Prose:Chloé Me Manque 3
La Prose
Je me souviens que Chloé était si petite qu’elle aurait pu tenir dans une boite à chaussure - une boite de Doc Martens, par exemple - et que cette petitesse me faisait peur… C’est pourquoi je préférais garder une certaine distance, en l’observant de loin, là, debout, dans cette chambre, à un mètre du chevet. De sa petite bouche rose, violacée, sortaient des petits sons étranges… On aurait dit un petit chat ; un petit chat plaintif, qui était inquiet, demandait, on ne savait trop quoi. Cela était plus que frustrant de ne rien faire. Seulement, ne parlant pas le petit chat, on ne pouvait pas comprendre ce qu’il disait.
Que faire ? …
Dépourvues, nous nous contentions d’avoir des des mines de merlan frit. Sabine la cajolait tout de même, en lui donnant des baisers, caresses, tendrement, tout doucement. Moi, je me demandait quoi faire de mon corps, comment le placer et le tenir dans l’espace, comment respirer en ayant l’air de rien, solide, comme un roc, comme ce père que j’étais censé être et qui ne l’était pas encore. Il faut dire que Chloé nous renvoyait des ondes si puissantes que j’en avais la chair de poule ! Cela se sentait entre les murs, le sol, le plafond. Cela se sentait sur nous et sur les choses, dans l’atmosphère. Tant est si bien que j’en étais décontenancé, complètement idiot, et que, le contrôle de mon corps me m’échappait un peu.
« Prends-la » me dit Sabine.
La prendre ? …
Voilà ce que je redoutais le plus depuis que j’avais mis les pieds dans cette chambre ! Jusque-là, j’avais pu feindre mon malaise en affichant un sourire bête. C’était pratique, un sourire bête, et peu coûteux si j’ose le dire. Pour cela, il suffisait de faire comme si de rien n’était avec les dents à découvert, la bouche en croissant de lune et le regard plissé comme on le fait naturellement sous le soleil. Il n’y avait pas besoin de dire des choses, qui aurait pu être maladroites, mal venues et inappropriées. Il suffisait de s’effacer habilement derrière sa bouche. Je me sentais si gauche. Je me sentais si peu crédible. Comment allais-je faire, maintenant, avec ce petit chat ?
Et puis…
Mine de rien…
Ne pouvait-il pas me mordre ? …
Bon… d’accord, Chloé n’avait pas encore de dent pour me croquer un doigt ou autre chose. Mais… enfin… que cachait réellement cette petite bouche ? A bien la regarder, on ne voyait pas très bien à l’intérieur. Chloé ne l’ouvrait pas assez conséquemment pour que l’on sache si ses mâchoires étaient pourvues ou non de petits crocs qui auraient pu être incisifs.
Ne rigolez pas…
Dans le monde, on avait vu combien de gens si sûrs d’eux-mêmes, imbus de leur personne ? Par ailleurs, combien avait fini à l’hôpital et, sérieusement, combien ne s’en n’était jamais remis et en était resté sur le carreau avec des séquelles irréparables ? Ces gens-là, sûrs deux-mêmes, m’aurait sans aucun doute prescrit de m’approcher en toute quiétude, non ?
Alors…
« Prends-la, je te dis » me dit Sabine.
Prudent… piteux… nerveux… je l’avais prise entre mes bras. Elle gigotait légèrement avec son petit corps fragile, mais les secousses se sentaient à peine, car elle manquait un peu de force pour que ce soit vraiment concret et sensitif entre mes bras. Pour autant, la hargne était bien là sur son visage, et on voyait déjà le caractère, oui, qui serait bien trempé et affirmé, qu’on se le dise ! assurément.
Je me suis approché…
Chloé sentait la vie, la vie très fort, comme quand on n’est pas encore passé dans ses rouages pleins de graisse et qu’on n’a pas encore été déçu par le mensonge. Celui du père, noël par exemple. Nous y avions tous cru, nous, tout comme elle, au sortir du ventre de notre mère. Plus tard, on avait été déçu comme tout le monde. Non, le père noël n’existait pas, et il n’était qu’un pieu mensonge. Certain y croit toujours au fond d’eux même. Mais il faut bien qu’on se rattache à quelque chose. Le père noël ou Dieu ou les nuages, quel importances ?
À un moment donné, Chloé ne sentit plus du tout la même chose… L’odeur semblait provenir de son derrière, là, dans sa petite couche…
« -Tiens, reprends-la, je crois qu’il faut changer sa couche…
-Tu ne veux pas le faire, toi ?
