Univers de poésie d'un auteur

Poème:La Spéléologie Du Mental * (I)

Le Poème

  • Selon le livre « Les prodigieuses victoires de la Psychologie », par Pierre Daco, Ed. Marabout, impression achevée en 2000



    I - Creuseurs de galeries et tailleurs de pierres

    Mesmer et l’hypnotisme

    Trois jeunes femmes s’agitaient dans d’extraordinaires convulsions. Elles étaient tombées à la renverse, agitées de rires spasmodiques et de hoquets puissants. La crise nerveuse éclatait.
    Tout de soie vêtu, un homme regardait. Cet homme était grand-prêtre de ce lieu mystérieux. L’obscurité, dans la chambre, était quasi totale ; les fenêtres recouvertes d’épais rideaux, coupaient les rayons du soleil. Et Mesmer, père du « Magnétisme Animal », pionnier de l’hypnotisme, tenant à la main une baguette métallique, songeait.
    Les trois jeunes femmes étaient en pleine crise. Au centre de la chambre « miraculeuse », trônait un baquet de bois. A l’intérieur, de l’eau, du verre pilé, de la limaille. Sortant du baquet par les trous du couvercle, des tiges de fer souple.
    Les patients pénétraient dans ce temple en grande cérémonie ; on entendait des sons mélodieux ; le silence des malades était total, et chacun d’eux appuyait une tige de fer sur l’endroit malade.
    Puis Mesmer apparaissait dans sa robe d’apparat. Il passait lentement devant les malades, en les fixant des yeux. Il promenait sa baguette sur leurs corps… C’est alors que les trois jeunes femmes tombèrent…
    Et Mesmer, magnétiseur et guérisseur, revoit sa vie…
    1734. Il naît à Radolfzell, sur le lac de Constance. Son père ? Un garde-forestier. A dix ans, suivant le désir de sa mère, il entre au monastère pour y être instruit de son rôle de futur prêtre. Jusqu’à l’Université, il étudie la théologie, mais aussi l’astronomie, la physique et les mathématiques. Il lit Paracelse, cet homme qui croit aux astres influents…
    Mesmer, à ce moment, fait demi-tour. L’orientation de sa vie bascule. Il abandonne l’Eglise, et se dirige vers la Médecine. Il deviendra prêtre du corps.
    Mesmer entre donc, tête première, dans la médecine rigoureusement scientifique de l’époque, n’admettant rien qui ne puisse être prouvé physiquement. Or, Mesmer, lui, croit à des forces inconnues et mystérieuses. Avant lui, Guillaume Maxwell ne considérait-il pas toutes les maladies comme une soustraction de fluide vital de nos organes ? Et ne croyait-il pas rétablir l’équilibre par la restitution de la « force magnétique » ? Mesmer va suivre, lui aussi, cette voie.
    1765. Mesmer a 31 ans. Mozart a neuf ans. Ce Mozart que Mesmer protégera, vers 1768… Et Mesmer passe sa thèse de médecine « L’influence des planètes sur le corps humain… ». Cet examen est comme un défi à la médecine scientifique qui l’a instruit. Et il réussit ! Les bonzes de l’époque ne crient nullement à l’imposture ; fallait-il que Mesmer eût été un excellent étudiant !
    Voilà donc médecin officiel, l’homme au baquet, reconnu, patenté. Oh ! il gagne peu… Il est pauvre. Pensez ! Il passe son temps à soigner les miséreux sans se préoccuper ni de salaires, ni de gloire…
    Mais sa vie bifurque une nouvelle fois. En 1768, Mesmer épouse une riche veuve. Et lui, qui ne recherchait ni honneur, ni gloire, va les trouver soudain sur son chemin.
    Mesmer pensait : il existe un fluide universel, dans lequel sont plongés tous les corps… Il croyait que la volonté humaine avait le pouvoir de mettre ce fluide en oeuvre, de le faire sortir d’un point, de le faire s’accumuler sur un autre…
    Nous sommes donc en 1768. Mme Mesmer a une demoiselle de compagnie, Fräulein Franzl Gersterlin, dont la mauvaise santé sera le plateau d’argent de Mesmer. De quoi souffre Fräulein Gesterli De tout… paralysie temporaire, troubles des intestins, vomissements spasmodiques, dépressions, transes, évanouissements, cécité passagère. D’hystérie, en un mot. (Nous avons étudié ce cas) Et le traitement de Mesmer guérit cette femme.
    Voilà les tambours de la renommée battant la charge pour Mesmer, qui avait eu foi en son travail, et aussi le courage d’affronter les pontifes scientifiques de l’époque. Son nom éclate, sa réputation retentit.
    Mais Mesmer, esprit pratique, trouva probablement trop long de soigner chaque malade individuellement…
    Et il inventa son baquet collectif ! Ainsi, les malades pouvaient s’engouffrer dans le temple, par fournées…
    Des personnages célèbres tenaient les fers du baquet. L’écrivain La Harpe était présent, lui aussi, qui correspondait avec le grand duc Paul de Russie ! Tout était donc bien, semblait-il, et le magnétisme animal promis aux plus hautes destinées…
    Mais deux forces veillaient : la Médecine et la Mode.
    1) La mode. Imaginez les dames de l’époque bavardant de magnétisme ! N’ont-elles pas fait de même en déballant leurs complexes, lorsque régnait Freud ?
    2) La médecine. Car ces mêmes professeurs, qui acceptèrent la thèse audacieuse de Mesmer, attendirent l’occasion pour intervenir à nouveau. Elle se présenta sous la forme d’une jeune aveugle (Thérésa von Paradis) , pianiste protégée par l’Impératrice. Aucun traitement, même des meilleurs oculistes de Vienne, n’avait donné quoique ce soit.
    Or, voici que
    en désespoir de cause on l’amène chez Mesmer… qui lui rend la vue par un traitement poussé. L’histoire est invraisemblable ? Peut-être, mais vraie. Il s’agissait de cécité hystérique. Et maintenant écoutez… La vue recouvrée, la jeune fille se trouva ne plus jouer aussi bien. Donc, les revenus liés à sa vie de pianiste risquaient de s’en aller. Les docteurs examinèrent la jeune fille ; ils reconnurent qu’elle avait recouvré la vue, mais nièrent qu’elle pouvait voir, parce qu’elle ne savait pas comment s’appelaient les objets ! ! (Or, cette jeune fille était aveugle depuis l’âge de trois ans. ) Les docteurs se répandirent en imprécations contre Mesmer, qui raconta lui-même comment le père de la jeune fille entra chez lui, fou furieux et l’épée à la main ! Mais la vue ayant de nouveau quitté la jeune fille (ce qui confirme la cécité hystérique) , Mesmer fut expulsé de la Faculté, et chercha refuge en France.
    Et… comme cela se passe souvent, la commission chargée d’étudier le Mesmérisme ne se préoccupa nullement de savoir si Mesmer avait guéri ou non ; mais de découvrir l’exactitude de ses théories ! Quelle théorie ? Qu’est-ce que le « magnétisme animal » ? Toute démonstration étant impossible, les guérisons de Mesmer furent mises au compte de… l’imagination. Et l’on passa muscade.

    L’hypnose et la suggestion

    1814. Mesmer est dans l’ombre… Son procédé demeure.
    Le bien connu M. de Puységur, officier d’armée et chercheur, travaille le magnétisme en son domaine de Soissons. Mais ce magnétisme commence à se passer de cérémonie, de musiques, de rideaux. Le merveilleux commence à faire place à la science ! Rien qu’un arbre, un grand arbre, magnétisé par lui, suffisait. (Dont Frankini déclara qu’il n’avait nullement besoin d’être magnétisé pour être magnétique… )
    Un jour, (l’histoire est bien connue) , un jeune berger « magnétisé » ne tomba pas en contorsions. Pas du tout. Au lieu de cela il s’endormit. Non par fatigue ou indifférence… Mais d’un sommeil bizarre… On fait du bruit ; on s’agite, on crie. Rien à faire. Le jeune berger ne se réveille pas. Mieux encore ! Voici qu’il se lève, marche, parle, et contracte totale obéissance à M. de Puységur… qui n’est pas loin de se prendre pour la volonté universelle. L’hypnotisme était découvert. La suggestion hypnotique aussi.
    Après Mesmer et de Puységur, Deleuse découvre la suggestion post-hypnotique. Il remarque que, éveillée, une personne répond aux ordres données durant le sommeil. (Par exemple un cas facile et courant : on endort une personne hypnotisable ; on lui suggère que l’eau qu’elle boira sera pleine de poivre ; on la réveille : la personne crachera alors avec dégoût, et rien au monde ne pourra lui enlever cette opinion de l’esprit. Pour la lui ôter, il faudrait l’endormir à nouveau) .
    De nombreux chercheurs continuèrent leurs travaux et l’hypnotisme atteignit la cote de l’enthousiasme.
    Mais les mesméristes parlaient trop… Malgré de grands succès opératoires sous hypnose (et nous sommes au XIXème siècle ! ) , le mesmérisme retomba d’autant plus bas qu’il était monté haut…
    La vague finale se déclenche en Angleterre, où le docteur Elliotson se convertit au mesmérisme, ce qui, en 1838, … entraîna sa démission forcée de l’hôpital.
    Or, aujourdhui, c’est l’Angleterre qui, en 1955, conclut à l’efficacité de l’hypnotisme, et qui demanda, par la voie du British Medical Association, que l’hypnotisme soit pratiqué dans les hôpitaux, et enseigné au même titre que les autres branches. Et ce, après l’U. R. S. S, et beaucoup de pays de langue anglaise.
    Or, en 1838, de terribles amputations sans douleur sous hypnose étaient déjà réalisées. Donc, notre époque ne fait que reprendre un problème thérapeutique des plus passionnants…
    Nous arrivons (toujours au XIXème siècle) au docteur Esdaille, médecin anglais aux Indes. Il pratique l’hypnose, et réussit plus de trois cents grandes opérations sous hypnose, et sans la moindre douleur ! Et par quoi cette magnifique réalisation fut-elle accueillie ? Par le mépris… Son hôpital fut fermé.

    Hypnotisme, porte de l’inconscient

    Les revues populaires l’ont bien décrit… Que voulez vous, le merveilleux ! … Un patient, étendu si possible… une ambiance calme… Une voix basse, monocorde, insinuante, fatigante, celle de l’hypnotiseur.
    « Vous allez dormir… vous avez une envie très grande de dormir… Regardez-moi dans les yeux… » En même temps, le sujet fixe un objet brillant placé au-dessus de ses yeux, à une vingtaine de centimètres en avant. Et la voix basse, toujours : « Vous allez dormir… vous avez envie de dormir… ».
    Le patient bat les paupières. Il n’a plus envie de rien, ni d’ouvrir ses paupières lourdes, ni de dégager son cerveau devenu gourd et sans force… Ou bien aussi, les globes oculaires sont comprimés, pendant que la respiration se fait profonde, rythmée, lente… Et la voix qui aide, toujours, la voix chaude, qui pénètre, jointe au prestige de l’opérateur…
    Et la « suggestion » hypnotique commence : « A partir de cet instant, aucune de vos démangeaisons ne vous fera plus souffrir… Dès maintenant, vos boutons vont guérir… Votre eczéma va disparaître… Vous entendez ? Votre eczéma va guérir… Votre peau sera belle, lisse, parfaite, sans boutons… Sans boutons… ».
    Et souvent l’eczéma guérit et les boutons disparaissent…
    Ou bien l’hypnose pré-opératoire :
    Le cas, en 1956, de cette Anglaise, opérée sous hypnose, et qui a défrayé la chronique. Le médecin avait tracé, sur l’abdomen de la malade, un carré imaginaire de vingt centimètres. La malade dormait sous sommeil hypnotique. Et le médecin insinuait : « Je vais insensibiliser votre ventre… L’engourdissement se fera à l’intérieur des limites que je suis occupé à tracer… A l’intérieur de ce carré, vous ne sentirez rien… vous ne sentirez aucune douleur… ».
    L’opération commença, et se pratiqua sans la moindre douleur.
    L’hypnose peut faire apparaître des ampoules sur la peau, en suggérant que cet endroit a été brûlé. Par suggestion hypnotique, on peut augmenter ou diminuer les battements du cœur, en suggérant que la personne assiste à un accident, par exemple. Ici donc, ces modifications cardiaques se produisent en déclenchant une émotion. L’influence de l’hypnotisme est grande sur l’appareil respiratoire ; considérable sur l’appareil digestif. L’hypnose agit sur les mouvements et les sécrétions de l’estomac et des intestins. Elle agit également sur l’appareil urinaire (accroissement ou diminution de la quantité d’urine) . Sur les fonctions sexuelles également ; il semble vrai qu’on puisse, entre autres, retarder ou avancer les règles. L’influence de l’hypnose sur les phénomènes vaso-moteurs est immense. Sur la peau, notamment, par apparition de stigmates sanglants et d’ampoules… (La peau est en rapport intime avec le système nerveux sympathique. )
    Que cela prouve-t-il ? Que les phénomènes hypnotiques montrent les rapports très étroits existant entre « l’esprit » et le « corps ». J’y reviendrai en étudiant l’hystérie et la médecine psycho-somatique. On se rend compte des possibilités de l’hypnose… et l’on comprend la tentation d’en faire une panacée universelle !

    Comment se présente le sommeil hypnotique ?

    L’hypnose est un sommeil incomplet, provoqué par la suggestion hypnotique (tandis que la narcose est le sommeil provoqué par des techniques chimiques) . Le sommeil hypnotique n’est pas un sommeil total ; la conscience est engourdie, mais non absente. Le sujet conserve la possibilité de concentration de l’attention ; ses perceptions sensorielles existent. Le tonus des muscles n’est jamais complètement absent. C’est d’ailleurs ce qui permet à l’hypnotisé de marcher, de se lever, et de garder certaines attitudes qui seraient terriblement fatigantes pour un homme normal.
    Supposons, par exemple, que l’on dise à un sujet sous hypnose qu’il lui est impossible de bouger son bras droit. Même s’il le veut, on verra :
    1) - qu’il contracte les muscles fléchisseurs pour plier le bras ;
    2) - qu’il contracte les muscles extenseurs pour l’empêcher de plier le bras.
    Au cours de l’hypnose, on sait que le sujet se montre obéissant _ dans une certaine limite ! envers l’opérateur. Il répond aux questions et exécute certains ordres. Les ordres devant être exécutés après le sommeil hypnotique, le seront souvent ; mais on n’a jamais constaté un acte de ce genre accompli, qui serait en contradiction profonde avec les sentiments de moralité du sujet.
    Est-il possible d’endormir une personne contre son gré ?
    L’époque de Charcot le croyait. L’époque moderne le nie. Bien que cela ne soit pas une généralité, une personne hystérique est hypnotisable au maximum… ce qui ne signifie pas que toute personne hypnotisable soit hystérique !
    Babinsky prétend :
    1) - que le sujet ne perd pas la mémoire de ce qui se passait durant l’hypnose ;
    2) - que le sommeil léthargique n’est nullement inconscient ;
    3) - que le sujet ne perd nullement tout contrôle volontaire ; et que, par conséquent il ne répondra pas aveuglément à tous les ordres de l’opérateur.
    Et Babinsky ajoute : « Dans les circonstances sérieuses, les hypnotisés redeviennent maîtres de leurs actions dans la mesure où ils le sont à l’état de veille. » Cette dernière réflexion fait songer à l’amusante histoire racontée par Janet : l’opérateur qui présentait une patiente hypnotisée, permit à ses étudiants en médecine de faire des suggestions. Un des étudiants (évidemment) suggéra qu’elle ait à quitter ses vêtements. A ces mots, l’hypnotisée s’éveilla brusquement, et sortit en colère…
    Ce qui, en fin de compte, est bien rassurant.
    De même, il est, dit-on, assez invraisemblable que l’on puisse persuader une personne hypnotisée de commettre un crime. Mais si la personne a en elle une tendance au crime ? L’expérience seule pourrait répondre.

    Comment faut-il considérer l’hypnose ?

    Aussi froidement que d’autres thérapeutiques, malgré son caractère à première vue « merveilleux ». Malheureusement, il est certain que la croyance populaire actuelle demeure celle de 1870 : l’hypnotiseur semble être comme un mage, doué de pouvoirs, et qui tient entre ses mains la destinée entière de son sujet ! La réalité est tout de même un peu moins miraculeuse, et se base uniquement sur le fonctionnement nerveux, comme nous le verrons.
    L’hypnose peut être un agent anesthésique. Et si de grandes opérations furent réalisées sous sommeil hypnotique, n’oublions jamais qu’elles l’étaient déjà au XIXème siècle, et rendons hommage à ses précurseurs ! Un grand pouvoir de l’hypnose est donc de remplacer l’anesthésie chimique. Mais on constate que dix pour cent d’individus seulement peuvent être placés dans cette manifestation hypnotique, ce qui réduit déjà singulièrement les possibilités pratiques.
    Autre pouvoir capital : la suggestion hypnotique, qui peut éviter les douleurs post-opératoires (pansements etc. )

    Quel est le pouvoir de l’hypnose au point de vue psychologique ?

    1) - Dans les maladies mentales, il semble qu’aucun résultat positif n’ait été obtenu. Beaucoup d’aliénés sont rebelles à l’hypnose ; celle-ci produit souvent chez eux des réactions délirantes.
    2) - En psychologie : de spectaculaires « faux succès » peuvent être obtenus. Il semblait très logique de pouvoir, par hypnose, délivrer des idées fixes, des phobies, du bégaiement, des obsessions.
    Et l’on constate souvent, en effet, que certains troubles disparaissent rapidement. Les symptômes s’en vont. Cependant les résultats ne sont nullement permanents. Pourquoi ? Parce que la tendance profonde demeure.
    Or, les symptômes sont produits par cette tendance profonde : et si un symptôme disparaît, il y a beaucoup de chances pour qu’un autre prenne sa place. Faites disparaître ce deuxième, et un troisième risque d’apparaître… Ce qui montre que la tendance maladive n’est nullement éliminée par l’hypnotisme.
    Et ce sera la fameuse succession des symptômes, venant de la même cause, toujours vivante en profondeur. (Dont l’hystérie est un exemple frappant. )
    Car, si l’on veut tuer l’orvet, point ne suffit de lui couper la queue…

    La névrose

    N’oublions pas ceci : la névrose se présente souvent comme un mécanisme de sécurité intérieure. Un névrosé est une personne qui s’est réfugiée dans la névrose pour y trouver la sécurité mentale. Donc, puisqu’elle y trouve la sécurité, il va de soi que la névrose elle-même lui est (inconsciemment ou consciemment) nécessaire. En général, une personne ne se plaint pas de sa névrose. Elle se plaint de ce qui la fait souffrir. Or, ce qui la fait souffrir n’est pas la névrose elle-même, qui devient inconsciente. Mais cette névrose produit des symptômes ; ces symptômes sont douloureux, et ce sont eux que la personne désire éliminer.
    Voici un exemple simple : un perfectionniste.
    Supposons que ce perfectionniste souffre de sa solitude, de son abandon, de son émotivité, de sa timidité. Il désirera donc guérir de cette émotivité, de cette solitude, de cette timidité, qui sont des symptômes. Mais désirera-t-il guérir de sa névrose profonde : son perfectionnisme ? Non… puisque ce perfectionnisme est pour lui une sécurité !
    On voit donc, dans un cas de ce genre, que l’hypnotisme est inopérant. La volonté de l’hypnotiseur entrerait en conflit avec la volonté profonde de l’hypnotisé ; et aucun résultat ne serait atteint. Ici, seule pourrait agir une psychothérapie en profondeur. Ramenons donc l’hypnose à sa juste valeur, qui est tout de même bien grande !

    Charcot, de la Salpétrière

    Avec le professeur Charcot (1825 - 1913) , neurologue à l’hôpital de la Salpétrière, l’étude de l’hypnotisme entre dans la phase… disons officielle. Mieux ! Scientifique. Charcot, qui s’occupait des maladies du système nerveux, se rendait compte de la très grande importance de l’hypnotisme, toujours prôné ou rejeté avec la même passion.
    Or, Charcot était neurologue, et non psychiatre. En neurologue, il s’occupait de la physiologie de l’hypnotisé ; de ses mouvements et de ses réflexes. Tout cela le laissait passer à côté des phénomènes psychologiques. Danger de la spécialisation ! …
    Il faut noter que Charcot n’a jamais hypnotisé personne. Et nous pouvons l’imaginer arrivant dans une salle… où les élèves lui présentaient la personne hypnotisée.
    Malgré tout, Charcot avait raison… Trouvant que les phénomènes psychologiques étaient d’une étude délicate, il désirait avant tout connaître les caractères physiques de cet état anormal, afin de les reconnaître par des signes ne prêtant à aucune simulation. Répétons donc que Charcot se mit, avant tout, à l’étude des mouvements et des réflexes des personnes sous sommeil hypnotique.
    Le grand Charcot entreprit donc une étude physiologique de l’hypnotisme. Or, il se passa ceci _ l’école de la Salpétrière se « fournissait » uniquement de femmes hystériques (facilement hypnotisables) sur lesquelles étaient faites les observations. Et Charcot passa du particulier au général avec un peu trop de facilité. Il déclara que seules les malades de ce genre étaient susceptibles d’être hypnotisées ! … Pour lui, les phénomènes hypnotiques étaient des phénomènes anormaux.

    Bernheim, ou la déclaration de guerre

    Bernheim, de l’école de Nancy, n’était pas d’accord du tout, et ne se gêna nullement pour le dire.
    Seuls les malades sont hypnotisables ? Pas du tout, répliqua Bernheim ! L’hypnotisme est un phénomène tout à fait normal, et la plupart des gens sont hypnotisables.
    Voici ce qu’il déclare : « Ce qu’on appelle hypnotisme n’est autre chose que la mise en activité d’une propriété normale du cerveau : la suggestibilité, c’est à dire l’aptitude à être influencé sans discussion par une idée. Il n’y a pas d’hypnotisme : je veux dire qu’il n’y a pas d’état spécial, anormal, méritant ce nom ; il n’y a que des sujets plus ou moins suggestibles, auxquels peuvent être suggérés des idées, des émotions, des actes, des hallucinations… ».
    Que peut-on conclure ? … que la possibilité d’être hypnotisé est conditionnée par l’état organique du moment ; et que les phénomènes de l’hypnose sont dus à une cause psychique : la suggestibilité, que nous verrons un peu plus loin.

    Babinsky, l’homme qui conclut…

    Joseph Babinsky (1857 - 1932) confirma les vues de Bernheim. Pour lui, l’hypnotisme est une suggestion, renforcée par un état de non contrôle. Il considère donc l’hypnotisme comme un « état psychique, rendant le sujet qui s’y trouve, capable de subir les suggestions d’autrui ». Sautant alors dans l’hystérie, il la considère non pas comme une maladie organique, mais comme un état psychique rendant le sujet qui s’y trouve capable de s’autosuggestionner et d’être facilement suggestionné par autrui.

    La suggestion émotive

    La cour d’Assises est assemblée ; une tête d’homme sera joué dans un instant. L’avocat de la défense déploie manches et effets oratoires. Epuisés, bombardés d’arguments, les jurés écoutent. N’a-t-on pas fait appel à leur raison, à leur vertu, à leur intégrité d’hommes ? Et l’avocat parle, tentant de persuader ces juges…
    Brusquement, le plaideur envisage l’enfance de l’accusé. Père ivrogne, mère ivrogne, disputes, misère, batailles… Et l’avocat crie : « Songez à cette enfance atroce, messieurs les jurés, et acquittez ! … ». Un juré a pâli. Comme une flèche, ce commandement le frappe, non plus dans sa raison, mais en plein centre de son émotion. Car ce juré se rappelle, lui aussi, son père buveur, sa mère absente, sa misère, son enfance malheureuse. La parole de l’avocat le pénètre profondément.
    C’en est fait. Devant ce juré, l’avocat a gagné. Le raisonnement et la persuasion ont cédé le pas à l’émotion. Et l’impulsion qui en découle reste maîtresse du terrain. De ce juré, viendra un acquittement ou une réduction de peine… Où la logique et la raison battaient de l’aile, la suggestion émotive emportait la bataille.
    Et cette puissance de la suggestion, les meneurs de foules la connaissent bien ! Elle la savait bien aussi, cette Leni Riefenstahl, cinéaste du troisième Reich allemand, qui mettait en scène les entrées de Hitler, aux formidables fêtes du Parteitag ! Plus de cent mille hommes, rangés ; des milliers de drapeaux ; les cloches de Nuremberg sonnant ; une arène de pierre et de marbre ; une ouverture prolongée par la grande forêt… Et dans cette ouverture végétale, Hitler qui avance, tout seul, sans gardes, tandis que les chants retentissent et qu’au loin, roule le canon… Théâtral ? Bien sûr. Mais surtout suggestif par une émotion puissante.
    Car à ce moment, un seul ordre suggestif aurait pu emporter cette marée humaine comme un torrent…
    Et les défilés militaires, cadencés comme un ballet, brillants, piaffants ? Cette musique qui sonne, ces timbales qui roulent ? Et qui font penser au plus antimilitariste : «… cela me fait quelque chose… » ? Suggestion émotive, encore !

    Qu’est-ce que la suggestion ?

    Il ne faut pas confondre suggestion et persuasion.
    Si je cherche à vous persuader, je m’adresserai à votre raison. J’essaierai d’obtenir votre adhésion volontaire et consciente. Vous serez persuadé si vous reconnaissez que j’ai raison, et vous donnerez votre assentiment à mes arguments.
    Si je cherche à vous suggestionner, j’emploierai un procédé entièrement différent. Je devrai m’adresser à votre suggestibilité… ce qui semble être une lapalissade. Pour cela, je devrai passer outre votre conscient et votre raison, et toucher vos centres nerveux inconscients ; ce qui exige donc des circonstances particulières, puisque la raison et la volonté doivent disparaître, dans une mesure plus ou moins grande. On est donc suggestionné quand la possibilité de résistance volontaire n’existe plus.

    Qu’est-ce que la suggestibilité ?

    C’est une disposition mentale, qui permet d’obéir trop facilement et sans discussion aux ordres donnés.
    Cette disposition peut se présenter dans de nombreux cas :
    1) - La suggestibilité peut provenir de la naïveté et de la crédulité. Ce sont les personnes qui « avalent tout ». Mais ce n’est pas de la suggestibilité proprement dite.
    2) - La suggestibilité se manifeste dans certains désordres passagers : la grande fatigue ; l’épuisement nerveux ; tous les désordres émotifs faisant perdre le contrôle de soi (on connaît les paniques collectives ! ) ; dans l’hyperémotivité ; (comme le juré qui était en premier lieu persuadé, puis qui devient suggestionné) . Le plus haut degré de la suggestibilité se rencontre dans l’hystérie.

