁə=zεllə=ki=εɡ=zεʁ=se=sə=me=tje=dεs=tʁyk=tœʁ=ki=nə=də=mɑ̃=de=ʁjɛ̃=də=plys=kœ̃=pø=də=ʃaʁ=mə=e=lə=pu=vwaʁ=də=na=vwaʁ=o=kœ̃=ʁə=mɔʁ=lε=pɔ=li=sje=ʃεʁ=ʃə=ʁɔ̃=lɔ̃=tɑ̃=il=ʃεʁ=ʃe=œ̃=nɔ=mə=bjɛ̃=sy=ʁə=ki=vu=dʁε=a=vwaʁ=y=nə=ɑ̃=vi=sɑ̃=ɡlɑ̃=tə=də=tɥe=tu=tə=sε=pʁɔs=ti=ty=e=ʒə=pʁɑ̃=lε=tʁa=sə=də=ʒak=le=vɑ̃=tʁœʁ=ʒə=kɔ̃=pʁɑ̃=sa=pa=sjɔ̃=puʁ=le=vɑ̃=tʁə=mɑ̃=ʒε=mə=vwaʁ=lœʁ=zɛ̃=tεs=tɛ̃=se=ku=le=lɑ̃=tə=mɑ̃=syʁ=lə=plɑ̃=ʃe=sə=ki=mə=ʃa=ɡʁi=nə=œ̃=pø=sε=də=də=vwaʁ=mə=de=pε=ʃe=puʁ=vwaʁ=lœʁ=kœʁ=sa=ʁε=te=də=batʁə 209
lə=møtʁə=ki=fy=lə=plys=me=mɔ=ʁa=blə=fy=e=vi=da=mɑ̃=səl=ɥi=a=vεk=lə=pə=ti=li=ki=də=ki=ʒε=lə=tu=lə=kɔʁ=ty=vwa=εl=lə=nə=pu=vε=plys=bu=ʒe=mε=za=vε=ɑ̃=kɔ=ʁə=kɔ̃=sjɑ̃=səe=vwa=jε=tʁε=bjɛ̃=sə=ki=sə=pa=sε=εl=lə=nə=pu=vε=pa=kʁje=e=nə=sɑ̃=tε=pa=nɔ̃=plys=sə=kə=ʒə=lɥi=fə=zε=mε=kεl=ʁə=ɡaʁ=εllə=lɑ̃=sε=ʃa=kə=fwa=kə=ʒə=lɥi=mɔ̃=tʁε=y=nə=paʁ=ti=də=sɔ̃=kɔʁ=ʒə=kɔ=mɑ̃=se=paʁ=lɥi=a=ʁa=ʃe=œ̃=na=œ̃=lε=zɔ̃=ɡlə=ʒə=lε=lɥi=mɔ̃=tʁε=e=kɔ̃=tin=ɥa=mɔ̃=nœ=vʁə=sε=ʃə=vø=kεlk=dɑ̃=ʒə=lɥi=ka=sε=sε=dwa=vu=zo=ʁje=dy=ɑ̃=tɑ̃=dʁə=sə=bʁɥi=si=plε=zɑ̃=sə=kʁa=kə=mɑ̃=a=nɔ̃=sɑ̃=ma=li=be=ʁa=sjɔ̃=ma=vɑ̃=ʒɑ̃=sə=də=sɔ̃=ʁə=ɡaʁ=ko=ʃɔ̃=εl=lə=mə=sy=plε=da=ʁε=te=mε=ʒə=na=vε=pa=fi=ni=ɔ=nɔ̃=ʒə=ka=sε=sε=bʁa=ze=sε=ʒɑ̃=bə=ze=pɥi=la=ʒa=tɑ̃=di=kə=lə=ʒε=lə=nə=fa=sə=plys=ze=fε=dø=œʁ=plys=taʁ=dε=laʁ=mə=kɔ=mɑ̃=sε=a=ku=le=syʁ=sε=ʒu=ze=εl=lə=sə=la=mɑ̃=tε=ɑ̃s=ɥi=tə=ʒa=tɑ̃=di=y=nə=o=tʁə=œʁ=e=la=εl=lə=ʁə=sɑ̃=ti=ɑ̃=fɛ̃=sə=kə=ʒə=lɥi=a=vε=fε=ʒa=vε=bjɛ̃=e=vi=da=mɑ̃=pʁi=lə=swɛ̃=də=la=ba=jɔ=ne=e=εl=lə=kʁjε=e=kʁjε=εl=lə=su=fʁε=puʁ=la=fε=ʁə=tε=ʁə=ʒə=lɥi=fi=y=nə=ɑ̃=tajə=o=ni=vo=ty=kœʁ=e=sɑ̃=zo=ky=nə