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Poème:Un Cri Dans La Nuit

Le Poème

Il faisait nuit. J’étais étendu sur mon lit. Demain une journée nouvelle allait marquer un tournant dans ma vie. Une journée qui devait me donner un bonheur enfin recouvré. Qui devait mettre un terme à cette solitude, cette mélancolie, cette morosité. Oui, tout cela était définitivement terminé. Ma fille était enfin sortie de son coma profond, me redonnant le goût de vivre qui m’avait quitté lors de la perte de sa compagnie. En attendant, il y avait ce silence harmonieux, et aussi ce parfum tellement doux qui se promenait dans l’air : cet environnement somptueux si caractéristique de la nuit. Soudain, un cri aigu m’arracha à mes songes. Ma fille ! Je me précipitai alors dans sa chambre. J’y découvris à ma grande surprise une silhouette étrangement familière penchée sur mon enfant. Silhouette, que j’avais de grande difficulté à distinguer. Une foule d’hypothèses les plus farfelues se bousculait dans mon esprit et je ne savais que faire. Comment réagir. J’étais littéralement paralysé. C’est bizarre, vous pensez probablement que n’importe qui dans ma situation aurait du faire quelque chose, n’importe quoi ! Quelque chose… …
C’est que cette scène me semblait si irréel. Et… . La vérité, c’est que j’éprouvais une grande appréhension à m’avancer davantage vers la scène, comme si j’avais peur de découvrir plus en détail l’inconnu. C’est alors que se produit l’événement le plus traumatisant de ce rêve : l’inconnu se mit à me parler puis me dit « Ah ! Comme l’instant de notre rencontre me tarde ! Mais n’essaie surtout pas d’y échapper. Tu en serais bien incapable de toute façon. Car notre rassemblement m’est nécessaire, tu me le dois, c’est ton destin. » Et c’est à cet instant, que l’homme sortit de sa pénombre, me laissant découvrir un visage ensanglanté ainsi qu’une paires de canines aux proportions plus qu’ étonnantes ou perlait quelques gouttes de ce liquide épais, volé à mon tendre amour, qui couvrait presque totalement sa bouche. Quel horrible visage, cela m’était insupportable de le regarder une seule seconde. Puis recouvrant mes esprits, je réalisai ce qui me dégouttait tant dans ce visage. Je me mis alors à psalmodier inlassablement cette même phrase « Cela ne se peut pas. Cela ne se peut pas… J’étais véritablement dans un état de choc, mon esprit ne pouvait supporter une telle réalité. Tant d’horreur s’était succédé. Et c’est la que tout ce malaise, toute cette peur, cette anxiété, explosa en moi. Sous la forme d’un cri intense et suraigu : » NON ! NON ! NON ! C’EST IMPOSSIBLE ! JAMAIS ! NON ! JAMAIIIIIIIIIIS ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! !
Des ombres menaçantes se profilait à l’horizon, parcourant leur environnement primitif. Cet endroit lugubre me coupait la respiration. Il fallait que je me délivre de cette étreinte malsaine. En effet, il fallait que je sorte de cette pièce, que je sorte de cette chambre, de ces draps qui m’étouffait. Aller marcher, aller se perdre dans ces rues désertes et tortueuses. Je sortis du lit, m’habillais, regardais dans la chambre de ma fille ; tout allait bien elle dormait. Ce n’était qu’un mauvais rêve, rien qu’un mauvais rêve.
J’ouvris doucement la porte d’entrée pour ne pas réveiller mon ange puis sortis. Ah ! Cela m’avait toujours procuré un sentiment d’extase de marcher la nuit. Se laissait imprégner par son épais manteau. Quelle sensation divine.
Mais malgré tout cela, je ne pouvais réprimer un sentiment de malaise. C’était ce rêve. Il faut dire que ce qu’il m’avait suggéré était si effrayant. C’était plus que ne pouvait en supporter un père. Et ce souvenir ne cessait de me tourmenter tandis que j’ errais dans ces rues désertes. Oui, cette image hantait à chaque instant mes pensées, je ne parvenais pas à comprendre comment j’avais pu en venir à faire ce rêve. De quel coin tordu de mon esprit avait pu bien jaillir ce songe.