    En résumé :
    1) - La persuasion : elle se fait à la suite d’une discussion consciente. Autrui est alors convaincu volontairement.
    2) - La suggestion : elle est un fait accepté par autrui sans raisonnement ni discussion. Ce fait est immédiatement considéré comme une vérité. La suggestion s’adresse à l’inconscient (comme dans la suggestion hypnotique, que nous étudierons. )

    Exemple de suggestion :
    Un de vos amis est assis dans le fauteuil du dentiste et subit un fraisage sérieux. Il se peut que vous ressentiez brusquement une douleur, soit à l’une de vos dents, soit ailleurs. A ce moment, vous souffrez donc, sans qu’aucune lésion ne justifie cette souffrance. On vous dira : « imagination », alors que vous souffrez réellement. On soupçonne immédiatement que le système nerveux doit y être pour quelque chose. Nous le verrons.
    D’autre part, la suggestion correspond souvent à une idée se trouvant en profondeur chez l’individu. Voyez ce timide sortant d’une salle où passe un film de Douglas Fairbanks ; il est Fairbanks ; il se sent léger, désinvolte, il regarde hardiment !
    Cet homme est suggestionné… et Fairbanks a réveillé en lui un sentiment inconscient : le sentiment de la force qu’il désire, en contre partie de sa faiblesse de timide. La suggestion est donc une idée introduite dans le cerveau, et acceptée par lui. Elle vise à créer une impulsion non consciente, d’où découlera l’action ou l’état y correspondant.

    Les conditions de la suggestion

    Si la suggestion est une chose particulière, les conditions doivent l’être également. Et ce n’est que dans ces conditions que la suggestion pourra se réaliser.

    1) - La suggestion relativement normale

    Je rappelle le timide sortant du spectacle. Il désire de la force parce qu’il se sent faible. Ce désir se trouve donc au fond de lui-même. Fairbanks a-t-il suggestionné ce timide ? Non. Il n’a fait que déclencher le mécanisme ; et l’autosuggestion du timide a fait le reste. Le désir est devenu une croyance temporaire qui produit des actions (démarche, regard, voix, gestes, etc. )
    Condition n°1 : La suggestion normale doit correspondre à un sentiment se trouvant déjà dans l’inconscient du sujet, et pouvant produire l’impulsion.
    Condition n°2 : Il faut que le refus de la suggestion ne se fasse pas. Cas courants : fatigue, émotions, timidité, trac, dépression, panique, etc. Ainsi, la résistance mentale diminue, et le suggestionneur agit facilement. Par exemple : si on dit à un hyperémotif en pleine crise de trac : «… mon Dieu, que tu sembles mal à l’aise et que tu es pâle… ! », cette suggestion ne rencontrera aucune résistance. De plus, elle touche un sentiment se trouvant déjà dans le sujet. Et la panique se déclenche immédiatement.
    Que fait donc le suggestionneur ? Il tisonne, il active, il pousse l’idée inconsciente. Le sujet passe alors à l’auto-suggestion. On voit donc que la suggestion est difficile ou impossible, si le sujet est en possession de tous ses moyens ; il discutera, raisonnera, etc… et nous retombons dans la persuasion. La suggestion normale a donc des effets temporaires, parce qu’elle dépend d’un état temporairement déficient.

    2) - La suggestion pathologique

    Voici un cas, pris dans les innombrables observations de Janet.
    Irène, jeune femme de 21 ans, tomba gravement malade à la suite de la mort de sa mère. Elle refusait de boire l’eau du robinet, parce qu’elle prétendait que ce robinet ne débitait pas de l’eau, mais du sang rouge. Quand avait commencé cette auto-suggestion, cette hallucination ? Quand Irène avait vu, un jour, couler l’eau goutte à goutte… « comme le sang des lèvres de sa mère… ».
    L’auto-suggestion d’Irène est devenue une idée fixe. L’idée fixe est une auto-suggestion poussée au maximum. L’hypnotisme est le terrain idéal pour implanter une idée fixe dans le cerveau de quelqu’un. Voici une expérience banale d’hypnotisme :
    Une personne est endormie. On lui suggère, sous hypnose, que le verre qu’elle tient en mains est rempli d’eau très salée. Puis on la réveille. Elle boit cette eau (qui est absolument pure ! ) et la crache immédiatement, avec les signes du plus profond dégoût. Elle déclare que l’eau est « affreusement salée », et rien, aucun raisonnement, aucune démonstration ne pourront la convaincre du contraire. Pour ce faire, il faudrait l’endormir à nouveau, et opérer la suggestion inverse.
    Cette personne a donc, par hypnose, été atteinte d’idée fixe : l’eau est salée. La suggestion est venue de l’hypnotiseur ; elle est devenue une conviction absolue chez l’hypnotisé ; puis une auto-suggestion et une idée fixe. Je répète qu’il y a, dans tous ces procédés, un mécanisme purement nerveux, que nous examinerons en son temps. La suggestion n’est pas un miracle ; et dès que l’on comprend le procédé nerveux, le mystère « affolant » disparaît ! …

    Qu’est-ce que l’idée fixe ?

    On peut la considérer comme une idée vivant en « parasite » dans le psychisme humain. Cette idée parasite possède suffisamment de puissance et de constance, pour éliminer toutes les autres. Aucun raisonnement, aucune discussion, ne pourront éliminer une idée fixe, qui se montre comme un roc inébranlable.
    Il existe des milliers d’idées fixes, allant de l’anormal léger au pathologique extrême. Elles peuvent imposer leur présence pendant un temps court, long, ou très long. Pendant toute la vie, parfois… pour le plus grand malheur de l’entourage. Des milliers d’idées fixes peuvent donc s’implanter dans un cerveau humain. Ici également, le pathologique n’est que l’exagération du normal, en profondeur et en durée.

    Les idées fixes considérées comme normales

    Prenons trois exemples :
    1) - Un savant marche, et un problème le hante… Ce problème l’a envahi tout entier. Qui s’étonnera de voir ce savant prendre une craie pour écrire inconsciemment sur une automobile à l’arrêt ? Qui s’étonnera de sa totale « distraction » ? Ce savant, à ce moment, est en proie à une idée fixe : son problème ! Mais cette idée est temporaire ; elle durera jusqu’à la résolution de la difficulté… ou jusqu’à ce qu’une voiture, stoppant net à dix centimètres de lui, ne le « réveille » de ce songe éveillé.
    2) - Un artiste possédé par son oeuvre en gestation, ne sachant et ne voyant qu’elle ? Idée fixe également. Artistique et agréable, soit ; mais idée fixe tout de même !
    3) - Cet homme, obsédé par des ennuis ménagers, commettant faute sur faute dans son travail, empilant les erreurs ? Idée fixe, également, temporaire, désagréable et épuisante.

    Les idées fixes considérées comme anormales

    Dans le monde actuel, fatigué, émotif, des dizaines de milliers d’êtres humains, couchés pour la nuit, se relèvent. Ils vérifient la fermeture du robinet de gaz. Ils se recouchent. Puis un doute apparaît : « Ai-je bien fermé le robinet… ? ». Et la raison répond : « Oui, tu l’as fermé ». Mais l’affectivité inconsciente continue de douter. Et c’est « plus fort qu’eux ». Ils se relèvent. Vérifient à nouveau. Se recouchent. On pourrait croire que deux ou trois vérifications convaincront leur affectivité ? Il n’en est rien. Ils se relèvent encore, de plus en plus fatigués, et de moins en moins capables de lutter contre cette idée fixe, qu’ils reconnaissent comme absurde, mais contre laquelle tout leur raisonnement ne peut rien ! J’ai donné ici un exemple d’idée fixe légère, souvent liée à une déficience passagère, à un surmenage, à une anxiété. Mais c’est une idée fixe tout de même, qui est le symptôme d’un état maladif.
    Je voudrais vous présenter d’autres idées fixes… mais elles existent en trop grand nombre ! Il faut bien comprendre qu’il y en a une gamme immense, allant du bénin au très grave, du temporaire au durable. De toute façon, l’idée fixe est toujours produite par un mécanisme inconscient.
    Quelles sont les idées fixes les plus courantes ? Toutes les obsessions. Toutes les phobies (et Dieu sait s’il y en a ! … ) . La plupart des angoisses. Les petites manies, les grandes manies, superficielles ou profondes. Les tics, tant qu’ils demeurent inconscients et « machinaux ». L’obsession de devenir fou, si courante. _ L’obsession de tomber dans la rue, etc, etc…
    Et l’on peut se demander si notre belle époque, bourrée de fatigues, de refoulements et d’émotions énervantes, n’est pas le bouillon de culture idéal des grandes idées fixes, dont je ne souhaite à personne d’être atteint, malgré la guérison possible.

    L’inhibition dans l’idée fixe

    Le savant, concentré sur son problème, passe pour « distrait ». Pourtant, il n’est pas distrait : il est inhibé. J’ai parlé déjà de l’inhibition dans la fatigue et la timidité. Si le savant ne remarque rien, c’est parce qu’il est nerveusement incapable de voir ou entendre autre chose que ce qui le préoccupe. Pourquoi ? Dans son cerveau, tous les centres nerveux qui ne travaillent pas pour le problème du moment sont bloqués.
    Dans l’idée fixe, les cellules bloquées ne peuvent évidemment présenter les fluctuations nécessaires ! Et les messages extérieurs ne déclenchent plus aucune réaction.
    Par exemple : pour ce savant obsédé, une voiture arrivant sur lui en klaxonnant, ne sera pas perçue par son cerveau ; parce que l’idée fixe bloque les autres cellules nerveuses, qui auraient normalement réagi à l’auto ou à autre chose.
    Et l’on voit ainsi combien la disponibilité de l’esprit, sans opinion ancrée, sans obstination, sans entêtement, est une belle et sainte chose ! …

    Comment s’implante l’idée fixe pathologique ?

    Au cours d’une journée ordinaire, chacun est bombardé d’argumentations, d’insinuations, de suggestions de toutes sortes. Alors, pourquoi n’avons-nous pas tous des idées fixes ? Je dois, à nouveau, établir une différence entre :
    1) - l’idée prédominante du moment ;
    Et
    2) - l’idée fixe proprement dite (pathologique)
    Si l’idée fixe s’installe, c’est que « quelque chose », dans l’état du sujet, lui permet de le faire.
    Deux conditions entrent en jeu :
    A) - la suggestion ;
    B) - l’état physique et mental du sujet au moment où il reçoit cette suggestion.
    Pour apparaître, l’idée fixe demande une déviation de l’équilibre habituel du cerveau ; soit par prédisposition, surmenage intensif, infections, émotions, etc. Mais elle s’implante surtout, je le répète, quand elle exagère un facteur affectif préexistant. Je reprends encore l’exemple du timide sortant du cinéma. La suggestion opérée par le film est devenue une auto-suggestion. Mais cette suggestion n’a fait que « pousser en avant » un état existant : un grand désir d’être fort, sûr de soi, à l’aise, etc.
    L’idée fixe peut être :
    A) - consciente. Un obsédé sait très bien qu’il est atteint d’idée fixe ! … puisqu’il lutte contre elle avec sa raison… sans succès d’ailleurs.
    B) - inconsciente. Ce fut le cas d’Irène. C’est aussi le cas d’une idée fixe produite par suggestion hypnotique. Mais, de toute façon, la cause permettant l’apparition de l’idée fixe est toujours inconsciente.
    L’hypnotisme peut produire une idée fixe, du moins chez certains. Mais peut-on dire que toutes les personnes qui en sont atteintes furent hypnotisées ? Non, évidemment ! Alors, puisque l’idée n’a pas été implantée de l’extérieur, comment l’auto-suggestion peut-elle jouer à ce point ? Comment, par exemple, un choc émotionnel grave peut-il persister et provoquer une idée fixe, un tic, une phobie, une obsession, etc. ? Nous le verrons en étudiant Janet.

    Emile Coué et le match intérieur…

    Emile Coué (1857-1926) , malgré les bases très élémentaires de sa méthode, eut un grand mérite. Il mit en pratique l’auto-suggestion, qu’il considérait donc comme une suggestion venant du malade lui-même.
    Nous savons ceci : dans les maladies psychologiques, le raisonnement conscient ne sert pas à grand chose. Ni l’argumentation raisonnable, ni la persuasion. Par exemple : un grand timide se donne sans cesse de bonnes raisons de n’être pas timide ; il tente de se convaincre à grands coups de poing moraux. Cela empêche-t-il les crises d’intimidation ? Non… bien au contraire ! A plus forte raison, l’inutilité du raisonnement éclate dans les obsessions, les phobies, les angoisses, etc.
    Un psychologue sait donc qu’il est inutile de « raisonner » un malade psychologique. Et qu’il serait ridicule de lui dire que son comportement est absurde, pour telle ou telle raison ; et qu’il doit « faire un effort », etc. Trop de malades psychologiques sont en butte à l’incompréhension à cause de cela, justement ! Toute la journée, on leur lance à la tête les notions de volonté ; sans songer que cette faculté est faussée au départ. Pourquoi ? Parce que le mécanisme nerveux qui permet la volonté est faussé. Cela reviendrait à demander à un violoniste de jouer le mi, sur une corde accordée sur le fa. Ce violoniste veut bien jouer, lui… mais son archet fait sortir le fa. Faut-il donc crier, hurler, le mépriser, le pousser à toute force à jouer ce fameux mi ? Non ; il faut prendre le violon… et réajuster la corde sur la note « mi ».
    Toute manifestation de volonté réelle demande, pour se manifester, des conditions de base. Zbinden déclarait : « Raisonner faux est un vice aussi funeste que prendre de la morphine ou de la cocaïne… ». Qu’est à dire ? Si raisonner « juste » est le résultat d’une affectivité « juste », raisonner « faux » est le résultat d’une affectivité « fausse ». Malheureusement, on l’oublie neuf fois sur dix… et je suis optimiste !
    Si l’affectivité inconsciente dit « Non ! », le raisonnement a beau s’épuiser à dire « Oui ! », c’est l’affectivité qui gagnera à chaque coup. L’être normal le comprend rarement. Pourquoi ? Parce que, chez lui, règne un accord entre sa volonté, son désir, et son affectivité. Il y a accord entre son vouloir et son pouvoir. Mais n’arrive-t-il pas qu’il sente parfois en lui une sorte de tiraillement, accompagné d’angoisse ? Parce que « quelque chose » le pousse à faire le contraire de ce qu’il voudrait ? Qu’en imagination il augmente cette contradiction ; qu’il l’agrandisse en durée, en intensité et en profondeur ; peut-être alors comprendra-t-il !
    Donc, puisque toute maladie psychique est à base affective, tout traitement psychologique devra viser l’affectivité. C’est là que se trouvera, tapi dans l’ombre, le cancer psychologique.
    Coué a donc tenté de le faire, lorsqu’il déclarait : « Quand l’imagination et la volonté sont en lutte, c’est l’imagination qui l’emporte, sans aucune exception… ». Coué attribuait donc un rôle capital au psychisme inconscient, qu’il appelait imagination. Bien sûr, sa méthode était rudimentaire ; elle tentait d’éliminer une suggestion maladive par une contre-suggestion saine. Un ordre et un contre-ordre, en somme. On connaît cette méthode célèbre ; Coué demandait aux malades de répéter souvent, même sans y croire, mais de manière à impressionner l’oreille : « Tous les jours à tous points de vue, je vais de mieux en mieux… ».
    Ces paroles, répétées mécaniquement, doivent ainsi se canaliser vers l’inconscient (affectivité) ; et cet inconscient, finalement convaincu par réflexe, pousse la personne à agir normalement, rationnellement et volontairement.
    Cette méthode est rudimentaire, parce qu’elle n’envisage que les symptômes en bloc. Elle n’envisage que la souffrance ressentie, et n’élimine que très rarement les tendances profondes. La méthode Coué reste évidemment dans la ligne de la suggestion ; la personne entend une voix (la sienne) lui suggérer une amélioration ; et cette conviction devient de l’auto-suggestion (et cette auto-suggestion devient une conviction) .
    Il est trop banal de dire encore, (en regard des découvertes de la psychologie moderne et de la médecine psycho-somatique) , que l’esprit affecte le corps ; et qui, si l’esprit peut déclencher une maladie… ce même esprit peut la guérir. (Par « esprit », il faut entendre « cerveau ») Cela est un fait. Nous verrons d’ailleurs que tout l’organisme est sous le contrôle du cerveau. Et par-là, la méthode Coué est parfaitement acceptable.

    Si vous désirez pratiquer l’autosuggestion

    L’autosuggestion, comme la suggestion venant d’autrui, est un excellent moyen d’éduquer l’action et la volonté. Je signale que l’autosuggestion ne s’adresse pas qu’à des malades ! Bien au contraire. L’autosuggestion bien faite dépose dans l’inconscient de nouvelles énergies, et y groupe de nouvelles lucidités. Elle est un bon moyen d’extension et de renforcement de la personnalité. Elle permet le redressement des déficiences affectives. Je répète encore : le cerveau possède sur le corps un pouvoir quasi dictatorial…

    Les conditions de l’autosuggestion

    Il faut considérer l’autosuggestion comme une forme de méditation, et non pas de concentration. La méditation est un flottement de l’esprit ; une ouverture passive et calme ; elle permet sans effort l’entrée des idées et des sensations. Tandis que la concentration est un effort posé sur un point. Nous avons vu que la concentration endort une grande partie du cerveau ; elle élimine donc, d’office, des centaines de sensations pouvant être utiles…
    Obstacle… et obstacle de taille ! Le docteur Dubois, de Berne, donnait à ses malades de très excellents conseils ; « écartez tous vos tracas… éliminez tous vos soucis… enlevez vos préoccupations… tournez votre esprit vers les sujets plaisants… , etc… ».
    Mais, comme dit Janet : «… c’est évidemment très gentil, mais un peu ironique quand il s’agit de personnes incapables de diriger leurs pensées. Quand ils sont immobiles dans leurs lits, ils se forgent continuellement des chimères, ils s’épuisent en calculs et en combinaisons difficiles… »
    Ce qui est l’évidence même ! Autant dire à un obsédé : «… ne songez plus à votre obsession… » ; ou à un agité : «… mais soyez calme, voyons, très calme ! … ».
    C’est, n’est-ce pas, un peu enfantin.

    Comment éliminer cet obstacle ?

    Aider à ce que l’idée maladive s’écarte au maximum de l’esprit. Il faut donc toucher, autant que possible, les centres nerveux de l’inconscient, en laissant « flotter » le conscient. Une détente est donc absolument indispensable. Comment obtenir cette détente ? Le corps doit être couché et immobile. Des techniques spéciales existent, qui relâche progressivement et complètement les muscles ; elles doivent être conduites par un spécialiste. Sentir ensuite les membres s’alourdir, l’un après l’autre. Fermer les yeux, en laissant flotter les paupières. Arriver ainsi à un état de torpeur, et à la sensation de planer au-dessus de son corps. L’endroit doit être, évidemment, silencieux et obscur. On ne conçoit pas la méditation parmi le bruit !

    Quel est le meilleur moment ?

    Pour les personnes n’ayant pas l’entraînement à la détente musculaire, choisir le moment où le mélange Conscient-Inconscient s’accomplit presque automatiquement. C’est à dire dans la torpeur, dans la somnolence qui précèdent le sommeil. Ou bien dans la torpeur qui suit le réveil, quand l’esprit commence à capter les choses qu’il revoit.
    Obstacle : Beaucoup de sujets n’arrivent jamais à la torpeur (agités, obsédés, insomniaques, etc. ) . L’intervention de médicaments est donc parfois nécessaire. De toute façon, l’apprentissage de la détente profonde doit être conduit par un spécialiste.
    Ensuite ? L’état de torpeur atteint (sensation d’engourdissement et de flottement) , et libre de toute préoccupation, introduire l’idée utile dans le subconscient. Cette idée sera, pour les malades, évidemment opposée à leur état déficient. Ne jamais conduire cette méditation flottante jusqu’à la concentration. Dès que l’effort apparaît, l’abandon s’impose.

    Y’a-t-il un moment idéal ?

    Oui, mais difficile à atteindre sans entraînement. Il ne faut pas que le conscient et le subconscient soient trop séparés : la suggestion (qui doit rester volontaire) , perdrait évidemment de son efficacité. (Ne pas oublier que le conscient et le subconscient reposent sur le travail de certains centres nerveux. ) Avant d’atteindre le plan du rêve, le cerveau plonge dans la somnolence. Mais il demeure conscient, sans idée préoccupante toutefois. Chacun connaît l’état de demi-sommeil, cet état « à cheval » sur le rêve et la réalité. A ce moment, l’homme (qui auparavant était acteur) , devient spectateur. Il cesse de jouer le jeu, pour passer à la contemplation du jeu. Il assiste alors à une sorte de cinéma se déclenchant devant ses yeux. Il regarde une succession d’images ne correspondant presque plus au réel. Il sait qu’il ne rêve pas, puisqu’il demeure conscient. Le tic-tac d’une horloge, le bruit de la rue, le craquement d’une porte, l’aboiement d’un chien lui parviennent dans une clarté et une intensité parfaites. Il lui semble flotter au-dessus de la vie, et au-dessus de son corps. Ce phénomène est d’ailleurs profondément agréable. Les images et les sensations défilent, comme un dessin animé, avec des absurdités que l’homme accepte comme naturelles. Il peut même diriger les images, supprimer tel personnage, le remplacer par un autre, etc. C’est le moment idéal pour la pratique de la suggestion.
    Donc : Attendre que la vague d’inhibition ait presque submergé l’écorce cérébrale, siège de la conscience volontaire. L’état obtenu sera un état de rêverie, avec champ de conscience maximum, (tandis que dans la concentration, le champ de conscience rétrécit considérablement. )
    Autres moyens : Beaucoup plus puissants. Mais le concours d’un psychologue est indispensable. Une projection d’images symboliques peut se faire ; mais nous entrons ici dans le domaine de la psychologie des grandes profondeurs. J’en reparlerai plus loin, aux chapitres « Symboles » et « Rêve éveillé ».

    Qu’amène la pratique de l’autosuggestion ?

    Elle offre l’avantage de préparer une attitude mentale bénéfique. Elle peut agir sur le corps, (il existe à cet égard des milliers de cas classiques) .
    Voici un exemple pris dans un hôpital :
    Un homme, malade depuis longtemps, semble souffrir du cancer et il en offre tous les symptômes. L’opération est décidée, et le chirurgien ouvre le ventre du patient. Il y trouve des intestins très imparfaits ; mais nulle trace de cancer. Les analyses se font : nulle trace de cancer. Les médecins sont stupéfaits ; tous les symptômes dont souffrait cet homme étaient pourtant ceux de la terrible maladie…
    Que s’était-il passé ? Il serait trop long de raconter en détail la vie atroce de ce pauvre homme. Vie de malchance, de solitude, d’abandon, de pauvreté physique, de grande misère morale.
    Un jour, il tombe malade. Sans ressources, il est hospitalisé. A ce moment, dans la chambre commune, et pour la première fois de sa lamentable vie, l’homme se sent heureux. Il est parmi d’autres personnes qui souffrent, et chacun sait combien la souffrance commune réunit les hommes… Voici les médecins, affables, paternels, souriants. Voici les infirmières compréhensives, aux mains douces. Voici un lit, non de solitude et de misère, mais humain. Voici une sécurité mentale et matérielle. Et le mécanisme inconscient se met en marche. « Il faut que tu restes ici… tu dois continuer à être malade, de plus en plus malade… tu ne dois pas sortir d’ici où tu es heureux… ». L’autosuggestion commençait, lancinante, puissante, continuelle. Et le non-malade devint malade. Les symptômes du cancer se montrèrent, de plus en plus violents, jusqu’à l’opération inutile… Le « cancer » représentait, pour cet homme, une « sécurité » idéale. Et ce cas montre bien la puissance du cerveau, ainsi que nous le verrons en médecine psycho-somatique.
    Vous connaissez le monsieur atteint du « mal de mer ? »
    Le bateau est à quai, et le monsieur repose dans sa cabine. La nuit tombe. Au milieu de cette nuit, des bruits de moteurs traversent la paroi. « Le navire est en mer… » se dit le monsieur. Et tout commence : nausées, vomissements, angoisse profonde, désir de mourir… Honteux, le monsieur se terre et souffre en silence jusqu’au matin. Mais voici qu’il se lève, jette un coup d’oeil par le hublot… le navire n’a pas bougé !
    Le pouvoir de la suggestion est bien connu. Mais n’est-il pas bon de le rappeler de temps à autre ?
    On conçoit donc sans peine la puissance d’une suggestion bien faite, dans des conditions la permettant. Les exercices mentaux personnels doivent, évidemment, être répétés chaque jour, surtout si la personne ne possède qu’un rudiment de technique.

    Que peut traiter la suggestion ?

    Je veux parler ici de suggestion en profondeur, technique spéciale qu’une personne seule ne peut pas employer sans entraînement. Parmi les cas courants : l’impuissance sexuelle, la frigidité féminine, les peurs, les phobies, les angoisses, les insomnies, les tics, les habitudes nocives, la « faiblesse de caractère », certains troubles de la peau, et de nombreuses maladies hystériques.
    Et l’on voit donc que, malgré son caractère élémentaire, la méthode trouvée par Emile Coué posait des bases pour la psychologie de demain… Saluons donc, et continuons.