- Non, fais-le, je préfère… »
J’ai regardé Chloé. Elle était si fragile, dépendante… En moi, il n’y avait qu’une seule question, intrigante : comment un aussi petit être pouvait me dégager une telle force ?
Que faire ? …
Dépourvues, nous nous contentions d’avoir des des mines de merlan frit. Sabine la cajolait tout de même, en lui donnant des baisers, caresses, tendrement, tout doucement. Moi, je me demandait quoi faire de mon corps, comment le placer et le tenir dans l’espace, comment respirer en ayant l’air de rien, solide, comme un roc, comme ce père que j’étais censé être et qui ne l’était pas encore. Il faut dire que Chloé nous renvoyait des ondes si puissantes que j’en avais la chair de poule ! Cela se sentait entre les murs, le sol, le plafond. Cela se sentait sur nous et sur les choses, dans l’atmosphère. Tant est si bien que j’en étais décontenancé, complètement idiot, et que, le contrôle de mon corps me m’échappait un peu.
« Prends-la » me dit Sabine.
La prendre ? …
Voilà ce que je redoutais le plus depuis que j’avais mis les pieds dans cette chambre ! Jusque-là, j’avais pu feindre mon malaise en affichant un sourire bête. C’était pratique, un sourire bête, et peu coûteux si j’ose le dire. Pour cela, il suffisait de faire comme si de rien n’était avec les dents à découvert, la bouche en croissant de lune et le regard plissé comme on le fait naturellement sous le soleil. Il n’y avait pas besoin de dire des choses, qui aurait pu être maladroites, mal venues et inappropriées. Il suffisait de s’effacer habilement derrière sa bouche. Je me sentais si gauche. Je me sentais si peu crédible. Comment allais-je faire, maintenant, avec ce petit chat ?
Et puis…
Mine de rien…
Ne pouvait-il pas me mordre ? …
Bon… d’accord, Chloé n’avait pas encore de dent pour me croquer un doigt ou autre chose. Mais… enfin… que cachait réellement cette petite bouche ? A bien la regarder, on ne voyait pas très bien à l’intérieur. Chloé ne l’ouvrait pas assez conséquemment pour que l’on sache si ses mâchoires étaient pourvues ou non de petits crocs qui auraient pu être incisifs.
Ne rigolez pas…
Dans le monde, on avait vu combien de gens si sûrs d’eux-mêmes, imbus de leur personne ? Par ailleurs, combien avait fini à l’hôpital et, sérieusement, combien ne s’en n’était jamais remis et en était resté sur le carreau avec des séquelles irréparables ? Ces gens-là, sûrs deux-mêmes, m’aurait sans aucun doute prescrit de m’approcher en toute quiétude, non ?
Alors…
« Prends-la, je te dis » me dit Sabine.
Prudent… piteux… nerveux… je l’avais prise entre mes bras. Elle gigotait légèrement avec son petit corps fragile, mais les secousses se sentaient à peine, car elle manquait un peu de force pour que ce soit vraiment concret et sensitif entre mes bras. Pour autant, la hargne était bien là sur son visage, et on voyait déjà le caractère, oui, qui serait bien trempé et affirmé, qu’on se le dise ! assurément.
Je me suis approché…
Chloé sentait la vie, la vie très fort, comme quand on n’est pas encore passé dans ses rouages pleins de graisse et qu’on n’a pas encore été déçu par le mensonge. Celui du père, noël par exemple. Nous y avions tous cru, nous, tout comme elle, au sortir du ventre de notre mère. Plus tard, on avait été déçu comme tout le monde. Non, le père noël n’existait pas, et il n’était qu’un pieu mensonge. Certain y croit toujours au fond d’eux même. Mais il faut bien qu’on se rattache à quelque chose. Le père noël ou Dieu ou les nuages, quel importances ?
À un moment donné, Chloé ne sentit plus du tout la même chose… L’odeur semblait provenir de son derrière, là, dans sa petite couche…
« -Tiens, reprends-la, je crois qu’il faut changer sa couche…
-Tu ne veux pas le faire, toi ?
- Non, fais-le, je préfère… »
J’ai regardé Chloé. Elle était si fragile, dépendante… En moi, il n’y avait qu’une seule question, intrigante : comment un aussi petit être pouvait me dégager une telle force ?