Mais je n’eus guère le temps de méditer sur cette question, car, brusquement, une ombre me plaqua au sol avec une force prodigieuse. Ainsi qu’une facilité dans l’action qui me donna la sensation d’évoluer dans un univers onirique. Je voletais et je ne n’eu qu’une conscience restreinte de ce qui se passa alors. Cette créature but mon sang, lentement, goulûment. Je me sentais défaillir et je me doutais bien que toute force ne tarderait pas à quitter mon corps. Puis, alors que la mort allait m’emporter, l’être se défit de moi, me laissant le loisir de l’observer quelques secondes. Je vis un homme à l’allure lugubre, avec une expression dans le regard recelant une haine farouche et persistante. Sur le coup, je m’expliquai ce regard diabolique à une amère rancœur qui aurai éclaté un jour en lui. Sur ce point, je me trompais lourdement, cette rancœur se déchaîna en lui brusquement, sans attendre. Lors d’une nuit fugace et ténébreuse. Comme pour nous tous. Et je dis diabolique, car même si il avait toutes les apparences d’un homme, il n’en était plus un. Oui ! En effet je ne discernais dans ses yeux aucune trace d’humanité. Cette apparition me terrifia. C’est alors qu’il déclara d’une voix forte ou je percevais nettement les traces d’une cruauté folle : « Enfin, c’en est fini de moi, à toi la souffrance » Il tendit une main décharnée vers moi, puis une lumière se mit à irradier intensément à l’intérieur de son corps. Quand elle fut venue à son paroxysme elle s’écarta de son porteur pour se diriger vers ma personne, à la suite de cette réaction, mon corps sembla l’absorber. Une forte brûlure parcourut tout mon être et la souffrance fut horrible. Mais ce ne fut rien à côté de ce qui se passa à la suite de cette brûlure. Tout sentiment de perception m’avait quitté, quand une voix résonna en moi et dit : « KNOT ! Accepte mon cadeau d’immortalité, en échange d’une vie pitoyable et éphémère. Tu peux le prendre comme une malédiction, c’est ton droit. Mais tu dois être mon calice de vie, tu n’as pas le choix. » Et c’est la que se produit l’acte qui devint pour moi une source de tourment. Je me réveillais à nouveau, une peur m’envahit soudainement : dans tout cela qu’est qui appartenait au domaine du songe ? J’accourais jusqu’à la chambre de ma fille et fus grandement soulagé de la trouver seule. Je m’approchais d’elle ; elle dormait paisiblement. Tout allait bien, décidément mes rêves étaient de plus en plus morbide, il serait peut être temps que je cesse mes lectures. J’étais sur le point de m’en retourner quand une pulsion incontrôlable me fit plonger ses dents qui désormais n’étaient plus mienne dans la douce peau de ma tendre petite fille, ma pauvre chérie, celle qui était le soleil de ma vie. Oh malédiction ! J’aurais du écouter mes prémonitions. Hélas ! C’est trop tard ? Ma damnation est désormais irrémédiable. Et tandis que mes larmes maudites lui couvrent le visage, je pense à la calamité que j’aurais pu éviter. Ah ! Si seulement je ne m’étais pas méfier des choses que l’esprit ne peut accepter… Des causes de leur cruauté. Etre fourbe et vicieux qui désormais me domine.
Car désormais ce n’est plus un mauvais rêve, c’est la réalité. Mon apparence m’est désormais dégouttante. Tout comme à présent le parfum nocturne m’est bien différent. Demain sera une autre nuit, une autre nuit de tourment. Allongé dans un des caveaux d’un cimetière inconnu, j’entends ce silence, désormais horrible à mes oreilles mais bien moins horrible que la sensation d’amers regrets que je ressens en cet instant. En cet instant, où je sers fortement, tel un animal le cadavre de mon enfant. Oh ! Etre impie, origine d’une création destructrice, comment donc veux-tu que j’accepte ce cadeau hors du temps
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Poeme de Miss Belzy

Poète Miss Belzy