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Syllabation De L'Écrit

Syllabes Hyphénique: La Spéléologie Du Mental * (I)as=té=ris=que=se=lon=le=livre=les=pro=di=gieu=ses=vic=toi=res=de=la=psy=cho=lo=gie=par=pier=re=da=co=ed=ma=ra=bout=im=pres=sion=a=che=vée=en=deux=mille 40

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tout=de=soie=vê=tu=un=homme=re=gar=dait=cet=hom=meé=tait=grand=prê=tre=de=ce=lieu=mys=té=rieux=lobs=cu=ri=té=dans=la=cham=bre=é=tait=qua=si=to=ta=le=les=fe=nê=tres=re=cou=ver=tes=dé=pais=ri=deaux=cou=paient=les=rayons=du=so=leil=et=mes=mer=pè=re=du=ma=gné=tis=me=a=ni=mal=pion=nier=de=lhyp=no=tis=me=te=nant=à=la=main=u=ne=ba=guet=te=mé=tal=li=que=son=geait 93
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les=pa=ti=ents=pé=né=traient=dans=ce=tem=pleen=grande=cé=ré=mo=nie=on=en=ten=dait=des=sons=mé=lo=dieux=le=si=len=ce=des=ma=la=des=é=tait=to=tal=et=cha=cun=deux=ap=puyait=u=ne=ti=ge=de=fer=sur=len=droit=ma=lade 54
puis=mes=mer=ap=pa=rais=sait=dans=sa=robe=dap=pa=rat=il=pas=sait=len=te=ment=de=vant=les=ma=la=des=en=les=fix=ant=des=yeux=il=pro=me=nait=sa=ba=guet=te=sur=leurs=corps=cest=a=lors=que=les=trois=jeu=nes=fem=mes=tom=bèrent 54
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mille=sept=cent=trente=quatre=il=naît=à=ra=dolf=zell=sur=le=lac=de=cons=tance=son=pè=re=un=gar=de=fo=res=tier=a=dix=ans=sui=vant=le=dé=sir=de=sa=mè=re=il=en=treau=mo=nas=tè=re=pour=y=ê=tre=ins=truit=de=son=rô=le=de=fu=tur=prêtre=jus=quà=lu=ni=ver=si=té=il=é=tu=die=la=théo=lo=gie=mais=aus=si=las=tro=no=mie=la=phy=si=que=et=les=ma=thé=ma=tiques=il=lit=pa=ra=cel=se=cet=hom=me=qui=croit=aux=as=tres=in=fluents 107
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mille=sept=cent=soixante=cin=q=mes=mer=a=tren=teet=un=ans=mo=zart=a=neuf=ans=ce=mo=zart=que=mes=mer=pro=té=ge=ra=vers=mil=le=sept=cent=soixan=te=hu=it=et=mes=mer=pas=se=sa=thè=se=de=mé=de=ci=ne=lin=fluen=ce=des=pla=nè=tes=sur=le=corps=hu=main=cet=exa=men=est=com=me=un=dé=fi=à=la=mé=de=ci=ne=s=cien=ti=fi=que=qui=la=ins=truit=et=il=réus=sit=les=bon=zes=de=lé=po=que=ne=crient=nul=le=ment=à=lim=pos=tu=re=fal=lait=til=que=mes=mer=eût=é=té=un=ex=cel=lent=é=tu=diant 123
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mes=mer=pen=sait=il=existeun=flui=de=u=ni=ver=sel=dans=le=quel=sont=plon=gés=tous=les=corps=il=cro=yait=que=la=vo=lon=té=hu=mai=ne=a=vait=le=pou=voir=de=met=tre=ce=flui=de=en=oeu=vre=de=le=fai=re=sor=tir=dun=point=de=le=fai=re=sac=cu=mu=ler=sur=un=autre 65
nous=sommes=donc=en=mille=sept=cent=soixan=te=hu=it=ma=da=me=mes=mer=a=u=ne=de=moi=sel=le=de=com=pa=gnie=fräu=lein=franzl=gers=ter=lin=dont=la=mau=vai=se=san=té=se=ra=le=pla=teau=dar=gent=de=mes=mer=de=quoi=souf=fre=fräu=lein=ges=ter=li=de=tout=pa=ra=ly=sie=tem=po=rai=re=trou=bles=des=in=tes=tins=vo=mis=se=ments=s=pas=mo=di=ques=dé=pres=sions=tran=ses=é=va=nouis=se=ments=cé=ci=té=pas=sa=gère=dhys=té=rie=en=un=mot=nous=a=vons=é=tu=dié=ce=cas=et=le=trai=te=ment=de=mes=mer=gué=rit=cet=te=femme 127
voi=là=les=tam=bours=de=la=re=nom=mée=bat=tant=la=char=ge=pour=mes=mer=qui=a=vait=eu=foi=en=son=tra=vail=et=aus=si=le=cou=rage=daf=fron=ter=les=pon=ti=fes=s=cien=ti=fi=ques=de=lé=poque=son=nom=é=cla=te=sa=ré=pu=ta=tion=re=ten=tit 61
mais=mes=mer=es=prit=pra=ti=que=trou=va=pro=bable=ment=trop=long=de=soi=gner=cha=que=ma=la=dein=di=vi=duel=le=ment 28
et=il=inven=ta=son=ba=quet=col=lec=tif=ain=si=les=ma=la=des=pou=vaient=sen=gouf=frer=dans=le=tem=ple=par=four=nées 28
des=per=son=nages=cé=lè=bres=te=naient=les=fers=du=ba=quet=lé=cri=vain=la=har=peé=tait=pré=sent=lui=aus=si=qui=cor=res=pon=dait=a=vec=le=grand=duc=paul=de=rus=sie=tout=é=tait=donc=bien=sem=blait=til=et=le=ma=gné=tis=me=a=ni=mal=pro=mis=aux=plus=hau=tes=des=ti=nées 66
mais=deux=forces=veillaient=la=mé=de=ci=neet=la=mode 11
un=la=mode=ima=gi=nez=les=dames=de=lé=po=que=ba=var=dant=de=ma=gné=tis=me=nont=tel=les=pas=fait=de=mê=meen=dé=bal=lant=leurs=com=plexes=lors=que=ré=gnait=freud 39
deux=la=méde=cine=car=ces=mê=mes=pro=fes=seurs=qui=ac=ce=ptè=rent=la=thè=seau=da=cieu=se=de=mes=mer=at=ten=di=rent=loc=ca=sion=pour=in=ter=ve=nir=à=nou=veau=el=le=se=pré=sen=ta=sous=la=for=me=du=ne=jeu=ne=a=veu=gle=thé=ré=sa=von=pa=ra=dis=pia=nis=te=pro=té=gée=par=lim=pé=ra=trice=au=cun=trai=te=ment=mê=me=des=meilleurs=o=cu=lis=tes=de=vien=ne=na=vait=don=né=quoi=que=ce=soit 99
or=voi=ci=que=sou=li=gné=en=déses=poir=de=cau=se=sou=li=gné=on=la=mè=ne=chez=mes=mer=qui=lui=rend=la=vue=par=un=trai=te=ment=pous=sé=lhis=toi=reest=in=vrai=sem=bla=ble=peut=tê=tre=mais=vraie=il=sa=gis=sait=de=cé=ci=té=hys=té=rique=et=main=te=nant=é=cou=tez=la=vue=re=cou=vrée=la=jeu=ne=fille=se=trou=va=ne=plus=jouer=aus=si=bien=donc=les=re=ve=nus=liés=à=sa=vie=de=pia=nis=te=ris=quaient=de=sen=al=ler=les=doc=teurs=exa=mi=nè=rent=la=jeu=ne=fille=ils=re=con=nu=rent=quel=le=a=vait=re=cou=vré=la=vue=mais=niè=rent=quel=le=pou=vait=voir=par=ce=quel=le=ne=sa=vait=pas=com=ment=sap=pe=laient=les=ob=jets=or=cet=te=jeu=ne=fille=é=tait=a=veu=gle=de=puis=lâ=ge=de=trois=ans=les=doc=teurs=se=ré=pan=di=rent=en=im=pré=ca=tions=con=tre=mes=mer=qui=ra=con=ta=lui=mê=me=com=ment=le=pè=re=de=la=jeu=ne=fille=en=tra=chez=lui=fou=fu=rieux=et=lé=pée=à=la=main=mais=la=vue=ayant=de=nou=veau=quit=té=la=jeu=ne=fille=ce=qui=con=fir=me=la=cé=ci=té=hys=té=ri=que=mes=mer=fut=ex=pul=sé=de=la=fa=cul=té=et=cher=cha=re=fu=ge=en=france 262
et=comme=ce=la=se=pas=se=sou=vent=la=com=mis=sion=char=gée=dé=tu=dier=le=mes=mé=ris=me=ne=se=préoc=cu=pa=nul=le=ment=de=sa=voir=si=mes=mer=a=vait=gué=ri=ou=non=mais=de=dé=cou=vrir=lexac=ti=tu=de=de=ses=théo=ries=quel=le=théo=rie=quest=ce=que=le=ma=gné=tis=mea=ni=mal=tou=te=dé=mons=tra=tion=é=tant=im=pos=si=ble=les=gué=ri=sons=de=mes=mer=fu=rent=mi=ses=au=comp=te=de=li=ma=gi=na=tion=et=lon=pas=sa=mus=cade 108

l=hyp=no=se=et=la=sug=ges=ti=on 10

mille=hu=it=cent=qua=torze=mes=mer=est=dans=lombre=son=pro=cé=dé=de=meure 17
le=bien=con=nu=m=de=puy=sé=gur=of=fi=cier=dar=mée=et=cher=cheur=tra=vaille=le=ma=gné=tismeen=son=do=mai=ne=de=sois=sons=mais=ce=ma=gné=tis=me=com=men=ce=à=se=pas=ser=de=cé=ré=mo=nie=de=mu=si=ques=de=ri=deaux=le=mer=veilleux=com=men=ce=à=fai=re=pla=ce=à=la=s=cien=ce=rien=quun=ar=bre=un=grand=ar=bre=ma=gné=ti=sé=par=lui=suf=fi=sait=dont=fran=ki=ni=dé=cla=ra=quil=na=vait=nul=le=ment=be=soin=dê=tre=ma=gné=ti=sé=pour=ê=tre=ma=gné=ti=que 116
un=jour=lhis=toireest=bien=con=nue=un=jeu=ne=ber=ger=ma=gné=ti=sé=ne=tom=ba=pas=en=con=tor=sions=pas=du=tout=au=lieu=de=ce=la=il=sen=dor=mit=non=par=fa=ti=gue=ou=in=dif=fé=ren=ce=mais=dun=som=meil=bi=zar=re=on=fait=du=bruit=on=sa=gi=te=on=crie=rien=à=faire=le=jeu=ne=ber=ger=ne=se=ré=vei=lle=pas=mieux=en=co=re=voi=ci=quil=se=lè=ve=mar=che=par=le=et=con=trac=te=to=ta=le=o=béis=san=ce=à=m=de=puy=sé=gur=qui=nest=pas=loin=de=se=pren=dre=pour=la=vo=lon=té=u=ni=ver=selle=lhyp=no=tis=me=é=tait=dé=cou=vert=la=sug=ges=tion=hyp=no=ti=que=aus=si 145
après=mes=mer=et=de=puy=sé=gur=de=leuse=dé=cou=vre=la=sug=ges=tion=post=hyp=no=tique=il=re=mar=que=que=é=veillée=u=ne=per=son=ne=ré=pond=aux=or=dres=don=nées=du=rant=le=som=meil=par=exem=pleun=cas=fa=ci=le=et=cou=rant=on=en=dort=u=ne=per=son=ne=hyp=no=ti=sa=ble=on=lui=sug=gè=re=que=leau=quel=le=boi=ra=se=ra=plei=ne=de=poi=vre=on=la=ré=vei=lle=la=per=son=ne=cra=che=ra=a=lors=a=vec=dé=goût=et=rien=au=mon=de=ne=pour=ra=lui=en=le=ver=cet=te=o=pi=nion=de=les=prit=pour=la=lui=ô=ter=il=fau=drait=len=dor=mir=à=nou=veau 138
de=nom=breux=cher=cheurs=con=ti=nuèrent=leurs=tra=vaux=et=lhyp=no=tis=meat=tei=gnit=la=co=te=de=len=thou=siasme 25
mais=les=mes=mé=ristes=par=laient=trop=mal=gré=de=grands=suc=cès=o=pé=ra=toi=res=sous=hyp=no=se=et=nous=som=mes=au=xixè=me=siè=cle=le=mes=mé=ris=me=re=tom=ba=dau=tant=plus=bas=quil=é=tait=mon=té=haut 50
la=va=gue=fi=nale=se=dé=clen=cheen=an=gle=ter=re=où=le=doc=teur=el=liot=son=se=con=ver=tit=au=mes=mé=ris=me=ce=qui=en=mille=hu=it=cent=tren=te=hu=it=en=traî=na=sa=dé=mis=sion=for=cée=de=lhô=pi=tal 53
or=au=jourdhui=cest=langle=ter=re=qui=en=mille=neuf=cent=cin=quan=te=cin=q=con=clut=à=lef=fi=ca=ci=té=de=l=hyp=no=tis=me=et=qui=de=man=da=par=la=voie=du=bri=ti=sh=me=di=cal=as=so=cia=tion=que=l=hyp=no=tis=me=soit=pra=ti=qué=dans=les=hô=pi=taux=et=en=sei=gné=au=mê=me=ti=tre=que=les=au=tres=branches=et=ce=a=près=lu=r=s=s=et=beau=coup=de=pa=ys=de=lan=guean=glaise 97
or=en=mille=hu=it=cent=trente=hu=it=de=ter=ri=bles=am=pu=ta=tions=sans=dou=leur=sous=hyp=no=seé=taient=dé=jà=ré=a=li=sées=donc=no=tre=é=po=que=ne=fait=que=re=pren=dre=un=pro=blè=me=thé=ra=peu=ti=que=des=plus=pas=sion=nants 57
nous=ar=ri=vons=tou=jours=au=xixème=siè=cle=au=doc=teur=es=daille=mé=de=cin=an=glais=aux=indes=il=pra=ti=que=lhyp=no=se=et=réus=sit=plus=de=trois=cents=gran=des=o=pé=ra=tions=sous=hyp=no=se=et=sans=la=moin=dre=dou=leur=et=par=quoi=cet=te=ma=gni=fi=que=ré=a=li=sa=tion=fut=tel=leac=cueillie=par=le=mé=pris=son=hô=pi=tal=fut=fer=mé 82

hyp=no=tis=me=por=te=de=lin=cons=cient 10

les=re=vues=po=pu=laires=lont=bien=dé=crit=que=vou=lez=vous=le=mer=veilleux=un=pa=ti=ent=é=ten=du=si=pos=si=ble=u=neam=bian=ce=cal=me=u=ne=voix=bas=se=mo=no=cor=de=in=si=nuan=te=fa=ti=gan=te=cel=le=de=lhyp=no=ti=seur=sou=li=gné=vous=al=lez=dor=mir=vous=a=vez=u=ne=en=vie=très=gran=de=de=dor=mir=re=gar=dez=moi=dans=les=yeux=en=mê=me=temps=le=su=jet=fixe=un=ob=jet=brillant=pla=cé=au=des=sus=de=ses=y=eux=à=u=ne=ving=tai=ne=de=cen=ti=mè=tres=en=a=vant=et=la=voix=bas=se=tou=jours=vous=al=lez=dor=mir=vous=a=vez=en=vie=de=dor=mir 141
le=pa=ti=ent=bat=les=pau=pières=il=na=plus=en=vie=de=rien=ni=dou=vrir=ses=pau=pières=lour=des=ni=de=dé=ga=ger=son=cer=veau=de=ve=nu=gourd=et=sans=for=ce=ou=bien=aus=si=les=glo=bes=o=cu=lai=res=sont=com=pri=més=pen=dant=que=la=res=pi=ra=tion=se=fait=pro=fon=de=ryth=mée=len=te=et=la=voix=qui=ai=de=tou=jours=la=voix=chau=de=qui=pé=nè=tre=join=teau=pres=ti=ge=de=lo=pé=ra=teur 97
et=la=sug=ges=tion=hyp=no=ti=que=commen=ce=a=par=tir=de=cet=ins=tant=au=cu=ne=de=vos=dé=man=geai=sons=ne=vous=fe=ra=plus=souf=frir=dès=main=te=nant=vos=bou=tons=vont=gué=rir=vo=tre=ec=zé=ma=va=dis=pa=raî=tre=vous=en=ten=dez=vo=tre=ec=zé=ma=va=gué=rir=vo=tre=peau=se=ra=bel=le=lis=se=par=fai=te=sans=bou=tons=sans=bou=tons 84
et=souvent=lec=zé=ma=gué=rit=et=les=bou=tons=dis=pa=raissent 14
ou=bien=l=hyp=nose=pré=o=pé=ra=toire 10
le=cas=en=mille=neuf=cent=cin=quante=six=de=cet=tean=glai=se=o=pé=rée=sous=hyp=no=se=et=qui=a=dé=frayé=la=chro=nique=le=mé=de=cin=a=vait=tra=cé=sur=lab=do=men=de=la=ma=la=de=un=car=ré=i=ma=gi=nai=re=de=vingt=cen=ti=mètres=la=ma=la=de=dor=mait=sous=som=meil=hyp=no=tique=et=le=mé=de=cin=in=si=nuait=je=vais=in=sen=si=bi=li=ser=vo=tre=ven=tre=len=gour=dis=se=ment=se=fe=ra=à=lin=té=rieur=des=li=mi=tes=que=je=suis=oc=cu=pé=à=tra=cer=a=lin=té=rieur=de=ce=car=ré=vous=ne=sen=ti=rez=rien=vous=ne=sen=ti=rez=au=cu=ne=dou=leur 140
lo=pé=ra=tion=commen=ça=et=se=pra=ti=qua=sans=la=moin=dre=dou=leur 17
lhyp=nose=peut=fai=reap=pa=raî=tre=des=am=pou=les=sur=la=peau=en=sug=gé=rant=que=cet=en=droit=a=é=té=brû=lé=par=sug=ges=tion=hyp=no=ti=que=on=peut=aug=men=ter=ou=di=mi=nuer=les=bat=te=ments=du=cœur=en=sug=gé=rant=que=la=per=son=ne=as=sis=te=à=un=ac=ci=dent=par=exemple=ici=donc=ces=mo=di=fi=ca=tions=car=dia=ques=se=pro=dui=sent=en=dé=clen=chant=u=ne=é=mo=tion=lin=fluen=ce=de=lhyp=no=tis=me=est=gran=de=sur=lap=pa=reil=res=pi=ra=toi=re=con=si=dé=ra=ble=sur=lap=pa=reil=di=ges=tif=lhyp=no=se=a=git=sur=les=mou=ve=ments=et=les=sé=cré=tions=de=les=to=mac=et=des=in=tes=tins=el=le=a=git=é=ga=le=ment=sur=lap=pa=reil=u=ri=nai=re=ac=crois=se=ment=ou=di=mi=nu=ti=on=de=la=quan=ti=té=du=ri=ne=sur=les=fonc=tions=sexuel=les=é=ga=le=ment=il=sem=ble=vrai=quon=puis=se=en=tre=au=tres=re=tar=der=ou=a=van=cer=les=règles=lin=fluen=ce=de=l=hyp=no=se=sur=les=phé=no=mè=nes=va=so=mo=teurs=est=im=mense=sur=la=peau=no=tam=ment=par=ap=pa=ri=ti=on=de=stig=ma=tes=san=glants=et=dam=pou=les=la=peau=est=en=rap=port=in=ti=me=a=vec=le=sys=tè=me=ner=veux=sym=pa=thique 277
que=ce=la=prouve=til=que=les=phé=no=mè=nes=hyp=no=ti=ques=mon=trent=les=rap=ports=très=é=troits=exis=tant=en=tre=les=prit=et=le=corps=jy=re=vien=drai=en=é=tu=diant=lhys=té=rieet=la=mé=de=ci=ne=psy=cho=so=ma=tique=on=se=rend=comp=te=des=pos=si=bi=li=tés=de=l=hyp=no=se=et=lon=com=prend=la=ten=ta=tion=den=fai=re=u=ne=pa=na=cée=u=ni=ver=sel=le 90

comment=se=pré=sen=te=le=som=meil=hyp=no=ti=que 12

lhyp=noseest=un=som=meil=in=com=plet=pro=vo=qué=par=la=sug=ges=tion=hyp=no=ti=que=tan=dis=que=la=nar=co=se=est=le=som=meil=pro=vo=qué=par=des=tech=ni=ques=chi=mi=ques=le=som=meil=hyp=no=ti=que=nest=pas=un=som=meil=to=tal=la=cons=cien=ce=est=en=gour=die=mais=non=ab=sente=le=su=jet=con=ser=ve=la=pos=si=bi=li=té=de=con=cen=tra=ti=on=de=lat=ten=tion=ses=per=cep=tions=sen=so=riel=les=existent=le=to=nus=des=mus=cles=nest=ja=mais=com=plè=te=ment=ab=sent=cest=dailleurs=ce=qui=per=met=à=lhyp=no=ti=sé=de=mar=cher=de=se=le=ver=et=de=gar=der=cer=tai=nes=at=ti=tu=des=qui=se=raient=ter=ri=ble=ment=fa=ti=gan=tes=pour=un=hom=me=nor=mal 160
sup=po=sons=par=exem=ple=que=lon=diseà=un=su=jet=sous=hyp=no=se=quil=lui=est=im=pos=si=ble=de=bou=ger=son=bras=droit=mê=me=sil=le=veut=on=ver=ra 37
un=quil=con=trac=te=les=mus=cles=flé=chis=seurs=pour=plier=le=bras 15
deux=quil=con=trac=te=les=mus=cles=ex=ten=seurs=pour=lem=pê=cher=de=plier=le=bras 19
au=cours=de=lhyp=nose=on=sait=que=le=su=jet=se=mon=treo=béis=sant=sou=li=gné=dans=u=ne=cer=tai=ne=li=mi=te=sou=li=gné=en=vers=lo=pé=ra=teur=il=ré=pond=aux=ques=tions=et=exé=cu=te=cer=tains=ordres=les=or=dres=de=vant=ê=tre=exé=cu=tés=a=près=le=som=meil=hyp=no=ti=que=le=se=ront=sou=vent=mais=on=na=ja=mais=cons=ta=té=un=ac=te=de=ce=gen=re=ac=com=pli=qui=se=rait=en=con=tra=dic=tion=pro=fon=de=a=vec=les=sen=ti=ments=de=mo=ra=li=té=du=sujet 116
est=il=pos=sible=den=dor=mir=u=ne=per=son=ne=con=tre=son=gré 16
lé=po=que=de=char=cot=le=cro=yait=lé=po=que=mo=derne=le=nie=bien=que=ce=la=ne=soit=pas=u=ne=gé=né=ra=li=té=u=ne=per=son=ne=hys=té=ri=queest=hyp=no=ti=sa=ble=au=maxi=mum=ce=qui=ne=si=gni=fie=pas=que=tou=te=per=son=ne=hyp=no=ti=sa=ble=soit=hys=té=ri=que 70
ba=bins=ky=pré=tend 5
un=que=le=sujet=ne=perd=pas=la=mé=moi=re=de=ce=qui=se=pas=sait=du=rant=lhyp=nose 21
deux=que=le=som=meil=lé=thar=gi=que=nest=nul=le=ment=in=cons=cient 16
trois=que=le=sujet=ne=perd=nul=le=ment=tout=con=trô=le=vo=lon=tai=re=et=que=par=con=sé=quent=il=ne=ré=pon=dra=pas=a=veu=glé=ment=à=tous=les=or=dres=de=lo=pé=ra=teur 43
et=ba=bins=ky=a=joute=dans=les=cir=cons=tan=ces=sé=rieu=ses=les=hyp=no=ti=sés=re=de=vien=nent=maî=tres=de=leurs=ac=tions=dans=la=me=su=reoù=ils=le=sont=à=lé=tat=de=vei=lle=cet=te=der=niè=re=ré=flexion=fait=son=ger=à=la=mu=san=te=his=toi=re=ra=con=tée=par=ja=net=lo=pé=ra=teur=qui=pré=sen=tait=u=ne=pa=tien=te=hyp=no=ti=sée=per=mit=à=ses=é=tu=diants=en=mé=de=ci=ne=de=fai=re=des=sug=ges=tions=un=des=é=tu=diants=é=vi=dem=ment=sug=gé=ra=quel=le=ait=à=quit=ter=ses=vê=te=ments=a=ces=mots=lhyp=no=ti=sée=sé=veilla=brus=que=ment=et=sor=tit=en=co=lè=re=sou=li=gné=ce=qui=en=fin=de=comp=te=est=bien=ras=su=rant 160
de=même=il=est=dit=ton=as=sez=in=vrai=sem=bla=ble=que=lon=puis=se=per=sua=der=u=ne=per=son=ne=hyp=no=ti=sée=de=com=met=treun=crime=mais=si=la=per=son=ne=a=en=elle=u=ne=ten=dan=ce=au=cri=me=lex=pé=rien=ce=seu=le=pour=rait=ré=pondre 61

comment=faut=til=con=si=dé=rer=l=hyp=nose 10

aus=si=froide=ment=que=dau=tres=thé=ra=peu=ti=ques=mal=gré=son=ca=rac=tè=reà=pre=miè=re=vue=mer=veilleux=malheu=reu=se=ment=il=est=cer=tain=que=la=croyan=ce=po=pu=lai=re=ac=tuel=le=de=meu=re=cel=le=de=mil=le=hu=it=cent=soixan=te=dix=l=hyp=no=ti=seur=sem=ble=ê=tre=com=me=un=ma=ge=doué=de=pou=voirs=et=qui=tient=en=tre=ses=mains=la=des=ti=née=en=tiè=re=de=son=su=jet=la=ré=a=li=té=est=tout=de=mê=me=un=peu=moins=mi=ra=cu=leu=se=et=se=ba=se=u=ni=que=ment=sur=le=fonc=tion=ne=ment=ner=veux=com=me=nous=le=ver=rons 134
lhyp=nose=peut=ê=treun=a=gent=anes=thé=sique=et=si=de=gran=des=o=pé=ra=tions=fu=rent=ré=a=li=sées=sous=som=meil=hyp=no=ti=que=nou=blions=ja=mais=quel=les=lé=taient=dé=jà=au=xixè=me=siè=cle=et=ren=dons=hom=ma=ge=à=ses=pré=cur=seurs=un=grand=pou=voir=de=lhyp=no=se=est=donc=de=rem=pla=cer=l=anes=thé=sie=chi=mique=mais=on=cons=ta=te=que=dix=pour=cent=din=di=vi=dus=seu=le=ment=peu=vent=ê=tre=pla=cés=dans=cet=te=ma=ni=fes=ta=tion=hyp=no=ti=que=ce=qui=ré=duit=dé=jà=sin=gu=liè=re=ment=les=pos=si=bi=li=tés=pra=tiques 131
autre=pou=voir=ca=pi=tal=la=sug=ges=tion=hyp=no=ti=que=qui=peut=é=vi=ter=les=dou=leurs=post=o=pé=ra=toi=res=pan=se=ments=èt=cé=té=ra 35

quel=est=le=pou=voir=de=lhyp=noseau=point=de=vue=psy=cho=lo=gi=que 16

un=dans=les=ma=la=dies=men=tales=il=sem=ble=quau=cun=ré=sul=tat=po=si=tif=nait=é=té=ob=te=nu=beau=coup=da=lié=nés=sont=re=bel=les=à=lhyp=no=se=cel=le=ci=pro=duit=sou=vent=chez=eux=des=ré=ac=tions=dé=li=rantes 54
deux=en=psy=cho=lo=gie=de=s=pec=ta=cu=laires=faux=suc=cès=peu=vent=ê=treob=te=nus=il=sem=blait=très=lo=gi=que=de=pou=voir=par=hyp=no=se=dé=li=vrer=des=i=dées=fixes=des=pho=bies=du=bé=gaie=ment=des=ob=ses=sions 53
et=lon=cons=tate=sou=vent=en=ef=fet=que=cer=tains=trou=bles=dis=pa=rais=sent=ra=pi=de=ment=les=symp=tô=mes=sen=vont=ce=pen=dant=les=ré=sul=tats=ne=sont=nul=le=ment=per=ma=nents=pour=quoi=par=ce=que=la=ten=dan=ce=pro=fon=de=de=meure 57
or=les=symp=tômes=sont=pro=duits=par=cet=te=ten=dan=ce=pro=fon=de=et=si=un=symp=tô=me=dis=pa=raît=il=y=a=beau=coup=de=chan=ces=pour=quun=au=tre=pren=ne=sa=place=fai=tes=dis=pa=raî=tre=ce=deuxiè=me=et=un=troi=siè=me=ris=que=dap=pa=raî=tre=ce=qui=mon=tre=que=la=ten=dan=ce=ma=la=di=ve=nest=nul=le=ment=é=li=mi=née=par=lhyp=no=tisme 86
et=ce=se=ra=la=fa=meuse=suc=ces=sion=des=symp=tô=mes=ve=nant=de=la=mê=me=cau=se=tou=jours=vi=van=teen=pro=fon=deur=dont=lhys=té=rie=est=un=exem=ple=frap=pant 40
car=si=lon=veut=tuer=lorvet=point=ne=suf=fit=de=lui=cou=per=la=queue 16

