Poème:Une Ombre Sur Le Mur
Le Poème
Les enfants jouaient à la marelle ou à quelque autre passe-temps de l’enfance. L’homme ne savait pas très bien. Il n’était plus tout jeune et lors de son enfance, il préférait les livres à ces jeux d’été, en compagnie des autres. Il les voyait bien faire la ronde, donnant des coups de pieds sur un ballon, courant et riant, les plus vites talonnant les moins rapides. Des enfants comme on en trouvait à tous les coins de rues. Des visages et des rires comme on en rencontrait à tous les étés, dans tous cartiers.
Il voyait les ombres, sur le mur, se détachant de leur frêle corps, danser dans la lueur du soleil de midi. Deux petites filles et trois garçons, tous, environ du même âge.
Il faisait très chaud, pour la période, la fin du mois de Mai approchait. L’homme senti quelques gouttes perler sur son front. En réponse, vînt souffler un doux vent, sur son visage, faisant voleter quelques mèches de ses cheveux mi-longs.
À force de réfléchir, dans cette chaleur, même avec le vent, il commença à avoir mal à la tête. Il décida d’aller voir le vendeur de crème glacée, l’un des nombreux civils des environs, qui se tenait près de sa marchandise, à une vingtaine de mètres de là. Il lui parlerait en même temps qu’il se rafraîchirait.
Après avoir parlé à l’homme, il prit congé de ce lieu.
Enjambant le cordon de plastique jaune, il laissa à d’autres le loisir d’observer la scène. S’en éloignant d’un pas mesuré, un pli barrait son front. Sur ce visage qui avait vu bien des tragédies, l’une de plus aurait pu ne vouloir rien dire. Après toutes ces interventions, on aurait pu penser qu’il aurait développé une sorte d’insensibilité. Mais cette fois-ci, c’était cinq enfants…
C’est donc en quittant le lieu de l’horreur qu’un voile tomba sur son regard. L’environnement se brouilla graduellement, alors que l’homme abandonnait son combat contre les larmes. Cette nuit, il reverrait assurément ces images, les scènes enchanteresses suivies par le chaos et l’horreur.
Les corps de ces cinq enfants avaient été déchiquetés par l’explosion qui avait retenti dans cette ruelle. Le mur d’en face, alors blanchit à la chaux, portait désormais le décalque résultant du massacre. Ces ombres, souillant le blanc du mur, derniers souvenirs que cinq êtres avaient vécu, pour mourir d’un attentat à la bombe.
Vous ne les entendrez plus rire
Vous ne les entendrez plus pleurer
Vous ne les verrez plus vivre
Vous ne les saurez plus rêver
Car il fut décidé à leur place
Qu’en ce monde, ils n’avaient plus face
Et ce décalque, sur ce mur
Plus qu’une trace de l’instant… si dur
Il voyait les ombres, sur le mur, se détachant de leur frêle corps, danser dans la lueur du soleil de midi. Deux petites filles et trois garçons, tous, environ du même âge.
Il faisait très chaud, pour la période, la fin du mois de Mai approchait. L’homme senti quelques gouttes perler sur son front. En réponse, vînt souffler un doux vent, sur son visage, faisant voleter quelques mèches de ses cheveux mi-longs.
À force de réfléchir, dans cette chaleur, même avec le vent, il commença à avoir mal à la tête. Il décida d’aller voir le vendeur de crème glacée, l’un des nombreux civils des environs, qui se tenait près de sa marchandise, à une vingtaine de mètres de là. Il lui parlerait en même temps qu’il se rafraîchirait.
Après avoir parlé à l’homme, il prit congé de ce lieu.
Enjambant le cordon de plastique jaune, il laissa à d’autres le loisir d’observer la scène. S’en éloignant d’un pas mesuré, un pli barrait son front. Sur ce visage qui avait vu bien des tragédies, l’une de plus aurait pu ne vouloir rien dire. Après toutes ces interventions, on aurait pu penser qu’il aurait développé une sorte d’insensibilité. Mais cette fois-ci, c’était cinq enfants…
C’est donc en quittant le lieu de l’horreur qu’un voile tomba sur son regard. L’environnement se brouilla graduellement, alors que l’homme abandonnait son combat contre les larmes. Cette nuit, il reverrait assurément ces images, les scènes enchanteresses suivies par le chaos et l’horreur.