Miss Belzy a publié sur le site 80 écrits. Miss Belzy est membre du site depuis l'année 2004.

Syllabation De L'Écrit

Syllabes Hyphénique: Un Cri Dans La Nuitil=fai=sait=nuit=jé=tais=é=ten=du=sur=mon=lit=de=main=u=ne=jour=née=nou=vel=le=al=lait=mar=quer=un=tour=nant=dans=ma=vie=une=jour=née=qui=de=vait=me=don=ner=un=bon=heur=en=fin=re=cou=vré=qui=de=vait=met=tre=un=ter=me=à=cet=te=so=li=tu=de=cet=te=mé=lan=co=lie=cet=te=mo=ro=si=té=oui=tout=ce=la=é=tait=dé=fi=ni=ti=ve=ment=ter=mi=né=ma=fille=é=tait=en=fin=sor=tie=de=son=co=ma=pro=fond=me=re=don=nant=le=goût=de=vi=vre=qui=ma=vait=quit=té=lors=de=la=per=te=de=sa=com=pa=gnie=en=at=ten=dant=il=y=a=vait=ce=si=len=ce=har=mo=nieux=et=aus=si=ce=par=fum=tel=le=ment=doux=qui=se=pro=me=nait=dans=lair=cet=en=vi=ron=ne=ment=somp=tueux=si=ca=rac=té=ris=ti=que=de=la=nuit=sou=dain=un=cri=ai=gu=mar=ra=cha=à=mes=songes=ma=fille=je=me=pré=ci=pi=tai=a=lors=dans=sa=chambre=jy=dé=cou=vris=à=ma=gran=de=sur=pri=se=u=ne=sil=houet=te=é=tran=ge=ment=fa=mi=liè=re=pen=chée=sur=mon=en=fant=sil=houet=te=que=ja=vais=de=gran=de=dif=fi=cul=té=à=dis=tin=guer=une=fou=le=d=hy=po=thè=ses=les=plus=far=fe=lues=se=bous=cu=lait=dans=mon=es=prit=et=je=ne=sa=vais=que=faire=com=ment=ré=a=gir=jé=tais=lit=té=ra=le=ment=pa=ra=ly=sé=cest=bi=zar=re=vous=pen=sez=pro=ba=ble=ment=que=nim=por=te=qui=dans=ma=si=tua=ti=on=au=rait=du=fai=re=quel=que=cho=se=nim=por=te=quoi=quel=que=chose 332
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mais=je=neus=guère=le=temps=de=mé=di=ter=sur=cet=te=ques=tion=car=brus=que=ment=u=neom=bre=me=pla=qua=au=sol=a=vec=u=ne=for=ce=pro=di=gieuse=ain=si=quu=ne=fa=ci=li=té=dans=lac=tion=qui=me=don=na=la=sen=sa=ti=on=dé=vo=luer=dans=un=u=ni=vers=o=ni=rique=je=vo=le=tais=et=je=ne=neu=quu=ne=cons=cien=ce=res=trein=te=de=ce=qui=se=pas=sa=a=lors=cet=te=cré=a=tu=re=but=mon=sang=len=te=ment=gou=lû=ment=je=me=sen=tais=dé=faillir=et=je=me=dou=tais=bien=que=tou=te=for=ce=ne=tar=de=rait=pas=à=quit=ter=mon=corps=puis=a=lors=que=la=mort=al=lait=mem=por=ter=lê=tre=se=dé=fit=de=moi=me=lais=sant=le=loi=sir=de=lob=ser=ver=quel=ques=se=condes=je=vis=un=hom=me=à=lal=lu=re=lu=gu=bre=a=vec=u=ne=ex=pres=sion=dans=le=re=gard=re=ce=lant=u=ne=hai=ne=fa=rou=che=et=per=sis=tante=sur=le=coup=je=mex=pli=quai=ce=re=gard=dia=bo=li=que=à=u=ne=a=mè=re=ran=cœur=qui=au=rai=é=cla=té=un=jour=en=lui=sur=ce=point=je=me=trom=pais=lour=de=ment=cet=te=ran=cœur=se=dé=chaî=na=en=lui=brus=que=ment=sans=at=tendre=lors=du=ne=nuit=fu=ga=ce=et=té=né=breuse=com=me=pour=nous=tous=et=je=dis=dia=bo=li=que=car=mê=me=si=il=a=vait=tou=tes=les=ap=pa=ren=ces=dun=hom=me=il=nen=é=tait=plus=un=oui=en=ef=fet=je=ne=dis=cer=nais=dans=ses=yeux=au=cu=ne=tra=ce=dhu=ma=ni=té=cet=te=ap=pa=ri=ti=on=me=ter=ri=fia=cest=a=lors=quil=dé=cla=ra=du=ne=voix=for=te=ou=je=per=ce=vais=net=te=ment=les=tra=ces=du=ne=cruau=té=fol=le=en=fin=cen=est=fi=ni=de=moi=à=toi=la=souf=fran=ce=il=ten=dit=u=ne=main=dé=char=née=vers=moi=puis=u=ne=lu=miè=re=se=mit=à=ir=ra=dier=in=ten=sé=ment=à=lin=té=rieur=de=son=corps=quand=elle=fut=ve=nue=à=son=pa=roxys=me=el=le=sé=car=ta=de=son=por=teur=pour=se=di=ri=ger=vers=ma=per=son=ne=à=la=sui=te=de=cet=te=ré=ac=tion=mon=corps=sem=bla=lab=sor=ber=une=for=te=brû=lu=re=par=cou=rut=tout=mon=ê=tre=et=la=souf=fran=ce=fut=hor=rible=mais=ce=ne=fut=rien=à=cô=té=de=ce=qui=se=pas=sa=à=la=sui=te=de=cet=te=brû=lu=re=tout=sen=ti=ment=de=per=cep=ti=on=ma=vait=quit=té=quand=u=ne=voix=ré=son=na=en=moi=et=dit=k=not=ac=cep=te=mon=ca=deau=dim=mor=ta=li=té=en=é=chan=ge=du=ne=vie=pi=toya=ble=et=é=phé=mère=tu=peux=le=pren=dre=com=me=u=ne=ma=lé=dic=tion=cest=ton=droit=mais=tu=dois=ê=tre=mon=ca=li=ce=de=vie=tu=nas=pas=le=choix=et=cest=la=que=se=pro=duit=lac=te=qui=de=vint=pour=moi=u=ne=sour=ce=de=tour=ment=je=me=ré=veillais=à=nou=veau=u=ne=peur=men=va=hit=sou=dai=ne=ment=dans=tout=ce=la=quest=qui=ap=par=te=nait=au=do=mai=ne=du=son=ge=jac=cou=rais=jus=quà=la=cham=bre=de=ma=fille=et=fus=gran=de=ment=sou=la=gé=de=la=trou=ver=seu=le=je=map=pro=chais=del=le=el=le=dor=mait=pai=si=ble=ment=tout=al=lait=bien=dé=ci=dé=ment=mes=rê=ves=é=taient=de=plus=en=plus=mor=bi=de=il=se=rait=peut=ê=tre=temps=que=je=ces=se=mes=lec=tu=res=jé=tais=sur=le=point=de=men=re=tour=ner=quand=u=ne=pul=sion=in=con=trô=la=ble=me=fit=plon=ger=ses=dents=qui=dé=sor=mais=né=taient=plus=mien=ne=dans=la=dou=ce=peau=de=ma=ten=dre=pe=ti=te=fille=ma=pau=vre=ché=rie=cel=le=qui=é=tait=le=so=leil=de=ma=vie=oh=ma=lé=dic=tion=jau=rais=du=é=cou=ter=mes=pré=mo=ni=tions=hé=las=cest=trop=tard=ma=dam=na=ti=on=est=dé=sor=mais=ir=ré=mé=diable=et=tan=dis=que=mes=lar=mes=mau=di=tes=lui=cou=vrent=le=vi=sa=ge=je=pen=se=à=la=ca=la=mi=té=que=jau=rais=pu=é=vi=ter=ah=si=seu=le=ment=je=ne=mé=tais=pas=mé=fier=des=cho=ses=que=les=prit=ne=peut=ac=cep=ter=des=cau=ses=de=leur=cruau=té=etre=four=be=et=vi=cieux=qui=dé=sor=mais=me=do=mine 892
car=dé=sor=mais=ce=nest=plus=un=mau=vais=rê=ve=cest=la=ré=a=li=té=mon=ap=pa=ren=ce=mest=dé=sor=mais=dé=gout=tan=te=tout=com=me=à=pré=sent=le=par=fum=noc=tur=ne=mest=bien=dif=fé=rent=de=main=se=ra=u=ne=au=tre=nuit=u=ne=au=tre=nuit=de=tour=ment=al=lon=gé=dans=un=des=ca=veaux=dun=ci=me=ti=è=re=in=con=nu=jen=tends=ce=si=len=ce=dé=sor=mais=hor=ri=ble=à=mes=o=rei=lles=mais=bien=moins=hor=ri=ble=que=la=sen=sa=ti=on=da=mers=re=grets=que=je=res=sens=en=cet=ins=tant=en=cet=ins=tant=où=je=sers=for=te=ment=tel=un=a=ni=mal=le=ca=da=vre=de=mon=en=fant=oh=e=tre=im=pie=o=ri=gi=ne=du=ne=cré=a=ti=on=des=truc=tri=ce=com=ment=donc=veux=tu=que=jac=cep=te=ce=ca=deau=hors=du=temps 180
Phonétique : Un Cri Dans La Nuitil fəzε nɥi. ʒetεz- etɑ̃dy syʁ mɔ̃ li. dəmɛ̃ ynə ʒuʁne nuvεllə alε maʁke œ̃ tuʁnɑ̃ dɑ̃ ma vi. ynə ʒuʁne ki dəvε mə dɔne œ̃ bɔnœʁ ɑ̃fɛ̃ ʁəkuvʁe. ki dəvε mεtʁə œ̃ tεʁmə a sεtə sɔlitydə, sεtə melɑ̃kɔli, sεtə mɔʁozite. ui, tu səla etε definitivəmɑ̃ tεʁmine. ma fijə etε ɑ̃fɛ̃ sɔʁti də sɔ̃ kɔma pʁɔfɔ̃, mə ʁədɔnɑ̃ lə ɡu də vivʁə ki mavε kite lɔʁ də la pεʁtə də sa kɔ̃paɲi. ɑ̃n- atɑ̃dɑ̃, il i avε sə silɑ̃sə-aʁmɔnjø, e osi sə paʁfœ̃ tεllmɑ̃ du ki sə pʁɔmənε dɑ̃ lεʁ : sεt ɑ̃viʁɔnəmɑ̃ sɔ̃ptɥø si kaʁakteʁistikə də la nɥi. sudɛ̃, œ̃ kʁi εɡy maʁaʃa a mε sɔ̃ʒə. ma fijə ! ʒə mə pʁesipitε alɔʁ dɑ̃ sa ʃɑ̃bʁə. ʒi dekuvʁiz- a ma ɡʁɑ̃də syʁpʁizə ynə siluεtə etʁɑ̃ʒəmɑ̃ familjεʁə pɑ̃ʃe syʁ mɔ̃n- ɑ̃fɑ̃. siluεtə, kə ʒavε də ɡʁɑ̃də difikylte a distɛ̃ɡe. ynə fulə dipɔtεzə lε plys faʁfəlɥ sə buskylε dɑ̃ mɔ̃n- εspʁi e ʒə nə savε kə fεʁə. kɔmɑ̃ ʁeaʒiʁ. ʒetε liteʁaləmɑ̃ paʁalize. sε bizaʁə, vu pɑ̃se pʁɔbabləmɑ̃ kə nɛ̃pɔʁtə ki dɑ̃ ma sitɥasjɔ̃ oʁε dy fεʁə kεlkə ʃozə, nɛ̃pɔʁtə kwa ! kεlkə ʃozə…
sε kə sεtə sεnə mə sɑ̃blε si iʁeεl. e… la veʁite, sε kə ʒepʁuvεz- ynə ɡʁɑ̃də apʁeɑ̃sjɔ̃ a mavɑ̃se davɑ̃taʒə vεʁ la sεnə, kɔmə si ʒavε pœʁ də dekuvʁiʁ plysz- ɑ̃ detaj lɛ̃kɔny. sεt- alɔʁ kə sə pʁɔdɥi levenəmɑ̃ lə plys tʁomatizɑ̃ də sə ʁεvə : lɛ̃kɔny sə mit a mə paʁle pɥi mə dit « a ! kɔmə lɛ̃stɑ̃ də nɔtʁə ʁɑ̃kɔ̃tʁə mə taʁdə ! mε nesε syʁtu pa di eʃape. ty ɑ̃ səʁε bjɛ̃ ɛ̃kapablə də tutə fasɔ̃. kaʁ nɔtʁə ʁasɑ̃bləmɑ̃ mε nesesεʁə, ty mə lə dwa, sε tɔ̃ dεstɛ̃. » εt sεt- a sεt ɛ̃stɑ̃, kə lɔmə sɔʁti də sa penɔ̃bʁə, mə lεsɑ̃ dekuvʁiʁ œ̃ vizaʒə ɑ̃sɑ̃ɡlɑ̃te ɛ̃si kynə pεʁə də kaninəz- o pʁɔpɔʁsjɔ̃ plys ketɔnɑ̃təz- u pεʁlε kεlk ɡutə də sə likidə epε, vɔle a mɔ̃ tɑ̃dʁə amuʁ, ki kuvʁε pʁεskə tɔtaləmɑ̃ sa buʃə. kεl ɔʁiblə vizaʒə, səla metε ɛ̃sypɔʁtablə də lə ʁəɡaʁde ynə sələ səɡɔ̃də. pɥi ʁəkuvʁɑ̃ mεz- εspʁi, ʒə ʁealizε sə ki mə deɡutε tɑ̃ dɑ̃ sə vizaʒə. ʒə mə miz- alɔʁz- a psalmɔdje ɛ̃lasabləmɑ̃ sεtə mεmə fʁazə « səla nə sə pø pa. səla nə sə pø pa… ʒetε veʁitabləmɑ̃ dɑ̃z- œ̃n- eta də ʃɔk, mɔ̃n- εspʁi nə puvε sypɔʁte ynə tεllə ʁealite. tɑ̃ dɔʁœʁ setε syksede. e sε la kə tu sə malεzə, tutə sεtə pœʁ, sεtə ɑ̃ksjete, εksploza ɑ̃ mwa. su la fɔʁmə dœ̃ kʁi ɛ̃tɑ̃sə e syʁεɡy : » nɔ̃ ! nɔ̃ ! nɔ̃ ! sεt- ɛ̃pɔsiblə ! ʒamε ! nɔ̃ ! ʒamεjji ! ! !