la=né=vro=se 4

nou=blions=pas=ce=ci=la=né=vrose=se=pré=sen=te=sou=vent=com=meun=mé=ca=nis=me=de=sé=cu=ri=té=in=té=rieu=re=un=né=vro=sé=est=u=ne=per=son=ne=qui=sest=ré=fu=gi=ée=dans=la=né=vro=se=pour=y=trou=ver=la=sé=cu=ri=té=men=tale=donc=puis=quel=le=y=trou=ve=la=sé=cu=ri=té=il=va=de=soi=que=la=né=vro=se=elle=mê=me=lui=est=in=cons=ciem=ment=ou=cons=ciem=ment=né=ces=saire=en=gé=né=ral=u=ne=per=son=ne=ne=se=plaint=pas=de=sa=né=vrose=el=le=se=plaint=de=ce=qui=la=fait=souf=frir=or=ce=qui=la=fait=souf=frir=nest=pas=la=né=vro=se=el=le=mê=me=qui=de=vient=in=cons=ciente=mais=cet=te=né=vro=se=pro=duit=des=symp=tô=mes=ces=symp=tô=mes=sont=dou=lou=reux=et=ce=sont=eux=que=la=per=son=ne=dé=si=re=é=li=mi=ner 185
voi=ci=un=exem=ple=simple=un=per=fec=tion=niste 11
sup=po=sons=que=ce=per=fec=tion=niste=souf=fre=de=sa=so=li=tu=de=de=son=a=ban=don=de=son=é=mo=ti=vi=té=de=sa=ti=mi=di=té=il=dé=si=re=ra=donc=gué=rir=de=cet=teé=mo=ti=vi=té=de=cet=te=so=li=tu=de=de=cet=te=ti=mi=di=té=qui=sont=des=symp=tômes=mais=dé=si=re=ra=til=gué=rir=de=sa=né=vro=se=pro=fon=de=son=per=fec=ti=on=nis=me=non=puis=que=ce=per=fec=ti=on=nis=me=est=pour=lui=u=ne=sé=cu=ri=té 111
on=voit=donc=dans=un=cas=de=ce=genre=que=lhyp=no=tis=meest=i=no=pé=rant=la=vo=lon=té=de=l=hyp=no=ti=seur=en=tre=rait=en=con=flit=a=vec=la=vo=lon=té=pro=fon=de=de=l=hyp=no=ti=sé=et=au=cun=ré=sul=tat=ne=se=rait=at=teint=ici=seu=le=pour=rait=a=gir=u=ne=psy=cho=thé=ra=pie=en=pro=fon=deur=ra=me=nons=donc=l=hyp=no=se=à=sa=jus=te=va=leur=qui=est=tout=de=mê=me=bien=grande 100

char=cot=de=la=sal=pé=tri=è=re 9

a=vec=le=profes=seur=char=cot=mille=hu=it=cent=vingt=cinq=mil=le=neuf=cent=trei=ze=neu=ro=lo=gueà=lhô=pi=tal=de=la=sal=pé=triè=re=lé=tu=de=de=l=hyp=no=tis=me=en=tre=dans=la=pha=se=di=sons=of=fi=cielle=mieux=s=cien=ti=fique=char=cot=qui=soc=cu=pait=des=ma=la=dies=du=sys=tè=me=ner=veux=se=ren=dait=comp=te=de=la=très=gran=de=im=por=tan=ce=de=l=hyp=no=tis=me=tou=jours=prô=né=ou=re=je=té=a=vec=la=mê=me=pas=sion 108
or=char=cot=é=tait=neu=ro=lo=gue=et=non=psy=chiatre=en=neu=ro=lo=gue=il=soc=cu=pait=de=la=phy=sio=lo=gie=de=lhyp=no=ti=sé=de=ses=mouve=ments=et=de=ses=ré=flexes=tout=ce=la=le=lais=sait=pas=ser=à=cô=té=des=phé=no=mè=nes=psy=cho=lo=giques=dan=ger=de=la=s=pé=cia=li=sa=tion 72
il=faut=no=ter=que=char=cot=na=ja=mais=hyp=no=ti=sé=per=sonne=et=nous=pou=vons=li=ma=gi=ner=ar=ri=vant=dans=une=sal=le=où=les=é=lè=ves=lui=pré=sen=taient=la=per=son=ne=hyp=no=ti=sée 48
mal=gré=tout=char=cot=a=vait=rai=son=trou=vant=que=les=phé=no=mènes=psy=cho=lo=gi=ques=é=taient=du=neé=tu=de=dé=li=ca=te=il=dé=si=rait=a=vant=tout=con=naî=tre=les=ca=rac=tè=res=phy=si=ques=de=cet=é=tat=a=nor=mal=a=fin=de=les=re=con=naî=tre=par=des=si=gnes=ne=prê=tant=à=au=cu=ne=si=mu=la=tion=ré=pé=tons=donc=que=char=cot=se=mit=a=vant=tout=à=lé=tu=de=des=mou=ve=ments=et=des=ré=flexes=des=per=son=nes=sous=som=meil=hyp=no=tique 113
le=grand=char=cot=entre=prit=donc=u=neé=tu=de=phy=sio=lo=gi=que=de=lhyp=no=tisme=or=il=se=pas=sa=ce=ci=sou=li=gné=lé=co=le=de=la=sal=pé=triè=re=se=four=nis=sait=u=ni=que=ment=de=fem=mes=hys=té=ri=ques=fa=ci=le=ment=hyp=no=ti=sa=bles=sur=les=quel=les=é=taient=fai=tes=les=ob=ser=va=tions=et=char=cot=pas=sa=du=par=ti=cu=lier=au=gé=né=ral=a=vec=un=peu=trop=de=fa=ci=li=té=il=dé=cla=ra=que=seu=les=les=ma=la=des=de=ce=gen=re=é=taient=sus=cep=ti=bles=dê=tre=hyp=no=ti=sées=pour=lui=les=phé=no=mè=nes=hyp=no=ti=ques=é=taient=des=phé=no=mè=nes=a=nor=maux 148

bern=heim=ou=la=dé=cla=ra=tion=de=guerre 10

bern=heim=de=lé=cole=de=nan=cy=né=tait=pas=dac=cord=du=tout=et=ne=se=gê=na=nul=le=ment=pour=le=dire 26
seuls=les=ma=lades=sont=hyp=no=ti=sa=bles=pas=du=tout=ré=pli=qua=bern=heim=lhyp=no=tis=meest=un=phé=no=mè=ne=tout=à=fait=nor=mal=et=la=plu=part=des=gens=sont=hyp=no=ti=sables 43
voi=ci=ce=quil=dé=clare=ce=quon=ap=pel=le=hyp=no=tis=me=nest=au=tre=cho=se=que=la=mi=seen=ac=ti=vi=té=du=ne=pro=prié=té=nor=ma=le=du=cer=veau=la=sug=ges=ti=bi=li=té=cest=à=di=re=lap=ti=tu=de=à=ê=tre=in=fluen=cé=sans=dis=cus=sion=par=u=ne=i=dée=il=ny=a=pas=dhyp=no=tis=me=je=veux=di=re=quil=ny=a=pas=dé=tat=s=pé=cial=a=nor=mal=mé=ri=tant=ce=nom=il=ny=a=que=des=su=jets=plus=ou=moins=sug=ges=ti=bles=aux=quels=peu=vent=ê=tre=sug=gé=rés=des=i=dées=des=é=mo=tions=des=ac=tes=des=hal=lu=ci=na=tions 137
que=peut=ton=con=clure=que=la=pos=si=bi=li=té=dê=tre=hyp=no=ti=sé=est=con=di=tion=née=par=lé=tat=or=ga=ni=que=du=mo=ment=et=que=les=phé=no=mè=nes=de=lhyp=no=se=sont=dus=à=u=ne=cau=se=psy=chi=que=la=sug=ges=ti=bi=li=té=que=nous=ver=rons=un=peu=plus=loin 69

ba=bins=ky=l=hom=me=qui=con=clut 9

jose=ph=ba=bins=ky=mille=hu=it=cent=cin=quan=te=sept=mil=le=neuf=cent=tren=te=deux=con=fir=ma=les=vues=de=bern=heim=pour=lui=lhyp=no=tis=meest=u=ne=sug=ges=tion=ren=for=cée=par=un=é=tat=de=non=con=trôle=il=con=si=dè=re=donc=l=hyp=no=tis=me=com=me=un=é=tat=psy=chi=que=ren=dant=le=su=jet=qui=sy=trou=ve=ca=pa=ble=de=su=bir=les=sug=ges=tions=dau=trui=sau=tant=a=lors=dans=l=hys=té=rie=il=la=con=si=dè=re=non=pas=com=me=u=ne=ma=la=die=or=ga=ni=que=mais=com=me=un=é=tat=psy=chi=que=ren=dant=le=su=jet=qui=sy=trou=ve=ca=pa=ble=de=sau=to=sug=ges=tion=ner=et=dê=tre=fa=ci=le=ment=sug=ges=ti=on=né=par=au=trui 161

la=sug=ges=ti=on=é=mo=ti=ve 9

la=cour=das=sises=est=as=sem=blée=u=ne=tê=te=dhom=me=se=ra=joué=dans=un=ins=tant=la=vo=cat=de=la=dé=fen=se=dé=ploie=man=ches=et=ef=fets=o=ra=toires=epui=sés=bom=bar=dés=dar=gu=ments=les=ju=rés=é=coutent=na=ton=pas=fait=ap=pel=à=leur=rai=son=à=leur=ver=tu=à=leur=in=té=gri=té=d=hom=mes=et=la=vo=cat=par=le=ten=tant=de=per=sua=der=ces=juges 89
brus=que=ment=le=plai=deur=en=vi=sage=len=fan=ce=de=lac=cu=sé=pè=re=i=vro=gne=mè=re=i=vro=gne=dis=pu=tes=mi=sè=re=ba=tailles=et=la=vo=cat=crie=son=gez=à=cet=teen=fan=ce=a=tro=ce=mes=sieurs=les=ju=rés=et=ac=quit=tez=un=ju=ré=a=pâ=li=com=me=u=ne=flè=che=ce=com=man=de=ment=le=frap=pe=non=plus=dans=sa=rai=son=mais=en=plein=cen=tre=de=son=é=mo=tion=car=ce=ju=ré=se=rap=pel=le=lui=aus=si=son=pè=re=bu=veur=sa=mè=re=ab=sen=te=sa=mi=sè=re=son=en=fan=ce=malheu=reuse=la=pa=ro=le=de=la=vo=cat=le=pé=nè=tre=pro=fon=dément 141
cen=est=fait=de=vant=ce=ju=ré=la=vo=cat=a=ga=gné=le=rai=sonne=ment=et=la=per=sua=sion=ont=cé=dé=le=pas=à=lé=mo=tion=et=lim=pul=sion=qui=en=dé=cou=le=res=te=maî=tres=se=du=ter=rain=de=ce=ju=ré=vien=dra=un=ac=quit=te=ment=ou=u=ne=ré=duc=tion=de=pei=ne=où=la=lo=gi=queet=la=rai=son=bat=taient=de=lai=le=la=sug=ges=ti=on=é=mo=ti=ve=em=por=tait=la=ba=taille 97
et=cette=puis=san=ce=de=la=sug=ges=tion=les=me=neurs=de=fou=les=la=con=nais=sent=bien=el=le=la=sa=vait=bien=aus=si=cet=te=le=ni=rie=fens=tahl=ci=né=as=te=du=troi=siè=me=rei=ch=al=le=mand=qui=met=tait=en=s=cè=ne=les=en=trées=de=hit=ler=aux=for=mi=da=bles=fê=tes=du=par=tei=tag=plus=de=cent=mille=hom=mes=ran=gés=des=mil=liers=de=dra=peaux=les=clo=ches=de=nu=rem=berg=son=nant=u=nea=rè=ne=de=pier=re=et=de=mar=bre=u=ne=ou=ver=tu=re=pro=lon=gée=par=la=gran=de=fo=rêt=et=dans=cet=te=ou=ver=tu=re=vé=gé=ta=le=hit=ler=qui=a=van=ce=tout=seul=sans=gar=des=tan=dis=que=les=chants=re=ten=tis=sent=et=quau=loin=rou=le=le=ca=non=théâ=tral=bien=sûr=mais=sur=tout=sug=ges=tif=par=u=ne=é=mo=tion=puis=sante 180
car=à=ce=moment=un=seul=or=dre=sug=ges=tif=au=rait=pu=em=por=ter=cet=te=ma=rée=hu=mai=ne=com=meun=torrent 27
et=les=dé=fi=lés=mi=li=taires=ca=den=cés=com=meun=bal=let=brillants=piaf=fants=cet=te=mu=si=que=qui=son=ne=ces=tim=ba=les=qui=rou=lent=et=qui=font=pen=ser=au=plus=an=ti=mi=li=ta=ris=te=ce=la=me=fait=quel=que=cho=se=sug=ges=tion=é=mo=ti=ve=en=core 64

quest=ce=que=la=sug=ges=ti=on 8

il=ne=faut=pas=con=fondre=sug=ges=tion=et=per=sua=sion 13
si=je=chercheà=vous=per=sua=der=je=ma=dres=se=rai=à=vo=tre=rai=son=jes=saie=rai=dob=te=nir=vo=tre=adhé=sion=vo=lon=tai=re=et=cons=ciente=vous=se=rez=per=sua=dé=si=vous=re=con=nais=sez=que=jai=rai=son=et=vous=don=ne=rez=vo=tre=as=sen=ti=ment=à=mes=ar=guments 65
si=je=chercheà=vous=sug=ges=tion=ner=jem=ploie=rai=un=pro=cé=dé=en=tiè=re=ment=dif=fé=rent=je=de=vrai=ma=dres=ser=à=vo=tre=sug=ges=ti=bi=li=té=ce=qui=sem=ble=ê=tre=u=ne=la=pa=lis=sade=pour=ce=la=je=de=vrai=pas=ser=ou=tre=vo=tre=cons=cient=et=vo=tre=rai=son=et=tou=cher=vos=cen=tres=ner=veux=in=cons=cients=ce=qui=exi=ge=donc=des=cir=cons=tan=ces=par=ti=cu=liè=res=puis=que=la=rai=son=et=la=vo=lon=té=doi=vent=dis=pa=raî=tre=dans=u=ne=me=su=re=plus=ou=moins=grande=on=est=donc=sug=ges=ti=on=né=quand=la=pos=si=bi=li=té=de=ré=sis=tan=ce=vo=lon=tai=re=nexis=te=plus 147

quest=ce=que=la=sug=ges=ti=bi=li=té 10

cest=une=dis=po=si=tion=men=ta=le=qui=per=met=do=béir=trop=fa=ci=le=ment=et=sans=dis=cus=sion=aux=or=dres=don=nés 29
cette=dis=po=si=tion=peut=se=pré=sen=ter=dans=de=nom=breux=cas 15
un=la=sug=ges=ti=bi=li=té=peut=prove=nir=de=la=naï=ve=té=et=de=la=cré=du=li=té=ce=sont=les=per=son=nes=qui=a=va=lent=tout=mais=ce=nest=pas=de=la=sug=ges=ti=bi=li=té=pro=pre=ment=dite 50
deux=la=sug=ges=ti=bi=li=té=se=ma=nifes=te=dans=cer=tains=dé=sor=dres=pas=sa=gers=la=gran=de=fa=ti=gue=lé=pui=se=ment=ner=veux=tous=les=dé=sor=dres=é=mo=tifs=fai=sant=per=dre=le=con=trô=le=de=soi=on=con=naît=les=pa=ni=ques=col=lec=ti=ves=dans=lhy=per=é=mo=ti=vi=té=com=me=le=ju=ré=qui=é=tait=en=pre=mier=lieu=per=sua=dé=puis=qui=de=vient=sug=ges=tion=né=le=plus=haut=de=gré=de=la=sug=ges=ti=bi=li=té=se=ren=con=tre=dans=l=hys=té=rie 115

en=ré=su=mé 4
un=la=per=sua=sion=el=le=se=fait=à=la=suite=du=ne=dis=cus=sion=cons=ciente=au=trui=est=a=lors=con=vain=cu=vo=lon=tai=re=ment 32
deux=la=sug=ges=tion=el=leest=un=fait=ac=cep=té=par=au=trui=sans=rai=sonne=ment=ni=dis=cus=sion=ce=fait=est=im=mé=dia=te=ment=con=si=dé=ré=com=me=u=ne=vé=ri=té=la=sug=ges=tion=sa=dres=se=à=lin=cons=cient=com=me=dans=la=sug=ges=ti=on=hyp=no=ti=que=que=nous=é=tu=die=rons 71

exem=ple=de=sug=ges=ti=on 7
un=de=vos=a=mis=est=as=sis=dans=le=fau=teuil=du=den=tisteet=su=bit=un=frai=sa=ge=sé=rieux=il=se=peut=que=vous=res=sen=tiez=brus=que=ment=u=ne=dou=leur=soit=à=lu=ne=de=vos=dents=soit=ailleurs=a=ce=mo=ment=vous=souf=frez=donc=sans=quau=cu=ne=lé=sion=ne=jus=ti=fie=cet=te=souf=france=on=vous=di=ra=i=ma=gi=na=tion=a=lors=que=vous=souf=frez=réel=le=ment=on=soup=çon=ne=im=mé=dia=te=ment=que=le=sys=tè=me=ner=veux=doit=y=ê=tre=pour=quel=que=chose=nous=le=ver=rons 115
dautre=part=la=sug=ges=tion=cor=res=pond=sou=vent=à=u=ne=i=dée=se=trou=vant=en=pro=fon=deur=chez=lin=di=vi=du=voyez=ce=ti=mi=de=sor=tant=du=ne=sal=leoù=pas=se=un=film=de=dou=glas=fair=banks=il=est=fair=banks=il=se=sent=lé=ger=dé=sin=vol=te=il=re=gar=de=har=diment 67
cet=hommeest=sug=ges=tion=né=et=fair=banks=a=ré=veillé=en=lui=un=sen=ti=ment=in=cons=cient=le=sen=ti=ment=de=la=for=ce=quil=dé=si=re=en=con=tre=par=tie=de=sa=fai=bles=se=de=ti=mide=la=sug=ges=ti=on=est=donc=u=ne=i=dée=in=tro=dui=te=dans=le=cer=veau=et=ac=cep=tée=par=lui=el=le=vi=se=à=créer=u=ne=im=pul=sion=non=cons=cien=te=doù=dé=cou=le=ra=lac=ti=on=ou=lé=tat=y=cor=res=pon=dant 102

les=con=di=tions=de=la=sug=ges=ti=on 10

si=la=sug=ges=tion=est=une=cho=se=par=ti=cu=liè=re=les=con=di=tions=doi=vent=lê=treé=ga=le=ment=et=ce=nest=que=dans=ces=con=di=tions=que=la=sug=ges=ti=on=pour=ra=se=ré=a=li=ser 47

un=la=sug=ges=tion=re=la=tive=ment=nor=male 11

je=rap=pel=le=le=ti=mide=sor=tant=du=s=pec=tacle=il=dé=si=re=de=la=for=ce=par=ce=quil=se=sent=faible=ce=dé=sir=se=trou=ve=donc=au=fond=de=lui=mê=me=fair=banks=a=til=sug=ges=tion=né=ce=ti=mi=de=non=il=na=fait=que=dé=clen=cher=le=mé=ca=nis=me=et=lau=to=sug=ges=ti=on=du=ti=mi=dea=fait=le=reste=le=dé=sir=est=de=ve=nu=u=ne=croyan=ce=tem=po=rai=re=qui=pro=duit=des=ac=tions=dé=mar=che=re=gard=voix=ges=tes=èt=cé=té=ra 112
condi=tion=n=de=gré=un=la=sug=ges=ti=on=nor=male=doit=cor=res=pon=dreà=un=sen=ti=ment=se=trou=vant=dé=jà=dans=lin=cons=cient=du=su=jet=et=pou=vant=pro=dui=re=lim=pul=sion 43
condi=tion=n=de=gré=deux=il=faut=que=le=re=fus=de=la=sug=ges=ti=on=ne=se=fasse=pas=cas=cou=rants=fa=ti=gue=é=mo=tions=ti=mi=di=té=trac=dé=pres=sion=pa=ni=que=èt=cé=té=ra=ain=si=la=ré=sis=tan=ce=men=ta=le=di=mi=nue=et=le=sug=ges=ti=on=neur=a=git=fa=ci=le=ment=par=exem=ple=si=on=dit=à=un=hy=per=é=mo=tif=en=plei=ne=cri=se=de=trac=mon=dieu=que=tu=sem=bles=mal=à=lai=seet=que=tu=es=pâ=le=cet=te=sug=ges=ti=on=ne=ren=con=tre=ra=au=cu=ne=ré=sis=tance=de=plus=el=le=tou=che=un=sen=ti=ment=se=trou=vant=dé=jà=dans=le=su=jet=et=la=pa=ni=que=se=dé=clen=che=im=mé=dia=te=ment 157
que=fait=donc=le=sug=ges=tion=neur=il=ti=sonne=il=ac=ti=ve=il=pous=se=li=dée=in=cons=ciente=le=su=jet=pas=sea=lors=à=lau=to=sug=ges=tion=on=voit=donc=que=la=sug=ges=ti=on=est=dif=fi=ci=le=ou=im=pos=si=ble=si=le=su=jet=est=en=pos=ses=sion=de=tous=ses=moyens=il=dis=cu=te=ra=rai=son=ne=ra=èt=cé=té=ra=et=nous=re=tom=bons=dans=la=per=sua=sion=la=sug=ges=ti=on=nor=ma=le=a=donc=des=ef=fets=tem=po=rai=res=par=ce=quel=le=dé=pend=dun=é=tat=tem=po=rai=re=ment=dé=fi=cient 124

deux=la=sug=ges=ti=on=pa=tho=lo=gique 10

voi=ci=un=cas=pris=dans=les=in=nom=brables=ob=ser=va=tions=de=janet 16
irène=jeu=ne=fem=me=de=vingt=et=un=ans=tom=ba=gra=ve=ment=ma=la=deà=la=sui=te=de=la=mort=de=sa=mère=el=le=re=fu=sait=de=boi=re=leau=du=ro=bi=net=par=ce=quel=le=pré=ten=dait=que=ce=ro=bi=net=ne=dé=bi=tait=pas=de=leau=mais=du=sang=rouge=quand=a=vait=com=men=cé=cet=te=au=to=sug=ges=tion=cet=te=hal=lu=ci=na=tion=quand=i=rè=ne=a=vait=vu=un=jour=cou=ler=leau=gout=te=à=gout=te=com=me=le=sang=des=lè=vres=de=sa=mè=re 111
lau=to=sug=ges=tion=di=rèneest=de=ve=nue=u=ne=i=dée=fixe=li=dée=fixe=est=u=ne=au=to=sug=ges=ti=on=pous=sée=au=maxi=mum=lhyp=no=tis=me=est=le=ter=rain=i=dé=al=pour=im=plan=ter=u=ne=i=dée=fixe=dans=le=cer=veau=de=quel=quun=voi=ci=u=ne=ex=pé=rien=ce=ba=na=le=dhyp=no=tisme 73
une=per=son=neest=en=dor=mie=on=lui=sug=gè=re=sous=hyp=no=se=que=le=ver=re=quel=le=tient=en=mains=est=rem=pli=deau=très=sa=lée=puis=on=la=ré=vei=lle=el=le=boit=cet=te=eau=qui=est=ab=so=lu=ment=pu=re=et=la=cra=che=im=mé=dia=te=ment=a=vec=les=si=gnes=du=plus=pro=fond=dé=goût=el=le=dé=cla=re=que=leau=est=af=freu=se=ment=sa=lée=et=rien=au=cun=rai=son=ne=ment=au=cu=ne=dé=mons=tra=tion=ne=pour=ront=la=con=vain=cre=du=con=traire=pour=ce=fai=re=il=fau=drait=len=dor=mir=à=nou=veau=et=o=pé=rer=la=sug=ges=ti=on=in=verse 135
cette=per=son=nea=donc=par=hyp=no=se=é=té=at=tein=te=di=dée=fixe=leau=est=sa=lée=la=sug=ges=tion=est=ve=nue=de=lhyp=no=ti=seur=el=le=est=de=ve=nue=u=ne=con=vic=ti=on=ab=so=lue=chez=l=hyp=no=ti=sé=puis=u=ne=au=to=sug=ges=ti=on=et=u=ne=i=dée=fixe=je=ré=pè=te=quil=y=a=dans=tous=ces=pro=cé=dés=un=mé=ca=nis=me=pu=re=ment=ner=veux=que=nous=exa=mi=ne=rons=en=son=temps=la=sug=ges=ti=on=nest=pas=un=mi=ra=cle=et=dès=que=lon=com=prend=le=pro=cé=dé=ner=veux=le=mys=tè=re=af=fo=lant=dis=pa=raît 134

quest=ce=que=li=dée=fi=xe 7

on=peut=la=con=si=dé=rer=commeu=ne=i=dée=vi=vant=en=pa=ra=si=te=dans=le=psy=chis=me=hu=main=cet=te=i=dée=pa=ra=si=te=pos=sè=de=suf=fi=sam=ment=de=puis=san=ce=et=de=cons=tan=ce=pour=é=li=mi=ner=tou=tes=les=autres=au=cun=rai=son=ne=ment=au=cu=ne=dis=cus=sion=ne=pour=ront=é=li=mi=ner=u=ne=i=dée=fixe=qui=se=mon=tre=com=me=un=roc=i=né=bran=lable 94
il=existe=des=milliers=di=dées=fixes=al=lant=de=la=nor=mal=lé=ger=au=pa=tho=lo=gi=que=ex=trême=el=les=peu=vent=im=po=ser=leur=pré=sen=ce=pen=dant=un=temps=court=long=ou=très=long=pen=dant=tou=te=la=vie=par=fois=pour=le=plus=grand=malheur=de=len=tou=rage=des=mil=liers=di=dées=fixes=peu=vent=donc=sim=plan=ter=dans=un=cer=veau=hu=main=ici=é=ga=le=ment=le=pa=tho=lo=gi=que=nest=que=lexa=gé=ra=tion=du=nor=mal=en=pro=fon=deur=et=en=du=rée 106

