Poème:L’amour

Au début j’ai pu le chasser
Comme un mauvais rêve
Mais il revient et m’envahit,
Comme une chose inassouvi,
Plus je l’implore de partir,
Plus il persiste à m’envahir.
Il s’acharne sur mon destin,
Mais avec lui, je l’avoue, je suis bien.
Mais que vais je faire de cet amour,
Qui vise sur moi comme une cible ?
Certains jours, quand je lui ouvre les bras,
Je le sens tout au fond de moi,
J’ai peur de le perdre et qu’il ne soir pas partagé.
Il s’empare de mon être,
Me fait perdre tout contrôle,
Me domine tel un maître,
Qui surveille et qui rôde,
Et quand on se déchire, j’ai peur qu’il fuit,
Sa puissance est inouïe, me rend dingue et me séduit.
Que de questions, la vie nous pose !
Comment trouver les solutions
A Ces points d’interrogations ?
Il faut pour tout que l’on compose.
Tout n’est pas que mal ou bien !
En nous, comme dans chaque action,
Existe une vraie partition,
Que l’on joue sans dire « combien » ?
Il est quelquefois bien trop tard ;
Le moment n’est plus aux questions,
Ce sont les années qui instruisent ?
Ce sont les chutes qui construisent ?
J’ai ressentie cette impression bizarre.
Qu’ensemble nous irions quelque part
J’ai bu de tes mots,
Comme une enfant devant un ruisseau
J’ai regardé dans tes yeux le soleil se coucher,
Mon cœur, tu l’as bien gagné.
Le vent peut souffler,
Les pluies peuvent tomber,
L’an 2000 arriver,
Mais rien ne m’empêchera,
Jusqu’à mon dernier souffle,
De penser à toi et de t’aimer
Je t’aime.
Le temps avance pas à pas,
Nous ne connaissons pas l’avenir
Donc on le laisse finir,
Sans se rendre, ni baisser les bras.
Je regrette mon insouciance,
Et j’admire ta patience,
Je sais que parfois je te blesse,
Et j’ai si peur que tu me laisses.
Je pense souvent à toi,
Le jour comme la nuit,
Tu es partout en moi,
Comme le souffle de ma vie.
Je veux te rendre heureuse,
Et dois tout faire pour que tu le sois
Je t’aime tant mon amour… mon adorée…
Ces mots ont de l’importance pour moi…
Espérant qu’ils en auront toujours pour toi ?
Plus d’une flamme me tourmente,
Et c’est pas toujours la paix que j’amène
Mais je t’adore et veux faire le reste du chemin avec toi,
Le veux-tu toujours autant que moi ?
Et si l’amour existe parce que les oiseaux ont des ailes
Je veux encore rester ta proie !