dεz- ɔ̃bʁə- mənasɑ̃tə sə pʁɔfilε a lɔʁizɔ̃, paʁkuʁɑ̃ lœʁ ɑ̃viʁɔnəmɑ̃ pʁimitif. sεt ɑ̃dʁwa lyɡybʁə mə kupε la ʁεspiʁasjɔ̃. il falε kə ʒə mə delivʁə də sεtə etʁɛ̃tə malsεnə. ɑ̃n- efε, il falε kə ʒə sɔʁtə də sεtə pjεsə, kə ʒə sɔʁtə də sεtə ʃɑ̃bʁə, də sε dʁa ki metufε. ale maʁʃe, ale sə pεʁdʁə dɑ̃ sε ʁy dezεʁtəz- e tɔʁtɥøzə. ʒə sɔʁti dy li, mabijε, ʁəɡaʁdε dɑ̃ la ʃɑ̃bʁə də ma fijə, tut- alε bjɛ̃ εllə dɔʁmε. sə netε kœ̃ movε ʁεvə, ʁjɛ̃ kœ̃ movε ʁεvə.
ʒuvʁi dusəmɑ̃ la pɔʁtə dɑ̃tʁe puʁ nə pa ʁevεje mɔ̃n- ɑ̃ʒə pɥi sɔʁti. a ! səla mavε tuʒuʁ pʁɔkyʁe œ̃ sɑ̃timɑ̃ dεkstazə də maʁʃe la nɥi. sə lεsε ɛ̃pʁeɲe paʁ sɔ̃n- epε mɑ̃to. kεllə sɑ̃sasjɔ̃ divinə.
mε malɡʁe tu səla, ʒə nə puvε ʁepʁime œ̃ sɑ̃timɑ̃ də malεzə. setε sə ʁεvə. il fo diʁə kə sə kil mavε syɡʒeʁe etε si efʁεjɑ̃. setε plys kə nə puvε ɑ̃ sypɔʁte œ̃ pεʁə. e sə suvəniʁ nə sesε də mə tuʁmɑ̃te tɑ̃di kə ʒeʁε dɑ̃ sε ʁy dezεʁtə. ui, sεtə imaʒə-ɑ̃tε a ʃakə ɛ̃stɑ̃ mε pɑ̃se, ʒə nə paʁvənε pa a kɔ̃pʁɑ̃dʁə kɔmɑ̃ ʒavε py ɑ̃ vəniʁ a fεʁə sə ʁεvə. də kεl kwɛ̃ tɔʁdy də mɔ̃n- εspʁi avε py bjɛ̃ ʒajiʁ sə sɔ̃ʒə.
mε ʒə ny ɡεʁə lə tɑ̃ də medite syʁ sεtə kεstjɔ̃, kaʁ, bʁyskəmɑ̃, ynə ɔ̃bʁə mə plaka o sɔl avεk ynə fɔʁsə pʁɔdiʒjøzə. ɛ̃si kynə fasilite dɑ̃ laksjɔ̃ ki mə dɔna la sɑ̃sasjɔ̃ devɔlɥe dɑ̃z- œ̃n- ynivez- ɔniʁikə. ʒə vɔlətεz- e ʒə nə ny kynə kɔ̃sjɑ̃sə ʁəstʁɛ̃tə də sə ki sə pasa alɔʁ. sεtə kʁeatyʁə byt mɔ̃ sɑ̃, lɑ̃təmɑ̃, ɡulyme. ʒə mə sɑ̃tε defajiʁ e ʒə mə dutε bjɛ̃ kə tutə fɔʁsə nə taʁdəʁε pa a kite mɔ̃ kɔʁ. pɥi, alɔʁ kə la mɔʁ alε mɑ̃pɔʁte, lεtʁə sə defi də mwa, mə lεsɑ̃ lə lwaziʁ də lɔpsεʁve kεlk səɡɔ̃də. ʒə vis œ̃n- ɔmə a lalyʁə lyɡybʁə, avεk ynə εkspʁesjɔ̃ dɑ̃ lə ʁəɡaʁ ʁəsəlɑ̃ ynə-εnə faʁuʃə e pεʁsistɑ̃tə. syʁ lə ku, ʒə mεksplikε sə ʁəɡaʁ djabɔlikə a ynə amεʁə ʁɑ̃kœʁ ki oʁε eklate œ̃ ʒuʁ ɑ̃ lɥi. syʁ sə pwɛ̃, ʒə mə tʁɔ̃pε luʁdəmɑ̃, sεtə ʁɑ̃kœʁ sə deʃεna ɑ̃ lɥi bʁyskəmɑ̃, sɑ̃z- atɑ̃dʁə. lɔʁ dynə nɥi fyɡasə e tenebʁøzə. kɔmə