les=i=dées=fixes=con=si=dé=rées=comme=nor=males 11

pre=nons=trois=exem=ples 5
un=un=sa=vant=mar=che=et=un=pro=blème=le=han=te=ce=pro=blè=me=la=en=va=hi=tout=en=tier=qui=sé=ton=ne=ra=de=voir=ce=sa=vant=pren=dreu=ne=craie=pour=é=cri=re=in=cons=ciem=ment=sur=u=ne=au=to=mo=bile=à=lar=rêt=qui=sé=ton=ne=ra=de=sa=to=ta=le=dis=trac=tion=ce=sa=vant=à=ce=mo=ment=est=en=proie=à=u=ne=i=dée=fixe=son=pro=blè=me=mais=cet=te=i=dée=est=tem=po=rai=re=el=le=du=re=ra=jus=quà=la=ré=so=lu=tion=de=la=dif=fi=cul=té=ou=jus=quà=ce=quu=ne=voi=tu=re=s=top=pant=net=à=dix=cen=ti=mè=tres=de=lui=ne=le=ré=vei=lle=de=ce=son=ge=é=veillé 149
deux=un=ar=tiste=pos=sé=dé=par=son=oeu=vreen=ges=ta=tion=ne=sa=chant=et=ne=voyant=quel=le=i=dée=fixe=é=ga=le=ment=ar=tis=ti=que=et=a=gré=a=ble=soit=mais=i=dée=fixe=tout=de=même 46
trois=cet=homme=ob=sé=dé=par=des=en=nuis=mé=na=gers=com=met=tant=fau=te=sur=fau=te=dans=son=tra=vail=em=pi=lant=les=er=reurs=i=dée=fixe=é=ga=le=ment=tem=po=rai=re=dé=sa=gré=a=bleet=é=pui=sante 50

les=i=dées=fixes=con=si=dé=rées=commea=nor=males 11

dans=le=mondeac=tuel=fa=ti=gué=é=mo=tif=des=di=zai=nes=de=milliers=dê=tres=hu=mains=cou=chés=pour=la=nuit=se=re=lèvent=ils=vé=ri=fient=la=fer=me=tu=re=du=ro=bi=net=de=gaz=ils=se=re=couchent=puis=un=dou=te=ap=pa=raît=ai=je=bien=fer=mé=le=ro=bi=net=et=la=rai=son=ré=pond=oui=tu=las=fer=mé=mais=laf=fec=ti=vi=té=in=cons=cien=te=con=ti=nue=de=dou=ter=et=cest=plus=fort=queux=ils=se=re=lèvent=vé=ri=fient=à=nou=veau=se=re=couchent=on=pour=rait=croi=re=que=deux=ou=trois=vé=ri=fi=ca=tions=con=vain=cront=leur=af=fec=ti=vi=té=il=nen=est=rien=ils=se=re=lè=vent=en=co=re=de=plus=en=plus=fa=ti=gués=et=de=moins=en=moins=ca=pa=bles=de=lut=ter=con=tre=cet=te=i=dée=fixe=quils=re=con=nais=sent=com=me=ab=sur=de=mais=con=tre=la=quel=le=tout=leur=rai=son=ne=ment=ne=peut=rien=jai=don=né=i=ci=un=exem=ple=di=dée=fixe=lé=gè=re=sou=vent=li=ée=à=u=ne=dé=fi=cien=ce=pas=sa=gè=re=à=un=sur=me=na=ge=à=u=ne=an=xié=té=mais=cest=u=ne=i=dée=fixe=tout=de=mê=me=qui=est=le=symp=tô=me=dun=é=tat=ma=la=dif 257
je=vou=drais=vous=présen=ter=dau=tres=i=dées=fixes=mais=elles=exis=tent=en=trop=grand=nombre=il=faut=bien=com=pren=dre=quil=y=en=a=u=ne=gam=meim=men=se=al=lant=du=bé=nin=au=très=gra=ve=du=tem=po=rai=re=au=du=rable=de=tou=te=fa=çon=li=dée=fixe=est=tou=jours=pro=dui=te=par=un=mé=ca=nis=me=in=cons=cient 75
quel=les=sont=les=i=dées=fixes=les=plus=cou=rantes=sou=li=gné=tou=tes=les=ob=ses=sions=sou=li=gné=tou=tes=les=pho=bies=et=dieu=sait=sil=y=en=a=sou=li=gné=la=plu=part=des=an=goisses=sou=li=gné=les=pe=ti=tes=ma=nies=les=gran=des=ma=nies=su=per=fi=ciel=les=ou=pro=fondes=sou=li=gné=les=tics=tant=quils=de=meu=rent=in=cons=cients=et=ma=chi=naux=sou=li=gné=lob=ses=sion=de=de=ve=nir=fou=si=cou=rante=sou=li=gné=lob=ses=sion=de=tom=ber=dans=la=rue=èt=cé=té=ra=èt=cé=té=ra 117
et=lon=peut=se=de=man=der=si=notre=bel=leé=po=que=bour=rée=de=fa=ti=gues=de=re=fou=le=ments=et=dé=mo=tions=é=ner=van=tes=nest=pas=le=bouillon=de=cul=tu=re=i=dé=al=des=gran=des=i=dées=fixes=dont=je=ne=sou=hai=te=à=per=son=ne=dê=tre=at=teint=mal=gré=la=gué=ri=son=pos=sible 71

lin=hi=bi=ti=on=dans=li=dée=fi=xe 10

le=sa=vant=concen=tré=sur=son=pro=blè=me=pas=se=pour=dis=trait=pour=tant=il=nest=pas=dis=trait=il=est=in=hi=bé=jai=par=lé=dé=jà=de=lin=hi=bi=tion=dans=la=fa=ti=gueet=la=ti=mi=di=té=si=le=sa=vant=ne=re=mar=que=rien=cest=par=ce=quil=est=ner=veu=se=ment=in=ca=pa=ble=de=voir=ou=en=ten=dre=au=tre=cho=se=que=ce=qui=le=préoc=cupe=pour=quoi=dans=son=cer=veau=tous=les=cen=tres=ner=veux=qui=ne=tra=vaillent=pas=pour=le=pro=blè=me=du=mo=ment=sont=blo=qués 113
dans=li=dée=fixe=les=cel=lules=blo=quées=ne=peu=vent=é=vi=dem=ment=pré=sen=ter=les=fluc=tua=tions=né=ces=sai=res=et=les=mes=sa=ges=ex=té=rieurs=ne=dé=clen=chent=plus=au=cu=ne=ré=ac=tion 46
par=exem=ple=pour=ce=sa=vant=ob=sé=dé=une=voi=tu=rear=ri=vant=sur=lui=en=k=laxon=nant=ne=se=ra=pas=per=çue=par=son=cer=veau=par=ce=que=li=dée=fixe=blo=que=les=au=tres=cel=lu=les=ner=veu=ses=qui=au=raient=nor=ma=le=ment=ré=a=gi=à=lau=to=ou=à=au=tre=chose 67
et=lon=voit=ain=si=com=bien=la=dis=po=ni=bi=li=té=de=les=prit=sans=o=pi=nion=an=crée=sans=obs=ti=na=tion=sans=en=tête=ment=est=u=ne=bel=leet=sain=te=cho=se 41

comment=sim=plan=te=li=dée=fixe=pa=tho=lo=gi=que 12

au=cours=dune=jour=née=or=di=nai=re=cha=cun=est=bom=bar=dé=dar=gu=men=ta=tions=din=si=nua=tions=de=sug=ges=tions=de=tou=tes=sortes=alors=pour=quoi=na=vons=nous=pas=tous=des=i=dées=fixes=je=dois=à=nou=veau=é=ta=blir=u=ne=dif=fé=ren=ceentre 58
un=li=dée=pré=do=mi=nante=du=mo=ment 10
et 1
deux=li=dée=fixe=propre=ment=di=te=pa=tho=lo=gi=que 13
si=li=dée=fixe=sins=tal=le=cest=que=quel=que=chose=dans=lé=tat=du=su=jet=lui=per=met=de=le=faire 24
deux=con=di=ti=ons=en=trent=en=jeu 9
a=la=sug=ges=ti=on 6
b=lé=tat=phy=si=queet=men=tal=du=sujet=au=mo=ment=où=il=re=çoit=cet=te=sug=ges=tion 22
pour=ap=pa=raître=li=dée=fixe=de=man=deu=ne=dé=via=tion=de=lé=qui=li=bre=ha=bi=tuel=du=cer=veau=soit=par=pré=dis=po=si=tion=sur=me=na=ge=in=ten=sif=in=fec=tions=é=mo=tions=èt=cé=té=ra=mais=elle=sim=plan=te=sur=tout=je=le=ré=pè=te=quand=el=le=exa=gè=re=un=fac=teur=af=fec=tif=préexis=tant=je=re=prends=en=co=re=lexem=ple=du=ti=mi=de=sor=tant=du=ci=né=ma=la=sug=ges=ti=on=o=pé=rée=par=le=film=est=de=ve=nue=u=ne=au=to=sug=ges=tion=mais=cet=te=sug=ges=ti=on=na=fait=que=pous=ser=en=a=vant=un=é=tat=exis=tant=un=grand=dé=sir=dê=tre=fort=sûr=de=soi=à=lai=se=èt=cé=té=ra 152
li=dée=fi=xe=peut=ê=tre 7
a=cons=ciente=un=ob=sé=dé=sait=très=bien=quil=est=at=teint=di=dée=fixe=puis=quil=lut=te=contreelle=a=vec=sa=rai=son=sans=suc=cès=dailleurs 31
b=in=cons=ciente=ce=fut=le=cas=di=rène=cest=aus=si=le=cas=dune=i=dée=fixe=pro=dui=te=par=sug=ges=tion=hyp=no=tique=mais=de=tou=te=fa=çon=la=cau=se=per=met=tant=lap=pa=ri=ti=on=de=li=dée=fixeest=tou=jours=in=cons=ciente 55
lhyp=no=tisme=peut=pro=dui=reu=ne=i=dée=fixe=du=moins=chez=cer=tains=mais=peut=ton=di=re=que=tou=tes=les=per=son=nes=qui=en=sont=at=tein=tes=fu=rent=hyp=no=ti=sées=non=é=vi=dem=ment=a=lors=puis=que=li=dée=na=pas=é=té=im=plan=tée=de=lex=té=rieur=com=ment=lau=to=sug=ges=tion=peut=tel=le=jouer=à=ce=point=com=ment=par=exem=ple=un=choc=é=mo=ti=on=nel=gra=ve=peut=til=per=sis=ter=et=pro=vo=quer=u=ne=i=dée=fixe=un=tic=u=ne=pho=bie=u=ne=ob=ses=sion=èt=cé=té=ra=nous=le=ver=rons=en=é=tu=diant=janet 128

emi=le=coué=et=le=mat=ch=in=té=rieur 10

emile=coué=mille=hu=it=cent=cin=quan=te=sept=ti=ret=mil=le=neuf=cent=vingt=six=mal=gré=les=ba=ses=très=élé=men=tai=res=de=sa=mé=tho=de=eut=un=grand=mé=rite=il=mit=en=pra=ti=que=lau=to=sug=ges=tion=quil=con=si=dé=rait=donc=com=meu=ne=sug=ges=tion=ve=nant=du=ma=la=de=lui=même 69
nous=sa=vons=ce=ci=dans=les=ma=la=dies=psy=cho=lo=gi=ques=le=rai=sonne=ment=cons=cient=ne=sert=pas=à=grand=chose=ni=lar=gu=men=ta=tion=rai=son=na=ble=ni=la=per=sua=sion=par=exem=ple=un=grand=ti=mi=de=se=don=ne=sans=ces=se=de=bon=nes=rai=sons=de=nê=tre=pas=ti=mi=de=il=ten=te=de=se=con=vain=creà=grands=coups=de=poing=mo=raux=ce=la=em=pê=che=til=les=cri=ses=din=ti=mi=da=tion=non=bien=au=con=trai=re=a=plus=for=te=rai=son=li=nu=ti=li=té=du=rai=son=ne=ment=é=cla=te=dans=les=ob=ses=sions=les=pho=bies=les=an=gois=ses=èt=cé=té=ra 137
un=psy=cho=lo=gue=sait=donc=quil=est=i=nu=tile=de=rai=son=ner=un=ma=la=de=psy=cho=lo=gique=et=quil=se=rait=ri=di=cu=le=de=lui=di=re=que=son=com=por=te=ment=est=ab=sur=de=pour=tel=leou=tel=le=rai=son=et=quil=doit=fai=re=un=ef=fort=èt=cé=té=ra=trop=de=ma=la=des=psy=cho=lo=gi=ques=sont=en=but=te=à=lin=com=pré=hen=sion=à=cau=se=de=ce=la=jus=te=ment=tou=te=la=jour=née=on=leur=lan=ce=à=la=tê=te=les=no=tions=de=vo=lon=té=sans=son=ger=que=cet=te=fa=cul=té=est=faus=sée=au=dé=part=pour=quoi=par=ce=que=le=mé=ca=nis=me=ner=veux=qui=per=met=la=vo=lon=té=est=faus=sé=ce=la=re=vien=drait=à=de=man=der=à=un=vio=lo=nis=te=de=jouer=le=mi=sur=u=ne=cor=de=ac=cor=dée=sur=le=fa=ce=vio=lo=nis=te=veut=bien=jouer=lui=mais=son=ar=chet=fait=sor=tir=le=fa=faut=til=donc=crier=hur=ler=le=mé=pri=ser=le=pous=ser=à=tou=te=for=ce=à=jouer=ce=fa=meux=mi=non=il=faut=pren=dre=le=vio=lon=et=ré=a=jus=ter=la=cor=de=sur=la=no=te=mi 244
toute=ma=ni=fes=ta=tion=de=vo=lon=té=réel=le=de=man=de=pour=se=ma=ni=fes=ter=des=con=di=tions=de=base=zbin=den=dé=cla=rait=rai=son=ner=faux=est=un=vi=ceaus=si=fu=nes=te=que=pren=dre=de=la=mor=phi=ne=ou=de=la=co=caï=ne=quest=à=di=re=si=rai=son=ner=jus=te=est=le=ré=sul=tat=du=ne=af=fec=ti=vi=té=jus=te=rai=son=ner=faux=est=le=ré=sul=tat=du=ne=af=fec=ti=vi=té=faus=se=malheu=reu=se=ment=on=lou=blie=neuf=fois=sur=dix=et=je=suis=op=ti=miste 117
si=laf=fec=ti=vi=té=in=cons=ciente=dit=non=le=rai=son=ne=ment=a=beau=sé=pui=ser=à=di=re=oui=cest=laf=fec=ti=vi=té=qui=ga=gne=ra=à=cha=que=coup=lê=tre=nor=mal=le=com=prend=ra=re=ment=pour=quoi=par=ce=que=chez=lui=rè=gneun=ac=cord=en=tre=sa=vo=lon=té=son=dé=sir=et=son=af=fec=ti=vi=té=il=y=a=ac=cord=en=tre=son=vou=loir=et=son=pou=voir=mais=nar=ri=ve=til=pas=quil=sen=te=par=fois=en=lui=u=ne=sor=te=de=ti=raille=ment=ac=com=pa=gné=dan=gois=se=par=ce=que=quel=que=cho=se=le=pous=se=à=fai=re=le=con=trai=re=de=ce=quil=vou=drait=quen=i=ma=gi=na=tion=il=aug=men=te=cet=te=con=tra=dic=tion=quil=la=gran=dis=se=en=du=rée=en=in=ten=si=té=et=en=pro=fon=deur=peut=tê=tre=a=lors=com=pren=dra=til 183
donc=puis=que=toute=ma=la=die=psy=chi=queest=à=ba=se=af=fec=ti=ve=tout=trai=te=ment=psy=cho=lo=gi=que=de=vra=vi=ser=laf=fec=ti=vi=té=cest=là=que=se=trou=ve=ra=ta=pi=dans=lombre=le=can=cer=psy=cho=lo=gique 53
coué=a=donc=ten=té=de=le=faire=lors=quil=dé=cla=rait=quand=li=ma=gi=na=tion=et=la=vo=lon=té=sont=en=lut=te=cest=li=ma=gi=na=ti=on=qui=lem=por=te=sans=au=cu=ne=ex=cep=tion=coué=at=tri=buait=donc=un=rô=le=ca=pi=tal=au=psy=chis=mein=cons=cient=quil=ap=pe=lait=i=ma=gi=na=tion=bien=sûr=sa=mé=tho=de=é=tait=ru=di=men=tai=re=el=le=ten=tait=dé=li=mi=ner=u=ne=sug=ges=ti=on=ma=la=di=ve=par=u=ne=con=tre=sug=ges=ti=on=saine=un=or=dre=et=un=con=tre=or=dre=en=somme=on=con=naît=cet=te=mé=tho=de=cé=lè=bre=coué=de=man=dait=aux=ma=la=des=de=ré=pé=ter=sou=vent=mê=me=sans=y=croi=re=mais=de=ma=niè=re=à=im=pres=sion=ner=lo=rei=lle=tous=les=jours=à=tous=points=de=vue=je=vais=de=mieux=en=mieux 182
ces=pa=roles=ré=pé=tées=mé=ca=ni=que=ment=doi=vent=ain=si=se=ca=na=li=ser=vers=lin=cons=cient=af=fec=ti=vi=té=et=cet=in=cons=cient=fi=na=le=ment=con=vain=cu=par=ré=flexe=pous=se=la=per=son=neà=a=gir=nor=ma=le=ment=ra=tion=nel=le=ment=et=vo=lon=tai=re=ment 67
cette=mé=tho=deest=ru=di=men=tai=re=par=ce=quel=le=nen=vi=sa=ge=que=les=symp=tô=mes=en=bloc=el=le=nen=vi=sa=ge=que=la=souf=fran=ce=res=sen=tie=et=né=li=mi=ne=que=très=ra=re=ment=les=ten=dan=ces=pro=fondes=la=mé=tho=de=coué=res=te=é=vi=dem=ment=dans=la=li=gne=de=la=sug=ges=tion=la=per=son=ne=en=tend=u=ne=voix=la=sien=ne=lui=sug=gé=rer=u=ne=a=mé=lio=ra=tion=et=cet=te=con=vic=tion=de=vient=de=lau=to=sug=ges=tion=et=cet=te=au=to=sug=ges=ti=on=de=vient=u=ne=con=vic=tion 127
il=est=trop=ba=nal=de=direen=co=re=en=re=gard=des=dé=cou=ver=tes=de=la=psy=cho=lo=gie=mo=der=ne=et=de=la=mé=de=ci=ne=psy=cho=so=ma=ti=que=que=les=prit=af=fec=te=le=corps=et=qui=si=les=prit=peut=dé=clen=cher=u=ne=ma=la=die=ce=mê=me=es=prit=peut=la=gué=rir=par=es=prit=il=faut=en=ten=dre=cer=veau=ce=la=est=un=fait=nous=ver=rons=dailleurs=que=tout=lor=ga=nis=me=est=sous=le=con=trô=le=du=cer=veau=et=par=là=la=mé=tho=de=coué=est=par=fai=te=ment=ac=cep=table 120

si=vous=dé=si=rez=pra=ti=quer=lau=to=sug=ges=tion 13

lau=to=sug=ges=tion=comme=la=sug=ges=tion=ve=nant=dau=trui=est=un=ex=cel=lent=moyen=dé=du=quer=lac=ti=on=et=la=vo=lon=té=je=si=gna=le=que=lau=to=sug=ges=ti=on=ne=sa=dres=se=pas=quà=des=ma=la=des=bien=au=con=traire=lau=to=sug=ges=ti=on=bien=fai=te=dé=po=se=dans=lin=cons=cient=de=nou=vel=les=éner=gies=et=y=grou=pe=de=nou=vel=les=lu=ci=di=tés=el=leest=un=bon=moyen=dex=ten=sion=et=de=ren=for=ce=ment=de=la=per=son=na=li=té=el=le=per=met=le=re=dres=se=ment=des=dé=fi=cien=ces=af=fec=tives=je=ré=pè=te=en=co=re=le=cer=veau=pos=sè=de=sur=le=corps=un=pou=voir=qua=si=dic=ta=to=rial 153

les=con=di=tions=de=lau=to=sug=ges=tion 10

il=faut=con=si=dé=rer=lau=to=sug=ges=tion=commeu=ne=for=me=de=mé=di=ta=tion=et=non=pas=de=con=cen=tra=tion=la=mé=di=ta=ti=on=est=un=flot=te=ment=de=les=prit=u=ne=ou=ver=tu=re=pas=si=ve=et=cal=me=el=le=per=met=sans=ef=fort=len=trée=des=i=dées=et=des=sen=sa=tions=tan=dis=que=la=con=cen=tra=ti=on=est=un=ef=fort=po=sé=sur=un=point=nous=a=vons=vu=que=la=con=cen=tra=ti=on=en=dort=u=ne=gran=de=par=tie=du=cer=veau=el=le=é=li=mi=ne=donc=dof=fi=ce=des=cen=tai=nes=de=sen=sa=tions=pou=vant=ê=tre=u=tiles 135
obs=tacle=et=obs=ta=cle=de=taille=le=doc=teur=du=bois=de=ber=ne=don=nait=à=ses=ma=la=des=de=très=ex=cel=lents=con=seils=é=car=tez=tous=vos=tra=cas=é=li=mi=nez=tous=vos=sou=cis=en=le=vez=vos=préoc=cu=pa=tions=tour=nez=vo=trees=prit=vers=les=su=jets=plai=sants=èt=cé=té=ra 68
mais=comme=dit=ja=net=cest=é=vi=dem=ment=très=gen=til=mais=un=peu=i=ro=ni=que=quand=il=sa=git=de=per=son=nes=in=ca=pa=bles=de=di=ri=ger=leurs=pen=sées=quand=ils=sont=im=mo=biles=dans=leurs=lits=ils=se=for=gent=con=ti=nuel=le=ment=des=chi=mè=res=ils=sé=pui=sent=en=cal=culs=et=en=com=bi=nai=sons=dif=fi=ci=les 78
ce=qui=est=lé=viden=ce=mê=me=au=tant=di=reà=un=ob=sé=dé=ne=son=gez=plus=à=vo=tre=ob=ses=sion=ou=à=un=a=gi=té=mais=soyez=cal=me=voyons=très=cal=me 40
cest=nest=ce=pas=un=peu=en=fan=tin 9

com=ment=é=li=mi=ner=cet=obs=ta=cle 10

ai=der=à=ce=que=li=dée=ma=la=dive=sé=car=teau=maxi=mum=de=les=prit=il=faut=donc=tou=cher=au=tant=que=pos=si=ble=les=cen=tres=ner=veux=de=lin=cons=cient=en=lais=sant=flot=ter=le=cons=cient=une=dé=ten=te=est=donc=ab=so=lu=ment=in=dis=pen=sable=com=ment=ob=te=nir=cet=te=dé=ten=te=le=corps=doit=ê=tre=cou=ché=et=im=mo=bile=des=tech=ni=ques=s=pé=cia=les=exis=tent=qui=re=lâ=che=pro=gres=si=ve=ment=et=com=plè=te=ment=les=mus=cles=el=les=doi=vent=ê=tre=con=dui=tes=par=un=s=pé=cia=liste=sen=tir=en=sui=te=les=mem=bres=sa=lour=dir=lun=a=près=lautre=fer=mer=les=yeux=en=lais=sant=flot=ter=les=pau=pières=ar=ri=ver=ain=si=à=un=é=tat=de=tor=peur=et=à=la=sen=sa=tion=de=pla=ner=au=des=sus=de=son=corps=len=droit=doit=ê=tre=é=vi=dem=ment=si=len=cieux=et=obs=cur=on=ne=con=çoit=pas=la=mé=di=ta=ti=on=par=mi=le=bruit 207

quel=est=le=meil=leur=mo=ment 7

pour=les=per=sonnes=nayant=pas=len=traî=ne=ment=à=la=dé=ten=te=mus=cu=lai=re=choi=sir=le=mo=ment=où=le=mé=lan=ge=cons=cient=tin=cons=cient=sac=com=plit=pres=queau=to=ma=ti=que=ment=cest=à=di=re=dans=la=tor=peur=dans=la=som=no=len=ce=qui=pré=cè=dent=le=som=meil=ou=bien=dans=la=tor=peur=qui=suit=le=ré=veil=quand=les=prit=com=men=ce=à=cap=ter=les=cho=ses=quil=re=voit 91
obs=tacle=beau=coup=de=su=jets=nar=ri=vent=ja=mais=à=la=tor=peur=a=gi=tés=ob=sé=dés=in=som=nia=ques=èt=cé=té=ra=sou=li=gné=lin=ter=ven=tion=de=mé=di=ca=ments=est=donc=par=fois=né=ces=saire=de=tou=te=fa=çon=lap=pren=tis=sa=ge=de=la=dé=ten=te=pro=fon=de=doit=ê=tre=con=duit=par=un=s=pé=cia=liste 78
en=suite=lé=tat=de=tor=peur=at=teint=sen=sa=tion=den=gour=dis=se=ment=et=de=flot=te=ment=et=li=bre=de=tou=te=préoc=cu=pa=tion=in=tro=dui=re=li=dée=u=tile=dans=le=sub=cons=cient=cet=te=i=dée=se=ra=pour=les=ma=la=des=é=vi=dem=ment=op=po=sée=à=leur=é=tat=dé=fi=cient=ne=ja=mais=con=dui=re=cet=te=mé=di=ta=ti=on=flot=tan=te=jus=quà=la=con=cen=tra=tion=dès=que=lef=fort=ap=pa=raît=la=ban=don=sim=pose 105

