Poème:J’y Ai Cru

Personne pour me dire qui aimer, personne pour me dire comment me
Révéler, voilà de quoi nourrir mes espoirs. Tel un nuage de satin, à moi
Tu te dévoiles, mais je ne vois que l’or que jète à mes yeux ton nuage.
Suis-je sûre que ont monde est celui auquel j’appartiens ? Pour
L’instant rien n’est certain. Mes yeux pétillent lorsqu’au loin je
T’apperçois. Mon cœur défaille, visant le ravin. Mais suis-je sure que
C’est la bonne voie ? Cela ne tien pas seulement de moi. je cherche la
Clé, la clé de tes profondeurs. Celle qui tel un ciel étoillé, nous donne
L’illusion d’un monde meilleur. Puis lorsque tes yeux croisent les
Miens, je sens le peu de résistance qu’il me reste fondre en moi. Mais
Que fais-tu làà ? D’un geste tu écartes les espoirs que j’avais nourris,
Me tournant le dos en prétendant l’insolence. La fraîcheur de ton
Sourire m’avait chermé, mais ce n’était qu’un rêve. Tes passions ne
Partagent pas mes horizon, et telle un poupée que l’on a abandonnée, je
Me sens seule. Le givre s’accumule sur mon cœur, celui qui avant
Brûlait avec vigueur. Mais comme une fleur, ce qui a un début a une
Fin. je te dis au revoire, car cette histoire n’a pas de lendemain.