Les corps de ces cinq enfants avaient été déchiquetés par l’explosion qui avait retenti dans cette ruelle. Le mur d’en face, alors blanchit à la chaux, portait désormais le décalque résultant du massacre. Ces ombres, souillant le blanc du mur, derniers souvenirs que cinq êtres avaient vécu, pour mourir d’un attentat à la bombe.
Vous ne les entendrez plus rire
Vous ne les entendrez plus pleurer
Vous ne les verrez plus vivre
Vous ne les saurez plus rêver
Car il fut décidé à leur place
Qu’en ce monde, ils n’avaient plus face
Et ce décalque, sur ce mur
Plus qu’une trace de l’instant… si dur
Poète Miss Belzy
Miss Belzy a publié sur le site 80 écrits. Miss Belzy est membre du site depuis l'année 2004.Lire le profil du poète Miss BelzySyllabation De L'Écrit
Syllabes Hyphénique: Une Ombre Sur Le Mur
les=en=fants=jou=aient=à=la=ma=rel=leou=à=quel=que=autre=pas=se=temps=de=len=fance=lhom=me=ne=sa=vait=pas=très=bien=il=né=tait=plus=tout=jeu=ne=et=lors=de=son=en=fan=ce=il=pré=fé=rait=les=li=vres=à=ces=jeux=dé=té=en=com=pa=gnie=des=autres=il=les=vo=yait=bien=fai=re=la=ron=de=don=nant=des=coups=de=pieds=sur=un=bal=lon=cou=rant=et=riant=les=plus=vi=tes=ta=lon=nant=les=moins=ra=pides=des=en=fants=com=me=on=en=trou=vait=à=tous=les=coins=de=rues=des=vi=sa=ges=et=des=ri=res=com=me=on=en=ren=con=trait=à=tous=les=é=tés=dans=tous=car=tiers 134il=vo=yait=les=ombres=sur=le=mur=se=dé=ta=chant=de=leur=frêle=corps=dan=ser=dans=la=lueur=du=so=leil=de=mi=di=deux=pe=ti=tes=filles=et=trois=gar=çons=tous=en=vi=ron=du=mê=me=âge 44
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les=corps=de=ces=cinq=en=fants=a=vaient=é=té=dé=chi=que=tés=par=lex=plo=sion=qui=a=vait=re=ten=ti=dans=cette=ruelle=le=mur=den=fa=ce=a=lors=blan=chit=à=la=chaux=por=tait=dé=sor=mais=le=dé=cal=que=ré=sul=tant=du=mas=sacre=ces=ombres=souillant=le=blanc=du=mur=der=niers=sou=ve=nirs=que=cinq=ê=tres=a=vaient=vé=cu=pour=mou=rir=dun=at=ten=tat=à=la=bombe 85
vous=ne=les=en=ten=drez=plus=rire 8
vous=ne=les=enten=drez=plus=pleu=rer 8
vous=ne=les=ver=rez=plus=vi=vre 8
vous=ne=les=sau=rez=plus=rê=ver 8
car=il=fut=dé=ci=dé=à=leur=place 9
quen=ce=monde=ils=na=vaient=plus=face 8
et=ce=dé=cal=que=sur=ce=mur 8
plus=quune=tra=ce=de=lins=tant=si=dur 9
Phonétique : Une Ombre Sur Le Mur
lεz- ɑ̃fɑ̃ ʒuε a la maʁεllə u a kεlkə otʁə pasə tɑ̃ də lɑ̃fɑ̃sə. lɔmə nə savε pa tʁε bjɛ̃. il netε plys tu ʒənə e lɔʁ də sɔ̃n- ɑ̃fɑ̃sə, il pʁefeʁε lε livʁəz- a sε ʒø dete, ɑ̃ kɔ̃paɲi dεz- otʁə. il lε vwajε bjɛ̃ fεʁə la ʁɔ̃də, dɔnɑ̃ dε ku də pje syʁ œ̃ balɔ̃, kuʁɑ̃ e ʁjɑ̃, lε plys vitə talɔnɑ̃ lε mwɛ̃ ʁapidə. dεz- ɑ̃fɑ̃ kɔmə ɔ̃n- ɑ̃ tʁuvε a tus lε kwɛ̃ də ʁy. dε vizaʒəz- e dε ʁiʁə kɔmə ɔ̃n- ɑ̃ ʁɑ̃kɔ̃tʁε a tus lεz- ete, dɑ̃ tus kaʁtje.il vwajε lεz- ɔ̃bʁə, syʁ lə myʁ, sə detaʃɑ̃ də lœʁ fʁεlə kɔʁ, dɑ̃se dɑ̃ la lɥœʁ dy sɔlεj də midi. dø pətitə fijəz- e tʁwa ɡaʁsɔ̃, tus, ɑ̃viʁɔ̃ dy mεmə aʒə.