Poète Marc
Marc a publié sur le site 12 écrits. Marc est membre du site depuis l'année 2018.Lire le profil du poète MarcSyllabation De L'Écrit
Syllabes Hyphénique: Chloé Me Manque 3
je=me=sou=viens=que=chloé=é=tait=si=pe=tite=quel=leau=rait=pu=te=nir=dans=une=boi=teà=chaus=sureu=ne=boi=te=de=doc=mar=tens=par=exem=ple=et=que=cet=te=pe=ti=tes=se=me=fai=sait=peur=cest=pour=quoi=je=pré=fé=rais=gar=der=u=ne=cer=tai=ne=dis=tan=ce=en=lob=ser=vant=de=loin=là=de=bout=dans=cet=te=cham=bre=à=un=mè=tre=du=che=vet=de=sa=pe=ti=te=bou=che=ro=se=vio=la=cée=sor=taient=des=pe=tits=sons=é=tran=ges=on=au=rait=dit=un=pe=tit=chat=un=pe=tit=chat=plain=tif=qui=é=tait=in=quiet=de=man=dait=on=ne=sa=vait=trop=quoi=ce=la=é=tait=plus=que=frus=trant=de=ne=rien=faire=seu=le=ment=ne=par=lant=pas=le=pe=tit=chat=on=ne=pou=vait=pas=com=pren=dre=ce=quil=di=sait 167que=faire 2
dé=pour=vues=nous=nous=conten=tions=da=voir=des=des=mines=de=mer=lan=frit=sa=bine=la=ca=jo=lait=tout=de=mê=me=en=lui=don=nant=des=bai=sers=ca=res=ses=ten=dre=ment=tout=dou=ce=ment=moi=je=me=de=man=dait=quoi=fai=re=de=mon=corps=com=ment=le=pla=cer=et=le=te=nir=dans=les=pa=ce=com=ment=res=pi=rer=en=ayant=lair=de=rien=so=li=de=com=meun=roc=com=me=ce=pè=re=que=jé=tais=cen=sé=ê=treet=qui=ne=lé=tait=pas=en=core=il=faut=di=re=que=chloé=nous=ren=vo=yait=des=on=des=si=puis=san=tes=que=jen=a=vais=la=chair=de=pou=le=ce=la=se=sen=tait=en=tre=les=murs=le=sol=le=pla=fond=ce=la=se=sen=tait=sur=nous=et=sur=les=cho=ses=dans=lat=mo=sphère=tant=est=si=bien=que=jen=é=tais=dé=con=te=nan=cé=com=plè=te=ment=i=diot=et=que=le=con=trô=le=de=mon=corps=me=mé=chap=pait=un=peu 193
prends=la=me=dit=sa=bine 7
la=prendre 2
voi=là=ce=que=je=re=dou=tais=le=plus=de=puis=que=ja=vais=mis=les=pieds=dans=cette=chambre=jus=que=là=ja=vais=pu=feindre=mon=ma=lai=seen=af=fi=chant=un=sou=ri=re=bê=te=cé=tait=pra=ti=que=un=sou=ri=re=bê=te=et=peu=coû=teux=si=jo=se=le=dire=pour=ce=la=il=suf=fi=sait=de=fai=re=com=me=si=de=rien=né=tait=a=vec=les=dents=à=dé=cou=vert=la=bou=cheen=crois=sant=de=lu=neet=le=re=gard=plis=sé=com=me=on=le=fait=na=tu=rel=le=ment=sous=le=so=leil=il=ny=a=vait=pas=be=soin=de=di=re=des=cho=ses=qui=au=rait=pu=ê=tre=ma=la=droi=tes=mal=ve=nues=et=i=nap=pro=pri=ées=il=suf=fi=sait=de=sef=fa=cer=ha=bile=ment=der=riè=re=sa=bouche=je=me=sen=tais=si=gauche=je=me=sen=tais=si=peu=cré=dible=com=ment=al=lais=je=fai=re=main=te=nant=a=vec=ce=pe=tit=chat 191
et=puis 2
mine=de=rien 3
