Univers de poésie d'un auteur

Poème:Couple Funeste

Le Poème

Noir, tout est si noir. Noir palpable, un noir aux larmes d’encre, au goût de terre morte. Noirceur qui s’interrompent à la portée de ma vue, la ou naît le néant. Tout n’est que déchéance au crépuscule de ma vision. Plus rien ne palpite, plus rien de souffle. Que le fruit pourri de toutes les volontés qui se sont flétris comme une rose que par trop souvent respiré. Car sans toi plus rien ne vie, plus rien ne brille excepté, peut-être, la mort qui elle-même n’est plus tout à fais la promesse de paix d’autrefois.

Assis nue sur la pierre froide et rugueuse de ton lit immortel, je songe. A toutes ces éphémèrité qui nous ont saoulés, nous ouvrant les portes de la décadence, nous promettant jouissance perverse sans remords, sans regret moral. Étendu, la peau frigorifiée, je me remémore les bruits d’ambiance, ceux de l’aisance, des demandes suppliantes. Son de cuir mordant la chair déjà rougie, éclair de lame perçant l’épiderme tendre qui s’étire fébrilement faisant d’elle une bouche béante, affamé, désirant tout engloutir. Tous ces liquides, ho comme j’aimerais encore que nous déversions encore l’un sur l’autre tant de torrent passionnel liquéfié. Nous boire quelques instants, le temps d’étanché notre soif immorale, d’apaiser le feu inhumain qui brûle notre raison, nous complaisant dans la consumassions de la folie. Et le sang…
Fluide de vie, élixir divin, gage d’un partage absolu. Unir dans l’obscène le rouge, le blanc, le clair. Une fois, une seule encore dernière fois.

Debout au coté de ton corps au teint légèrement olivâtre reposant dans ta prison de granit, je t’observe, comme si souvent je l’ai fait lorsque tu étais chaude et ta poitrine soulevée par la vie. Mais cette nuit tu es… si belle dans ton inertitude. Calme et paisible, l’air serein. J’attends que tu lève les paupières que d’une main tu me caresse le visage, souriante, et que l’Autre se porte entre tes cuisses, écartant tes lèvres imberbes pour libéré ta jouissance. Le membre bien droit, je te vois la, dans ton lit de pierre, faisant pression sur ma nuque en élevant ta tête quelque peux émacier, entouré de ta sombre chevelure au couleur désormais mat, dans l’intention d’un baiser. Ta bouche s’ouvrant sur un gouffre, un lac sans fond, glacé et asséché.

Puis-je ma bien aimée ? Puis-je te dévêtir comme autrefois ?

Je t’assieds, seul ta mollesse m’oppose une résistance lorsque je tire sur ta longue robe. Lentement, dans un bruit de tissu glissant dans le silence, tu te révèle à moi. Tes jambes sont noircies jusqu’à tes cuisses qui sont légèrement plus clair. Ta vulve se perd dans des teintes verdâtres et violacées. Ta tête tremble un peux sur mon épaule lorsque je libère tes seins et chaque fois qu’un organe en toi cède. Te déshabiller entièrement ? Non, je te repose, le tout remonter jusqu’au-dessus de la poitrine, comme lorsque nous nous désirions trop pour se préoccupé de ce genre de futilité, ou ces autre fois ou l’endroit ne nous permettait pas de mettre nos vêtements trop loin.

Debout à tes pieds, la verge dégoulinante d’excitation, je relève tes jambes à la texture d’une banane trop mûre, les appuient sur les rebords. L’odeur de l’innommable caresse mon visage, s’insinue avec force dans mes orifices. Si désirable, totalement abandonner à mes soins, j’attends l’écho de ton ’’prend moi’’. Ma langue perce mes lèvres se dirigeant entre tes jambes. J’écarte les renflements de ton intimité, dégageant des effluves qui empoissonne mes sens, brûle le peu d’humanité qui survivait encore dans un coin égaré de ma raison. Ainsi dépourvu de rationalité, je te lèche avec avidité, t’ouvrant toute grande à ma bouche sauvage. Le clapotis de tes restes entassé dans ton bassin me dégoûte et me fascine. Je m’empêche au dernier moment de pénétré de mes doigts cette grotte prometteuse de viscosité car tu mérite mieux et je ne veux désormais que vivre pour t’honoré.
Sans tarder mais avec douceur, je m’étends sur toi. Enfin réunis, dans un contact charnel au-delà de la mort. La résistance de ta vulve contre mon gland est jouissif. Je me sens violeur, je me sens macabre, écœurant, d’une perversité qui, je sais, t’aurait fait frémir d’envie. Mon intense lubrification vient à bout de me frayer un chemin jusqu’à tes… entrailles.
Ma queue baigne totalement dans un mélange de chair putréfié, de jus épais et nauséabond qui s’échappe un peu à chacun de mes va et vient.

Ton corps sursaute à chacun de mes coups. Je fixe ton visage, attendant que tu aspire de façons saccader, que tes bras s’agrippe à moi, enfonçant tes ongles ou m’imposant un rythme plus accéléré. Mais rien…

A genoux entre tes jambes ou règne un chaos de forme cramoisi, je sillonne lentement et profondément ma veine transporteuse de vitalité. Sans attendre je m’enfonce à nouveau en toi, me vidant à flot à chaque battement de cœur. Ouvre ta bouche mon amour, voilà… boit, boit et vie ! Ton visage couvert de sang semble s’éveiller, je me sens défaillir, tes paupières s’entre ouvre et me fixe langoureusement. J’explose en toi en haletant, les oreilles emplies de tes encouragements qui m’implore de venir en toi. Mes bras tremble, ma force me quitte, doucement je me repose sur toi. Mon souffle s’éteint, j’entends l’écho de mon cœur battre dans ta cage thoracique vide. Ou peut-être es-ce le tien, le nôtre.

