Poème:Again ! ! ! ! ! ! !

Un soir encor seul précédé dune journée horrible
Il rentre chez lui en baissant sa tête pleine de pensé morbide
De l’habitude mai la lassitude et de la lassitude le changement
Qui le pousse a continuer, a aller plu loin avec plus d’acharnement
Il rentre chez lui sans le moindre regard au personne présente
Entre dans sa chambre clac la porte et cour ver ce qui l’émente
Il ouvre son armoire, soulève une pile de dras froissé
Tir une boite caché d’ou il sors un sachée
Prend un peu de cette poudre blanchatre kil regarde en souriant
Car il sais quelle lui est toujours fidél qu’elle ne trahit pas et jamais ne ment
Il sort un bouchon de sa poche le rempli d’eau et y ajoute son ingrédient
Le chauffe jusqu â dissolution puis le laisse caressé par la pointe métallique
De sa seringue qui l’aspire, il tremble un peu, bien qu’habituer a ses pratiques
La seringue transperce l’épiderme, atin la veine et dans un pression fébrile
Ce merveilleux liquide se mélange â son sang et rajoute une cicatrice indélébile
Ateingnant son cœur, une parti par exploré l’intestin puis le foi
Ne servant qu’â crée un malaitre, mai c’est l’autre parti qui fera sa joie
Atteignant le cerveau baissant sa dopamine ouvrant son iris et coupant ses sens
Lui otent la douleur le privant des malheurs de cette vie sans importance
Il s’éfondre d’extase et de plaisir et retrouve sa raison de vivre et d’aimé
Ce morceau de taudis qui lui serre de toi, mail il ne vois que ses rève lé plu éthéré
Il ce vois aimé chéris adoré heureux fiancé satisfait de tout ce qu’il haissais
Il ce vois vivre sa vie tel qu’elle devrai être mai commence a être triste car il aimerais
Que ce ne soi pas qu’illusion fourni par ses neurones ambomés.
Viens la chute anoncant un dur retour â cette triste et sombre réalité
Il y a mis plus de volonté que d’habitude et ce dit qu’il n’aura plus de vérité
Rampant jusqu â la sal de bain, il ouvre un tiroir renfermant une lame de rasoir
Suant, tremblant, gardant lé sequel d’une transe abusée a la quel il né pas habitué
D’un geste sec et déterminé il tranche les veine battante de son poigné
Regarde la plaie béante ne tardant pas a rougire du gêne qui lui a été affligé
L’hémorragie perdure et il c qu’il es trop tare pour arréter, c’est alors que viens leur des regrets
 bout de force il tente de rédigé quelques mots pour ce faire pardonné
C’est derniers mot écris en caractères rougatre auront été « désolé »
Le sang viens a manqué, son corps s’écroule sous son propre pois, ses œil ce ferme
Le liquide coulera encor 15minute conduisant a une mort qui lui aura enlevé toute fierté
Une mort dont il n’été même pas satisfait et pourtant une mort qu’il avait tan souhaité
Une mort tout simplement irréfléchie aboutissant au plu bau des gâchis