Poème:Réflexion Sur L’être Humain, Déception Perpétuelle. (Nov.
Le Poème
Insomnie qui me garde une fois de plus. Je me débat avec ce flou dans ma tête et mes milliers d’idées qui n’aboutiront jamais. Ne m’en voulez pas, je suis forcée de vous juger, forcée de réfléchir à votre connerie. Qu’est ce qui vous donne le droit de pourrir les mots ? Vous êtes seulement flattés par quelques jolies choses de la vie. Mais au fond qu’est-ce qui est beau ? Rien, puisque vous salissez tout ce que vous touchez…
Je vous regarde, vous observe, vous scrute, je vous examine avec attention afin de percevoir ce qui est caché en vous. Il m’arrive même de me perdre dans votre mal. Et j’y passe à mon tour, je salis tout ce que je touche…
A vous voir on pourrait croire que vous vous foutez de tout. Qu’on vit pour vivre, parce qu’il faut vivre, alors on vit notre vie, parce que c’est comme ça qu’il faut procéder, et qu’il ne faut ni être gentil, ni être méchant, parce que ni le bien, ni le mal existe dans votre monde jusqu’au jour où vous êtes plus bas que Terre à votre tour. Alors vous vous mettez à ma place, et vous vous demandez qu’est-ce qui fait qu’on puisse en arriver là, mais il n’y a pas de réponse à cette question. Vous sombrez donc, une fois de plus, sans savoir si il faut aimer ou détester parce que vous avez été trop longtemps aveuglé par le fait qu’il n’y a ni bien ni mal.
Je suis frustrée de votre ignorance, j’en suis complètement abasourdie. Vous me donnez envie de vomir. Vos manies écœurantes qui consiste à dire que aimer c’est simple, que vous aimez tout le monde, et le pire dans tout ça, vos manies qui veulent faire comprendre que tout le monde vous aime. Je ris jaune, certes, mais je ris. C’est fou la stupidité qui vous remplit alors que vous êtes tous aussi vides les uns que les autres.
Le seul but de l’être humain, c’est de tout faire pour qu’on vous aime. Alors vous jouez de vos talents de comédiens et vous montrez une face de votre personnalité qui n’est que mensonge. Tout ça sans même vous en rendre compte. Ce qui est grave dans tout ça, c’est que ce n’est pas vous que vous faites connaitre, c’est seulement le fruit de votre imagination. - Vous êtes quelqu’un que vous n’êtes pas. -
Je n’ai pas fini de vous critiquer non. Vous êtes cruels jusqu’au plus profond de votre âme, c’est là, votre véritable identité. Qui n’a jamais été déçu de ses amis ? Au point de se rendre compte au final que ce n’était pas quelqu’un qui vous correspondait, que vous n’étiez pas accordables, parce que vous vous êtes mentis sur vous même trop longtemps et que vous vous rendez compte pour une fois d’une chose, c’est que vous êtes beaucoup trop différents. Vous vous dites « merde » parce que c’est plus simple de se dire ça, c’est plus simple d’être mal et de souffrir, que de comprendre ce qui explique cet éloignement.
De toute manière vous ne pouvez pas réfléchir sur ça, vous serez face à la vérité. Face à cette vérité qui vous fait peur. Vous préférez fermer les yeux sur la vraie vie, et les ouvrir sur votre monde parfait, vous préférerez une fois de plus, pleurer que réfléchir, vous serez bercés par vos problèmes subtils, et peut-être qu’un jour vous comprendrez et que vous trébucherez à votre tour sur une déception perpétuelle.
Je vous regarde, vous observe, vous scrute, je vous examine avec attention afin de percevoir ce qui est caché en vous. Il m’arrive même de me perdre dans votre mal. Et j’y passe à mon tour, je salis tout ce que je touche…
A vous voir on pourrait croire que vous vous foutez de tout. Qu’on vit pour vivre, parce qu’il faut vivre, alors on vit notre vie, parce que c’est comme ça qu’il faut procéder, et qu’il ne faut ni être gentil, ni être méchant, parce que ni le bien, ni le mal existe dans votre monde jusqu’au jour où vous êtes plus bas que Terre à votre tour. Alors vous vous mettez à ma place, et vous vous demandez qu’est-ce qui fait qu’on puisse en arriver là, mais il n’y a pas de réponse à cette question. Vous sombrez donc, une fois de plus, sans savoir si il faut aimer ou détester parce que vous avez été trop longtemps aveuglé par le fait qu’il n’y a ni bien ni mal.