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ne=ri=go=lez=pas 5
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a=lors 2
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à=un=moment=don=né=chloé=ne=sen=tit=plus=du=tout=la=même=chose=lo=deur=sem=blait=pro=ve=nir=de=son=der=riè=re=là=dans=sa=pe=ti=te=couche 34
tiens=re=prends=la=je=crois=quil=faut=chan=ger=sa=couche 13
tu=ne=veux=pas=le=faire=toi 7
non=fais=le=je=pré=fère 6
jai=re=gar=dé=chloé=el=leé=tait=si=fra=gile=dépen=dante=en=moi=il=ny=a=vait=quu=ne=seu=le=ques=tion=in=tri=gan=te=com=ment=un=aus=si=pe=tit=ê=tre=pou=vait=me=dé=ga=ger=u=ne=tel=le=force 49
Phonétique : Chloé Me Manque 3
ʒə mə suvjɛ̃ kə klɔe etε si pətitə kεllə oʁε py təniʁ dɑ̃z- ynə bwatə a ʃosyʁə ynə bwatə də dɔk maʁtɛ̃, paʁ εɡzɑ̃plə e kə sεtə pətitεsə mə fəzε pœʁ… sε puʁkwa ʒə pʁefeʁε ɡaʁde ynə sεʁtεnə distɑ̃sə, ɑ̃ lɔpsεʁvɑ̃ də lwɛ̃, la, dəbu, dɑ̃ sεtə ʃɑ̃bʁə, a œ̃ mεtʁə dy ʃəvε. də sa pətitə buʃə ʁozə, vjɔlase, sɔʁtε dε pəti sɔ̃z- etʁɑ̃ʒə… ɔ̃n- oʁε di œ̃ pəti ʃa, œ̃ pəti ʃa plɛ̃tif, ki etε ɛ̃kjε, dəmɑ̃dε, ɔ̃ nə savε tʁo kwa. səla etε plys kə fʁystʁɑ̃ də nə ʁjɛ̃ fεʁə. sələmɑ̃, nə paʁlɑ̃ pa lə pəti ʃa, ɔ̃ nə puvε pa kɔ̃pʁɑ̃dʁə sə kil dizε.kə fεʁə ? …
depuʁvɥ, nu nu kɔ̃tɑ̃sjɔ̃ davwaʁ dε dε minə də mεʁlɑ̃ fʁi. sabinə la kaʒɔlε tu də mεmə, ɑ̃ lɥi dɔnɑ̃ dε bεze, kaʁesə, tɑ̃dʁəmɑ̃, tu dusəmɑ̃. mwa, ʒə mə dəmɑ̃dε kwa fεʁə də mɔ̃ kɔʁ, kɔmɑ̃ lə plase e lə təniʁ dɑ̃ lεspasə, kɔmɑ̃ ʁεspiʁe ɑ̃n- εjɑ̃ lεʁ də ʁjɛ̃, sɔlidə, kɔmə œ̃ ʁɔk, kɔmə sə pεʁə kə ʒetε sɑ̃se εtʁə e ki nə letε pa ɑ̃kɔʁə. il fo diʁə kə klɔe nu ʁɑ̃vwajε dεz- ɔ̃də si pɥisɑ̃tə kə ʒɑ̃n- avε la ʃεʁ də pulə ! səla sə sɑ̃tε ɑ̃tʁə lε myʁ, lə sɔl, lə plafɔ̃. səla sə sɑ̃tε syʁ nuz- e syʁ lε ʃozə, dɑ̃ latmɔsfεʁə. tɑ̃ ε si bjɛ̃ kə ʒɑ̃n- etε dekɔ̃tənɑ̃se, kɔ̃plεtəmɑ̃ idjo, e kə, lə kɔ̃tʁolə də mɔ̃ kɔʁ mə meʃapε œ̃ pø.
« pʁɑ̃ la » mə di sabinə.
la pʁɑ̃dʁə ? …
vwala sə kə ʒə ʁədutε lə plys dəpɥi kə ʒavε mi lε pje dɑ̃ sεtə ʃɑ̃bʁə ! ʒyskə la, ʒavε py fɛ̃dʁə mɔ̃ malεzə ɑ̃n- afiʃɑ̃ œ̃ suʁiʁə bεtə. setε pʁatikə, œ̃ suʁiʁə bεtə, e pø kutø si ʒozə lə diʁə. puʁ səla, il syfizε də fεʁə kɔmə si də ʁjɛ̃ netε avεk lε dɑ̃z- a dekuvεʁ, la buʃə ɑ̃ kʁwasɑ̃ də lynə e lə ʁəɡaʁ plise kɔmə ɔ̃ lə fε natyʁεllmɑ̃ su lə sɔlεj. il ni avε pa bəzwɛ̃ də diʁə dε ʃozə, ki oʁε py εtʁə maladʁwatə, mal vənɥz- e inapʁɔpʁje. il syfizε də sefase-abiləmɑ̃ dəʁjεʁə sa buʃə. ʒə mə sɑ̃tε si ɡoʃə. ʒə mə sɑ̃tε si pø kʁediblə. kɔmɑ̃ alε ʒə fεʁə, mɛ̃tənɑ̃, avεk sə pəti ʃa ?