Sous mes derniers spasmes ton bassin s’effondre sous moi, L’air est une symphonie de léger craquement et de matière spongieuse et humide cherchant à fuir. Mais plus rien n’importe maintenant. Mes yeux se referment sur ton profil juste au moment ou tu te retourne vers moi souriante, l’étoile dans les yeux et une main dans mes longs cheveux, m’accueillant à jamais à tes cotés dans ta mort comme tu l’avais fait autrefois dans ta vie
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Poeme de Miss Belzy

Poète Miss Belzy

Miss Belzy a publié sur le site 80 écrits. Miss Belzy est membre du site depuis l'année 2004.

Syllabation De L'Écrit

Syllabes Hyphénique: Couple Funestenoir=tout=est=si=noir=noir=pal=pa=ble=un=noir=aux=lar=mes=den=cre=au=goût=de=ter=re=mor=te=noir=ceur=qui=sin=ter=rom=pent=à=la=por=tée=de=ma=vue=la=ou=naît=le=né=ant=tout=nest=que=dé=ché=an=ce=au=cré=pus=cu=le=de=ma=vi=sion=plus=rien=ne=pal=pi=te=plus=rien=de=souffle=que=le=fruit=pour=ri=de=tou=tes=les=vo=lon=tés=qui=se=sont=flé=tris=com=me=u=ne=ro=se=que=par=trop=sou=vent=res=pi=ré=car=sans=toi=plus=rien=ne=vie=plus=rien=ne=brille=ex=cep=té=peut=tê=tre=la=mort=qui=el=le=mê=me=nest=plus=tout=à=fais=la=pro=mes=se=de=paix=dau=tre=fois 138

as=sis=nue=sur=la=pierre=froi=deet=ru=gueu=se=de=ton=lit=im=mor=tel=je=songe=a=tou=tes=ces=é=phé=mè=ri=té=qui=nous=ont=saou=lés=nous=ou=vrant=les=por=tes=de=la=dé=ca=den=ce=nous=pro=met=tant=jouis=san=ce=per=ver=se=sans=re=mords=sans=re=gret=mo=ral=é=ten=du=la=peau=fri=go=ri=fi=ée=je=me=re=mé=mo=re=les=bruits=dam=bian=ce=ceux=de=lai=san=ce=des=de=man=des=sup=pliantes=son=de=cuir=mor=dant=la=chair=dé=jà=rou=gie=é=clair=de=la=me=per=çant=lé=pi=der=me=ten=dre=qui=sé=ti=re=fé=bri=le=ment=fai=sant=del=le=u=ne=bou=che=bé=an=te=af=fa=mé=dé=si=rant=tout=en=glou=tir=tous=ces=li=qui=des=ho=com=me=jai=me=rais=en=co=re=que=nous=dé=ver=sions=en=co=re=lun=sur=lau=tre=tant=de=tor=rent=pas=sion=nel=li=qué=fié=nous=boi=re=quel=ques=ins=tants=le=temps=dé=tan=ché=no=tre=soif=im=mo=ra=le=da=pai=ser=le=feu=in=hu=main=qui=brû=le=no=tre=rai=son=nous=com=plai=sant=dans=la=con=su=mas=sions=de=la=fo=lie=et=le=sang 235
flui=de=de=vie=é=li=xir=di=vin=ga=ge=dun=par=ta=ge=ab=so=lu=unir=dans=lobs=cè=ne=le=rou=ge=le=blanc=le=clair=u=ne=fois=u=ne=seu=le=en=co=re=der=ni=è=re=fois 45

de=bout=au=co=té=de=ton=corps=au=teint=lé=gère=ment=o=li=vâ=tre=re=po=sant=dans=ta=pri=son=de=gra=nit=je=tob=ser=ve=com=me=si=sou=vent=je=lai=fait=lors=que=tu=é=tais=chau=deet=ta=poi=tri=ne=sou=le=vée=par=la=vie=mais=cet=te=nuit=tu=es=si=bel=le=dans=ton=i=ner=ti=tude=cal=me=et=pai=si=ble=lair=se=rein=jat=tends=que=tu=lè=ve=les=pau=piè=res=que=du=ne=main=tu=me=ca=res=se=le=vi=sa=ge=sou=rian=te=et=que=lau=tre=se=por=te=en=tre=tes=cuis=ses=é=car=tant=tes=lè=vres=im=ber=bes=pour=li=bé=ré=ta=jouis=sance=le=mem=bre=bien=droit=je=te=vois=la=dans=ton=lit=de=pier=re=fai=sant=pres=sion=sur=ma=nu=que=en=é=le=vant=ta=tê=te=quel=que=peux=é=ma=cier=en=tou=ré=de=ta=som=bre=che=ve=lu=re=au=cou=leur=dé=sor=mais=mat=dans=lin=ten=tion=dun=bai=ser=ta=bou=che=sou=vrant=sur=un=gouf=fre=un=lac=sans=fond=gla=cé=et=as=sé=ché 214

puis=je=ma=bien=ai=mée=puis=je=te=dé=vê=tir=com=me=au=tre=fois 17

je=tas=sieds=seul=ta=mol=les=se=mop=poseu=ne=ré=sis=tan=ce=lors=que=je=ti=re=sur=ta=lon=gue=robe=len=te=ment=dans=un=bruit=de=tis=su=glis=sant=dans=le=si=len=ce=tu=te=ré=vè=le=à=moi=tes=jam=bes=sont=noir=cies=jus=quà=tes=cuis=ses=qui=sont=lé=gè=re=ment=plus=clair=ta=vul=ve=se=perd=dans=des=tein=tes=ver=dâ=tres=et=vio=la=cées=ta=tê=te=trem=ble=un=peux=sur=mon=é=pau=le=lors=que=je=li=bè=re=tes=seins=et=cha=que=fois=quun=or=ga=ne=en=toi=cède=te=dé=sha=biller=en=tiè=re=ment=non=je=te=re=po=se=le=tout=re=mon=ter=jus=quau=des=sus=de=la=poi=tri=ne=com=me=lors=que=nous=nous=dé=si=rions=trop=pour=se=préoc=cu=pé=de=ce=gen=re=de=fu=ti=li=té=ou=ces=au=tre=fois=ou=len=droit=ne=nous=per=met=tait=pas=de=met=tre=nos=vê=te=ments=trop=loin 189