ya=til=un=mo=ment=i=dé=al 8

oui=mais=dif=fi=cileà=at=tein=dre=sans=en=traî=ne=ment=il=ne=faut=pas=que=le=cons=cient=et=le=sub=cons=cient=soient=trop=sé=pa=rés=la=sug=ges=tion=qui=doit=res=ter=vo=lon=tai=re=per=drait=é=vi=dem=ment=de=son=ef=fi=ca=ci=té=ne=pas=ou=blier=que=le=cons=cient=et=le=sub=cons=cient=re=po=sent=sur=le=tra=vail=de=cer=tains=cen=tres=ner=veux=a=vant=dat=tein=dre=le=plan=du=rê=ve=le=cer=veau=plon=ge=dans=la=som=no=lence=mais=il=de=meu=re=cons=cient=sans=i=dée=préoc=cu=pan=te=tou=te=fois=cha=cun=con=naît=lé=tat=de=de=mi=som=meil=cet=é=tat=à=che=val=sur=le=rê=ve=et=la=ré=a=li=té=a=ce=mo=ment=lhom=me=qui=au=pa=ra=vant=é=tait=ac=teur=de=vient=s=pec=ta=teur=il=ces=se=de=jouer=le=jeu=pour=pas=ser=à=la=con=tem=pla=tion=du=jeu=il=as=sis=te=a=lors=à=u=ne=sor=te=de=ci=né=ma=se=dé=clen=chant=de=vant=ses=yeux=il=re=gar=de=u=ne=suc=ces=sion=di=ma=ges=ne=cor=res=pon=dant=pres=que=plus=au=réel=il=sait=quil=ne=rê=ve=pas=puis=quil=de=meu=re=cons=cient=le=tic=tac=du=ne=hor=lo=ge=le=bruit=de=la=rue=le=cra=que=ment=du=ne=por=te=la=boie=ment=dun=chien=lui=par=vien=nent=dans=u=ne=clar=té=et=u=ne=in=ten=si=té=par=faites=il=lui=sem=ble=flot=ter=au=des=sus=de=la=vie=et=au=des=sus=de=son=corps=ce=phé=no=mè=ne=est=dailleurs=pro=fon=dé=ment=a=gré=able=les=i=ma=ges=et=les=sen=sa=tions=dé=fi=lent=com=me=un=des=sin=a=ni=mé=a=vec=des=ab=sur=di=tés=que=l=hom=me=ac=cep=te=com=me=na=tu=relles=il=peut=mê=me=di=ri=ger=les=i=ma=ges=sup=pri=mer=tel=per=son=na=ge=le=rem=pla=cer=par=un=au=tre=èt=cé=té=ra=cest=le=mo=ment=i=dé=al=pour=la=pra=ti=que=de=la=sug=ges=tion 409
donc=at=tendre=que=la=va=gue=din=hi=bi=tion=ait=pres=que=sub=mer=gé=lé=cor=ce=cé=ré=bra=le=siè=ge=de=la=cons=cien=ce=vo=lon=taire=lé=tat=ob=te=nu=se=ra=un=é=tat=de=rê=ve=rie=a=vec=champ=de=cons=cien=ce=maxi=mum=tan=dis=que=dans=la=con=cen=tra=tion=le=champ=de=cons=cien=ce=ré=tré=cit=con=si=dé=ra=ble=ment 81
autres=moyens=beau=coup=plus=puis=sants=mais=le=con=cours=dun=psy=cho=lo=gueest=in=dis=pen=sable=une=pro=jec=tion=di=ma=ges=sym=bo=li=ques=peut=se=fai=re=mais=nous=en=trons=i=ci=dans=le=do=mai=ne=de=la=psy=cho=lo=gie=des=gran=des=pro=fon=deurs=jen=re=par=le=rai=plus=loin=aux=cha=pi=tres=sym=bo=les=et=rê=ve=é=veillé 77

qua=mène=la=pra=ti=que=de=lau=to=sug=ges=tion 12

elleof=fre=la=van=tage=de=pré=pa=rer=u=ne=at=ti=tu=de=men=ta=le=bé=né=fique=el=le=peut=a=gir=sur=le=corps=il=exis=te=à=cet=é=gard=des=milliers=de=cas=clas=si=ques 43
voi=ci=un=exem=ple=pris=dans=un=hô=pi=tal=sou=li=gné=un=homme=ma=la=de=de=puis=long=temps=sem=ble=souf=frir=du=can=cer=et=il=en=of=fre=tous=les=symp=tômes=lo=pé=ra=tion=est=dé=ci=dée=et=le=chi=rur=gien=ou=vre=le=ven=tre=du=pa=ti=ent=il=y=trou=ve=des=in=tes=tins=très=im=par=faits=mais=nul=le=tra=ce=de=can=cer=les=a=na=ly=ses=se=font=nul=le=tra=ce=de=can=cer=les=mé=de=cins=sont=stu=pé=faits=tous=les=symp=tô=mes=dont=souf=frait=cet=hom=meé=taient=pour=tant=ceux=de=la=ter=ri=ble=ma=la=die 126
que=sé=tait=til=pas=sé=il=se=rait=trop=long=de=ra=con=ter=en=dé=tail=la=viea=troce=de=ce=pau=vre=hom=me=vie=de=mal=chan=ce=de=so=li=tu=de=da=ban=don=de=pau=vre=té=phy=si=que=de=gran=de=mi=sè=re=mo=rale 55
un=jour=il=tombe=ma=lade=sans=res=sour=ces=il=est=hos=pi=ta=li=sé=a=ce=mo=ment=dans=la=cham=bre=com=mu=ne=et=pour=la=pre=miè=re=fois=de=sa=la=men=ta=ble=vie=lhom=me=se=sent=heu=reux=il=est=par=mi=dau=tres=per=son=nes=qui=souf=frent=et=cha=cun=sait=com=bien=la=souf=fran=ce=com=mu=ne=réu=nit=les=hom=mes=voi=ci=les=mé=de=cins=af=fa=bles=pa=ter=nels=sou=riants=voi=ci=les=in=fir=miè=res=com=pré=hen=si=ves=aux=mains=douces=voi=ci=un=lit=non=de=so=li=tu=deet=de=mi=sè=re=mais=hu=main=voi=ci=u=ne=sé=cu=ri=té=men=ta=le=et=ma=té=rielle=et=le=mé=ca=nis=me=in=cons=cient=se=met=en=marche=il=faut=que=tu=res=tes=i=ci=tu=dois=con=ti=nuer=à=ê=tre=ma=la=de=de=plus=en=plus=ma=la=de=tu=ne=dois=pas=sor=tir=di=ci=où=tu=es=heu=reux=sou=li=gné=lau=to=sug=ges=tion=com=men=çait=lan=ci=nan=te=puis=san=te=con=ti=nuelle=et=le=non=ma=la=de=de=vint=ma=lade=les=symp=tô=mes=du=can=cer=se=mon=trè=rent=de=plus=en=plus=vio=lents=jus=quà=lo=pé=ra=ti=on=i=nu=tile=le=can=cer=re=pré=sen=tait=pour=cet=hom=me=u=ne=sé=cu=ri=té=i=dé=ale=et=ce=cas=mon=tre=bien=la=puis=san=ce=du=cer=veau=ain=si=que=nous=le=ver=rons=en=mé=de=ci=ne=psy=cho=so=ma=tique 299
sou=li=gné=vous=con=nais=sez=le=mon=sieur=at=teint=du=mal=de=mer 16
le=ba=teau=est=à=quai=et=le=mon=sieur=re=pose=dans=sa=ca=bine=la=nuit=tombe=au=mi=lieu=de=cet=te=nuit=des=bruits=de=mo=teurs=tra=ver=sent=la=pa=roi=le=na=vi=reest=en=mer=se=dit=le=mon=sieur=et=tout=com=men=ce=nau=sées=vo=mis=se=ments=an=gois=se=pro=fon=de=dé=sir=de=mou=rir=hon=teux=le=mon=sieur=se=ter=re=et=souf=fre=en=si=len=ce=jus=quau=ma=tin=mais=voi=ci=quil=se=lè=ve=jet=te=un=coup=doeil=par=le=hu=blot=le=na=vi=re=na=pas=bou=gé 113
le=pou=voir=de=la=sug=ges=tion=est=bien=con=nu=mais=nest=il=pas=bon=de=le=rap=pe=ler=de=temps=à=autre 26
on=con=çoit=donc=sans=peine=la=puis=san=ce=du=ne=sug=ges=tion=bien=fai=te=dans=des=con=di=tions=la=per=met=tant=les=exer=ci=ces=men=taux=per=son=nels=doi=vent=é=vi=dem=ment=ê=tre=ré=pé=tés=cha=que=jour=sur=tout=si=la=per=son=ne=ne=pos=sè=de=quun=ru=di=ment=de=tech=nique 68

que=peut=trai=ter=la=sug=ges=ti=on 9

je=veux=par=ler=i=ci=de=sug=ges=tion=en=pro=fon=deur=tech=ni=que=s=pé=ciale=quu=ne=per=son=ne=seu=le=ne=peut=pas=em=ployer=sans=en=traî=ne=ment=par=mi=les=cas=cou=rants=lim=puis=san=ce=sexuel=le=la=fri=gi=di=té=fé=mi=ni=ne=les=peurs=les=pho=bies=les=an=gois=ses=les=in=som=nies=les=tics=les=ha=bi=tu=des=no=ci=ves=la=fai=bles=se=de=ca=rac=tè=re=cer=tains=trou=bles=de=la=peau=et=de=nom=breu=ses=ma=la=dies=hys=té=riques 108
et=lon=voit=donc=que=mal=gré=son=ca=rac=tèreélé=men=tai=re=la=mé=tho=de=trou=vée=par=e=mi=le=coué=po=sait=des=ba=ses=pour=la=psy=cho=lo=gie=de=de=main=sa=luons=donc=et=con=ti=nuons 46

à=sui=vre 3
Phonétique : La Spéléologie Du Mental * (I)asteʁiskə səlɔ̃ lə livʁə « ləs pʁɔdiʒjøzə viktwaʁə də la psikɔlɔʒjə », paʁ pjeʁə dako, εd. maʁabu, ɛ̃pʁesjɔ̃ aʃəve ɑ̃ dø milə



i kʁøzœʁ də ɡaləʁiz- e tajœʁ də pjeʁə

mεsme e lipnɔtismə

tʁwa ʒənə famə saʒitε dɑ̃ dεkstʁaɔʁdinεʁə kɔ̃vylsjɔ̃. εlləz- etε tɔ̃bez- a la ʁɑ̃vεʁsə, aʒite də ʁiʁə spasmɔdikz- e də ɔkε pɥisɑ̃. la kʁizə nεʁvøzə eklatε.
tu də swa vεty, œ̃n- ɔmə ʁəɡaʁdε. sεt ɔmə etε ɡʁɑ̃ pʁεtʁə də sə ljø misteʁjø. lɔpskyʁite, dɑ̃ la ʃɑ̃bʁə, etε kazi tɔtalə, lε fənεtʁə- ʁəkuvεʁtə- depε ʁido, kupε lε ʁεjɔ̃ dy sɔlεj. e mεsme, pεʁə dy « maɲetismə animal », pjɔnje də lipnɔtismə, tənɑ̃ a la mɛ̃ ynə baɡεtə metalikə, sɔ̃ʒε.
lε tʁwa ʒənə faməz- etε ɑ̃ plεnə kʁizə. o sɑ̃tʁə də la ʃɑ̃bʁə « miʁakyløzə », tʁonε œ̃ bakε də bwa. a lɛ̃teʁjœʁ, də lo, dy veʁə pile, də la limajə. sɔʁtɑ̃ dy bakε paʁ lε tʁus dy kuvεʁklə, dε tiʒə də fεʁ suplə.
lε pasjɑ̃ penetʁε dɑ̃ sə tɑ̃plə ɑ̃ ɡʁɑ̃də seʁemɔni, ɔ̃n- ɑ̃tɑ̃dε dε sɔ̃ melɔdjø, lə silɑ̃sə dε maladəz- etε tɔtal, e ʃakœ̃ døz- apyiε ynə tiʒə də fεʁ syʁ lɑ̃dʁwa maladə.
pɥi mεsme apaʁεsε dɑ̃ sa ʁɔbə dapaʁa. il pasε lɑ̃təmɑ̃ dəvɑ̃ lε maladə, ɑ̃ lε fiksɑ̃ dεz- iø. il pʁɔmənε sa baɡεtə syʁ lœʁ kɔʁ… sεt- alɔʁ kə lε tʁwa ʒənə famə tɔ̃bεʁe…
e mεsme, maɲetizœʁ e ɡeʁisœʁ, ʁəvwa sa vi…
milə sεt sɑ̃ tʁɑ̃tə katʁə. il nε a ʁadɔlfzεll, syʁ lə lak də kɔ̃stɑ̃sə. sɔ̃ pεʁə ? œ̃ ɡaʁdə fɔʁεstje. a diz- ɑ̃, sɥivɑ̃ lə deziʁ də sa mεʁə, il ɑ̃tʁə o mɔnastεʁə puʁ i εtʁə ɛ̃stʁɥi də sɔ̃ ʁolə də fytyʁ pʁεtʁə. ʒyska lynivεʁsite, il etydi la teɔlɔʒi, mεz- osi lastʁonomi, la fizikə e lε matematik. il li paʁasεlsə, sεt ɔmə ki kʁwa oz- astʁəz- ɛ̃flɥɑ̃…
mεsme, a sə mɔmɑ̃, fε dəmi tuʁ. lɔʁjɛ̃tasjɔ̃ də sa vi baskylə. il abɑ̃dɔnə lεɡlizə, e sə diʁiʒə vεʁ la medəsinə. il dəvjɛ̃dʁa pʁεtʁə dy kɔʁ.
mεsme ɑ̃tʁə dɔ̃k, tεtə pʁəmjεʁə, dɑ̃ la medəsinə ʁiɡuʁøzəmɑ̃ siifikə də lepɔkə, nadmεtɑ̃ ʁjɛ̃ ki nə pɥisə εtʁə pʁuve fizikəmɑ̃. ɔʁ, mεsme, lɥi, kʁwa a dε fɔʁsəz- ɛ̃kɔnɥz- e misteʁjøzə. avɑ̃ lɥi, ɡjomə makswεll nə kɔ̃sideʁε til pa tutə lε maladi kɔmə ynə sustʁaksjɔ̃ də flɥidə vital də noz- ɔʁɡanə ? e nə kʁwajε til pa ʁetabliʁ lekilibʁə paʁ la ʁεstitysjɔ̃ də la « fɔʁsə maɲetikə » ? suliɲe mεsme va sɥivʁə, lɥi osi, sεtə vwa.
milə sεt sɑ̃ swasɑ̃tə sɛ̃k. mεsme a tʁɑ̃tə e œ̃n- ɑ̃. mɔzaʁ a nəv- ɑ̃. sə mɔzaʁ kə mεsme pʁɔteʒəʁa, vεʁ milə sεt sɑ̃ swasɑ̃tə ɥit… e mεsme pasə sa tεzə də medəsinə « lɛ̃flɥɑ̃sə dε planεtə syʁ lə kɔʁz- ymɛ̃… ». sεt εɡzamɛ̃ ε kɔmə œ̃ defi a la medəsinə siifikə ki la ɛ̃stʁɥi. e il ʁeysi ! lε bɔ̃zə də lepɔkə nə kʁje nylmɑ̃ a lɛ̃pɔstyʁə, falε til kə mεsme y ete œ̃n- εksεllɑ̃ etydjɑ̃ !
vwala dɔ̃k medəsɛ̃ ɔfisjεl, lɔmə o bakε, ʁəkɔny, patɑ̃te. ɔ ! il ɡaɲə pø… il ε povʁə. pɑ̃se ! il pasə sɔ̃ tɑ̃z- a swaɲe lε mizeʁø sɑ̃ sə pʁeɔkype ni də salεʁə, ni də ɡlwaʁə…
mε sa vi bifyʁkə ynə nuvεllə fwa. ɑ̃ milə sεt sɑ̃ swasɑ̃tə ɥit, mεsme epuzə ynə ʁiʃə vəvə. e lɥi, ki nə ʁəʃεʁʃε ni ɔnœʁ, ni ɡlwaʁə, va lε tʁuve sudɛ̃ syʁ sɔ̃ ʃəmɛ̃.
mεsme pɑ̃sε : il εɡzistə œ̃ flɥidə ynivεʁsεl, dɑ̃ ləkεl sɔ̃ plɔ̃ʒe tus lε kɔʁ… il kʁwajε kə la vɔlɔ̃te ymεnə avε lə puvwaʁ də mεtʁə sə flɥidə ɑ̃n- œvʁə, də lə fεʁə sɔʁtiʁ dœ̃ pwɛ̃, də lə fεʁə sakymyle syʁ œ̃n- otʁə…
nu sɔmə dɔ̃k ɑ̃ milə sεt sɑ̃ swasɑ̃tə ɥit. madamə mεsme a ynə dəmwazεllə də kɔ̃paɲi, fʁylɛ̃ fʁɑ̃zl ʒεʁstεʁlɛ̃, dɔ̃ la movεzə sɑ̃te səʁa lə plato daʁʒe də mεsme. də kwa sufʁə fʁylɛ̃ ʒεstεʁli də tu… paʁalizi tɑ̃pɔʁεʁə, tʁublə dεz- ɛ̃tεstɛ̃, vɔmisəmɑ̃ spasmɔdik, depʁesjɔ̃, tʁɑ̃zə, evanuisəmɑ̃, sesite pasaʒεʁə. disteʁi, ɑ̃n- œ̃ mo. (nusz- avɔ̃z- etydje sə kas) εt lə tʁεtəmɑ̃ də mεsme ɡeʁi sεtə famə.
vwala lε tɑ̃buʁ də la ʁənɔme batɑ̃ la ʃaʁʒə puʁ mεsme, ki avε y fwa ɑ̃ sɔ̃ tʁavaj, e osi lə kuʁaʒə dafʁɔ̃te lε pɔ̃tifə siifik də lepɔkə. sɔ̃ nɔ̃ eklatə, sa ʁepytasjɔ̃ ʁətɑ̃ti.
mε mεsme, εspʁi pʁatikə, tʁuva pʁɔbabləmɑ̃ tʁo lɔ̃ də swaɲe ʃakə maladə ɛ̃dividɥεllmɑ̃…
e il ɛ̃vɑ̃ta sɔ̃ bakε kɔlεktif ! ɛ̃si, lε maladə puvε sɑ̃ɡufʁe dɑ̃ lə tɑ̃plə, paʁ fuʁne…
dε pεʁsɔnaʒə selεbʁə- tənε lε fεʁ dy bakε. lekʁivɛ̃ la-aʁpə etε pʁezɑ̃, lɥi osi, ki kɔʁεspɔ̃dε avεk lə ɡʁɑ̃ dyk pɔl də ʁysi ! tut- etε dɔ̃k bjɛ̃, sɑ̃blε til, e lə maɲetismə animal pʁɔmiz- o plys-otə dεstine…
mε dø fɔʁsə- vεjε : la medəsinə e la mɔdə.
yn) la mɔdə. imaʒine lε damə də lepɔkə bavaʁdɑ̃ də maɲetismə ! nɔ̃ tεllə pa fε də mεmə ɑ̃ debalɑ̃ lœʁ kɔ̃plεksə, lɔʁskə ʁeɲε fʁød ?
døks) la medəsinə. kaʁ sε mεmə pʁɔfesœʁ, ki aksεptεʁe la tεzə odasjøzə də mεsme, atɑ̃diʁe lɔkazjɔ̃ puʁ ɛ̃tεʁvəniʁ a nuvo. εllə sə pʁezɑ̃ta su la fɔʁmə dynə ʒənə avøɡlə (teʁeza vɔ̃ paʁadis) , pjanistə pʁɔteʒe paʁ lɛ̃peʁatʁisə. okœ̃ tʁεtəmɑ̃, mεmə dε mεjœʁz- ɔkylistə də vjεnə, navε dɔne kwakə sə swa.
ɔʁ, vwasi kə suliɲe ɑ̃ dezεspwaʁ də kozə suliɲe ɔ̃ lamεnə ʃe mεsme… ki lɥi ʁɑ̃ la vɥ paʁ œ̃ tʁεtəmɑ̃ puse. listwaʁə εt- ɛ̃vʁεsɑ̃blablə ? pø tεtʁə, mε vʁε. il saʒisε də sesite isteʁikə. e mɛ̃tənɑ̃ ekute… la vɥ ʁəkuvʁe, la ʒənə fijə sə tʁuva nə plys ʒue osi bjɛ̃. dɔ̃k, lε ʁəvənys ljez- a sa vi də pjanistə ʁiskε də sɑ̃n- ale. lε dɔktœʁz- εɡzaminεʁe la ʒənə fijə, il ʁəkɔnyʁe kεllə avε ʁəkuvʁe la vɥ, mε njεʁe kεllə puvε vwaʁ, paʁsə kεllə nə savε pa kɔmɑ̃ sapəlε lεz- ɔbʒε ! ! (ɔʁ, sεtə ʒənə fijə etε avøɡlə dəpɥi laʒə də tʁwaz- ɑ̃. ) ləs dɔktœʁ sə ʁepɑ̃diʁe ɑ̃n- ɛ̃pʁekasjɔ̃ kɔ̃tʁə mεsme, ki ʁakɔ̃ta lɥi mεmə kɔmɑ̃ lə pεʁə də la ʒənə fijə ɑ̃tʁa ʃe lɥi, fu fyʁjøz- e lepe a la mɛ̃ ! mε la vɥ εjɑ̃ də nuvo kite la ʒənə fijə (sə ki kɔ̃fiʁmə la sesite isteʁikə) , mεsme fy εkspylse də la fakylte, e ʃεʁʃa ʁəfyʒə ɑ̃ fʁɑ̃sə.
e… kɔmə səla sə pasə suvɑ̃, la kɔmisjɔ̃ ʃaʁʒe detydje lə mεsmeʁismə nə sə pʁeɔkypa nylmɑ̃ də savwaʁ si mεsme avε ɡeʁi u nɔ̃, mε də dekuvʁiʁ lεɡzaktitydə də sε teɔʁi ! kεllə teɔʁi ? kε sə kə lə « maɲetismə animal » ? tutə demɔ̃stʁasjɔ̃ etɑ̃ ɛ̃pɔsiblə, lε ɡeʁizɔ̃ də mεsme fyʁe mizəz- o kɔ̃tə də… limaʒinasjɔ̃. e lɔ̃ pasa myskadə.

lipnozə e la syɡʒεstjɔ̃

milə ɥi sɑ̃ katɔʁzə. mεsme ε dɑ̃ lɔ̃bʁə… sɔ̃ pʁɔsede dəməʁə.
lə bjɛ̃ kɔny εm. də pyizeɡyʁ, ɔfisje daʁme e ʃεʁʃœʁ, tʁavajə lə maɲetismə ɑ̃ sɔ̃ dɔmεnə də swasɔ̃. mε sə maɲetismə kɔmɑ̃sə a sə pase də seʁemɔni, də myzik, də ʁido. lə mεʁvεjø kɔmɑ̃sə a fεʁə plasə a la sjɑ̃sə ! ʁjɛ̃ kœ̃n- aʁbʁə, œ̃ ɡʁɑ̃t- aʁbʁə, maɲetize paʁ lɥi, syfizε. (dɔ̃ fʁɑ̃kini deklaʁa kil navε nylmɑ̃ bəzwɛ̃ dεtʁə maɲetize puʁ εtʁə maɲetikə… )
œ̃ ʒuʁ, (listwaʁə ε bjɛ̃ kɔnɥə) , œ̃ ʒənə bεʁʒəʁ « maɲetize » nə tɔ̃ba pa ɑ̃ kɔ̃tɔʁsjɔ̃. pa dy tu. o ljø də səla il sɑ̃dɔʁmi. nɔ̃ paʁ fatiɡ u ɛ̃difeʁɑ̃sə… mε dœ̃ sɔmεj bizaʁə… ɔ̃ fε dy bʁɥi, ɔ̃ saʒitə, ɔ̃ kʁi. ʁjɛ̃ a fεʁə. lə ʒənə bεʁʒe nə sə ʁevεjə pa. mjøz- ɑ̃kɔʁə ! vwasi kil sə lεvə, maʁʃə, paʁlə, e kɔ̃tʁaktə tɔtalə ɔbeisɑ̃sə a εm. də pyizeɡyʁ… ki nε pa lwɛ̃ də sə pʁɑ̃dʁə puʁ la vɔlɔ̃te ynivεʁsεllə. lipnɔtismə etε dekuvεʁ. la syɡʒεstjɔ̃ ipnɔtikə osi.
apʁε mεsme e də pyizeɡyʁ, dəløzə dekuvʁə la syɡʒεstjɔ̃ pɔst ipnɔtikə. il ʁəmaʁkə kə, evεje, ynə pεʁsɔnə ʁepɔ̃t- oz- ɔʁdʁə- dɔne dyʁɑ̃ lə sɔmεj. (paʁ εɡzɑ̃plə œ̃ ka fasilə e kuʁɑ̃ : ɔ̃n- ɑ̃dɔʁ ynə pεʁsɔnə ipnɔtizablə, ɔ̃ lɥi syɡʒεʁə kə lo kεllə bwaʁa səʁa plεnə də pwavʁə, ɔ̃ la ʁevεjə : la pεʁsɔnə kʁaʃəʁa alɔʁz- avεk deɡu, e ʁjɛ̃ o mɔ̃də nə puʁʁa lɥi ɑ̃ləve sεtə ɔpinjɔ̃ də lεspʁi. puʁ la lɥi ote, il fodʁε lɑ̃dɔʁmiʁ a nuvo) .
də nɔ̃bʁø ʃεʁʃœʁ kɔ̃tinyεʁe lœʁ tʁavoz- e lipnɔtismə atεɲi la kɔtə də lɑ̃tuzjasmə.
mε lε mεsmeʁistə paʁlε tʁo… malɡʁe də ɡʁɑ̃ syksεz- ɔpeʁatwaʁə suz- ipnozə (εt nu sɔməz- o ksiksεmə sjεklə ! ) , lə mεsmeʁismə ʁətɔ̃ba dotɑ̃ plys ba kil etε mɔ̃te-o…
la vaɡ finalə sə deklɑ̃ʃə ɑ̃n- ɑ̃ɡləteʁə, u lə dɔktœʁ εlljɔtsɔ̃ sə kɔ̃vεʁti o mεsmeʁismə, sə ki, ɑ̃ milə ɥi sɑ̃ tʁɑ̃tə ɥit, … ɑ̃tʁεna sa demisjɔ̃ fɔʁse də lopital.
ɔʁ, oʒuʁdɥi, sε lɑ̃ɡləteʁə ki, ɑ̃ milə nəf sɑ̃ sɛ̃kɑ̃tə sɛ̃k, kɔ̃kly a lefikasite də lipnɔtismə, e ki dəmɑ̃da, paʁ la vwa dy bʁitiʃ mədikal asɔsjasjɔ̃, kə lipnɔtismə swa pʁatike dɑ̃ lεz- opito, e ɑ̃sεɲe o mεmə titʁə kə lεz- otʁə- bʁɑ̃ʃə. e sə, apʁε ly. εʁ. εs. εs, e boku də pεi də lɑ̃ɡ ɑ̃ɡlεzə.
ɔʁ, ɑ̃ milə ɥi sɑ̃ tʁɑ̃tə ɥit, də teʁibləz- ɑ̃pytasjɔ̃ sɑ̃ dulœʁ suz- ipnozə etε deʒa ʁealize. dɔ̃k, nɔtʁə epɔkə nə fε kə ʁəpʁɑ̃dʁə œ̃ pʁɔblεmə teʁapøtikə dε plys pasjɔnɑ̃…
nuz- aʁivɔ̃s (tuʒuʁz- o ksiksεmə sjεklə) o dɔktœʁ εzdajə, medəsɛ̃ ɑ̃ɡlεz- oz- ɛ̃də. il pʁatikə lipnozə, e ʁeysi plys də tʁwa sɑ̃ ɡʁɑ̃dəz- ɔpeʁasjɔ̃ suz- ipnozə, e sɑ̃ la mwɛ̃dʁə dulœʁ ! e paʁ kwa sεtə maɲifikə ʁealizasjɔ̃ fy tεllə akœji ? paʁ lə mepʁi… sɔ̃n- opital fy fεʁme.

