Prose:Mon Pays En 2017 Avant Les Élections
La Prose
Je l’aime tellement mon pays
Que mon âme se sent meurtrie.
Après tous ces coups, qui n’assure que l’usure,
Ravager par la violence et la bêtise ne laissant que des blessures.
Aujourd’hui en pleine campagne
Mon cœur bat la chamade.
Devant ces candidats qui vendraient leur âme pour une voie
Proposant des programme dont personne n’y crois.
Refusant de nous comprendre
Il ne pense qu’à vouloir toujours plus nous prendre
Dans le financier comme dans la liberté
Dans notre citoyenneté comme dans notre solidarité.
Quand l’un quitte le pouvoir sans ce représenté
Tellement qu’il a appauvri le pays et continuellement fauté
Un autre irréprochable qui se triballe une batterie de casseroles
Voudrais nous voir serrer la ceinture pour continuer à rester dans notre rôle.
On en voie d’autres qui au non de la préférence nationale
Supprimerais de notre paysage les noirs, les jaunes, et châtrerais tous leurs males.
Ou d’autres encore qui distribuerais de la monnaie sans l’avoir gagner
Pour certainement plus facilement gérer un monde de niés.
Certain ce différencie par une pensée unique des banquiers
Fabriquant de réforme par millier, moi désoler ça me rend très inquiet.
D’autres utopistes voudraient tous prendre aux riches pour nous le distribuer
Alors que c’est du travail que l’on veut et non pas être assistés.
Et enfin certain qui ont tourner leurs veste plus de 10 fois
Aurais toutes les solutions mais a ces pères nous ne ferons pas notre profession de foie.
Devant ce par taire de pieds nickelé n’ayant aucune sincérité
Nous ne croyons plus aux comptes de fées.
La solution serais de tous ce prendre en charge
Pour que ce monde change avec volonté et sans décharge
La solution ne peut venir que par nous et le partage
Politicars de merde partez notre avenir on s’en charge.
Car nous sommes tous les jours dans la vie réelle
Et vous bandits en col blanc bravant tous les droits grâce a vos ailes
Il est temps de se passer de vous
Car il est temps de penser a nous.
Que mon âme se sent meurtrie.
Après tous ces coups, qui n’assure que l’usure,
Ravager par la violence et la bêtise ne laissant que des blessures.
Aujourd’hui en pleine campagne
Mon cœur bat la chamade.
Devant ces candidats qui vendraient leur âme pour une voie
Proposant des programme dont personne n’y crois.
Refusant de nous comprendre
Il ne pense qu’à vouloir toujours plus nous prendre
Dans le financier comme dans la liberté
Dans notre citoyenneté comme dans notre solidarité.
Quand l’un quitte le pouvoir sans ce représenté
Tellement qu’il a appauvri le pays et continuellement fauté
Un autre irréprochable qui se triballe une batterie de casseroles
Voudrais nous voir serrer la ceinture pour continuer à rester dans notre rôle.
On en voie d’autres qui au non de la préférence nationale
Supprimerais de notre paysage les noirs, les jaunes, et châtrerais tous leurs males.
Ou d’autres encore qui distribuerais de la monnaie sans l’avoir gagner
Pour certainement plus facilement gérer un monde de niés.
Certain ce différencie par une pensée unique des banquiers
Fabriquant de réforme par millier, moi désoler ça me rend très inquiet.
D’autres utopistes voudraient tous prendre aux riches pour nous le distribuer
Alors que c’est du travail que l’on veut et non pas être assistés.
Et enfin certain qui ont tourner leurs veste plus de 10 fois
Aurais toutes les solutions mais a ces pères nous ne ferons pas notre profession de foie.
Devant ce par taire de pieds nickelé n’ayant aucune sincérité
Nous ne croyons plus aux comptes de fées.
La solution serais de tous ce prendre en charge
Pour que ce monde change avec volonté et sans décharge
La solution ne peut venir que par nous et le partage
Politicars de merde partez notre avenir on s’en charge.
Car nous sommes tous les jours dans la vie réelle
Et vous bandits en col blanc bravant tous les droits grâce a vos ailes
Il est temps de se passer de vous
Car il est temps de penser a nous.