e pɥi…
minə də ʁjɛ̃…
nə puvε til pa mə mɔʁdʁə ? …
bɔ̃… dakɔʁ, klɔe navε pa ɑ̃kɔʁə də dɑ̃ puʁ mə kʁɔke œ̃ dwa u otʁə ʃozə. mε… ɑ̃fɛ̃… kə kaʃε ʁeεllmɑ̃ sεtə pətitə buʃə ? a bjɛ̃ la ʁəɡaʁde, ɔ̃ nə vwajε pa tʁε bjɛ̃ a lɛ̃teʁjœʁ. klɔe nə luvʁε pa ase kɔ̃sekamɑ̃ puʁ kə lɔ̃ saʃə si sε maʃwaʁəz- etε puʁvɥz- u nɔ̃ də pəti kʁo ki oʁε py εtʁə ɛ̃sizif.
nə ʁiɡɔle pa…
dɑ̃ lə mɔ̃də, ɔ̃n- avε vy kɔ̃bjɛ̃ də ʒɑ̃ si syʁ dø mεmə, ɛ̃bys də lœʁ pεʁsɔnə ? paʁ ajœʁ, kɔ̃bjɛ̃ avε fini a lopital e, seʁjøzəmɑ̃, kɔ̃bjɛ̃ nə sɑ̃ netε ʒamε ʁəmiz- e ɑ̃n- etε ʁεste syʁ lə kaʁo avεk dε sekεlləz- iʁepaʁablə ? sε ʒɑ̃ la, syʁ dø mεmə, moʁε sɑ̃z- okœ̃ dutə pʁεskʁi də mapʁoʃe ɑ̃ tutə kjetydə, nɔ̃ ?
alɔʁ…
« pʁɑ̃ la, ʒə tə dis » mə di sabinə.
pʁyde… pitø… nεʁvø… ʒə lavε pʁizə ɑ̃tʁə mε bʁa. εllə ʒiɡɔtε leʒεʁəmɑ̃ avεk sɔ̃ pəti kɔʁ fʁaʒilə, mε lε səkusə sə sɑ̃tε a pεnə, kaʁ εllə mɑ̃kε œ̃ pø də fɔʁsə puʁ kə sə swa vʁεmɑ̃ kɔ̃kʁε e sɑ̃sitif ɑ̃tʁə mε bʁa. puʁ otɑ̃, la-aʁɲə etε bjɛ̃ la syʁ sɔ̃ vizaʒə, e ɔ̃ vwajε deʒa lə kaʁaktεʁə, ui, ki səʁε bjɛ̃ tʁɑ̃pe e afiʁme, kɔ̃ sə lə dizə ! asyʁemɑ̃.
ʒə mə sɥiz- apʁoʃe…
klɔe sɑ̃tε la vi, la vi tʁε fɔʁ, kɔmə kɑ̃t- ɔ̃ nε pa ɑ̃kɔʁə pase dɑ̃ sε ʁuaʒə plɛ̃ də ɡʁεsə e kɔ̃ na pa ɑ̃kɔʁə ete desy paʁ lə mɑ̃sɔ̃ʒə. səlɥi dy pεʁə, nɔεl paʁ εɡzɑ̃plə. nuz- i avjɔ̃ tus kʁy, nu, tu kɔmə εllə, o sɔʁtiʁ dy vɑ̃tʁə də nɔtʁə mεʁə. plys taʁ, ɔ̃n- avε ete desy kɔmə tu lə mɔ̃də. nɔ̃, lə pεʁə nɔεl nεɡzistε pa, e il netε kœ̃ pjø mɑ̃sɔ̃ʒə. sεʁtɛ̃ i kʁwa tuʒuʁz- o fɔ̃ dø mεmə. mεz- il fo bjɛ̃ kɔ̃ sə ʁataʃə a kεlkə ʃozə. lə pεʁə nɔεl u djø u lε nɥaʒə, kεl ɛ̃pɔʁtɑ̃sə ?