=de=li=ka=tε=sə=i=plɔ̃=ʒa=mε=dø=mɛ̃=puʁ=e=laʁ=ʒiʁ=la=plε=lə=yʁ=lə=mɑ̃=də=du=lœʁ=ki=se=ʃa=pa=də=sa=ɡɔʁ=ʒə=paʁ=kuʁ=ʁy=də=sɑ̃=ɡlo=mə=dɔ=na=dε=fʁi=sɔ̃=ʒə=la=de=fi=ɡy=ʁε=puʁ=kɔ̃=nə=la=ʁə=kɔ=nε=sə=pa=e=ɑ̃=lə=vε=tu=tə=pʁə=və=ʒə=fε=tʁε=bjɛ̃=mɔ̃=tʁa=vaj=ty=sε=tu=tε=pɑ̃=se=ʒə=pʁɑ̃=mɔ̃=tɑ̃ 397
mɔ̃=na=muʁ=dεkə=ty=li=ʁa=sε=tə=lε=tʁə=sə=sɔʁ=tə=sə=ʁa=ʁe=zεʁ=ve=vø=ty=kə=ʒə=tə=de=kʁi=və=ta=mɔʁ=ɑ̃=kɔ=ʁəy=nə=fwa=ʒə=pʁɑ̃=dʁε=mɔ̃=tɑ̃=ʒə=kɔ=mɑ̃=sə=ʁε=paʁ=tə=ku=pe=lε=zɔʁ=tεjə=ze=ɡʁa=ve=də=ʒɔ=li=de=sɛ̃=syʁ=tε=ʒɑ̃=bə=ɑ̃s=ɥi=tə=dε=kə=mɔ̃=ʃεf=dœ=vʁə=sə=ʁa=tεʁ=mi=ne=sa=i=ʁa=bjɛ̃=vi=tə=ʒə=tə=de=ku=pə=ʁε=ɑ̃=nɑ̃=tje=mε=kɑ̃=til=tə=ʁə=tʁu=və=ʁɔ̃=mɔ̃=na=muʁ=ty=no=ʁa=plsy=tɔ̃=kœʁ=ʒə=lə=ɡaʁ=də=ʁε=ʃe=ʁi=paʁ=sə=kə=ty=di=zε=kə=ʒə=sə=ʁε=tu=ʒuʁ=la=sə=lə=a=i=a=vwaʁ=ak=sε=ze=ty=ma=tʁa=i=ty=ma=tʁɔ̃=pe=a=vεk=y=nə=də=sε=fa=mə=kə=ʒə=ma=my=zə=tεl=lmɑ̃=a=tɥe=ʒə=tə-ε=mɔ̃=na=muʁ=ʒə=tə=de=tεstə 173
ta=tɑ̃=dʁə=mwa=tj=e 6
ma=ʁi 2
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Commentaires Sur La Poesie

Auteur de Poésie
26/01/2006 18:05Matiflo

Il est trés morbide, on pourrai croire que tu vas vraimen tuer ces femme : c’est horrible !
Sinon le poeme en lui même est trés expressive et beaucoup de chose sont malheuresement vrai.

Auteur de Poésie
27/06/2007 13:37Tallulah849

Morbide, inquiétant et malsain à souhait. Pour ma part je lui aurait plutôt coupé cet organe de mâââle en rute...
Par contre, c’est cousu de fautes d’orthographe ! Attention à ça !

Poème Liaison
Du 27/11/2004 15:10

L'écrit contient 704 mots qui sont répartis dans 1 strophes.