il fəzε tʁε ʃo, puʁ la peʁjɔdə, la fɛ̃ dy mwa də mε apʁoʃε. lɔmə sɑ̃ti kεlk ɡutə pεʁle syʁ sɔ̃ fʁɔ̃. ɑ̃ ʁepɔ̃sə, vin sufle œ̃ du vɑ̃, syʁ sɔ̃ vizaʒə, fəzɑ̃ vɔləte kεlk mεʃə də sε ʃəvø mi lɔ̃ɡ.
a fɔʁsə də ʁefleʃiʁ, dɑ̃ sεtə ʃalœʁ, mεmə avεk lə vɑ̃, il kɔmɑ̃sa a avwaʁ mal a la tεtə. il desida dale vwaʁ lə vɑ̃dœʁ də kʁεmə ɡlase, lœ̃ dε nɔ̃bʁø sivil dεz- ɑ̃viʁɔ̃, ki sə tənε pʁε də sa maʁʃɑ̃dizə, a ynə vɛ̃tεnə də mεtʁə- də la. il lɥi paʁləʁε ɑ̃ mεmə tɑ̃ kil sə ʁafʁεʃiʁε.
apʁεz- avwaʁ paʁle a lɔmə, il pʁi kɔ̃ʒe də sə ljø.
ɑ̃ʒɑ̃bɑ̃ lə kɔʁdɔ̃ də plastikə ʒonə, il lεsa a dotʁə- lə lwaziʁ dɔpsεʁve la sεnə. sɑ̃n- elwaɲɑ̃ dœ̃ pa məzyʁe, œ̃ pli baʁε sɔ̃ fʁɔ̃. syʁ sə vizaʒə ki avε vy bjɛ̃ dε tʁaʒedi, lynə də plysz- oʁε py nə vulwaʁ ʁjɛ̃ diʁə. apʁε tutə sεz- ɛ̃tεʁvɑ̃sjɔ̃, ɔ̃n- oʁε py pɑ̃se kil oʁε devəlɔpe ynə sɔʁtə dɛ̃sɑ̃sibilite. mε sεtə fwa si, setε sɛ̃k ɑ̃fɑ̃…
sε dɔ̃k ɑ̃ kitɑ̃ lə ljø də lɔʁœʁ kœ̃ vwalə tɔ̃ba syʁ sɔ̃ ʁəɡaʁ. lɑ̃viʁɔnəmɑ̃ sə bʁuja ɡʁadɥεllmɑ̃, alɔʁ kə lɔmə abɑ̃dɔnε sɔ̃ kɔ̃ba kɔ̃tʁə lε laʁmə. sεtə nɥi, il ʁəveʁε asyʁemɑ̃ sεz- imaʒə, lε sεnəz- ɑ̃ʃɑ̃təʁesə sɥivi paʁ lə ʃaoz- e lɔʁœʁ.
lε kɔʁ də sε sɛ̃k ɑ̃fɑ̃z- avε ete deʃikəte paʁ lεksplozjɔ̃ ki avε ʁətɑ̃ti dɑ̃ sεtə ʁyεllə. lə myʁ dɑ̃ fasə, alɔʁ blɑ̃ʃi a la ʃo, pɔʁtε dezɔʁmε lə dekalkə ʁezyltɑ̃ dy masakʁə. sεz- ɔ̃bʁə, sujɑ̃ lə blɑ̃ dy myʁ, dεʁnje suvəniʁ kə sɛ̃k εtʁəz- avε veky, puʁ muʁiʁ dœ̃n- atɑ̃ta a la bɔ̃bə.