de=bout=à=tes=pieds=la=verge=dé=gou=li=nan=te=dex=ci=ta=tion=je=re=lè=ve=tes=jam=bes=à=la=tex=tu=re=du=ne=ba=na=ne=trop=mû=re=les=ap=puient=sur=les=re=bords=lo=deur=de=lin=nom=ma=ble=ca=res=se=mon=vi=sa=ge=sin=si=nuea=vec=for=ce=dans=mes=o=ri=fices=si=dé=si=ra=ble=to=ta=le=ment=a=ban=don=ner=à=mes=soins=jat=tends=lé=cho=de=ton=prend=moi=ma=lan=gue=per=ce=mes=lè=vres=se=di=ri=geant=en=tre=tes=jambes=jé=car=te=les=ren=fle=ments=de=ton=in=ti=mi=té=dé=ga=geant=des=ef=flu=ves=qui=em=pois=son=ne=mes=sens=brû=le=le=peu=dhu=ma=ni=té=qui=sur=vi=vait=en=co=re=dans=un=coin=é=ga=ré=de=ma=rai=son=ain=si=dé=pour=vu=de=ra=tio=na=li=té=je=te=lè=che=a=vec=a=vi=di=té=tou=vrant=tou=te=gran=de=à=ma=bou=che=sau=vage=le=cla=po=tis=de=tes=res=tes=en=tas=sé=dans=ton=bas=sin=me=dé=goû=te=et=me=fas=cine=je=mem=pê=che=au=der=nier=mo=ment=de=pé=né=tré=de=mes=doigts=cet=te=grot=te=pro=met=teu=se=de=vis=co=si=té=car=tu=mé=ri=te=mieux=et=je=ne=veux=dé=sor=mais=que=vi=vre=pour=tho=no=ré 265
sans=tar=der=mais=a=vec=dou=ceur=je=mé=tends=sur=toi=en=fin=ré=u=nis=dans=un=con=tact=char=nel=au=de=là=de=la=mort=la=ré=sis=tan=ce=de=ta=vul=ve=con=tre=mon=gland=est=jouis=sif=je=me=sens=vi=o=leur=je=me=sens=ma=ca=bre=é=cœu=rant=du=ne=per=ver=si=té=qui=je=sais=tau=rait=fait=fré=mir=den=vie=mon=in=ten=se=lu=bri=fi=ca=ti=on=vient=à=bout=de=me=fray=er=un=che=min=jus=quà=tes=en=trail=les 103
ma=queue=bai=gne=to=ta=le=ment=dans=un=mé=lan=ge=de=chair=pu=tré=fi=é=de=jus=é=pais=et=nau=sé=a=bond=qui=sé=chap=pe=un=peu=à=cha=cun=de=mes=va=et=vient 42

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sous=mes=der=ni=ers=s=pas=mes=ton=bas=sin=sef=fon=dre=sous=moi=lair=est=u=ne=sym=pho=nie=de=lé=ger=cra=que=ment=et=de=ma=ti=è=re=s=pon=gieu=se=et=hu=mi=de=cher=chant=à=fu=ir=mais=plus=rien=nim=por=te=main=te=nant=mes=y=eux=se=re=fer=ment=sur=ton=pro=fil=jus=te=au=mo=ment=ou=tu=te=re=tour=ne=vers=moi=sou=ri=an=te=lé=toi=le=dans=les=y=eux=et=u=ne=main=dans=mes=longs=che=veux=mac=cueillant=à=ja=mais=à=tes=co=tés=dans=ta=mort=com=me=tu=la=vais=fait=au=tre=fois=dans=ta=vie 125
Phonétique : Couple Funestenwaʁ, tut- ε si nwaʁ. nwaʁ palpablə, œ̃ nwaʁ o laʁmə- dɑ̃kʁə, o ɡu də teʁə mɔʁtə. nwaʁsœʁ ki sɛ̃teʁɔ̃pe a la pɔʁte də ma vɥ, la u nε lə neɑ̃. tu nε kə deʃeɑ̃sə o kʁepyskylə də ma vizjɔ̃. plys ʁjɛ̃ nə palpitə, plys ʁjɛ̃ də suflə. kə lə fʁɥi puʁʁi də tutə lε vɔlɔ̃te ki sə sɔ̃ fletʁi kɔmə ynə ʁozə kə paʁ tʁo suvɑ̃ ʁεspiʁe. kaʁ sɑ̃ twa plys ʁjɛ̃ nə vi, plys ʁjɛ̃ nə bʁijə εksεpte, pø tεtʁə, la mɔʁ ki εllə mεmə nε plys tut- a fε la pʁɔmεsə də pε dotʁəfwa.