ipnɔtismə, pɔʁtə də lɛ̃kɔ̃sjɑ̃

lε ʁəvɥ pɔpylεʁə lɔ̃ bjɛ̃ dekʁi… kə vule vu, lə mεʁvεjø ! … œ̃ pasjɑ̃, etɑ̃dy si pɔsiblə… ynə ɑ̃bjɑ̃sə kalmə… ynə vwa basə, monokɔʁdə, ɛ̃sinɥɑ̃tə, fatiɡɑ̃tə, sεllə də lipnɔtizœʁ. suliɲe « vusz- ale dɔʁmiʁ… vuz- avez- ynə ɑ̃vi tʁε ɡʁɑ̃də də dɔʁmiʁ… ʁəɡaʁde mwa dɑ̃ lεz- iø… » εn mεmə tɑ̃, lə syʒε fiksə œ̃n- ɔbʒε bʁijɑ̃ plase o dəsy də sεz- iø, a ynə vɛ̃tεnə də sɑ̃timεtʁəz- ɑ̃n- avɑ̃. e la vwa basə, tuʒuʁ : « vusz- ale dɔʁmiʁ… vuz- avez- ɑ̃vi də dɔʁmiʁ… ».
lə pasjɑ̃ ba lε popjεʁə. il na plysz- ɑ̃vi də ʁjɛ̃, ni duvʁiʁ sε popjεʁə luʁdə, ni də deɡaʒe sɔ̃ sεʁvo dəvəny ɡuʁ e sɑ̃ fɔʁsə… u bjɛ̃ osi, lε ɡlɔbəz- ɔkylεʁə sɔ̃ kɔ̃pʁime, pɑ̃dɑ̃ kə la ʁεspiʁasjɔ̃ sə fε pʁɔfɔ̃də, ʁitme, lɑ̃tə… e la vwa ki εdə, tuʒuʁ, la vwa ʃodə, ki penεtʁə, ʒwɛ̃tə o pʁεstiʒə də lɔpeʁatœʁ…
e la « syɡʒεstjɔn » ipnɔtikə kɔmɑ̃sə : « a paʁtiʁ də sεt ɛ̃stɑ̃, okynə də vo demɑ̃ʒεzɔ̃ nə vu fəʁa plys sufʁiʁ… dε mɛ̃tənɑ̃, vo butɔ̃ vɔ̃ ɡeʁiʁ… vɔtʁə εkzema va dispaʁεtʁə… vuz- ɑ̃tɑ̃de ? vɔtʁə εkzema va ɡeʁiʁ… vɔtʁə po səʁa bεllə, lisə, paʁfεtə, sɑ̃ butɔ̃… sɑ̃ butɔ̃… ».
e suvɑ̃ lεkzema ɡeʁi e lε butɔ̃ dispaʁεse…
u bjɛ̃ lipnozə pʁe ɔpeʁatwaʁə :
lə ka, ɑ̃ milə nəf sɑ̃ sɛ̃kɑ̃tə sis, də sεtə ɑ̃ɡlεzə, ɔpeʁe suz- ipnozə, e ki a defʁεje la kʁɔnikə. lə medəsɛ̃ avε tʁase, syʁ labdɔmɛ̃ də la maladə, œ̃ kaʁe imaʒinεʁə də vɛ̃ sɑ̃timεtʁə. la maladə dɔʁmε su sɔmεj ipnɔtikə. e lə medəsɛ̃ ɛ̃sinɥε : « ʒə vεz- ɛ̃sɑ̃sibilize vɔtʁə vɑ̃tʁə… lɑ̃ɡuʁdisəmɑ̃ sə fəʁa a lɛ̃teʁjœʁ dε limitə kə ʒə sɥiz- ɔkype a tʁase… a lɛ̃teʁjœʁ də sə kaʁe, vu nə sɑ̃tiʁe ʁjɛ̃… vu nə sɑ̃tiʁez- okynə dulœʁ… ».
lɔpeʁasjɔ̃ kɔmɑ̃sa, e sə pʁatika sɑ̃ la mwɛ̃dʁə dulœʁ.
lipnozə pø fεʁə apaʁεtʁə dεz- ɑ̃pulə syʁ la po, ɑ̃ syɡʒeʁɑ̃ kə sεt ɑ̃dʁwa a ete bʁyle. paʁ syɡʒεstjɔ̃ ipnɔtikə, ɔ̃ pø oɡmɑ̃te u diminɥe lε batəmɑ̃ dy kœʁ, ɑ̃ syɡʒeʁɑ̃ kə la pεʁsɔnə asistə a œ̃n- aksidɑ̃, paʁ εɡzɑ̃plə. isi dɔ̃k, sε mɔdifikasjɔ̃ kaʁdjak sə pʁɔdɥize ɑ̃ deklɑ̃ʃɑ̃ ynə emɔsjɔ̃. lɛ̃flɥɑ̃sə də lipnɔtismə ε ɡʁɑ̃də syʁ lapaʁεj ʁεspiʁatwaʁə, kɔ̃sideʁablə syʁ lapaʁεj diʒεstif. lipnozə aʒi syʁ lε muvəmɑ̃z- e lε sekʁesjɔ̃ də lεstɔmak e dεz- ɛ̃tεstɛ̃. εllə aʒi eɡaləmɑ̃ syʁ lapaʁεj yʁinεʁə (akʁwasəmɑ̃ u diminysjɔ̃ də la kɑ̃tite dyʁinə) . syʁ lε fɔ̃ksjɔ̃ sεksɥεlləz- eɡaləmɑ̃, il sɑ̃blə vʁε kɔ̃ pɥisə, ɑ̃tʁə otʁə, ʁətaʁde u avɑ̃se lε ʁεɡlə. lɛ̃flɥɑ̃sə də lipnozə syʁ lε fenɔmεnə vazo mɔtœʁz- εt- imɑ̃sə. syʁ la po, nɔtamɑ̃, paʁ apaʁisjɔ̃ də stiɡmatə sɑ̃ɡlɑ̃z- e dɑ̃pulə… (la po εt- ɑ̃ ʁapɔʁ ɛ̃timə avεk lə sistεmə nεʁvø sɛ̃patikə. )
kə səla pʁuvə til ? kə lε fenɔmεnəz- ipnɔtik mɔ̃tʁe lε ʁapɔʁ tʁεz- etʁwaz- εɡzistɑ̃ ɑ̃tʁə « lεspʁit » εt lə « kɔʁps ». ʒi ʁəvjɛ̃dʁε ɑ̃n- etydjɑ̃ listeʁi e la medəsinə psiko sɔmatikə. ɔ̃ sə ʁɑ̃ kɔ̃tə dε pɔsibilite də lipnozə… e lɔ̃ kɔ̃pʁɑ̃ la tɑ̃tasjɔ̃ dɑ̃ fεʁə ynə panase ynivεʁsεllə !

kɔmɑ̃ sə pʁezɑ̃tə lə sɔmεj ipnɔtikə ?

lipnozə εt- œ̃ sɔmεj ɛ̃kɔ̃plε, pʁɔvɔke paʁ la syɡʒεstjɔ̃ ipnɔtikə (tɑ̃di kə la naʁkozə ε lə sɔmεj pʁɔvɔke paʁ dε tεknik ʃimikəs) . lə sɔmεj ipnɔtikə nε pa œ̃ sɔmεj tɔtal, la kɔ̃sjɑ̃sə εt- ɑ̃ɡuʁdi, mε nɔ̃ absɑ̃tə. lə syʒε kɔ̃sεʁvə la pɔsibilite də kɔ̃sɑ̃tʁasjɔ̃ də latɑ̃sjɔ̃, sε pεʁsεpsjɔ̃ sɑ̃sɔʁjεlləz- εɡziste. lə tɔnys dε mysklə nε ʒamε kɔ̃plεtəmɑ̃ absɑ̃. sε dajœʁ sə ki pεʁmε a lipnɔtize də maʁʃe, də sə ləve, e də ɡaʁde sεʁtεnəz- atitydə ki səʁε teʁibləmɑ̃ fatiɡɑ̃tə puʁ œ̃n- ɔmə nɔʁmal.
sypozɔ̃, paʁ εɡzɑ̃plə, kə lɔ̃ dizə a œ̃ syʒε suz- ipnozə kil lɥi εt- ɛ̃pɔsiblə də buʒe sɔ̃ bʁa dʁwa. mεmə sil lə vø, ɔ̃ veʁa :
yn) kil kɔ̃tʁaktə lε mysklə fleʃisœʁ puʁ plje lə bʁa,
døks) kil kɔ̃tʁaktə lε myskləz- εkstɑ̃sœʁ puʁ lɑ̃pεʃe də plje lə bʁa.
o kuʁ də lipnozə, ɔ̃ sε kə lə syʒε sə mɔ̃tʁə ɔbeisɑ̃ suliɲe dɑ̃z- ynə sεʁtεnə limitə ! suliɲe ɑ̃vεʁ lɔpeʁatœʁ. il ʁepɔ̃t- o kεstjɔ̃z- e εɡzekytə sεʁtɛ̃z- ɔʁdʁə. lεz- ɔʁdʁə- dəvɑ̃ εtʁə εɡzekytez- apʁε lə sɔmεj ipnɔtikə, lə səʁɔ̃ suvɑ̃, mεz- ɔ̃ na ʒamε kɔ̃state œ̃n- aktə də sə ʒɑ̃ʁə akɔ̃pli, ki səʁε ɑ̃ kɔ̃tʁadiksjɔ̃ pʁɔfɔ̃də avεk lε sɑ̃timɑ̃ də mɔʁalite dy syʒε.
εt- il pɔsiblə dɑ̃dɔʁmiʁ ynə pεʁsɔnə kɔ̃tʁə sɔ̃ ɡʁe ?
lepɔkə də ʃaʁko lə kʁwajε. lepɔkə mɔdεʁnə lə ni. bjɛ̃ kə səla nə swa pa ynə ʒeneʁalite, ynə pεʁsɔnə isteʁikə ε ipnɔtizablə o maksimɔm… sə ki nə siɲifi pa kə tutə pεʁsɔnə ipnɔtizablə swa isteʁikə !
babɛ̃ski pʁetɑ̃ :
yn) kə lə syʒε nə pεʁ pa la memwaʁə də sə ki sə pasε dyʁɑ̃ lipnozə,
døks) kə lə sɔmεj letaʁʒikə nε nylmɑ̃ ɛ̃kɔ̃sjɑ̃,
tʁwas) kə lə syʒε nə pεʁ nylmɑ̃ tu kɔ̃tʁolə vɔlɔ̃tεʁə, e kə, paʁ kɔ̃seke il nə ʁepɔ̃dʁa pa avøɡlemɑ̃ a tus lεz- ɔʁdʁə- də lɔpeʁatœʁ.
e babɛ̃ski aʒutə : « dɑ̃ lε siʁkɔ̃stɑ̃sə seʁjøzə, lεz- ipnɔtize ʁədəvjεne mεtʁə- də lœʁz- aksjɔ̃ dɑ̃ la məzyʁə u il lə sɔ̃t- a leta də vεjə. » sεtə dεʁnjεʁə ʁeflεksjɔ̃ fε sɔ̃ʒe a lamyzɑ̃tə istwaʁə ʁakɔ̃te paʁ ʒanε : lɔpeʁatœʁ ki pʁezɑ̃tε ynə pasjɑ̃tə ipnɔtize, pεʁmi a sεz- etydjɑ̃z- ɑ̃ medəsinə də fεʁə dε syɡʒεstjɔ̃. œ̃ dεz- etydjɑ̃ts (evidamεnt) syɡʒeʁa kεllə ε a kite sε vεtəmɑ̃. a sε mo, lipnɔtize sevεja bʁyskəmɑ̃, e sɔʁti ɑ̃ kɔlεʁə… suliɲe sə ki, ɑ̃ fɛ̃ də kɔ̃tə, ε bjɛ̃ ʁasyʁɑ̃.
də mεmə, il ε, di tɔ̃, asez- ɛ̃vʁεsɑ̃blablə kə lɔ̃ pɥisə pεʁsɥade ynə pεʁsɔnə ipnɔtize də kɔmεtʁə œ̃ kʁimə. mε si la pεʁsɔnə a ɑ̃n- εllə ynə tɑ̃dɑ̃sə o kʁimə ? lεkspeʁjɑ̃sə sələ puʁʁε ʁepɔ̃dʁə.

kɔmɑ̃ fo til kɔ̃sideʁe lipnozə ?

osi fʁwadəmɑ̃ kə dotʁə- teʁapøtik, malɡʁe sɔ̃ kaʁaktεʁə a pʁəmjεʁə vɥə « mεʁvεjøks ». maləʁøzəmɑ̃, il ε sεʁtɛ̃ kə la kʁwajɑ̃sə pɔpylεʁə aktɥεllə dəməʁə sεllə də milə ɥi sɑ̃ swasɑ̃tə dis : lipnɔtizœʁ sɑ̃blə εtʁə kɔmə œ̃ maʒə, due də puvwaʁ, e ki tjɛ̃ ɑ̃tʁə sε mɛ̃ la dεstine ɑ̃tjεʁə də sɔ̃ syʒε ! la ʁealite ε tu də mεmə œ̃ pø mwɛ̃ miʁakyløzə, e sə bazə ynikəmɑ̃ syʁ lə fɔ̃ksjɔnəmɑ̃ nεʁvø, kɔmə nu lə veʁɔ̃.
lipnozə pø εtʁə œ̃n- aʒe anεstezikə. e si də ɡʁɑ̃dəz- ɔpeʁasjɔ̃ fyʁe ʁealize su sɔmεj ipnɔtikə, nubljɔ̃ ʒamε kεllə letε deʒa o ksiksεmə sjεklə, e ʁɑ̃dɔ̃z- ɔmaʒə a sε pʁekyʁsœʁ ! œ̃ ɡʁɑ̃ puvwaʁ də lipnozə ε dɔ̃k də ʁɑ̃plase lanεstezi ʃimikə. mεz- ɔ̃ kɔ̃statə kə di- puʁ sɑ̃ dɛ̃dividys sələmɑ̃ pəve εtʁə plase dɑ̃ sεtə manifεstasjɔ̃ ipnɔtikə, sə ki ʁedɥi deʒa sɛ̃ɡyljεʁəmɑ̃ lε pɔsibilite pʁatik.
otʁə puvwaʁ kapital : la syɡʒεstjɔ̃ ipnɔtikə, ki pø evite lε dulœʁ pɔst ɔpeʁatwaʁəs (pɑ̃səmɑ̃z- εtseteʁa. )

kεl ε lə puvwaʁ də lipnozə o pwɛ̃ də vɥ psikɔlɔʒikə ?

yn) dɑ̃ lε maladi mɑ̃talə, il sɑ̃blə kokœ̃ ʁezylta pozitif nε ete ɔptəny. boku daljene sɔ̃ ʁəbεlləz- a lipnozə, sεllə si pʁɔdɥi suvɑ̃ ʃez- ø dε ʁeaksjɔ̃ deliʁɑ̃tə.
døks) εn psikɔlɔʒi : də spεktakylεʁəs « fo syksεs » pəve εtʁə ɔptənys. il sɑ̃blε tʁε lɔʒikə də puvwaʁ, paʁ ipnozə, delivʁe dεz- ide fiksə, dε fɔbi, dy beɡεmɑ̃, dεz- ɔpsesjɔ̃.
e lɔ̃ kɔ̃statə suvɑ̃, ɑ̃n- efε, kə sεʁtɛ̃ tʁublə dispaʁεse ʁapidəmɑ̃. lε sɛ̃ptomə sɑ̃ vɔ̃. səpɑ̃dɑ̃ lε ʁezylta nə sɔ̃ nylmɑ̃ pεʁmanɑ̃. puʁkwa ? paʁsə kə la tɑ̃dɑ̃sə pʁɔfɔ̃də dəməʁə.
ɔʁ, lε sɛ̃ptomə sɔ̃ pʁɔdɥi paʁ sεtə tɑ̃dɑ̃sə pʁɔfɔ̃də : e si œ̃ sɛ̃ptomə dispaʁε, il i a boku də ʃɑ̃sə puʁ kœ̃n- otʁə pʁεnə sa plasə. fεtə dispaʁεtʁə sə døzjεmə, e œ̃ tʁwazjεmə ʁiskə dapaʁεtʁə… sə ki mɔ̃tʁə kə la tɑ̃dɑ̃sə maladivə nε nylmɑ̃ elimine paʁ lipnɔtismə.
e sə səʁa la famøzə syksesjɔ̃ dε sɛ̃ptomə, vənɑ̃ də la mεmə kozə, tuʒuʁ vivɑ̃tə ɑ̃ pʁɔfɔ̃dœʁ. (dɔ̃ listeʁi εt- œ̃n- εɡzɑ̃plə fʁapɑ̃. )
kaʁ, si lɔ̃ vø tɥe lɔʁvε, pwɛ̃ nə syfi də lɥi kupe la kø…

la nevʁozə

nubljɔ̃ pa səsi : la nevʁozə sə pʁezɑ̃tə suvɑ̃ kɔmə œ̃ mekanismə də sekyʁite ɛ̃teʁjəʁə. œ̃ nevʁoze εt- ynə pεʁsɔnə ki sε ʁefyʒje dɑ̃ la nevʁozə puʁ i tʁuve la sekyʁite mɑ̃talə. dɔ̃k, pɥiskεllə i tʁuvə la sekyʁite, il va də swa kə la nevʁozə εllə mεmə lɥi εst (ɛ̃kɔ̃sjamɑ̃ u kɔ̃sjamεnt) nesesεʁə. ɑ̃ ʒeneʁal, ynə pεʁsɔnə nə sə plɛ̃ pa də sa nevʁozə. εllə sə plɛ̃ də sə ki la fε sufʁiʁ. ɔʁ, sə ki la fε sufʁiʁ nε pa la nevʁozə εllə mεmə, ki dəvjɛ̃ ɛ̃kɔ̃sjɑ̃tə. mε sεtə nevʁozə pʁɔdɥi dε sɛ̃ptomə, sε sɛ̃ptomə sɔ̃ duluʁø, e sə sɔ̃t- ø kə la pεʁsɔnə deziʁə elimine.
vwasi œ̃n- εɡzɑ̃plə sɛ̃plə : œ̃ pεʁfεksjɔnistə.
sypozɔ̃ kə sə pεʁfεksjɔnistə sufʁə də sa sɔlitydə, də sɔ̃n- abɑ̃dɔ̃, də sɔ̃n- emɔtivite, də sa timidite. il deziʁəʁa dɔ̃k ɡeʁiʁ də sεtə emɔtivite, də sεtə sɔlitydə, də sεtə timidite, ki sɔ̃ dε sɛ̃ptomə. mε deziʁəʁa til ɡeʁiʁ də sa nevʁozə pʁɔfɔ̃də : sɔ̃ pεʁfεksjɔnismə ? nɔ̃… pɥiskə sə pεʁfεksjɔnismə ε puʁ lɥi ynə sekyʁite !
ɔ̃ vwa dɔ̃k, dɑ̃z- œ̃ ka də sə ʒɑ̃ʁə, kə lipnɔtismə εt- inɔpeʁɑ̃. la vɔlɔ̃te də lipnɔtizœʁ ɑ̃tʁəʁε ɑ̃ kɔ̃fli avεk la vɔlɔ̃te pʁɔfɔ̃də də lipnɔtize, e okœ̃ ʁezylta nə səʁε atɛ̃. isi, sələ puʁʁε aʒiʁ ynə psikɔteʁapi ɑ̃ pʁɔfɔ̃dœʁ. ʁamənɔ̃ dɔ̃k lipnozə a sa ʒystə valœʁ, ki ε tu də mεmə bjɛ̃ ɡʁɑ̃də !

ʃaʁko, də la salpetʁjεʁə

avεk lə pʁɔfesœʁ ʃaʁkɔt (mijə ɥi sɑ̃ vɛ̃t- sɛ̃k milə nəf sɑ̃ tʁεzə) , nəʁɔlɔɡ a lopital də la salpetʁjεʁə, letydə də lipnɔtismə ɑ̃tʁə dɑ̃ la fazə… dizɔ̃z- ɔfisjεllə. mjø ! siifikə. ʃaʁko, ki sɔkypε dε maladi dy sistεmə nεʁvø, sə ʁɑ̃dε kɔ̃tə də la tʁε ɡʁɑ̃də ɛ̃pɔʁtɑ̃sə də lipnɔtismə, tuʒuʁ pʁone u ʁəʒəte avεk la mεmə pasjɔ̃.
ɔʁ, ʃaʁko etε nəʁɔlɔɡ, e nɔ̃ psiʃjatʁə. ɑ̃ nəʁɔlɔɡ, il sɔkypε də la fizjɔlɔʒi də lipnɔtize, də sε muvəmɑ̃z- e də sε ʁeflεksə. tu səla lə lεsε pase a kote dε fenɔmεnə psikɔlɔʒik. dɑ̃ʒe də la spesjalizasjɔ̃ ! …
il fo nɔte kə ʃaʁko na ʒamεz- ipnɔtize pεʁsɔnə. e nu puvɔ̃ limaʒine aʁivɑ̃ dɑ̃z- ynə salə… u lεz- elεvə lɥi pʁezɑ̃tε la pεʁsɔnə ipnɔtize.
malɡʁe tu, ʃaʁko avε ʁεzɔ̃… tʁuvɑ̃ kə lε fenɔmεnə psikɔlɔʒikz- etε dynə etydə delikatə, il deziʁε avɑ̃ tu kɔnεtʁə lε kaʁaktεʁə fizik də sεt eta anɔʁmal, afɛ̃ də lε ʁəkɔnεtʁə paʁ dε siɲə nə pʁεtɑ̃ a okynə simylasjɔ̃. ʁepetɔ̃ dɔ̃k kə ʃaʁko sə mit, avɑ̃ tu, a letydə dε muvəmɑ̃z- e dε ʁeflεksə dε pεʁsɔnə su sɔmεj ipnɔtikə.
lə ɡʁɑ̃ ʃaʁko ɑ̃tʁəpʁi dɔ̃k ynə etydə fizjɔlɔʒikə də lipnɔtismə. ɔʁ, il sə pasa səsi suliɲe lekɔlə də la salpetʁjεʁə sə « fuʁnisεt » ynikəmɑ̃ də faməz- isteʁikəs (fasiləmɑ̃ ipnɔtizabləs) syʁ lekεlləz- etε fεtə lεz- ɔpsεʁvasjɔ̃. e ʃaʁko pasa dy paʁtikylje o ʒeneʁal avεk œ̃ pø tʁo də fasilite. il deklaʁa kə sələ lε maladə də sə ʒɑ̃ʁə etε sysεptiblə dεtʁə ipnɔtize ! … puʁ lɥi, lε fenɔmεnəz- ipnɔtikz- etε dε fenɔmεnəz- anɔʁmo.

bεʁnεm, u la deklaʁasjɔ̃ də ɡeʁə

bεʁnεm, də lekɔlə də nɑ̃si, netε pa dakɔʁ dy tu, e nə sə ʒεna nylmɑ̃ puʁ lə diʁə.
səl lε maladə sɔ̃ ipnɔtizablə ? pa dy tu, ʁeplika bεʁnεm ! lipnɔtismə εt- œ̃ fenɔmεnə tut- a fε nɔʁmal, e la plypaʁ dε ʒɑ̃ sɔ̃ ipnɔtizablə.
vwasi sə kil deklaʁə : « sə kɔ̃n- apεllə ipnɔtismə nεt- otʁə ʃozə kə la mizə ɑ̃n- aktivite dynə pʁɔpʁjete nɔʁmalə dy sεʁvo : la syɡʒεstibilite, sεt- a diʁə laptitydə a εtʁə ɛ̃flɥɑ̃se sɑ̃ diskysjɔ̃ paʁ ynə ide. il ni a pa dipnɔtismə : ʒə vø diʁə kil ni a pa deta spesjal, anɔʁmal, meʁitɑ̃ sə nɔ̃, il ni a kə dε syʒε plysz- u mwɛ̃ syɡʒεstiblə, okεl pəve εtʁə syɡʒeʁe dεz- ide, dεz- emɔsjɔ̃, dεz- aktə, dεz- alysinasjɔ̃… ».
kə pø tɔ̃ kɔ̃klyʁə ? … kə la pɔsibilite dεtʁə ipnɔtize ε kɔ̃disjɔne paʁ leta ɔʁɡanikə dy mɔmɑ̃, e kə lε fenɔmεnə də lipnozə sɔ̃ dy a ynə kozə psiʃikə : la syɡʒεstibilite, kə nu veʁɔ̃z- œ̃ pø plys lwɛ̃.

babɛ̃ski, lɔmə ki kɔ̃kly…

ʒozεf babɛ̃ski (mijə ɥi sɑ̃ sɛ̃kɑ̃tə sεt milə nəf sɑ̃ tʁɑ̃tə døks) kɔ̃fiʁma lε vɥ də bεʁnεm. puʁ lɥi, lipnɔtismə εt- ynə syɡʒεstjɔ̃, ʁɑ̃fɔʁse paʁ œ̃n- eta də nɔ̃ kɔ̃tʁolə. il kɔ̃sidεʁə dɔ̃k lipnɔtismə kɔmə yn « eta psiʃikə, ʁɑ̃dɑ̃ lə syʒε ki si tʁuvə, kapablə də sybiʁ lε syɡʒεstjɔ̃ dotʁɥi ». sotɑ̃ alɔʁ dɑ̃ listeʁi, il la kɔ̃sidεʁə nɔ̃ pa kɔmə ynə maladi ɔʁɡanikə, mε kɔmə œ̃n- eta psiʃikə ʁɑ̃dɑ̃ lə syʒε ki si tʁuvə kapablə də sotozyɡʒεstjɔne e dεtʁə fasiləmɑ̃ syɡʒεstjɔne paʁ otʁɥi.