vu nə lεz- ɑ̃tɑ̃dʁe plys ʁiʁə
vu nə lεz- ɑ̃tɑ̃dʁe plys pləʁe
vu nə lε veʁe plys vivʁə
vu nə lε soʁe plys ʁεve
kaʁ il fy deside a lœʁ plasə
kɑ̃ sə mɔ̃də, il navε plys fasə
e sə dekalkə, syʁ sə myʁ
plys kynə tʁasə də lɛ̃stɑ̃… si dyʁ
Syllabes Phonétique : Une Ombre Sur Le Mur
lε=zɑ̃=fɑ̃=ʒu=ε=a=la=ma=ʁεlləu=a=kεl=kə=otʁə=pa=sə=tɑ̃=də=lɑ̃=fɑ̃=sə=lɔ=mə=nə=sa=vε=pa=tʁε=bjɛ̃=il=ne=tε=plys=tu=ʒə=nə=e=lɔʁ=də=sɔ̃=nɑ̃=fɑ̃=sə=il=pʁe=fe=ʁε=lε=li=vʁə=za=sε=ʒø=de=te=ɑ̃=kɔ̃=pa=ɲi=dε=zo=tʁə=il=lε=vwa=jε=bjɛ̃=fε=ʁə=la=ʁɔ̃=də=dɔ=nɑ̃=dε=ku=də=pje=syʁ=œ̃=ba=lɔ̃=ku=ʁɑ̃=e=ʁjɑ̃=lε=plys=vi=tə=ta=lɔ=nɑ̃=lε=mwɛ̃=ʁa=pi=də=dε=zɑ̃=fɑ̃=kɔ=mə=ɔ̃=nɑ̃=tʁu=vε=a=tus=lε=kwɛ̃=də=ʁy=dε=vi=za=ʒə=ze=dε=ʁi=ʁə=kɔ=mə=ɔ̃=nɑ̃=ʁɑ̃=kɔ̃=tʁε=a=tus=lε=ze=te=dɑ̃=tus=kaʁ=tje 136il=vwa=jε=lεzɔ̃bʁə=syʁ=lə=myʁ=sə=de=ta=ʃɑ̃=də=lœʁ=fʁε=lə=kɔʁ=dɑ̃=se=dɑ̃=la=lɥœʁ=dy=sɔ=lεj=də=mi=di=dø=pə=ti=tə=fi=jə=ze=tʁwa=ɡaʁ=sɔ̃=tus=ɑ̃=vi=ʁɔ̃=dy=mε=məaʒə 44
il=fə=zε=tʁε=ʃo=puʁ=la=pe=ʁjɔdə=la=fɛ̃=dy=mwa=də=mε=a=pʁo=ʃε=lɔ=mə=sɑ̃=ti=kεl=kə=ɡu=tə=pεʁ=le=syʁ=sɔ̃=fʁɔ̃=ɑ̃=ʁe=pɔ̃=sə=vin=su=fle=œ̃=du=vɑ̃=syʁ=sɔ̃=vi=za=ʒə=fə=zɑ̃=vɔ=lə=te=kεl=kə=mε=ʃə=də=sε=ʃə=vø=mi=lɔ̃ɡ 61
a=fɔʁsə=də=ʁe=fle=ʃiʁ=dɑ̃=sε=tə=ʃa=lœʁ=mε=məa=vεk=lə=vɑ̃=il=kɔ=mɑ̃=sa=a=a=vwaʁ=mal=a=la=tε=tə=il=de=si=da=da=le=vwaʁ=lə=vɑ̃=dœʁ=də=kʁε=mə=ɡla=se=lœ̃=dε=nɔ̃=bʁø=si=vil=dε=zɑ̃=vi=ʁɔ̃=ki=sə=tə=nε=pʁε=də=sa=maʁ=ʃɑ̃=di=zə=a=y=nə=vɛ̃=tε=nə=də=mε=tʁə=də=la=il=lɥi=paʁ=lə=ʁε=ɑ̃=mε=mə=tɑ̃=kil=sə=ʁa=fʁε=ʃi=ʁε 90
a=pʁε=za=vwaʁ=paʁ=le=a=lɔmə=il=pʁi=kɔ̃=ʒe=də=sə=ljø 15
