Poème:Joyeux Anniversaire (Ironiquement Di)

Il est environ 15h30, ta mère t’explique que ton père et elle vont aller à une soirée et qu’ils reviendront vers 20h00. Elle te donne dix dollars pour que tu puisses te payer de quoi manger et pour la centième fois de la journée, elle te souhaita bonne fête. Et oui c’était ta fête ! Malheureusement, tu ne pouvais inviter d’amis car c’étais la semaine mais tu te consolais car tu savais que samedi prochain tu ferais un party.
Tes parents quittèrent la maison vers 16h00. Tu décidas de te faire un sandwich et de garder l’argent pour t’acheter autre chose.
Une fois que tu as eu fini de manger, tu décidas de jouer à un jeu d’ordinateur : « Virtual Games ». Tu enfilas ton casque et tes gants pour pouvoir jouer au jeu. Tu adorais ce jeu, il semblait si réel. Quand tu arrêtas de jouer, il était déjà près de 21h00. Tu ne pensais pas avoir jouer si longtemps. tes parents n’étaient toujours pas rentrés, Tu décida de les appeler sur leur cellulaire pour avoir de leurs nouvelles.
C’est ton père qui te répondit, il s’excusa du retard et te promit qu’à minuit, ils serait rentrer. Tu protestas aussitôt : {Mais papa ! ! vous m’aviez promis que quand vous rentreriez je pourrais ouvrir mon cadeau. } Ton père réfléchit un instant puis il te dit que tu pouvais ouvrir ton cadeau. Il te souhaita bonne nuit et raccrocha. Tu n’eus même pas le temps de lui demander où se trouvait ton cadeau. Tu le rapellas alors pour savoir.
Une voix qui te semblait inconnu répondu. Elle se dit l’amie a tes parents et dit que tes parents n’étaient pas disponible pour le moment et que ils t’apellerait le lendemain. Tout sa te semblait très étrange mais tu laissa tombé car tu étaits très fatiguéet tu décidas de te coucher.
Tu t’installa bien confortablement dans ton lit et tu s’entais peu a peu le sommeil t’envahir Alors que tu dormais presque tu entendis un bruit étrange qui venais de dehors. Bien que tu sois de nature très peureux, ce bruit parraisait de venir d’assez loin alors tu alla voir par la fenêtre.
Tu entre ouvrit ton rideau. Tu n’y voyais rien puisqu’il fesait trop noir. Mais étant donner que tout parressait calme et que tu n’entendais plus de bruit tu ouvrit le rideau au complet.
Quand tu leva les yeux vers la fenêtre tu fus figer par la peur. Un homme ce tenais debout devant ta fenêtre. Il tenait une hache dans ses mains.
D’un geste très lent et minutieux, l’homme lanca la hache par la fenêtre. Celle-ci éclata en morceaux au contact de la lourde hache qui atterit sur le plancher froid de ta chambre. Effrayer tu resta là sans bouger, du coin de l’oeil tu observais la hache ensanglantée. Impuissant a ce qui tarrivais tu ne pouvais que t’enfuir. Et c’est ce que tu fis ! ! Pas question de rester une seconde de plus dans cette pièce. Mais où aller ? ? ? A l’extérieur tant qu’a l’extérieur l’homme pouvait être n’importe où ! ! Tu étais pris au piège ! !
Tu décidas d’appeler la police ! ! Tu appuya sur le bouton ’’on’’ du téléphone. Tu t’apprèta a téléphoner quand tu entendis, un bruit bizzare venir du téléphone. Tu en conclua aussitôt que l’homme avait réeussi a s’infiltrer dans ta chambre. Ce que tu entendais te parraissait réelement étrange. C’était comme si quequ’un grugait quelque chose, mais le bruit était très amplifier. Tout se passait si vite. Derrière ces bruit de grugement, tu entendais un rire d’enfant. Tu avais très peur, tu ne savais pas ce qui t’arrivais. Les grugements arrétère mais tout en accélérant les rires continuèrent.
Tu entendis alors un bruit de pelle, quelqu’un creusait. Mais ce bruit ne venait pas du téléphone. Pour t’en assurer tu éloignas le téléphone de ton visage. Tu entendais toujours les bruits de pelle.
Tout à coup, un coup de tonerre retentit. Tu fus plonger dans un noir absolu. Surment une panne de courant, a moins que quelqu’un est volontairement coupé le courant.