Je suis frustrée de votre ignorance, j’en suis complètement abasourdie. Vous me donnez envie de vomir. Vos manies écœurantes qui consiste à dire que aimer c’est simple, que vous aimez tout le monde, et le pire dans tout ça, vos manies qui veulent faire comprendre que tout le monde vous aime. Je ris jaune, certes, mais je ris. C’est fou la stupidité qui vous remplit alors que vous êtes tous aussi vides les uns que les autres.
Le seul but de l’être humain, c’est de tout faire pour qu’on vous aime. Alors vous jouez de vos talents de comédiens et vous montrez une face de votre personnalité qui n’est que mensonge. Tout ça sans même vous en rendre compte. Ce qui est grave dans tout ça, c’est que ce n’est pas vous que vous faites connaitre, c’est seulement le fruit de votre imagination. - Vous êtes quelqu’un que vous n’êtes pas. -
Je n’ai pas fini de vous critiquer non. Vous êtes cruels jusqu’au plus profond de votre âme, c’est là, votre véritable identité. Qui n’a jamais été déçu de ses amis ? Au point de se rendre compte au final que ce n’était pas quelqu’un qui vous correspondait, que vous n’étiez pas accordables, parce que vous vous êtes mentis sur vous même trop longtemps et que vous vous rendez compte pour une fois d’une chose, c’est que vous êtes beaucoup trop différents. Vous vous dites « merde » parce que c’est plus simple de se dire ça, c’est plus simple d’être mal et de souffrir, que de comprendre ce qui explique cet éloignement.
De toute manière vous ne pouvez pas réfléchir sur ça, vous serez face à la vérité. Face à cette vérité qui vous fait peur. Vous préférez fermer les yeux sur la vraie vie, et les ouvrir sur votre monde parfait, vous préférerez une fois de plus, pleurer que réfléchir, vous serez bercés par vos problèmes subtils, et peut-être qu’un jour vous comprendrez et que vous trébucherez à votre tour sur une déception perpétuelle.
Poète Momo
Momo a publié sur le site 31 écrits. Momo est membre du site depuis l'année 2011.Lire le profil du poète MomoSyllabation De L'Écrit
Syllabes Hyphénique: Réflexion Sur L’être Humain, Déception Perpétuelle. (Nov.
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le=seul=but=de=lê=tre=hu=main=cest=de=tout=fai=re=pour=quon=vous=ai=me=alors=vous=jouez=de=vos=ta=lents=de=co=mé=diens=et=vous=mon=trez=u=ne=fa=ce=de=vo=tre=per=son=na=li=té=qui=nest=que=men=songe=tout=ça=sans=mê=me=vous=en=ren=dre=compte=ce=qui=est=gra=ve=dans=tout=ça=cest=que=ce=nest=pas=vous=que=vous=fai=tes=con=nai=tre=cest=seu=le=ment=le=fruit=de=vo=tre=i=ma=gi=na=ti=on=vous=ê=tes=quel=quun=que=vous=nê=tes=pas 106
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de=toute=ma=niè=re=vous=ne=pou=vez=pas=ré=flé=chir=sur=ça=vous=se=rez=fa=ceà=la=vé=ri=té=fa=ce=à=cet=te=vé=ri=té=qui=vous=fait=peur=vous=pré=fé=rez=fer=mer=les=yeux=sur=la=vraie=vie=et=les=ou=vrir=sur=vo=tre=mon=de=par=fait=vous=pré=fé=re=rez=u=ne=fois=de=plus=pleu=rer=que=ré=flé=chir=vous=se=rez=ber=cés=par=vos=pro=blè=mes=sub=tils=et=peut=tê=tre=quun=jour=vous=com=pren=drez=et=que=vous=tré=bu=che=rez=à=vo=tre=tour=sur=u=ne=dé=cep=tion=per=pé=tuelle 117
Phonétique : Réflexion Sur L’être Humain, Déception Perpétuelle. (Nov.