a œ̃ mɔmɑ̃ dɔne, klɔe nə sɑ̃ti plys dy tu la mεmə ʃozə… lɔdœʁ sɑ̃blε pʁɔvəniʁ də sɔ̃ dəʁjεʁə, la, dɑ̃ sa pətitə kuʃə…
« tjɛ̃, ʁəpʁɑ̃ la, ʒə kʁwa kil fo ʃɑ̃ʒe sa kuʃə…
ty nə vø pa lə fεʁə, twa ?
nɔ̃, fε lə, ʒə pʁefεʁə… »
ʒε ʁəɡaʁde klɔe. εllə etε si fʁaʒilə, depɑ̃dɑ̃tə… ɑ̃ mwa, il ni avε kynə sələ kεstjɔ̃, ɛ̃tʁiɡɑ̃tə : kɔmɑ̃ œ̃n- osi pəti εtʁə puvε mə deɡaʒe ynə tεllə fɔʁsə ?
Syllabes Phonétique : Chloé Me Manque 3
ʒə=mə=su=vjɛ̃kə=klɔ=e=e=tεsipə=ti=tə=kεlləo=ʁε=py=tə=niʁ=dɑ̃=zy=nə=bwa=təa=ʃo=sy=ʁəy=nə=bwa=tə=də=dɔk=maʁ=tɛ̃=paʁ=εɡ=zɑ̃=plə=e=kə=sε=tə=pə=ti=tε=sə=mə=fə=zε=pœʁ=sε=puʁ=kwa=ʒə=pʁe=fe=ʁε=ɡaʁ=de=y=nə=sεʁ=tε=nə=dis=tɑ̃=sə=ɑ̃=lɔp=sεʁ=vɑ̃=də=lwɛ̃=la=də=bu=dɑ̃=sε=tə=ʃɑ̃=bʁə=a=œ̃=mε=tʁə=dy=ʃə=vε=də=sa=pə=ti=tə=bu=ʃə=ʁo=zə=vjɔ=la=se=sɔʁ=tε=dε=pə=ti=sɔ̃=ze=tʁɑ̃=ʒə=ɔ̃=no=ʁε=di=œ̃=pə=ti=ʃa=œ̃=pə=ti=ʃa=plɛ̃=tif=ki=e=tε=ɛ̃=kjε=də=mɑ̃=dε=ɔ̃=nə=sa=vε=tʁo=kwa=sə=la=e=tε=plys=kə=fʁys=tʁɑ̃=də=nə=ʁjɛ̃=fε=ʁə=sə=lə=mɑ̃=nə=paʁ=lɑ̃=pa=lə=pə=ti=ʃa=ɔ̃=nə=pu=vε=pa=kɔ̃=pʁɑ̃=dʁə=sə=kil=di=zε 169kə=fε=ʁə 3
de=puʁvɥ=nu=nu=kɔ̃=tɑ̃=sjɔ̃=da=vwaʁ=dεdεminə=də=mεʁ=lɑ̃=fʁi=sa=bi=nə=la=ka=ʒɔ=lε=tu=də=mε=mə=ɑ̃=lɥi=dɔ=nɑ̃=dε=bε=ze=ka=ʁe=sə=tɑ̃=dʁə=mɑ̃=tu=du=sə=mɑ̃=mwa=ʒə=mə=də=mɑ̃=dε=kwa=fε=ʁə=də=mɔ̃=kɔʁ=kɔ=mɑ̃=lə=pla=se=e=lə=tə=niʁ=dɑ̃=lεs=pa=sə=kɔ=mɑ̃=ʁεs=pi=ʁe=ɑ̃=nε=jɑ̃=lεʁ=də=ʁjɛ̃=sɔ=li=də=kɔ=məœ̃=ʁɔk=kɔ=mə=sə=pε=ʁə=kə=ʒe=tε=sɑ̃=se=ε=tʁəe=ki=nə=le=tε=pa=ɑ̃=kɔ=ʁə=il=fo=di=ʁə=kə=klɔ=e=nu=ʁɑ̃=vwa=jε=dε=zɔ̃=də=si=pɥi=sɑ̃=tə=kə=ʒɑ̃=na=vε=la=ʃεʁ=də=pu=lə=sə=la=sə=sɑ̃=tε=ɑ̃=tʁə=lε=myʁ=lə=sɔl=lə=pla=fɔ̃=sə=la=sə=sɑ̃=tε=syʁ=nu=ze=syʁ=lε=ʃo=zə=dɑ̃=lat=mɔs=fε=ʁə=tɑ̃=ε=si=bjɛ̃=kə=ʒɑ̃=ne=tε=de=kɔ̃=tə=nɑ̃=se=kɔ̃=plε=tə=mɑ̃=i=djo=e=kə=lə=kɔ̃=tʁo=lə=də=mɔ̃=kɔʁ=mə=me=ʃa=pε=œ̃=pø 196