puʁ nu tus. e ʒə di djabɔlikə, kaʁ mεmə si il avε tutə lεz- apaʁɑ̃sə dœ̃n- ɔmə, il nɑ̃n- etε plysz- œ̃. ui ! ɑ̃n- efε ʒə nə disεʁnε dɑ̃ sεz- iøz- okynə tʁasə dymanite. sεtə apaʁisjɔ̃ mə teʁifja. sεt- alɔʁ kil deklaʁa dynə vwa fɔʁtə u ʒə pεʁsəvε nεtəmɑ̃ lε tʁasə dynə kʁɥote fɔlə : « ɑ̃fɛ̃, sɑ̃n- ε fini də mwa, a twa la sufʁɑ̃sə » il tɑ̃di ynə mɛ̃ deʃaʁne vεʁ mwa, pɥiz- ynə lymjεʁə sə mit a iʁadje ɛ̃tɑ̃semɑ̃ a lɛ̃teʁjœʁ də sɔ̃ kɔʁ. kɑ̃t- εllə fy vənɥ a sɔ̃ paʁɔksismə εllə sekaʁta də sɔ̃ pɔʁtœʁ puʁ sə diʁiʒe vεʁ ma pεʁsɔnə, a la sɥitə də sεtə ʁeaksjɔ̃, mɔ̃ kɔʁ sɑ̃bla labsɔʁbe. ynə fɔʁtə bʁylyʁə paʁkuʁy tu mɔ̃n- εtʁə e la sufʁɑ̃sə fy ɔʁiblə. mε sə nə fy ʁjɛ̃ a kote də sə ki sə pasa a la sɥitə də sεtə bʁylyʁə. tu sɑ̃timɑ̃ də pεʁsεpsjɔ̃ mavε kite, kɑ̃t- ynə vwa ʁezɔna ɑ̃ mwa e di : « kno ! aksεptə mɔ̃ kado dimɔʁtalite, ɑ̃n- eʃɑ̃ʒə dynə vi pitwajablə e efemεʁə. ty pø lə pʁɑ̃dʁə kɔmə ynə malediksjɔ̃, sε tɔ̃ dʁwa. mε ty dwaz- εtʁə mɔ̃ kalisə də vi, ty na pa lə ʃwa. » εt sε la kə sə pʁɔdɥi laktə ki dəvɛ̃ puʁ mwa ynə suʁsə də tuʁme. ʒə mə ʁevεjεz- a nuvo, ynə pœʁ mɑ̃vai sudεnəmɑ̃ : dɑ̃ tu səla kε ki apaʁtənε o dɔmεnə dy sɔ̃ʒə ? ʒakuʁε ʒyska la ʃɑ̃bʁə də ma fijə e fy ɡʁɑ̃dəmɑ̃ sulaʒe də la tʁuve sələ. ʒə mapʁoʃε dεllə, εllə dɔʁmε pεzibləmɑ̃. tut- alε bjɛ̃, desidemɑ̃ mε ʁεvəz- etε də plysz- ɑ̃ plys mɔʁbidə, il səʁε pø εtʁə tɑ̃ kə ʒə sεsə mε lεktyʁə. ʒetε syʁ lə pwɛ̃ də mɑ̃ ʁətuʁne kɑ̃t- ynə pylsjɔ̃ ɛ̃kɔ̃tʁolablə mə fi plɔ̃ʒe sε dɑ̃ ki dezɔʁmε netε plys mjεnə dɑ̃ la dusə po də ma tɑ̃dʁə pətitə fijə, ma povʁə ʃeʁi, sεllə ki etε lə sɔlεj də ma vi. ɔ malediksjɔ̃ ! ʒoʁε dy ekute mε pʁemɔnisjɔ̃. ela ! sε tʁo taʁ ? ma damnasjɔ̃ ε dezɔʁmεz- iʁemedjablə. e tɑ̃di kə mε laʁmə- moditə lɥi kuvʁe lə vizaʒə, ʒə pɑ̃sə a la kalamite kə ʒoʁε py evite. a ! si sələmɑ̃ ʒə nə metε pa mefje dε ʃozə kə lεspʁi nə pø aksεpte… dε kozə də lœʁ kʁɥote. εtʁə fuʁbə e visjø ki dezɔʁmε mə dɔminə.