ɛ̃sɔmni ki mə ɡaʁdə ynə fwa də plys. ʒə mə deba avεk sə flu dɑ̃ ma tεtə e mε milje dide ki nabutiʁɔ̃ ʒamε. nə mɑ̃ vule pa, ʒə sɥi fɔʁse də vu ʒyʒe, fɔʁse də ʁefleʃiʁ a vɔtʁə kɔnəʁi. kε sə ki vu dɔnə lə dʁwa də puʁʁiʁ lε mo ? vuz- εtə sələmɑ̃ flate paʁ kεlk ʒɔli ʃozə də la vi. mεz- o fɔ̃ kε sə ki ε bo ? ʁjɛ̃, pɥiskə vu salise tu sə kə vu tuʃe…ʒə vu ʁəɡaʁdə, vuz- ɔpsεʁvə, vu skʁytə, ʒə vuz- εɡzaminə avεk atɑ̃sjɔ̃ afɛ̃ də pεʁsəvwaʁ sə ki ε kaʃe ɑ̃ vu. il maʁivə mεmə də mə pεʁdʁə dɑ̃ vɔtʁə mal. e ʒi pasə a mɔ̃ tuʁ, ʒə sali tu sə kə ʒə tuʃə…
a vu vwaʁ ɔ̃ puʁʁε kʁwaʁə kə vu vu fute də tu. kɔ̃ vit puʁ vivʁə, paʁsə kil fo vivʁə, alɔʁz- ɔ̃ vit nɔtʁə vi, paʁsə kə sε kɔmə sa kil fo pʁɔsede, e kil nə fo ni εtʁə ʒɑ̃til, ni εtʁə meʃɑ̃, paʁsə kə ni lə bjɛ̃, ni lə mal εɡzistə dɑ̃ vɔtʁə mɔ̃də ʒysko ʒuʁ u vuz- εtə plys ba kə teʁə a vɔtʁə tuʁ. alɔʁ vu vu mεtez- a ma plasə, e vu vu dəmɑ̃de kε sə ki fε kɔ̃ pɥisə ɑ̃n- aʁive la, mεz- il ni a pa də ʁepɔ̃sə a sεtə kεstjɔ̃. vu sɔ̃bʁe dɔ̃k, ynə fwa də plys, sɑ̃ savwaʁ si il fo εme u detεste paʁsə kə vuz- avez- ete tʁo lɔ̃tɑ̃z- avøɡle paʁ lə fε kil ni a ni bjɛ̃ ni mal.
ʒə sɥi fʁystʁe də vɔtʁə iɲɔʁɑ̃sə, ʒɑ̃ sɥi kɔ̃plεtəmɑ̃ abazuʁdi. vu mə dɔnez- ɑ̃vi də vɔmiʁ. vo maniz- ekeyʁɑ̃tə ki kɔ̃sistə a diʁə kə εme sε sɛ̃plə, kə vuz- εme tu lə mɔ̃də, e lə piʁə dɑ̃ tu sa, vo mani ki vəle fεʁə kɔ̃pʁɑ̃dʁə kə tu lə mɔ̃də vuz- εmə. ʒə ʁis ʒonə, sεʁtə, mε ʒə ʁis. sε fu la stypidite ki vu ʁɑ̃pli alɔʁ kə vuz- εtə tusz- osi vidə lεz- œ̃ kə lεz- otʁə.
lə səl byt də lεtʁə ymɛ̃, sε də tu fεʁə puʁ kɔ̃ vuz- εmə. alɔʁ vu ʒue də vo talɑ̃ də kɔmedjɛ̃z- e vu mɔ̃tʁez- ynə fasə də vɔtʁə pεʁsɔnalite ki nε kə mɑ̃sɔ̃ʒə. tu sa sɑ̃ mεmə vuz- ɑ̃ ʁɑ̃dʁə kɔ̃tə. sə ki ε ɡʁavə dɑ̃ tu sa, sε kə sə nε pa vu kə vu fεtə kɔnεtʁə, sε sələmɑ̃ lə fʁɥi də vɔtʁə imaʒinasjɔ̃. vuz- εtə kεlkœ̃ kə vu nεtə pa.
