Poème:La Belle Et La Bête

Beautée ténébreuse aux longs cheveux noirs
Dont le regard s’emplit de dégoût à chaque fois qu’elle me voit
Mais je ne peux lui en vouloir
Qu’importe ça répugnance, elle me regarde, s’est se qui compte le plus pour moi.

Je sais ce qu’on dit à mon sujet
Les gens ont peur en voyant se visage qui est le mien
Défiguré, tel le pire des monstre, je suis laid
Et je vis caché, bien que je n’y puisse rien.

Mais cet ange diabolique est venu vivre à côté
Je ne peux m’empêche de l’épier de ma fenêtre
Le matin, lorsqu’elle se promène qu’à moitié habillée
Je sent une douleur atroce transpercer tout mon être.

Moi, je ne pensais pas à mal quand je suis allé chez elle
Mais cette poupée machiavélique a rit, s’est moquée
Quand je lui ai dit que par sa faute mon âme brulait d’un tourment éternel
Et que je l’a voulais à mes côtés.

Ses hurlements ont du alerter la police, je m’en fous
Je m’allonges à côté de ce démon au visage d’ange dont la mort est la gardienne
Ils sont là, je les entends à la porte, donner des coups
Mais quand ils entreront ils me trouveront mort à côté de celle qui sera à jamais mienne.