kaʁ dezɔʁmε sə nε plysz- œ̃ movε ʁεvə, sε la ʁealite. mɔ̃n- apaʁɑ̃sə mε dezɔʁmε deɡutɑ̃tə. tu kɔmə a pʁezɑ̃ lə paʁfœ̃ nɔktyʁnə mε bjɛ̃ difeʁɑ̃. dəmɛ̃ səʁa ynə otʁə nɥi, ynə otʁə nɥi də tuʁme. alɔ̃ʒe dɑ̃z- œ̃ dε kavo dœ̃ simətjεʁə ɛ̃kɔny, ʒɑ̃tɑ̃ sə silɑ̃sə, dezɔʁmεz- ɔʁiblə a mεz- ɔʁεjə mε bjɛ̃ mwɛ̃z- ɔʁiblə kə la sɑ̃sasjɔ̃ dame ʁəɡʁε kə ʒə ʁəsɛ̃z- ɑ̃ sεt ɛ̃stɑ̃. ɑ̃ sεt ɛ̃stɑ̃, u ʒə sεʁ fɔʁtəmɑ̃, tεl œ̃n- animal lə kadavʁə də mɔ̃n- ɑ̃fɑ̃. ɔ ! εtʁə ɛ̃pi, ɔʁiʒinə dynə kʁeasjɔ̃ dεstʁyktʁisə, kɔmɑ̃ dɔ̃k vø ty kə ʒaksεptə sə kado ɔʁ dy tɑ̃
Syllabes Phonétique : Un Cri Dans La Nuitil=fə=zε=nɥi=ʒe=tε=ze=tɑ̃=dy=syʁ=mɔ̃=li=də=mɛ̃=y=nə=ʒuʁ=ne=nu=vεl=lə=a=lε=maʁ=ke=œ̃=tuʁ=nɑ̃=dɑ̃=ma=vi=y=nə=ʒuʁ=ne=ki=də=vε=mə=dɔ=ne=œ̃=bɔ=nœʁ=ɑ̃=fɛ̃=ʁə=ku=vʁe=ki=də=vε=mε=tʁə=œ̃=tεʁ=mə=a=sε=tə=sɔ=li=ty=də=sε=tə=me=lɑ̃=kɔ=li=sε=tə=mɔ=ʁo=zi=te=u=i=tu=sə=la=e=tε=de=fi=ni=ti=və=mɑ̃=tεʁ=mi=ne=ma=fi=jə=e=tε=ɑ̃=fɛ̃=sɔʁ=ti=də=sɔ̃=kɔ=ma=pʁɔ=fɔ̃=mə=ʁə=dɔ=nɑ̃=lə=ɡu=də=vi=vʁə=ki=ma=vε=ki=te=lɔʁ=də=la=pεʁ=tə=də=sa=kɔ̃=pa=ɲi=ɑ̃=na=tɑ̃=dɑ̃=il=i=a=vε=sə=si=lɑ̃=sə-aʁ=mɔ=nj=ø=e=o=si=sə=paʁ=fœ̃=tεl=lmɑ̃=du=ki=sə=pʁɔ=mə=nε=dɑ̃=lεʁ=sεt=ɑ̃=vi=ʁɔ=nə=mɑ̃=sɔ̃p=tɥø=si=ka=ʁak=te=ʁis=ti=kə=də=la=nɥi=su=dɛ̃=œ̃=kʁi=ε=ɡy=ma=ʁa=ʃa=a=mε=sɔ̃=ʒə=ma=fi=jə=ʒə=mə=pʁe=si=pi=tε=a=lɔʁ=dɑ̃=sa=ʃɑ̃=bʁə=ʒi=de=ku=vʁi=za=ma=ɡʁɑ̃=də=syʁ=pʁi=zə=y=nə=si=lu=ε=tə=e=tʁɑ̃=ʒə=mɑ̃=fa=mi=ljε=ʁə=pɑ̃=ʃe=syʁ=mɔ̃=nɑ̃=fɑ̃=si=lu=ε=tə=kə=ʒa=vε=də=ɡʁɑ̃=də=di=fi=kyl=te=a=dis=tɛ̃=ɡe=y=nə=fu=lə=di=pɔ=tε=zə=lε=plys=faʁ=fəlɥ=sə=bus=ky=lε=dɑ̃=mɔ̃=nεs=pʁi=e=ʒə=nə=sa=vε=kə=fε=ʁə=kɔ=mɑ̃=ʁe=a=ʒiʁ=ʒe=tε=li=te=ʁa=lə=mɑ̃=pa=ʁa=li=ze=sε=bi=za=ʁə=vu=pɑ̃=se=pʁɔ=ba=blə=mɑ̃=kə=nɛ̃=pɔʁ=tə=ki=dɑ̃=ma=sit=ɥa=sjɔ̃=o=ʁε=dy=fε=ʁə=kεl=kə=ʃo=zə=nɛ̃=pɔʁ=tə=kwa=kεl=kə=ʃo=zə 340
sεkə=sε=tə=sε=nə=mə=sɑ̃=blε=si=i=ʁe=εl=e=la=ve=ʁi=te=sε=kə=ʒe=pʁu=vε=zy=nə=ɡʁɑ̃=dəa=pʁe=ɑ̃=sjɔ̃=a=ma=vɑ̃=se=da=vɑ̃=ta=ʒə=vεʁ=la=sε=nə=kɔ=mə=si=ʒa=vε=pœʁ=də=de=ku=vʁiʁ=plys=zɑ̃=de=taj=lɛ̃=kɔ=ny=sε=ta=lɔʁ=kə=sə=pʁɔd=ɥi=le=ve=nə=mɑ̃=lə=plys=tʁo=ma=ti=zɑ̃=də=sə=ʁε=və=lɛ̃=kɔ=ny=sə=mit=a=mə=paʁ=le=pɥi=mə=dit=a=kɔ=mə=lɛ̃s=tɑ̃=də=nɔ=tʁə=ʁɑ̃=kɔ̃=tʁə=mə=taʁ=də=mε=ne=sε=syʁ=tu=pa=di=e=ʃa=pe=ty=ɑ̃=sə=ʁε=bjɛ̃=ɛ̃=ka=pa=blə=də=tu=tə=fa=sɔ̃=kaʁ=nɔ=tʁə=ʁa=sɑ̃=blə=mɑ̃=mε=ne=se=sε=ʁə=ty=mə=lə=dwa=sε=tɔ̃=dεs=tɛ̃=εt=sε=ta=sεt=ɛ̃s=tɑ̃=kə=lɔ=mə=sɔʁ=ti=də=sa