asi nɥ syʁ la pjeʁə fʁwadə e ʁyɡøzə də tɔ̃ li imɔʁtεl, ʒə sɔ̃ʒə. a tutə sεz- efemεʁite ki nuz- ɔ̃ saule, nuz- uvʁɑ̃ lε pɔʁtə- də la dekadɑ̃sə, nu pʁɔmεtɑ̃ ʒuisɑ̃sə pεʁvεʁsə sɑ̃ ʁəmɔʁd, sɑ̃ ʁəɡʁε mɔʁal. etɑ̃dy, la po fʁiɡɔʁifje, ʒə mə ʁəmemɔʁə lε bʁɥi dɑ̃bjɑ̃sə, sø də lεzɑ̃sə, dε dəmɑ̃də sypljɑ̃tə. sɔ̃ də kɥiʁ mɔʁdɑ̃ la ʃεʁ deʒa ʁuʒi, eklεʁ də lamə pεʁsɑ̃ lepidεʁmə tɑ̃dʁə ki setiʁə febʁiləmɑ̃ fəzɑ̃ dεllə ynə buʃə beɑ̃tə, afame, deziʁɑ̃ tut- ɑ̃ɡlutiʁ. tus sε likidə, o kɔmə ʒεməʁεz- ɑ̃kɔʁə kə nu devεʁsjɔ̃z- ɑ̃kɔʁə lœ̃ syʁ lotʁə tɑ̃ də tɔʁe pasjɔnεl likefje. nu bwaʁə kεlkz- ɛ̃stɑ̃, lə tɑ̃ detɑ̃ʃe nɔtʁə swaf imɔʁalə, dapεze lə fø inymɛ̃ ki bʁylə nɔtʁə ʁεzɔ̃, nu kɔ̃plεzɑ̃ dɑ̃ la kɔ̃symasjɔ̃ də la fɔli. e lə sɑ̃…
flɥidə də vi, eliksiʁ divɛ̃, ɡaʒə dœ̃ paʁtaʒə absɔly. yniʁ dɑ̃ lɔpsεnə lə ʁuʒə, lə blɑ̃, lə klεʁ. ynə fwa, ynə sələ ɑ̃kɔʁə dεʁnjεʁə fwa.

dəbu o kɔte də tɔ̃ kɔʁz- o tɛ̃ leʒεʁəmɑ̃ ɔlivatʁə ʁəpozɑ̃ dɑ̃ ta pʁizɔ̃ də ɡʁani, ʒə tɔpsεʁvə, kɔmə si suvɑ̃ ʒə lε fε lɔʁskə ty etε ʃodə e ta pwatʁinə suləve paʁ la vi. mε sεtə nɥi ty ε… si bεllə dɑ̃ tɔ̃n- inεʁtitydə. kalmə e pεziblə, lεʁ səʁɛ̃. ʒatɑ̃ kə ty lεvə lε popjεʁə kə dynə mɛ̃ ty mə kaʁεsə lə vizaʒə, suʁjɑ̃tə, e kə lotʁə sə pɔʁtə ɑ̃tʁə tε kɥisə, ekaʁtɑ̃ tε lεvʁəz- ɛ̃bεʁbə- puʁ libeʁe ta ʒuisɑ̃sə. lə mɑ̃bʁə bjɛ̃ dʁwa, ʒə tə vwa la, dɑ̃ tɔ̃ li də pjeʁə, fəzɑ̃ pʁesjɔ̃ syʁ ma nykə ɑ̃n- eləvɑ̃ ta tεtə kεlkə pøz- emasje, ɑ̃tuʁe də ta sɔ̃bʁə ʃəvəlyʁə o kulœʁ dezɔʁmε ma, dɑ̃ lɛ̃tɑ̃sjɔ̃ dœ̃ bεze. ta buʃə suvʁɑ̃ syʁ œ̃ ɡufʁə, œ̃ lak sɑ̃ fɔ̃, ɡlase e aseʃe.

pɥi ʒə ma bjɛ̃ εme ? pɥi ʒə tə devεtiʁ kɔmə otʁəfwa ?

ʒə tasjε, səl ta mɔlεsə mɔpozə ynə ʁezistɑ̃sə lɔʁskə ʒə tiʁə syʁ ta lɔ̃ɡ ʁɔbə. lɑ̃təmɑ̃, dɑ̃z- œ̃ bʁɥi də tisy ɡlisɑ̃ dɑ̃ lə silɑ̃sə, ty tə ʁevεlə a mwa. tε ʒɑ̃bə sɔ̃ nwaʁsi ʒyska tε kɥisə ki sɔ̃ leʒεʁəmɑ̃ plys klεʁ. ta vylvə sə pεʁ dɑ̃ dε tɛ̃tə vεʁdatʁəz- e vjɔlase. ta tεtə tʁɑ̃blə œ̃ pø syʁ mɔ̃n- epolə lɔʁskə ʒə libεʁə tε sɛ̃z- e ʃakə fwa kœ̃n- ɔʁɡanə ɑ̃ twa sεdə. tə dezabije ɑ̃tjεʁəmɑ̃ ? nɔ̃, ʒə tə ʁəpozə, lə tu ʁəmɔ̃te ʒysko dəsy də la pwatʁinə, kɔmə lɔʁskə nu nu deziʁjɔ̃ tʁo puʁ sə pʁeɔkype də sə ʒɑ̃ʁə də fytilite, u sεz- otʁə fwaz- u lɑ̃dʁwa nə nu pεʁmεtε pa də mεtʁə no vεtəmɑ̃ tʁo lwɛ̃.

