Poème:84418 - Sans Titre

Souvent je me suis démandée si je ne m’étais pas égaré dans les tout petits sentiers où personne n’a jamais mis les pieds… Dans un bois sans la moindre source de luminosité je n’arrive pas à me retrouver… Par tout ces bruits je suis éfrayée alors à un arbre je me suis agripée.
Les larmes commencent à couler et un sentiment de culpabilité est en train de monter. Aprés tout le mal que l’on m’a fait je n’ose pas crier pour pouvoir me vider de toute la haine que j’ai accumulée. Dans mon cœur les cris résonnent… Mais je n’ai besoin de PERSONNE.
L’obscurité est l’endroit où je peux me réfugier car je m’y sens en sécuriter
On ne peut me regarder ni m’écouter c’est un sentiment de liberté.