Angoisée tu raprocha le téléphone de ton visage, et tu demanda : ’’ qui es la ? ? qu’est ce que vous me voulez ? s. v. p. laisser moi tranquille. . Allo ? ? ’’ Mais c’était peine perdu. Personne ne te répondit. Cinq gros coups frapper avec lenteur te firent sursoter. Tu allas te cacher derrière ton divan. Une fois de plus 5 coup résonnèrent par la porte d’entrée.
La porte d’entré s’ouvrit et tu entendis un grand hurlement. Tu leva les yeux vers la porte mais il n’y rien a pars une ombre sur le plancher. Un autre coup de tonnère se fit entendre. Térorisée tu fermas les yeux. Quelques secondes après quand tu les réouvris, tout parraissait calme. Il n’y avait plus d’ombre et la porte était fermée. En te relevant tu vérifiais soigneseument partout pour voir si il n’y avait pas quelqu’un de cacher. Mais il n’y avait personne.
Tu n’osais pas descendre dans ta chambre, mais il le fallait. Muni d’un couteau, tu descendi anxieusement l’escalier. Arriver devant ta chambre tu t’apercu que la porte étais fermer. Pourtant tu ne te rappele de l’avoir laisser ouverte. Tu pris une profonde respiration et d’un geste vif tu tourna la poigner.
Tu n’y comprenais plus rien. Ta chambre était comme a l’habitude. Et la fenêtre… elle était intact ! ! Tu n’avais tout de même pas imaginer tout ca. Tu t’éfala sur le divan et tu bien malgré toi tu t’endormis.
Quand tu te réveilla le lendemain tu étais encore très fatigue. Tu pris un peu de temps pour réaliser ce qui t’avais arriver. Pensant que ce n’était qu’un mauvais rêve tu te précipita vers leurs chambre. A ton grand désarois ils n’y était pas.
Tu avais besoin de temps pour réfléchir a tout ca. Mais tu ne voulais pas rester dans cette maison où tout c’était passer. Près de chez toi, il y avait un petit bois. Il mouillait un peu dehors, mais tu s’avais que tu pouvais y être en paix. Tu enfila ton manteau et au pas de course tu te diriga vers la forêt. Tu irais t’asseoir sur un gros rocher au milieu de la forêt. Une fois arriver tu regarda autour de toi, Bien que tu allais souvent a cette endroit, tout te parraisait inconnu.
Tu ne te sentais pas bien du tout. Au moment où tu t’apréta a t’en aller tu entendis ce même bruit. Pour la deuxième fois quelqu’un creusait. Mais cette fois ci, le bruit venais du fond de la foret. Tu sentais que le bruit était proche de toi. Tu te retourna et tu vis un peu plus lon quelque chose bouger.
Avec prudence, tu t’approchi tranquilement. Quand tu fus sufisament proche pour voir, tu t’aperçus que la personne qui était la, avait une assez grande ressemblance avec l’homme d’hier. Mais tu fis un bruit et l’homme s’apercu de ta précense. Tu couru aussi vite que tu pu. Tu était maintenant rendu au rocher. Mais comme il pleuvait le rocher était mouillé donc glissant. Tu ne pu éviter la chute. Tu t’écroula de tout ton long. Tu n’avais plus la force de bouger. C’est comme si tu perdais tout contact avec la réalité.
Au loin tu entandais prononcé ton nom. Peu a peu tu repris contact avec la réalité. Tu te tourna et puis tu vis ton père et ta mèrete regarder bêtement. Ton père dit ’’Ce n’est pas parce que c’est ta fête que tu a le droit de te coucher a des heures imposible ! ! ’’ Tu te retourna et tu t’apercu que tu étais toujours devant ton ordinateur. Tu resta figer de stupeur ! ! tu venais de te rendre compte que en réalité tu n’avais jamais arrêter de jouer a ton je ’VirtualGames’ ! ! ! Tu t’’excusa a tes parents quand tu vis qu’il était 2h30 du matin ! ! Tu lui demanda depuis combien de temps il était rentrer il te répondu : ’’Depuis environ 10h00 ! ! Tu avais l’air tellement concentrer dans ton jeu que nous ne voulions pas te déranger ! mais la y’a des limites ! ! ’’ Tu te leva et tu décida que les jeux virtuel c’était assez pour toi.
’’Au fait, on a mis ton cadeau sur ton lit, on a pa eu le temps de l’embaler, mais je crois que tu va adorer ce cadeau. ’’ dis ton père. Bien que ce soir tu es eu beaucoup trop d’émotion a ton gout, tu étais tout de même curieux de savoir ce que tes parents t’avait acheter ! ! Au loin tu vis que c’était un jeu d’ordinateur. Tu tourna la boite et tu pu y lire : ’’ VirtualGame2 un jeu plus vrai que nature ’’ ! ! ! !