ɑ̃=ʒɑ̃=bɑ̃lə=kɔʁ=dɔ̃=də=plas=ti=kə=ʒo=nə=il=lε=sa=a=do=tʁə=lə=lwa=ziʁ=dɔp=sεʁ=ve=la=sε=nə=sɑ̃=ne=lwa=ɲɑ̃=dœ̃=pa=mə=zy=ʁe=œ̃=pli=ba=ʁε=sɔ̃=fʁɔ̃=syʁ=sə=vi=za=ʒə=ki=a=vε=vy=bjɛ̃=dε=tʁa=ʒe=di=ly=nə=də=plys=zo=ʁε=py=nə=vu=lwaʁ=ʁjɛ̃=di=ʁə=a=pʁε=tu=tə=sε=zɛ̃=tεʁ=vɑ̃=sjɔ̃=ɔ̃=no=ʁε=py=pɑ̃=se=kil=o=ʁε=de=və=lɔ=pe=y=nə=sɔʁ=tə=dɛ̃=sɑ̃=si=bi=li=te=mε=sε=tə=fwa=si=se=tε=sɛ̃k=ɑ̃=fɑ̃ 110
sε=dɔ̃k=ɑ̃=ki=tɑ̃lə=ljø=də=lɔ=ʁœʁ=kœ̃=vwa=lə=tɔ̃=ba=syʁ=sɔ̃=ʁə=ɡaʁ=lɑ̃=vi=ʁɔ=nə=mɑ̃=sə=bʁu=ja=ɡʁad=ɥεl=lmɑ̃=a=lɔʁ=kə=lɔ=məa=bɑ̃=dɔ=nε=sɔ̃=kɔ̃=ba=kɔ̃=tʁə=lε=laʁ=mə=sε=tə=nɥi=il=ʁə=ve=ʁε=a=sy=ʁe=mɑ̃=sε=zi=ma=ʒə=lε=sε=nə=zɑ̃=ʃɑ̃=tə=ʁe=sə=sɥi=vi=paʁ=lə=ʃa=o=ze=lɔ=ʁœʁ 77
lε=kɔʁdə=sε=sɛ̃k=ɑ̃=fɑ̃=za=vε=e=te=de=ʃi=kə=te=paʁ=lεk=splo=zjɔ̃=ki=a=vε=ʁə=tɑ̃=ti=dɑ̃=sε=tə=ʁy=εllə=lə=myʁ=dɑ̃=fa=sə=a=lɔʁ=blɑ̃=ʃi=a=la=ʃo=pɔʁ=tε=de=zɔʁ=mε=lə=de=kal=kə=ʁe=zyl=tɑ̃=dy=ma=sa=kʁə=sε=zɔ̃bʁə=su=jɑ̃=lə=blɑ̃=dy=myʁ=dεʁ=nje=su=və=niʁ=kə=sɛ̃k=ε=tʁə=za=vε=ve=ky=puʁ=mu=ʁiʁ=dœ̃=na=tɑ̃=ta=a=la=bɔ̃bə 88
vu=nə=lε=zɑ̃=tɑ̃=dʁe=plys=ʁiʁə 8
vunə=lε=zɑ̃=tɑ̃=dʁe=plys=plə=ʁe 8
vu=nə=lε=ve=ʁe=plys=vi=vʁə 8
vu=nə=lε=so=ʁe=plys=ʁε=ve 8
kaʁ=il=fy=de=si=de=a=lœʁ=plasə 9
kɑ̃sə=mɔ̃=də=il=na=vε=plys=fasə 8
e=sə=de=kal=kə=syʁ=sə=myʁ 8
plys=kynə=tʁa=sə=də=lɛ̃s=tɑ̃=si=dyʁ 9
Récompense
Poesie sans commentaire

02/05/2025Poeme-France
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Poème Enfant
Du 27/11/2004 15:19
L'écrit contient 478 mots qui sont répartis dans 10 strophes.