ʒə nε pa fini də vu kʁitike nɔ̃. vuz- εtə kʁyεl ʒysko plys pʁɔfɔ̃ də vɔtʁə amə, sε la, vɔtʁə veʁitablə idɑ̃tite. ki na ʒamεz- ete desy də sεz- ami ? o pwɛ̃ də sə ʁɑ̃dʁə kɔ̃tə o final kə sə netε pa kεlkœ̃ ki vu kɔʁεspɔ̃dε, kə vu netje pa akɔʁdablə, paʁsə kə vu vuz- εtə mɑ̃ti syʁ vu mεmə tʁo lɔ̃tɑ̃z- e kə vu vu ʁɑ̃de kɔ̃tə puʁ ynə fwa dynə ʃozə, sε kə vuz- εtə boku tʁo difeʁɑ̃. vu vu ditəs « mεʁdə » paʁsə kə sε plys sɛ̃plə də sə diʁə sa, sε plys sɛ̃plə dεtʁə mal e də sufʁiʁ, kə də kɔ̃pʁɑ̃dʁə sə ki εksplikə sεt elwaɲəmɑ̃.
də tutə manjεʁə vu nə puve pa ʁefleʃiʁ syʁ sa, vu səʁe fasə a la veʁite. fasə a sεtə veʁite ki vu fε pœʁ. vu pʁefeʁe fεʁme lεz- iø syʁ la vʁε vi, e lεz- uvʁiʁ syʁ vɔtʁə mɔ̃də paʁfε, vu pʁefeʁəʁez- ynə fwa də plys, pləʁe kə ʁefleʃiʁ, vu səʁe bεʁse paʁ vo pʁɔblεmə sybtil, e pø tεtʁə kœ̃ ʒuʁ vu kɔ̃pʁɑ̃dʁez- e kə vu tʁebyʃəʁez- a vɔtʁə tuʁ syʁ ynə desεpsjɔ̃ pεʁpetɥεllə.
Syllabes Phonétique : Réflexion Sur L’être Humain, Déception Perpétuelle. (Nov.
ɛ̃=sɔm=ni=ki=mə=ɡaʁ=də=y=nə=fwa=də=plys=ʒə=mə=de=ba=a=vεk=sə=flu=dɑ̃=ma=tε=tə=e=mε=mi=lje=di=de=ki=na=bu=ti=ʁɔ̃=ʒa=mε=nə=mɑ̃=vu=le=pa=ʒə=sɥi=fɔʁ=se=də=vu=ʒy=ʒe=fɔʁ=se=də=ʁe=fle=ʃiʁ=a=vɔ=tʁə=kɔ=nə=ʁi=kε=sə=ki=vu=dɔ=nə=lə=dʁwa=də=puʁ=ʁiʁ=lε=mo=vu=zε=tə=sə=lə=mɑ̃=fla=te=paʁ=kεl=kə=ʒɔ=li=ʃo=zə=də=la=vi=mε=zo=fɔ̃=kε=sə=ki=ε=bo=ʁjɛ̃=pɥis=kə=vu=sa=li=se=tu=sə=kə=vu=tu=ʃe 114ʒə=vu=ʁə=ɡaʁ=də=vu=zɔp=sεʁ=və=vu=skʁy=tə=ʒə=vu=zεɡ=za=mi=nə=a=vεk=a=tɑ̃=sj=ɔ̃=a=fɛ̃=də=pεʁ=sə=vwaʁ=sə=ki=ε=ka=ʃe=ɑ̃=vu=il=ma=ʁi=və=mε=mə=də=mə=pεʁ=dʁə=dɑ̃=vɔ=tʁə=mal=e=ʒi=pa=sə=a=mɔ̃=tuʁ=ʒə=sa=li=tu=sə=kə=ʒə=tu=ʃə 67