=pe=nɔ̃bʁə=mə=lε=sɑ̃=de=ku=vʁiʁ=œ̃=vi=za=ʒə=ɑ̃=sɑ̃=ɡlɑ̃=te=ɛ̃=si=ky=nə=pε=ʁə=də=ka=ni=nə=zo=pʁɔ=pɔʁ=sjɔ̃=plys=ke=tɔ=nɑ̃=tə=zu=pεʁ=lε=kεl=kə=ɡu=tə=də=sə=li=ki=də=e=pε=vɔ=le=a=mɔ̃=tɑ̃=dʁə=a=muʁ=ki=ku=vʁε=pʁεs=kə=tɔ=ta=lə=mɑ̃=sa=bu=ʃə=kεl=ɔ=ʁi=blə=vi=za=ʒə=sə=la=me=tε=ɛ̃=sy=pɔʁ=ta=blə=də=lə=ʁə=ɡaʁ=de=y=nə=sə=lə=sə=ɡɔ̃=də=pɥi=ʁə=ku=vʁɑ̃=mε=zεs=pʁi=ʒə=ʁe=a=li=zε=sə=ki=mə=de=ɡu=tε=tɑ̃=dɑ̃=sə=vi=za=ʒə=ʒə=mə=mi=za=lɔʁ=za=psal=mɔ=dje=ɛ̃=la=sa=blə=mɑ̃=sε=tə=mε=mə=fʁa=zə=sə=la=nə=sə=pø=pa=sə=la=nə=sə=pø=pa=ʒe=tε=ve=ʁi=ta=blə=mɑ̃=dɑ̃=zœ̃=ne=ta=də=ʃɔk=mɔ̃=nεs=pʁi=nə=pu=vε=sy=pɔʁ=te=y=nə=tεllə=ʁe=a=li=te=tɑ̃=dɔ=ʁœʁ=se=tε=syk=se=de=e=sε=la=kə=tu=sə=ma=lε=zə=tu=tə=sε=tə=pœʁ=sε=tə=ɑ̃k=sje=te=εk=splo=za=ɑ̃=mwa=su=la=fɔʁ=mə=dœ̃=kʁi=ɛ̃=tɑ̃=sə=e=sy=ʁε=ɡy=nɔ̃=nɔ̃=nɔ̃=sε=tɛ̃=pɔ=si=blə=ʒa=mε=nɔ̃=ʒa=mε=jji 403
dε=zɔ̃=bʁə=mə=na=sɑ̃=tə=sə=pʁɔ=fi=lε=a=lɔ=ʁi=zɔ̃=paʁ=ku=ʁɑ̃=lœ=ʁə=ɑ̃=vi=ʁɔ=nə=mɑ̃=pʁi=mi=tif=sεt=ɑ̃=dʁwa=ly=ɡy=bʁə=mə=ku=pε=la=ʁεs=pi=ʁa=sj=ɔ̃=il=fa=lε=kə=ʒə=mə=de=li=vʁə=də=sε=tə=e=tʁɛ̃=tə=mal=sε=nə=ɑ̃=ne=fε=il=fa=lε=kə=ʒə=sɔʁ=tə=də=sε=tə=pj=ε=sə=kə=ʒə=sɔʁ=tə=də=sε=tə=ʃɑ̃=bʁə=də=sε=dʁa=ki=me=tu=fε=a=le=maʁ=ʃe=a=le=sə=pεʁ=dʁə=dɑ̃=sε=ʁy=de=zεʁ=tə=ze=tɔʁ=tɥ=ø=zə=ʒə=sɔʁ=ti=dy=li=ma=bi=jε=ʁə=ɡaʁ=dε=dɑ̃=la=ʃɑ̃=bʁə=də=ma=fi=jə=tu=ta=lε=bjɛ̃=εl=lə=dɔʁ=mε=sə=ne=tε=kœ̃=mo=vε=ʁε=və=ʁjɛ̃=kœ̃=mo=vε=ʁε=və 154
ʒu=vʁi=du=sə=mɑ̃=la=pɔʁ=tə=dɑ̃=tʁe=puʁ=nə=pa=ʁe=vε=j=e=mɔ̃=nɑ̃=ʒə=pɥi=sɔʁ=ti=a=sə=la=ma=vε=tu=ʒuʁ=pʁɔ=ky=ʁe=œ̃=sɑ̃=ti=mɑ̃=dεk=sta=zə=də=maʁ=ʃe=la=nɥi=sə=lε=sε=ɛ̃=pʁe=ɲe=paʁ=sɔ̃=ne=pε=mɑ̃=to=kεl=lə=sɑ̃=sa=sj=ɔ̃=di=vi=nə 66
mε=mal=ɡʁe=tu=sə=la=ʒə=nə=pu=vε=ʁe=pʁi=me=œ̃=sɑ̃=ti=mɑ̃=də=ma=lε=zə=se=tε=sə=ʁε=və=il=fo=di=ʁə=kə=sə=kil=ma=vε=syɡ=ʒe=ʁe=e=tε=si=e=fʁε=j=ɑ̃=se=tε=plys=kə=nə=pu=vε=ɑ̃=sy=pɔʁ=te=œ̃=pε=ʁə=e=sə=su=və=niʁ=nə=se=sε=də=mə=tuʁ=mɑ̃=te=tɑ̃=di=kə=ʒe=ʁε=dɑ̃=sε=ʁy=de=zεʁ=tə=u=i=sε=tə=i=ma=ʒə-ɑ̃=tε=a=ʃa=kə=ɛ̃s=tɑ̃=mε=pɑ̃=se=ʒə=nə=paʁ=və=nε=pa=a=kɔ̃=pʁɑ̃=dʁə=kɔ=mɑ̃=ʒa=vε=py=ɑ̃=və=niʁ=a=fε=ʁə=sə=ʁε=və=də=kεl=kwɛ̃=tɔʁ=dy=də=mɔ̃=nεs=pʁi=a=vε=py=bj=ɛ̃=ʒa=jiʁ=sə=sɔ̃=ʒə 143
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Commentaire Sur La Poesie

Auteur de Poésie
22/12/2004 00:00Kokinne

cest ben long comme poeme

Poème Absurde
Du 29/11/2004 10:50

L'écrit contient 1354 mots qui sont répartis dans 1 strophes.