pʁɑ̃=la=mə=di=sa=bi=nə 8
la=pʁɑ̃=dʁə 3
vwalasə=kə=ʒə=ʁə=du=tεlə=plys=dəp=ɥi=kə=ʒa=vε=mi=lε=pje=dɑ̃=sε=tə=ʃɑ̃=bʁə=ʒys=kə=la=ʒa=vε=py=fɛ̃=dʁə=mɔ̃=ma=lε=zəɑ̃=na=fi=ʃɑ̃=œ̃=su=ʁi=ʁə=bε=tə=se=tε=pʁa=ti=kə=œ̃=su=ʁi=ʁə=bε=tə=e=pø=ku=tø=si=ʒo=zə=lə=di=ʁə=puʁ=sə=la=il=sy=fi=zε=də=fε=ʁə=kɔ=mə=si=də=ʁjɛ̃=ne=tε=a=vεk=lε=dɑ̃=za=de=ku=vεʁ=la=bu=ʃəɑ̃=kʁwa=sɑ̃=də=ly=nəe=lə=ʁə=ɡaʁ=pli=se=kɔ=mə=ɔ̃=lə=fε=na=ty=ʁεl=lmɑ̃=su=lə=sɔ=lεj=il=ni=a=vε=pa=bə=zwɛ̃=də=di=ʁə=dε=ʃo=zə=ki=o=ʁε=py=ε=tʁə=ma=la=dʁwa=tə=mal=vən=ɥze=i=na=pʁɔ=pʁje=il=sy=fi=zε=də=se=fa=se-a=bi=lə=mɑ̃=də=ʁjε=ʁə=sa=bu=ʃə=ʒə=mə=sɑ̃=tε=si=ɡo=ʃə=ʒə=mə=sɑ̃=tε=si=pø=kʁe=di=blə=kɔ=mɑ̃=a=lε=ʒə=fε=ʁə=mɛ̃=tə=nɑ̃=a=vεk=sə=pə=ti=ʃa 193
e=pɥi 2
mi=nə=də=ʁj=ɛ̃ 5
nə=pu=vε=til=pa=mə=mɔʁ=dʁə 8
bɔ̃=da=kɔʁ=klɔ=e=na=vε=paɑ̃kɔʁə=də=dɑ̃=puʁ=mə=kʁɔ=ke=œ̃=dwa=u=o=tʁə=ʃo=zə=mε=ɑ̃=fɛ̃=kə=ka=ʃε=ʁe=εl=lmɑ̃=sε=tə=pə=ti=tə=bu=ʃə=a=bjɛ̃=la=ʁə=ɡaʁ=de=ɔ̃=nə=vwa=jε=pa=tʁε=bjɛ̃=a=lɛ̃=te=ʁjœʁ=klɔ=e=nə=lu=vʁε=pa=a=se=kɔ̃=se=ka=mɑ̃=puʁ=kə=lɔ̃=sa=ʃə=si=sε=ma=ʃwa=ʁə=ze=tε=puʁ=vɥz=nɔ̃=də=pə=ti=kʁo=ki=o=ʁε=py=ε=tʁəɛ̃=si=zif 93
nə=ʁi=ɡɔ=le=pa 5
dɑ̃lə=mɔ̃də=ɔ̃=na=vε=vy=kɔ̃=bjɛ̃də=ʒɑ̃=si=syʁ=dø=mε=mə=ɛ̃=bys=də=lœʁ=pεʁ=sɔ=nə=paʁ=a=jœʁ=kɔ̃=bjɛ̃=a=vε=fi=ni=a=lo=pi=tal=e=se=ʁjø=zə=mɑ̃=kɔ̃=bjɛ̃=nə=sɑ̃=ne=tε=ʒa=mε=ʁə=mi=ze=ɑ̃=ne=tε=ʁεs=te=syʁ=lə=ka=ʁo=a=vεk=dε=se=kεllə=zi=ʁe=pa=ʁa=blə=sε=ʒɑ̃=la=syʁ=dø=mε=mə=mo=ʁε=sɑ̃=zo=kœ̃=du=tə=pʁεs=kʁi=də=ma=pʁo=ʃe=ɑ̃=tu=tə=kje=ty=də=nɔ̃ 96
a=lɔʁ 2