dəbu a tε pje, la vεʁʒə deɡulinɑ̃tə dεksitasjɔ̃, ʒə ʁəlεvə tε ʒɑ̃bəz- a la tεkstyʁə dynə bananə tʁo myʁə, lεz- apɥje syʁ lε ʁəbɔʁd. lɔdœʁ də linɔmablə kaʁεsə mɔ̃ vizaʒə, sɛ̃sinɥ avεk fɔʁsə dɑ̃ mεz- ɔʁifisə. si deziʁablə, tɔtaləmɑ̃ abɑ̃dɔne a mε swɛ̃, ʒatɑ̃ leʃo də tɔnpʁɑ̃ mwa. ma lɑ̃ɡ pεʁsə mε lεvʁə- sə diʁiʒɑ̃ ɑ̃tʁə tε ʒɑ̃bə. ʒekaʁtə lε ʁɑ̃fləmɑ̃ də tɔ̃n- ɛ̃timite, deɡaʒɑ̃ dεz- eflyvə ki ɑ̃pwasɔnə mε sɑ̃s, bʁylə lə pø dymanite ki syʁvivε ɑ̃kɔʁə dɑ̃z- œ̃ kwɛ̃ eɡaʁe də ma ʁεzɔ̃. ɛ̃si depuʁvy də ʁasjɔnalite, ʒə tə lεʃə avεk avidite, tuvʁɑ̃ tutə ɡʁɑ̃də a ma buʃə sovaʒə. lə klapɔti də tε ʁεstəz- ɑ̃tase dɑ̃ tɔ̃ basɛ̃ mə deɡutə e mə fasinə. ʒə mɑ̃pεʃə o dεʁnje mɔmɑ̃ də penetʁe də mε dwa sεtə ɡʁɔtə pʁɔmεtøzə də viskozite kaʁ ty meʁitə mjøz- e ʒə nə vø dezɔʁmε kə vivʁə puʁ tonoʁe.
sɑ̃ taʁde mεz- avεk dusœʁ, ʒə metɑ̃ syʁ twa. ɑ̃fɛ̃ ʁeyni, dɑ̃z- œ̃ kɔ̃takt ʃaʁnεl o dəla də la mɔʁ. la ʁezistɑ̃sə də ta vylvə kɔ̃tʁə mɔ̃ ɡlɑ̃d ε ʒuisif. ʒə mə sɑ̃s vjɔlœʁ, ʒə mə sɑ̃s makabʁə, ekeyʁɑ̃, dynə pεʁvεʁsite ki, ʒə sε, toʁε fε fʁemiʁ dɑ̃vi. mɔ̃n- ɛ̃tɑ̃sə lybʁifikasjɔ̃ vjɛ̃ a bu də mə fʁεje œ̃ ʃəmɛ̃ ʒyska tε… ɑ̃tʁajə.
ma kø bεɲə tɔtaləmɑ̃ dɑ̃z- œ̃ melɑ̃ʒə də ʃεʁ pytʁefje, də ʒy epεz- e nozeabɔ̃ ki seʃapə œ̃ pø a ʃakœ̃ də mε va e vjɛ̃.

tɔ̃ kɔʁ syʁsotə a ʃakœ̃ də mε ku. ʒə fiksə tɔ̃ vizaʒə, atɑ̃dɑ̃ kə ty aspiʁə də fasɔ̃ sakade, kə tε bʁa saɡʁipə a mwa, ɑ̃fɔ̃sɑ̃ tεz- ɔ̃ɡləz- u mɛ̃pozɑ̃ œ̃ ʁitmə plysz- akseleʁe. mε ʁjɛ̃…

a ʒənuz- ɑ̃tʁə tε ʒɑ̃bəz- u ʁεɲə œ̃ ʃao də fɔʁmə kʁamwazi, ʒə sijɔnə lɑ̃təmɑ̃ e pʁɔfɔ̃demɑ̃ ma vεnə tʁɑ̃spɔʁtøzə də vitalite. sɑ̃z- atɑ̃dʁə ʒə mɑ̃fɔ̃sə a nuvo ɑ̃ twa, mə vidɑ̃ a flo a ʃakə batəmɑ̃ də kœʁ. uvʁə ta buʃə mɔ̃n- amuʁ, vwala… bwa, bwa e vi ! tɔ̃ vizaʒə kuvεʁ də sɑ̃ sɑ̃blə sevεje, ʒə mə sɑ̃s defajiʁ, tε popjεʁə sɑ̃tʁə uvʁə e mə fiksə lɑ̃ɡuʁøzəmɑ̃. ʒεksplozə ɑ̃ twa ɑ̃-alətɑ̃, lεz- ɔʁεjəz- ɑ̃pli də tεz- ɑ̃kuʁaʒəmɑ̃ ki mɛ̃plɔʁə də vəniʁ ɑ̃ twa. mε bʁa tʁɑ̃blə, ma fɔʁsə mə kitə, dusəmɑ̃ ʒə mə ʁəpozə syʁ twa. mɔ̃ suflə setɛ̃, ʒɑ̃tɑ̃ leʃo də mɔ̃ kœʁ batʁə dɑ̃ ta kaʒə tɔʁasikə vidə. u pø tεtʁə ε sə lə tjɛ̃, lə notʁə.