Poète Paulolabrique
Paulolabrique a publié sur le site 4 écrits. Paulolabrique est membre du site depuis l'année 2017.Lire le profil du poète PaulolabriqueSyllabation De L'Écrit
Phonétique : Mon Pays En 2017 Avant Les Élections
ʒə lεmə tεllmɑ̃ mɔ̃ pεikə mɔ̃n- amə sə sɑ̃ məʁtʁi.
apʁε tus sε ku, ki nasyʁə kə lyzyʁə,
ʁavaʒe paʁ la vjɔlɑ̃sə e la bεtizə nə lεsɑ̃ kə dε blesyʁə.
oʒuʁdɥi ɑ̃ plεnə kɑ̃paɲə
mɔ̃ kœʁ ba la ʃamadə.
dəvɑ̃ sε kɑ̃dida ki vɑ̃dʁε lœʁ amə puʁ ynə vwa
pʁɔpozɑ̃ dε pʁɔɡʁamə dɔ̃ pεʁsɔnə ni kʁwa.
ʁəfyzɑ̃ də nu kɔ̃pʁɑ̃dʁə
il nə pɑ̃sə ka vulwaʁ tuʒuʁ plys nu pʁɑ̃dʁə
dɑ̃ lə finɑ̃sje kɔmə dɑ̃ la libεʁte
dɑ̃ nɔtʁə sitwajεnəte kɔmə dɑ̃ nɔtʁə sɔlidaʁite.
kɑ̃ lœ̃ kitə lə puvwaʁ sɑ̃ sə ʁəpʁezɑ̃te
tεllmɑ̃ kil a apovʁi lə pεiz- e kɔ̃tinɥεllmɑ̃ fote
œ̃n- otʁə iʁepʁoʃablə ki sə tʁibalə ynə batəʁi də kasəʁɔlə
vudʁε nu vwaʁ seʁe la sɛ̃tyʁə puʁ kɔ̃tinɥe a ʁεste dɑ̃ nɔtʁə ʁolə.
ɔ̃n- ɑ̃ vwa dotʁə- ki o nɔ̃ də la pʁefeʁɑ̃sə nasjɔnalə
sypʁiməʁε də nɔtʁə pεizaʒə lε nwaʁ, lε ʒonə, e ʃatʁəʁε tus lœʁ malə.
u dotʁəz- ɑ̃kɔʁə ki distʁibɥəʁε də la mɔnε sɑ̃ lavwaʁ ɡaɲe
puʁ sεʁtεnəmɑ̃ plys fasiləmɑ̃ ʒeʁe œ̃ mɔ̃də də nje.
sεʁtɛ̃ sə difeʁɑ̃si paʁ ynə pɑ̃se ynikə dε bɑ̃kje
fabʁikɑ̃ də ʁefɔʁmə paʁ milje, mwa dezɔle sa mə ʁɑ̃ tʁεz- ɛ̃kjε.
dotʁəz- ytɔpistə vudʁε tus pʁɑ̃dʁə o ʁiʃə puʁ nu lə distʁibɥe
alɔʁ kə sε dy tʁavaj kə lɔ̃ vø e nɔ̃ pa εtʁə asiste.
e ɑ̃fɛ̃ sεʁtɛ̃ ki ɔ̃ tuʁne lœʁ vεstə plys də di- fwa
oʁε tutə lε sɔlysjɔ̃ mεz- a sε pεʁə nu nə fəʁɔ̃ pa nɔtʁə pʁɔfesjɔ̃ də fwa.
dəvɑ̃ sə paʁ tεʁə də pje nikəle nεjɑ̃ okynə sɛ̃seʁite
nu nə kʁwajɔ̃ plysz- o kɔ̃tə də fe.
la sɔlysjɔ̃ səʁε də tus sə pʁɑ̃dʁə ɑ̃ ʃaʁʒə
puʁ kə sə mɔ̃də ʃɑ̃ʒə avεk vɔlɔ̃te e sɑ̃ deʃaʁʒə
la sɔlysjɔ̃ nə pø vəniʁ kə paʁ nuz- e lə paʁtaʒə
pɔlitikaʁ də mεʁdə paʁte nɔtʁə avəniʁ ɔ̃ sɑ̃ ʃaʁʒə.
kaʁ nu sɔmə tus lε ʒuʁ dɑ̃ la vi ʁeεllə
e vu bɑ̃diz- ɑ̃ kɔl blɑ̃ bʁavɑ̃ tus lε dʁwa ɡʁasə a voz- εlə
il ε tɑ̃ də sə pase də vu
kaʁ il ε tɑ̃ də pɑ̃se a nu.
Récompense
Commentaire Sur La Poesie
10/02/2017 23:58Coburitc
Il est temps de se passer de vous , j’aime bien cette phrase , hélas avec un seul bulletin dans l’urne ils se dandineront avec joie...
Jean-Pierre
Prose Partage
Du 10/02/2017 11:40
L'écrit contient 354 mots qui sont répartis dans 9 strophes. Toutes les strophes sont composés de 4 vers. Il est possible que le texte suive une forme de poésie classique.