pʁɑ̃=la=ʒə=tə=dis=mə=disabinə 8
pʁy=de=pi=tø=nεʁ=vø=ʒə=la=vεpʁizəɑ̃tʁə=mε=bʁa=εl=lə=ʒi=ɡɔ=tε=le=ʒε=ʁə=mɑ̃=a=vεk=sɔ̃=pə=ti=kɔʁ=fʁa=ʒi=lə=mε=lε=sə=ku=sə=sə=sɑ̃=tε=a=pε=nə=kaʁ=εllə=mɑ̃=kε=œ̃=pø=də=fɔʁ=sə=puʁ=kə=sə=swa=vʁε=mɑ̃=kɔ̃=kʁε=e=sɑ̃=si=tif=ɑ̃=tʁə=mε=bʁa=puʁ=o=tɑ̃=la-a=ʁɲəe=tε=bjɛ̃=la=syʁ=sɔ̃=vi=za=ʒə=e=ɔ̃=vwa=jε=de=ʒa=lə=ka=ʁak=tε=ʁə=ui=ki=sə=ʁε=bjɛ̃=tʁɑ̃=pe=e=a=fiʁ=me=kɔ̃=sə=lə=di=zə=a=sy=ʁe=mɑ̃ 110
ʒə=mə=sɥi=za=pʁo=ʃe 6
klɔ=e=sɑ̃=tε=la=vi=la=vi=tʁε=fɔʁ=kɔmə=kɑ̃=tɔ̃=nε=pa=ɑ̃kɔʁə=pa=se=dɑ̃=sε=ʁu=a=ʒə=plɛ̃=də=ɡʁε=səe=kɔ̃=na=pa=ɑ̃=kɔ=ʁəe=te=de=sy=paʁ=lə=mɑ̃=sɔ̃=ʒə=səl=ɥi=dy=pε=ʁə=nɔ=εl=paʁ=εɡ=zɑ̃=plə=nu=zi=a=vjɔ̃=tus=kʁy=nu=tu=kɔ=məεllə=o=sɔʁ=tiʁ=dy=vɑ̃=tʁə=də=nɔ=tʁə=mε=ʁə=plys=taʁ=ɔ̃=na=vε=e=te=de=sy=kɔ=mə=tu=lə=mɔ̃=də=nɔ̃=lə=pε=ʁə=nɔ=εl=nεɡ=zis=tε=pa=e=il=ne=tε=kœ̃=pjø=mɑ̃=sɔ̃=ʒə=sεʁ=tɛ̃=i=kʁwa=tu=ʒuʁ=zo=fɔ̃=dø=mε=mə=mε=zil=fo=bjɛ̃=kɔ̃=sə=ʁa=ta=ʃə=a=kεl=kə=ʃo=zə=lə=pε=ʁə=nɔ=εl=u=djø=u=lε=nɥ=a=ʒə=kεl=ɛ̃pɔʁtɑ̃sə 146
a=œ̃=mɔ=mɑ̃=dɔ=ne=klɔ=e=nə=sɑ̃=ti=plys=dy=tulamεmə=ʃo=zə=lɔ=dœʁ=sɑ̃=blε=pʁɔ=və=niʁ=də=sɔ̃=də=ʁjε=ʁə=la=dɑ̃=sa=pə=ti=tə=kuʃə 35
tjɛ̃=ʁə=pʁɑ̃=la=ʒə=kʁwa=kil=fo=ʃɑ̃=ʒe=sakuʃə 12
ty=nə=vø=pa=lə=fε=ʁə=twa 8
nɔ̃=fε=lə=ʒə=pʁe=fε=ʁə 7
ʒεʁə=ɡaʁ=de=klɔ=e=εl=ləe=tε=si=fʁaʒilə=de=pɑ̃=dɑ̃=tə=ɑ̃=mwa=il=ni=a=vε=ky=nə=sə=lə=kεs=tjɔ̃=ɛ̃=tʁi=ɡɑ̃=tə=kɔ=mɑ̃=œ̃=no=si=pə=ti=ε=tʁə=pu=vε=mə=de=ɡa=ʒe=y=nə=tεllə=fɔʁsə 49
Récompense
Poesie sans commentaire

01/05/2025Poeme-France
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Prose Absence
Du 01/05/2018 14:43
L'écrit contient 804 mots qui sont répartis dans 18 strophes.