su mε dεʁnje spasmə tɔ̃ basɛ̃ sefɔ̃dʁə su mwa, lεʁ εt- ynə sɛ̃fɔni də leʒe kʁakəmɑ̃ e də matjεʁə spɔ̃ʒjøzə e ymidə ʃεʁʃɑ̃ a fɥiʁ. mε plys ʁjɛ̃ nɛ̃pɔʁtə mɛ̃tənɑ̃. mεz- iø sə ʁəfεʁme syʁ tɔ̃ pʁɔfil ʒystə o mɔmɑ̃ u ty tə ʁətuʁnə vεʁ mwa suʁjɑ̃tə, letwalə dɑ̃ lεz- iøz- e ynə mɛ̃ dɑ̃ mε lɔ̃ɡ ʃəvø, makœjɑ̃ a ʒamεz- a tε kɔte dɑ̃ ta mɔʁ kɔmə ty lavε fε otʁəfwa dɑ̃ ta vi
Syllabes Phonétique : Couple Funestenwaʁ=tu=tε=si=nwaʁ=nwaʁ=pal=pa=blə=œ̃=nwaʁ=o=laʁ=mə=dɑ̃=kʁə=o=ɡu=də=te=ʁə=mɔʁ=tə=nwaʁ=sœʁ=ki=sɛ̃=te=ʁɔ̃=pe=a=la=pɔʁ=te=də=ma=vɥ=la=u=nε=lə=ne=ɑ̃=tu=nε=kə=de=ʃe=ɑ̃=sə=o=kʁe=pys=ky=lə=də=ma=vi=zjɔ̃=plys=ʁjɛ̃=nə=pal=pi=tə=plys=ʁjɛ̃=də=su=flə=kə=lə=fʁɥi=puʁ=ʁi=də=tu=tə=lε=vɔ=lɔ̃=te=ki=sə=sɔ̃=fle=tʁi=kɔ=mə=y=nə=ʁo=zə=kə=paʁ=tʁo=su=vɑ̃=ʁεs=pi=ʁe=kaʁ=sɑ̃=twa=plys=ʁjɛ̃=nə=vi=plys=ʁjɛ̃=nə=bʁi=jə=εk=sεp=te=pø=tε=tʁə=la=mɔʁ=ki=εl=lə=mε=mə=nε=plys=tu=ta=fε=la=pʁɔ=mε=sə=də=pε=do=tʁə=fwa 140

a=si=nɥ=syʁ=la=pje=ʁə=fʁwadəe=ʁy=ɡø=zə=də=tɔ̃=li=i=mɔʁ=tεl=ʒə=sɔ̃=ʒə=a=tu=tə=sε=ze=fe=mε=ʁi=te=ki=nu=zɔ̃=sa=u=le=nu=zu=vʁɑ̃=lε=pɔʁ=tə=də=la=de=ka=dɑ̃=sə=nu=pʁɔ=mε=tɑ̃=ʒui=sɑ̃=sə=pεʁ=vεʁ=sə=sɑ̃=ʁə=mɔʁd=sɑ̃=ʁə=ɡʁε=mɔ=ʁal=e=tɑ̃=dy=la=po=fʁi=ɡɔ=ʁi=fje=ʒə=mə=ʁə=me=mɔ=ʁə=lε=bʁɥi=dɑ̃=bjɑ̃=sə=sø=də=lε=zɑ̃=sə=dε=də=mɑ̃=də=sy=pljɑ̃=tə=sɔ̃=də=kɥiʁ=mɔʁ=dɑ̃=la=ʃεʁ=de=ʒa=ʁu=ʒi=e=klεʁ=də=la=mə=pεʁ=sɑ̃=le=pi=dεʁ=mə=tɑ̃=dʁə=ki=se=ti=ʁə=fe=bʁi=lə=mɑ̃=fə=zɑ̃=dεllə=y=nə=bu=ʃə=be=ɑ̃=tə=a=fa=me=de=zi=ʁɑ̃=tu=tɑ̃=ɡlu=tiʁ=tus=sε=li=ki=də=o=kɔ=mə=ʒε=mə=ʁε=zɑ̃=kɔ=ʁə=kə=nu=de=vεʁ=sjɔ̃=zɑ̃=kɔ=ʁə=lœ̃=syʁ=lo=tʁə=tɑ̃=də=tɔ=ʁe=pa=sjɔ=nεl=li=ke=fje=nu=bwa=ʁə=kεl=kzɛ̃s=tɑ̃=lə=tɑ̃=de=tɑ̃=ʃe=nɔ=tʁə=swaf=i=mɔ=ʁa=lə=da=pε=ze=lə=fø=i=ny=mɛ̃=ki=bʁy=lə=nɔ=tʁə=ʁε=zɔ̃=nu=kɔ̃=plε=zɑ̃=dɑ̃=la=kɔ̃=sy=ma=sjɔ̃=də=la=fɔ=li=e=lə=sɑ̃ 235
flɥi=də=də=vi=e=lik=siʁ=di=vɛ̃=ɡa=ʒə=dœ̃=paʁ=ta=ʒə=ab=sɔ=ly=y=niʁ=dɑ̃=lɔp=sε=nə=lə=ʁu=ʒə=lə=blɑ̃=lə=klεʁ=y=nə=fwa=y=nə=sə=lə=ɑ̃=kɔ=ʁə=dεʁ=nj=ε=ʁə=fwa 46

də=bu=o=kɔ=te=də=tɔ̃=kɔʁ=zo=tɛ̃=le=ʒεʁə=mɑ̃=ɔ=li=va=tʁə=ʁə=po=zɑ̃=dɑ̃=ta=pʁi=zɔ̃=də=ɡʁa=ni=ʒə=tɔp=sεʁ=və=kɔ=mə=si=su=vɑ̃=ʒə=lε=fε=lɔʁ=skə=ty=e=tε=ʃo=dəe=ta=pwa=tʁi=nə=su=lə=ve=paʁ=la=vi=mε=sε=tə=nɥi=ty=ε=si=bεllə=dɑ̃=tɔ̃=ni=nεʁ=ti=ty=də=kal=mə=e=pε=zi=blə=lεʁ=sə=ʁɛ̃=ʒa=tɑ̃=kə=ty=lε=və=lε=po=pjε=ʁə=kə=dy=nə=mɛ̃=ty=mə=ka=ʁε=sə=lə=vi=za=ʒə=su=ʁjɑ̃=tə=e=kə=lo=tʁə=sə=pɔʁ=tə=ɑ̃=tʁə=tε=kɥi=sə=e=kaʁ=tɑ̃=tε=lε=vʁə=zɛ̃=bεʁ=bə=puʁ=li=be=ʁe=ta=ʒui=sɑ̃=sə=lə=mɑ̃=bʁə=bjɛ̃=dʁwa=ʒə=tə=vwa=la=dɑ̃=tɔ̃=li=də=pje=ʁə=fə=zɑ̃=pʁe=sjɔ̃=syʁ=ma=ny=kə=ɑ̃=ne=lə=vɑ̃=ta=tε=tə=kεl=kə=pø=ze=ma=sje=ɑ̃=tu=ʁe=də=ta=sɔ̃=bʁə=ʃə=və=ly=ʁə=o=ku=lœʁ=de=zɔʁ=mε=ma=dɑ̃=lɛ̃=tɑ̃=sjɔ̃=dœ̃=bε=ze=ta=bu=ʃə=su=vʁɑ̃=syʁ=œ̃=ɡu=fʁə=œ̃=lak=sɑ̃=fɔ̃=ɡla=se=e=a=se=ʃe 215