a=vu=vwaʁ=ɔ̃=puʁ=ʁε=kʁwaʁə=kə=vu=vu=fu=te=də=tu=kɔ̃=vit=puʁ=vi=vʁə=paʁ=sə=kil=fo=vi=vʁə=a=lɔʁ=zɔ̃=vit=nɔ=tʁə=vi=paʁ=sə=kə=sε=kɔ=mə=sa=kil=fo=pʁɔ=se=de=e=kil=nə=fo=ni=ε=tʁə=ʒɑ̃=til=ni=ε=tʁə=me=ʃɑ̃=paʁ=sə=kə=ni=lə=bjɛ̃=ni=lə=mal=εɡ=zis=tə=dɑ̃=vɔ=tʁə=mɔ̃=də=ʒys=ko=ʒuʁ=u=vu=zε=tə=plys=ba=kə=te=ʁəa=vɔ=tʁə=tuʁ=a=lɔʁ=vu=vu=mε=te=za=ma=pla=sə=e=vu=vu=də=mɑ̃=de=kε=sə=ki=fε=kɔ̃=pɥi=sə=ɑ̃=na=ʁi=ve=la=mε=zil=ni=a=pa=də=ʁe=pɔ̃=sə=a=sε=tə=kεs=tjɔ̃=vu=sɔ̃=bʁe=dɔ̃k=y=nə=fwa=də=plys=sɑ̃=sa=vwaʁ=si=il=fo=ε=me=u=de=tεs=te=paʁ=sə=kə=vu=za=ve=ze=te=tʁo=lɔ̃=tɑ̃=za=vø=ɡle=paʁ=lə=fε=kil=ni=a=ni=bjɛ̃=ni=mal 177
ʒə=sɥi=fʁys=tʁe=də=vɔtʁə=i=ɲɔ=ʁɑ̃=sə=ʒɑ̃=sɥi=kɔ̃=plε=tə=mɑ̃=a=ba=zuʁ=di=vu=mə=dɔ=ne=zɑ̃=vi=də=vɔ=miʁ=vo=ma=ni=ze=ke=y=ʁɑ̃=tə=ki=kɔ̃=sis=təa=di=ʁə=kə=ε=me=sε=sɛ̃=plə=kə=vu=zε=me=tu=lə=mɔ̃=də=e=lə=pi=ʁə=dɑ̃=tu=sa=vo=ma=ni=ki=və=le=fε=ʁə=kɔ̃=pʁɑ̃=dʁə=kə=tu=lə=mɔ̃=də=vu=zε=mə=ʒə=ʁis=ʒo=nə=sεʁ=tə=mε=ʒə=ʁis=sε=fu=la=sty=pi=di=te=ki=vu=ʁɑ̃=pli=a=lɔʁ=kə=vu=zε=tə=tus=zo=si=vi=də=lε=zœ̃=kə=lε=zotʁə 119
lə=səl=byt=də=lε=tʁə=y=mɛ̃=sε=də=tu=fε=ʁə=puʁ=kɔ̃=vu=zε=mə=a=lɔʁ=vu=ʒu=e=də=vo=ta=lɑ̃=də=kɔ=me=dj=ɛ̃=ze=vu=mɔ̃=tʁe=zy=nə=fa=sə=də=vɔ=tʁə=pεʁ=sɔ=na=li=te=ki=nε=kə=mɑ̃=sɔ̃=ʒə=tu=sa=sɑ̃=mε=mə=vu=zɑ̃=ʁɑ̃=dʁə=kɔ̃=tə=sə=ki=ε=ɡʁa=və=dɑ̃=tu=sa=sε=kə=sə=nε=pa=vu=kə=vu=fε=tə=kɔ=nε=tʁə=sε=sə=lə=mɑ̃=lə=fʁɥi=də=vɔ=tʁə=i=ma=ʒi=na=sj=ɔ̃=vu=zε=tə=kεl=kœ̃=kə=vu=nε=tə=pa 111
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də=tutə=ma=njε=ʁə=vu=nə=pu=ve=pa=ʁe=fle=ʃiʁ=syʁ=sa=vu=sə=ʁe=fa=səa=la=ve=ʁi=te=fa=sə=a=sε=tə=ve=ʁi=te=ki=vu=fε=pœʁ=vu=pʁe=fe=ʁe=fεʁ=me=lε=ziø=syʁ=la=vʁε=vi=e=lε=zu=vʁiʁ=syʁ=vɔ=tʁə=mɔ̃=də=paʁ=fε=vu=pʁe=fe=ʁə=ʁe=zy=nə=fwa=də=plys=plə=ʁe=kə=ʁe=fle=ʃiʁ=vu=sə=ʁe=bεʁ=se=paʁ=vo=pʁɔ=blε=mə=syb=til=e=pø=tε=tʁə=kœ̃=ʒuʁ=vu=kɔ̃=pʁɑ̃=dʁe=ze=kə=vu=tʁe=by=ʃə=ʁe=za=vɔ=tʁə=tuʁ=syʁ=y=nə=de=sεp=sjɔ̃=pεʁ=pet=ɥεllə 117
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Poesie sans commentaire
19/04/2024Poeme-France
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Poème Divers
Du 27/11/2011 21:00
L'écrit contient 628 mots qui sont répartis dans 1 strophes.