pɥi=ʒə=ma=bj=ɛ̃=ε=me=pɥi=ʒə=tə=de=vε=tiʁ=kɔ=mə=o=tʁə=fwa 18

ʒə=ta=sjε=səl=ta=mɔ=lεsə=mɔ=po=zəy=nə=ʁe=zis=tɑ̃=sə=lɔʁ=skə=ʒə=ti=ʁə=syʁ=ta=lɔ̃ɡ=ʁɔ=bə=lɑ̃=tə=mɑ̃=dɑ̃=zœ̃=bʁɥi=də=ti=sy=ɡli=sɑ̃=dɑ̃=lə=si=lɑ̃=sə=ty=tə=ʁe=vε=lə=a=mwa=tε=ʒɑ̃=bə=sɔ̃=nwaʁ=si=ʒys=ka=tε=kɥi=sə=ki=sɔ̃=le=ʒε=ʁə=mɑ̃=plys=klεʁ=ta=vyl=və=sə=pεʁ=dɑ̃=dε=tɛ̃=tə=vεʁ=da=tʁə=ze=vjɔ=la=se=ta=tε=tə=tʁɑ̃=blə=œ̃=pø=syʁ=mɔ̃=ne=po=lə=lɔʁ=skə=ʒə=li=bε=ʁə=tε=sɛ̃=ze=ʃa=kə=fwa=kœ̃=nɔʁ=ɡa=nə=ɑ̃=twa=sε=də=tə=de=za=bi=je=ɑ̃=tjε=ʁə=mɑ̃=nɔ̃=ʒə=tə=ʁə=po=zə=lə=tu=ʁə=mɔ̃=te=ʒys=ko=də=sy=də=la=pwa=tʁi=nə=kɔ=mə=lɔʁ=skə=nu=nu=de=zi=ʁjɔ̃=tʁo=puʁ=sə=pʁe=ɔ=ky=pe=də=sə=ʒɑ̃=ʁə=də=fy=ti=li=te=u=sε=zo=tʁə=fwa=zu=lɑ̃=dʁwa=nə=nu=pεʁ=mε=tε=pa=də=mε=tʁə=no=vε=tə=mɑ̃=tʁo=lwɛ̃ 192

də=bu=a=tε=pje=la=vεʁʒə=de=ɡu=li=nɑ̃=tə=dεk=si=ta=sjɔ̃=ʒə=ʁə=lε=və=tε=ʒɑ̃=bə=za=la=tεk=sty=ʁə=dy=nə=ba=na=nə=tʁo=my=ʁə=lε=zap=ɥje=syʁ=lε=ʁə=bɔʁd=lɔ=dœʁ=də=li=nɔ=ma=blə=ka=ʁε=sə=mɔ̃=vi=za=ʒə=sɛ̃=sinɥ=a=vεk=fɔʁ=sə=dɑ̃=mε=zɔ=ʁi=fi=sə=si=de=zi=ʁa=blə=tɔ=ta=lə=mɑ̃=a=bɑ̃=dɔ=ne=a=mε=swɛ̃=ʒa=tɑ̃=le=ʃo=də=tɔ=nə=pʁɑ̃=mwa=ma=lɑ̃ɡ=pεʁ=sə=mε=lε=vʁə=sə=di=ʁi=ʒɑ̃=ɑ̃=tʁə=tε=ʒɑ̃=bə=ʒe=kaʁ=tə=lε=ʁɑ̃=flə=mɑ̃=də=tɔ̃=nɛ̃=ti=mi=te=de=ɡa=ʒɑ̃=dε=ze=fly=və=ki=ɑ̃=pwa=sɔ=nə=mε=sɑ̃s=bʁy=lə=lə=pø=dy=ma=ni=te=ki=syʁ=vi=vε=ɑ̃=kɔ=ʁə=dɑ̃=zœ̃=kwɛ̃=e=ɡa=ʁe=də=ma=ʁε=zɔ̃=ɛ̃=si=de=puʁ=vy=də=ʁa=sjɔ=na=li=te=ʒə=tə=lε=ʃəa=vεk=a=vi=di=te=tu=vʁɑ̃=tu=tə=ɡʁɑ̃=də=a=ma=bu=ʃə=so=va=ʒə=lə=kla=pɔ=ti=də=tε=ʁεs=tə=zɑ̃=ta=se=dɑ̃=tɔ̃=ba=sɛ̃=mə=de=ɡu=tə=e=mə=fa=si=nə=ʒə=mɑ̃=pε=ʃə=o=dεʁ=nje=mɔ=mɑ̃=də=pe=ne=tʁe=də=mε=dwa=sε=tə=ɡʁɔ=tə=pʁɔ=mε=tø=zə=də=vis=ko=zi=te=kaʁ=ty=me=ʁi=tə=mjø=ze=ʒə=nə=vø=de=zɔʁ=mε=kə=vi=vʁə=puʁ=to=no=ʁe 268
sɑ̃=taʁ=de=mε=za=vεk=du=sœ=ʁə=ʒə=me=tɑ̃=syʁ=twa=ɑ̃=fɛ̃=ʁe=y=ni=dɑ̃=zœ̃=kɔ̃=takt=ʃaʁ=nεl=o=də=la=də=la=mɔʁ=la=ʁe=zis=tɑ̃=sə=də=ta=vyl=və=kɔ̃=tʁə=mɔ̃=ɡlɑ̃d=ε=ʒu=i=sif=ʒə=mə=sɑ̃s=vj=ɔ=lœʁ=ʒə=mə=sɑ̃s=ma=ka=bʁə=e=ke=y=ʁɑ̃=dy=nə=pεʁ=vεʁ=si=te=ki=ʒə=sε=to=ʁε=fε=fʁe=miʁ=dɑ̃=vi=mɔ̃=nɛ̃=tɑ̃=sə=ly=bʁi=fi=ka=sj=ɔ̃=vjɛ̃=a=bu=də=mə=fʁε=je=œ̃=ʃə=mɛ̃=ʒys=ka=tε=ɑ̃=tʁa=jə 106
ma=kø=bε=ɲə=tɔ=ta=lə=mɑ̃=dɑ̃=zœ̃=me=lɑ̃=ʒə=də=ʃεʁ=py=tʁe=fj=e=də=ʒy=e=pε=ze=no=ze=a=bɔ̃=ki=se=ʃa=pə=œ̃=pø=a=ʃa=kœ̃=də=mε=va=e=vj=ɛ̃ 43

tɔ̃=kɔʁ=syʁ=so=tə=a=ʃa=kœ̃=də=mε=ku=ʒə=fik=sə=tɔ̃=vi=za=ʒə=a=tɑ̃=dɑ̃=kə=ty=as=pi=ʁə=də=fa=sɔ̃=sa=ka=de=kə=tε=bʁa=sa=ɡʁi=pə=a=mwa=ɑ̃=fɔ̃=sɑ̃=tε=zɔ̃=ɡlə=zu=mɛ̃=po=zɑ̃=œ̃=ʁit=mə=plys=zak=se=le=ʁe=mε=ʁj=ɛ̃ 61

aʒə=nu=zɑ̃=tʁə=tε=ʒɑ̃=bə=zu=ʁε=ɲəœ̃=ʃa=o=də=fɔʁ=mə=kʁa=mwa=zi=ʒə=si=jɔ=nə=lɑ̃=tə=mɑ̃=e=pʁɔ=fɔ̃=de=mɑ̃=ma=vε=nə=tʁɑ̃s=pɔʁ=tø=zə=də=vi=ta=li=te=sɑ̃=za=tɑ̃=dʁə=ʒə=mɑ̃=fɔ̃=sə=a=nu=vo=ɑ̃=twa=mə=vi=dɑ̃=a=flo=a=ʃa=kə=ba=tə=mɑ̃=də=kœʁ=u=vʁə=ta=bu=ʃə=mɔ̃=na=muʁ=vwa=la=bwa=bwa=e=vi=tɔ̃=vi=za=ʒə=ku=vεʁ=də=sɑ̃=sɑ̃=blə=se=vε=je=ʒə=mə=sɑ̃s=de=fa=jiʁ=tε=po=pjε=ʁə=sɑ̃=tʁə=u=vʁə=e=mə=fik=sə=lɑ̃=ɡu=ʁø=zə=mɑ̃=ʒεk=splo=zə=ɑ̃=twa=ɑ̃-a=lə=tɑ̃=lε=zɔ=ʁεjə=zɑ̃=pli=də=tε=zɑ̃=ku=ʁa=ʒə=mɑ̃=ki=mɛ̃=plɔ=ʁə=də=və=niʁ=ɑ̃=twa=mε=bʁa=tʁɑ̃=blə=ma=fɔʁ=sə=mə=ki=tə=du=sə=mɑ̃=ʒə=mə=ʁə=po=zə=syʁ=twa=mɔ̃=su=flə=se=tɛ̃=ʒɑ̃=tɑ̃=le=ʃo=də=mɔ̃=kœʁ=ba=tʁə=dɑ̃=ta=ka=ʒə=tɔ=ʁa=si=kə=vi=də=u=pø=tε=tʁə=ε=sə=lə=tjɛ̃=lə=notʁə 202

su=mε=dεʁ=nj=e=spas=mə=tɔ̃=ba=sɛ̃=se=fɔ̃=dʁə=su=mwa=lεʁ=ε=ty=nə=sɛ̃=fɔ=ni=də=le=ʒe=kʁa=kə=mɑ̃=e=də=ma=tj=ε=ʁə=spɔ̃=ʒjø=zə=e=y=mi=də=ʃεʁ=ʃɑ̃=a=fɥ=iʁ=mε=plys=ʁjɛ̃=nɛ̃=pɔʁ=tə=mɛ̃=tə=nɑ̃=mε=zi=ø=sə=ʁə=fεʁ=me=syʁ=tɔ̃=pʁɔ=fil=ʒys=tə=o=mɔ=mɑ̃=u=ty=tə=ʁə=tuʁ=nə=vεʁ=mwa=su=ʁjɑ̃=tə=le=twa=lə=dɑ̃=lε=zi=ø=ze=y=nə=mɛ̃=dɑ̃=mε=lɔ̃ɡ=ʃə=vø=ma=kœjɑ̃=a=ʒa=mε=za=tε=kɔ=te=dɑ̃=ta=mɔʁ=kɔ=mə=ty=la=vε=fε=o=tʁə=fwa=dɑ̃=ta=vi 122

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Commentaire poème
20/04/2024Poeme-France
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Poème Ombre
Du 29/11/2004 10:56

L'écrit contient 1041 mots qui sont répartis dans 9 strophes.