la syɡʒεstjɔ̃ emɔtivə

la kuʁ dasizəz- εt- asɑ̃ble, ynə tεtə dɔmə səʁa ʒue dɑ̃z- œ̃n- ɛ̃stɑ̃. lavɔka də la defɑ̃sə deplwa mɑ̃ʃəz- e efεz- ɔʁatwaʁə. əpɥize, bɔ̃baʁde daʁɡymɑ̃, lε ʒyʁez- ekute. na tɔ̃ pa fε apεl a lœʁ ʁεzɔ̃, a lœʁ vεʁty, a lœʁ ɛ̃teɡʁite dɔmə ? e lavɔka paʁlə, tɑ̃tɑ̃ də pεʁsɥade sε ʒyʒə…
bʁyskəmɑ̃, lə plεdœʁ ɑ̃vizaʒə lɑ̃fɑ̃sə də lakyze. pεʁə ivʁɔɲə, mεʁə ivʁɔɲə, dispytə, mizεʁə, batajə… e lavɔka kʁi : « sɔ̃ʒez- a sεtə ɑ̃fɑ̃sə atʁɔsə, mesjœʁ lε ʒyʁe, e akite ! … ». œ̃ ʒyʁe a pali. kɔmə ynə flεʃə, sə kɔmɑ̃dəmɑ̃ lə fʁapə, nɔ̃ plys dɑ̃ sa ʁεzɔ̃, mεz- ɑ̃ plɛ̃ sɑ̃tʁə də sɔ̃n- emɔsjɔ̃. kaʁ sə ʒyʁe sə ʁapεllə, lɥi osi, sɔ̃ pεʁə byvœʁ, sa mεʁə absɑ̃tə, sa mizεʁə, sɔ̃n- ɑ̃fɑ̃sə maləʁøzə. la paʁɔlə də lavɔka lə penεtʁə pʁɔfɔ̃demɑ̃.
sɑ̃n- ε fε. dəvɑ̃ sə ʒyʁe, lavɔka a ɡaɲe. lə ʁεzɔnəmɑ̃ e la pεʁsɥazjɔ̃ ɔ̃ sede lə pa a lemɔsjɔ̃. e lɛ̃pylsjɔ̃ ki ɑ̃ dekulə ʁεstə mεtʁεsə dy teʁɛ̃. də sə ʒyʁe, vjɛ̃dʁa œ̃n- akitəmɑ̃ u ynə ʁedyksjɔ̃ də pεnə… u la lɔʒikə e la ʁεzɔ̃ batε də lεlə, la syɡʒεstjɔ̃ emɔtivə ɑ̃pɔʁtε la batajə.
e sεtə pɥisɑ̃sə də la syɡʒεstjɔ̃, lε mənœʁ də fulə la kɔnεse bjɛ̃ ! εllə la savε bjɛ̃ osi, sεtə ləni ʁjəfɑ̃stal, sineastə dy tʁwazjεmə ʁεk almɑ̃, ki mεtε ɑ̃ sεnə lεz- ɑ̃tʁe də itle, o fɔʁmidablə fεtə dy paʁtεtaɡ ! plys də sɑ̃ milə ɔmə, ʁɑ̃ʒe, dε milje də dʁapo, lε kloʃə də nyʁɑ̃bεʁɡ sɔnɑ̃, ynə aʁεnə də pjeʁə e də maʁbʁə, ynə uvεʁtyʁə pʁɔlɔ̃ʒe paʁ la ɡʁɑ̃də fɔʁε… e dɑ̃ sεtə uvεʁtyʁə veʒetalə, itle ki avɑ̃sə, tu səl, sɑ̃ ɡaʁdə, tɑ̃di kə lε ʃɑ̃ ʁətɑ̃tise e ko lwɛ̃, ʁulə lə kanɔ̃… teatʁal ? bjɛ̃ syʁ. mε syʁtu syɡʒεstif paʁ ynə emɔsjɔ̃ pɥisɑ̃tə.
kaʁ a sə mɔmɑ̃, œ̃ səl ɔʁdʁə syɡʒεstif oʁε py ɑ̃pɔʁte sεtə maʁe ymεnə kɔmə œ̃ tɔʁe…
e lε defile militεʁə, kadɑ̃se kɔmə œ̃ balε, bʁijɑ̃, pjafɑ̃ ? sεtə myzikə ki sɔnə, sε tɛ̃balə ki ʁule ? e ki fɔ̃ pɑ̃se o plysz- ɑ̃timilitaʁistə : «… səla mə fε kεlkə ʃozə… » ? syɡʒεstjɔ̃ emɔtivə, ɑ̃kɔʁə !

kε sə kə la syɡʒεstjɔ̃ ?

il nə fo pa kɔ̃fɔ̃dʁə syɡʒεstjɔ̃ e pεʁsɥazjɔ̃.
si ʒə ʃεʁʃə a vu pεʁsɥade, ʒə madʁesəʁε a vɔtʁə ʁεzɔ̃. ʒesεəʁε dɔptəniʁ vɔtʁə adezjɔ̃ vɔlɔ̃tεʁə e kɔ̃sjɑ̃tə. vu səʁe pεʁsɥade si vu ʁəkɔnεse kə ʒε ʁεzɔ̃, e vu dɔnəʁe vɔtʁə asɑ̃time a mεz- aʁɡymɑ̃.
si ʒə ʃεʁʃə a vu syɡʒεstjɔne, ʒɑ̃plwaəʁε œ̃ pʁɔsede ɑ̃tjεʁəmɑ̃ difeʁɑ̃. ʒə dəvʁε madʁese a vɔtʁə syɡʒεstibilite… sə ki sɑ̃blə εtʁə ynə lapalisadə. puʁ səla, ʒə dəvʁε pase utʁə vɔtʁə kɔ̃sjɑ̃ e vɔtʁə ʁεzɔ̃, e tuʃe vo sɑ̃tʁə- nεʁvøz- ɛ̃kɔ̃sjɑ̃, sə ki εɡziʒə dɔ̃k dε siʁkɔ̃stɑ̃sə paʁtikyljεʁə, pɥiskə la ʁεzɔ̃ e la vɔlɔ̃te dwave dispaʁεtʁə, dɑ̃z- ynə məzyʁə plysz- u mwɛ̃ ɡʁɑ̃də. ɔ̃n- ε dɔ̃k syɡʒεstjɔne kɑ̃ la pɔsibilite də ʁezistɑ̃sə vɔlɔ̃tεʁə nεɡzistə plys.

kε sə kə la syɡʒεstibilite ?

sεt- ynə dispozisjɔ̃ mɑ̃talə, ki pεʁmε dɔbeiʁ tʁo fasiləmɑ̃ e sɑ̃ diskysjɔ̃ oz- ɔʁdʁə- dɔne.
sεtə dispozisjɔ̃ pø sə pʁezɑ̃te dɑ̃ də nɔ̃bʁø ka :
yn) la syɡʒεstibilite pø pʁɔvəniʁ də la najvəte e də la kʁedylite. sə sɔ̃ lε pεʁsɔnə ki « avalɑ̃ tut ». mε sə nε pa də la syɡʒεstibilite pʁɔpʁəmɑ̃ ditə.
døks) la syɡʒεstibilite sə manifεstə dɑ̃ sεʁtɛ̃ dezɔʁdʁə- pasaʒe : la ɡʁɑ̃də fatiɡ, lepɥizəmɑ̃ nεʁvø, tus lε dezɔʁdʁəz- emɔtif fəzɑ̃ pεʁdʁə lə kɔ̃tʁolə də swa (ɔ̃ kɔnε lε panik kɔlεktivə ! ) , dɑ̃ lipəʁemɔtivite, (kɔmə lə ʒyʁe ki etε ɑ̃ pʁəmje ljø pεʁsɥade, pɥi ki dəvjɛ̃ syɡʒεstjɔne) . lə plys-o dəɡʁe də la syɡʒεstibilite sə ʁɑ̃kɔ̃tʁə dɑ̃ listeʁi.

ɑ̃ ʁezyme :
yn) la pεʁsɥazjɔ̃ : εllə sə fε a la sɥitə dynə diskysjɔ̃ kɔ̃sjɑ̃tə. otʁɥi εt- alɔʁ kɔ̃vɛ̃ky vɔlɔ̃tεʁəmɑ̃.
døks) la syɡʒεstjɔ̃ : εllə εt- œ̃ fε aksεpte paʁ otʁɥi sɑ̃ ʁεzɔnəmɑ̃ ni diskysjɔ̃. sə fε εt- imedjatəmɑ̃ kɔ̃sideʁe kɔmə ynə veʁite. la syɡʒεstjɔ̃ sadʁεsə a lɛ̃kɔ̃sjεnt (kɔmə dɑ̃ la syɡʒεstjɔ̃ ipnɔtikə, kə nuz- etydjəʁɔ̃. )

εɡzɑ̃plə də syɡʒεstjɔ̃ :
œ̃ də voz- amiz- εt- asi dɑ̃ lə fotəj dy dɑ̃tistə e sybi œ̃ fʁεzaʒə seʁjø. il sə pø kə vu ʁəsɑ̃tje bʁyskəmɑ̃ ynə dulœʁ, swa a lynə də vo dɑ̃, swa ajœʁ. a sə mɔmɑ̃, vu sufʁe dɔ̃k, sɑ̃ kokynə lezjɔ̃ nə ʒystifi sεtə sufʁɑ̃sə. ɔ̃ vu diʁa : « imaʒinasjɔn », alɔʁ kə vu sufʁe ʁeεllmɑ̃. ɔ̃ supsɔnə imedjatəmɑ̃ kə lə sistεmə nεʁvø dwa i εtʁə puʁ kεlkə ʃozə. nu lə veʁɔ̃.
dotʁə paʁ, la syɡʒεstjɔ̃ kɔʁεspɔ̃ suvɑ̃ a ynə ide sə tʁuvɑ̃ ɑ̃ pʁɔfɔ̃dœʁ ʃe lɛ̃dividy. vwaje sə timidə sɔʁtɑ̃ dynə salə u pasə œ̃ film də duɡla fεʁbɑ̃k, il ε fεʁbɑ̃k, il sə sɑ̃ leʒe, dezɛ̃vɔltə, il ʁəɡaʁdə-aʁdime !
sεt ɔmə ε syɡʒεstjɔne… e fεʁbɑ̃kz- a ʁevεje ɑ̃ lɥi œ̃ sɑ̃timɑ̃ ɛ̃kɔ̃sjɑ̃ : lə sɑ̃timɑ̃ də la fɔʁsə kil deziʁə, ɑ̃ kɔ̃tʁə paʁti də sa fεblεsə də timidə. la syɡʒεstjɔ̃ ε dɔ̃k ynə ide ɛ̃tʁɔdɥitə dɑ̃ lə sεʁvo, e aksεpte paʁ lɥi. εllə vizə a kʁee ynə ɛ̃pylsjɔ̃ nɔ̃ kɔ̃sjɑ̃tə, du dekuləʁa laksjɔ̃ u leta i kɔʁεspɔ̃dɑ̃.

lε kɔ̃disjɔ̃ də la syɡʒεstjɔ̃

si la syɡʒεstjɔ̃ εt- ynə ʃozə paʁtikyljεʁə, lε kɔ̃disjɔ̃ dwave lεtʁə eɡaləmɑ̃. e sə nε kə dɑ̃ sε kɔ̃disjɔ̃ kə la syɡʒεstjɔ̃ puʁʁa sə ʁealize.

yn) la syɡʒεstjɔ̃ ʁəlativəmɑ̃ nɔʁmalə

ʒə ʁapεllə lə timidə sɔʁtɑ̃ dy spεktaklə. il deziʁə də la fɔʁsə paʁsə kil sə sɑ̃ fεblə. sə deziʁ sə tʁuvə dɔ̃k o fɔ̃ də lɥi mεmə. fεʁbɑ̃kz- a til syɡʒεstjɔne sə timidə ? nɔ̃. il na fε kə deklɑ̃ʃe lə mekanismə, e lotozyɡʒεstjɔ̃ dy timidə a fε lə ʁεstə. lə deziʁ ε dəvəny ynə kʁwajɑ̃sə tɑ̃pɔʁεʁə ki pʁɔdɥi dεz- aksjɔ̃s (demaʁʃə, ʁəɡaʁ, vwa, ʒεstə, εtseteʁa. )
kɔ̃disjɔ̃ εn dəɡʁe œ̃ : la syɡʒεstjɔ̃ nɔʁmalə dwa kɔʁεspɔ̃dʁə a œ̃ sɑ̃timɑ̃ sə tʁuvɑ̃ deʒa dɑ̃ lɛ̃kɔ̃sjɑ̃ dy syʒε, e puvɑ̃ pʁɔdɥiʁə lɛ̃pylsjɔ̃.
kɔ̃disjɔ̃ εn dəɡʁe dø : il fo kə lə ʁəfy də la syɡʒεstjɔ̃ nə sə fasə pa. ka kuʁɑ̃ : fatiɡ, emɔsjɔ̃, timidite, tʁak, depʁesjɔ̃, panikə, εtseteʁa. ɛ̃si, la ʁezistɑ̃sə mɑ̃talə diminɥ, e lə syɡʒεstjɔnœʁ aʒi fasiləmɑ̃. paʁ εɡzɑ̃plə : si ɔ̃ di a œ̃n- ipəʁemɔtif ɑ̃ plεnə kʁizə də tʁak : «… mɔ̃ djø, kə ty sɑ̃blə mal a lεzə e kə ty ε palə… ! », sεtə syɡʒεstjɔ̃ nə ʁɑ̃kɔ̃tʁəʁa okynə ʁezistɑ̃sə. də plys, εllə tuʃə œ̃ sɑ̃timɑ̃ sə tʁuvɑ̃ deʒa dɑ̃ lə syʒε. e la panikə sə deklɑ̃ʃə imedjatəmɑ̃.
kə fε dɔ̃k lə syɡʒεstjɔnœʁ ? il tizɔnə, il aktivə, il pusə lide ɛ̃kɔ̃sjɑ̃tə. lə syʒε pasə alɔʁz- a loto syɡʒεstjɔ̃. ɔ̃ vwa dɔ̃k kə la syɡʒεstjɔ̃ ε difisilə u ɛ̃pɔsiblə, si lə syʒε εt- ɑ̃ pɔsesjɔ̃ də tus sε mwajɛ̃, il diskytəʁa, ʁεzɔnəʁa, εtseteʁa… e nu ʁətɔ̃bɔ̃ dɑ̃ la pεʁsɥazjɔ̃. la syɡʒεstjɔ̃ nɔʁmalə a dɔ̃k dεz- efε tɑ̃pɔʁεʁə, paʁsə kεllə depɑ̃ dœ̃n- eta tɑ̃pɔʁεʁəmɑ̃ defisjɑ̃.

døks) la syɡʒεstjɔ̃ patɔlɔʒikə

vwasi œ̃ ka, pʁi dɑ̃ lεz- inɔ̃bʁabləz- ɔpsεʁvasjɔ̃ də ʒanε.
iʁεnə, ʒənə famə də vɛ̃t- e œ̃n- ɑ̃, tɔ̃ba ɡʁavəmɑ̃ maladə a la sɥitə də la mɔʁ də sa mεʁə. εllə ʁəfyzε də bwaʁə lo dy ʁɔbinε, paʁsə kεllə pʁetɑ̃dε kə sə ʁɔbinε nə debitε pa də lo, mε dy sɑ̃ ʁuʒə. kɑ̃t- avε kɔmɑ̃se sεtə oto syɡʒεstjɔ̃, sεtə-alysinasjɔ̃ ? kɑ̃t- iʁεnə avε vy, œ̃ ʒuʁ, kule lo ɡutə a ɡutə… « kɔmə lə sɑ̃ dε lεvʁə- də sa mεʁə… ».
loto syɡʒεstjɔ̃ diʁεnə ε dəvənɥ ynə ide fiksə. lide fiksə εt- ynə oto syɡʒεstjɔ̃ puse o maksimɔm. lipnɔtismə ε lə teʁɛ̃ ideal puʁ ɛ̃plɑ̃te ynə ide fiksə dɑ̃ lə sεʁvo də kεlkœ̃. vwasi ynə εkspeʁjɑ̃sə banalə dipnɔtismə :
ynə pεʁsɔnə εt- ɑ̃dɔʁmi. ɔ̃ lɥi syɡʒεʁə, suz- ipnozə, kə lə veʁə kεllə tjɛ̃ ɑ̃ mɛ̃z- ε ʁɑ̃pli do tʁε sale. pɥiz- ɔ̃ la ʁevεjə. εllə bwa sεtə o (ki εt- absɔlymɑ̃ pyʁə ! ) εt la kʁaʃə imedjatəmɑ̃, avεk lε siɲə dy plys pʁɔfɔ̃ deɡu. εllə deklaʁə kə lo εst « afʁøzəmɑ̃ saleə », e ʁjɛ̃, okœ̃ ʁεzɔnəmɑ̃, okynə demɔ̃stʁasjɔ̃ nə puʁʁɔ̃ la kɔ̃vɛ̃kʁə dy kɔ̃tʁεʁə. puʁ sə fεʁə, il fodʁε lɑ̃dɔʁmiʁ a nuvo, e ɔpeʁe la syɡʒεstjɔ̃ ɛ̃vεʁsə.
sεtə pεʁsɔnə a dɔ̃k, paʁ ipnozə, ete atɛ̃tə dide fiksə : lo ε sale. la syɡʒεstjɔ̃ ε vənɥ də lipnɔtizœʁ, εllə ε dəvənɥ ynə kɔ̃viksjɔ̃ absɔlɥ ʃe lipnɔtize, pɥiz- ynə oto syɡʒεstjɔ̃ e ynə ide fiksə. ʒə ʁepεtə kil i a, dɑ̃ tus sε pʁɔsede, œ̃ mekanismə pyʁəmɑ̃ nεʁvø, kə nuz- εɡzaminəʁɔ̃z- ɑ̃ sɔ̃ tɑ̃. la syɡʒεstjɔ̃ nε pa œ̃ miʁaklə, e dε kə lɔ̃ kɔ̃pʁɑ̃ lə pʁɔsede nεʁvø, lə mistεʁə « afɔlɑ̃t » dispaʁε ! …

kε sə kə lide fiksə ?

ɔ̃ pø la kɔ̃sideʁe kɔmə ynə ide vivɑ̃ ən « paʁazitə » dɑ̃ lə psiʃismə ymɛ̃. sεtə ide paʁazitə pɔsεdə syfizamɑ̃ də pɥisɑ̃sə e də kɔ̃stɑ̃sə, puʁ elimine tutə lεz- otʁə. okœ̃ ʁεzɔnəmɑ̃, okynə diskysjɔ̃, nə puʁʁɔ̃ elimine ynə ide fiksə, ki sə mɔ̃tʁə kɔmə œ̃ ʁɔk inebʁɑ̃lablə.
il εɡzistə dε milje dide fiksə, alɑ̃ də lanɔʁmal leʒe o patɔlɔʒikə εkstʁεmə. εllə pəve ɛ̃poze lœʁ pʁezɑ̃sə pɑ̃dɑ̃ œ̃ tɑ̃ kuʁ, lɔ̃, u tʁε lɔ̃. pɑ̃dɑ̃ tutə la vi, paʁfwa… puʁ lə plys ɡʁɑ̃ malœʁ də lɑ̃tuʁaʒə. dε milje dide fiksə pəve dɔ̃k sɛ̃plɑ̃te dɑ̃z- œ̃ sεʁvo ymɛ̃. isi eɡaləmɑ̃, lə patɔlɔʒikə nε kə lεɡzaʒeʁasjɔ̃ dy nɔʁmal, ɑ̃ pʁɔfɔ̃dœʁ e ɑ̃ dyʁe.

lεz- ide fiksə kɔ̃sideʁe kɔmə nɔʁmalə

pʁənɔ̃ tʁwaz- εɡzɑ̃plə :
yn) œ̃ savɑ̃ maʁʃə, e œ̃ pʁɔblεmə lə-ɑ̃tə… sə pʁɔblεmə la ɑ̃vai tut- ɑ̃tje. ki setɔnəʁa də vwaʁ sə savɑ̃ pʁɑ̃dʁə ynə kʁε puʁ ekʁiʁə ɛ̃kɔ̃sjamɑ̃ syʁ ynə otomobilə a laʁε ? ki setɔnəʁa də sa tɔtalə « distʁaksjɔn » ? sə savɑ̃, a sə mɔmɑ̃, εt- ɑ̃ pʁwa a ynə ide fiksə : sɔ̃ pʁɔblεmə ! mε sεtə ide ε tɑ̃pɔʁεʁə, εllə dyʁəʁa ʒyska la ʁezɔlysjɔ̃ də la difikylte… u ʒyska sə kynə vwatyʁə, stɔpɑ̃ nεt a di- sɑ̃timεtʁə- də lɥi, nə lə « ʁevεjə » də sə sɔ̃ʒə evεje.
døks) œ̃ aʁtistə pɔsede paʁ sɔ̃n- œvʁə ɑ̃ ʒεstasjɔ̃, nə saʃɑ̃ e nə vwajɑ̃ kεllə ? ide fiksə eɡaləmɑ̃. aʁtistikə e aɡʁeablə, swa, mεz- ide fiksə tu də mεmə !
tʁwas) sεt ɔmə, ɔpsede paʁ dεz- ɑ̃nɥi menaʒe, kɔmεtɑ̃ fotə syʁ fotə dɑ̃ sɔ̃ tʁavaj, ɑ̃pilɑ̃ lεz- eʁœʁ ? ide fiksə, eɡaləmɑ̃, tɑ̃pɔʁεʁə, dezaɡʁeablə e epɥizɑ̃tə.

lεz- ide fiksə kɔ̃sideʁe kɔmə anɔʁmalə

dɑ̃ lə mɔ̃də aktɥεl, fatiɡe, emɔtif, dε dizεnə də milje dεtʁə- ymɛ̃, kuʃe puʁ la nɥi, sə ʁəlεve. il veʁifje la fεʁmətyʁə dy ʁɔbinε də ɡaz. il sə ʁəkuʃe. pɥiz- œ̃ dutə apaʁε : « ε ʒə bjɛ̃ fεʁme lə ʁɔbinε… ? ». e la ʁεzɔ̃ ʁepɔ̃ : « ui, ty la fεʁme ». mε lafεktivite ɛ̃kɔ̃sjɑ̃tə kɔ̃tinɥ də dute. e sεst « plys fɔʁ køks ». il sə ʁəlεve. veʁifje a nuvo. sə ʁəkuʃe. ɔ̃ puʁʁε kʁwaʁə kə døz- u tʁwa veʁifikasjɔ̃ kɔ̃vɛ̃kʁɔ̃ lœʁ afεktivite ? il nɑ̃n- ε ʁjɛ̃. il sə ʁəlεve ɑ̃kɔʁə, də plysz- ɑ̃ plys fatiɡe, e də mwɛ̃z- ɑ̃ mwɛ̃ kapablə də lyte kɔ̃tʁə sεtə ide fiksə, kil ʁəkɔnεse kɔmə absyʁdə, mε kɔ̃tʁə lakεllə tu lœʁ ʁεzɔnəmɑ̃ nə pø ʁjɛ̃ ! ʒε dɔne isi œ̃n- εɡzɑ̃plə dide fiksə leʒεʁə, suvɑ̃ lje a ynə defisjɑ̃sə pasaʒεʁə, a œ̃ syʁmənaʒə, a ynə ɑ̃ksjete. mε sεt- ynə ide fiksə tu də mεmə, ki ε lə sɛ̃ptomə dœ̃n- eta maladif.
ʒə vudʁε vu pʁezɑ̃te dotʁəz- ide fiksə… mεz- εlləz- εɡziste ɑ̃ tʁo ɡʁɑ̃ nɔ̃bʁə ! il fo bjɛ̃ kɔ̃pʁɑ̃dʁə kil i ɑ̃n- a ynə ɡamə imɑ̃sə, alɑ̃ dy benɛ̃ o tʁε ɡʁavə, dy tɑ̃pɔʁεʁə o dyʁablə. də tutə fasɔ̃, lide fiksə ε tuʒuʁ pʁɔdɥitə paʁ œ̃ mekanismə ɛ̃kɔ̃sjɑ̃.
kεllə sɔ̃ lεz- ide fiksə lε plys kuʁɑ̃tə ? suliɲe tutə lεz- ɔpsesjɔ̃. suliɲe tutə lε fɔbjəs (εt djø sε sil i ɑ̃n- a ! … ) . suliɲe la plypaʁ dεz- ɑ̃ɡwasə. suliɲe lε pətitə mani, lε ɡʁɑ̃də mani, sypεʁfisjεlləz- u pʁɔfɔ̃də. suliɲe lε tik, tɑ̃ kil dəməʁe ɛ̃kɔ̃sjɑ̃z- ət « maʃinoks ». suliɲe lɔpsesjɔ̃ də dəvəniʁ fu, si kuʁɑ̃tə. suliɲe lɔpsesjɔ̃ də tɔ̃be dɑ̃ la ʁy, εtseteʁa, εtseteʁa…
e lɔ̃ pø sə dəmɑ̃de si nɔtʁə bεllə epɔkə, buʁʁe də fatiɡ, də ʁəfuləmɑ̃z- e demɔsjɔ̃z- enεʁvɑ̃tə, nε pa lə bujɔ̃ də kyltyʁə ideal dε ɡʁɑ̃dəz- ide fiksə, dɔ̃ ʒə nə suεtə a pεʁsɔnə dεtʁə atɛ̃, malɡʁe la ɡeʁizɔ̃ pɔsiblə.

linibisjɔ̃ dɑ̃ lide fiksə

lə savɑ̃, kɔ̃sɑ̃tʁe syʁ sɔ̃ pʁɔblεmə, pasə puʁ « distʁεt ». puʁtɑ̃, il nε pa distʁε : il εt- inibe. ʒε paʁle deʒa də linibisjɔ̃ dɑ̃ la fatiɡ e la timidite. si lə savɑ̃ nə ʁəmaʁkə ʁjɛ̃, sε paʁsə kil ε nεʁvøzəmɑ̃ ɛ̃kapablə də vwaʁ u ɑ̃tɑ̃dʁə otʁə ʃozə kə sə ki lə pʁeɔkypə. puʁkwa ? dɑ̃ sɔ̃ sεʁvo, tus lε sɑ̃tʁə- nεʁvø ki nə tʁavaje pa puʁ lə pʁɔblεmə dy mɔmɑ̃ sɔ̃ blɔke.
dɑ̃ lide fiksə, lε sεllylə blɔke nə pəve evidamɑ̃ pʁezɑ̃te lε flyktɥasjɔ̃ nesesεʁə ! e lε mesaʒəz- εksteʁjœʁ nə deklɑ̃ʃe plysz- okynə ʁeaksjɔ̃.
paʁ εɡzɑ̃plə : puʁ sə savɑ̃ ɔpsede, ynə vwatyʁə aʁivɑ̃ syʁ lɥi ɑ̃ klaksɔnɑ̃, nə səʁa pa pεʁsɥ paʁ sɔ̃ sεʁvo, paʁsə kə lide fiksə blɔkə lεz- otʁə- sεllylə nεʁvøzə, ki oʁε nɔʁmaləmɑ̃ ʁeaʒi a loto u a otʁə ʃozə.
e lɔ̃ vwa ɛ̃si kɔ̃bjɛ̃ la dispɔnibilite də lεspʁi, sɑ̃z- ɔpinjɔ̃ ɑ̃kʁe, sɑ̃z- ɔpstinasjɔ̃, sɑ̃z- ɑ̃tεtəmɑ̃, εt- ynə bεllə e sɛ̃tə ʃozə ! …

kɔmɑ̃ sɛ̃plɑ̃tə lide fiksə patɔlɔʒikə ?

o kuʁ dynə ʒuʁne ɔʁdinεʁə, ʃakœ̃ ε bɔ̃baʁde daʁɡymɑ̃tasjɔ̃, dɛ̃sinɥasjɔ̃, də syɡʒεstjɔ̃ də tutə sɔʁtə. alɔʁ, puʁkwa navɔ̃ nu pa tus dεz- ide fiksə ? ʒə dwa, a nuvo, etabliʁ ynə difeʁɑ̃sə ɑ̃tʁə :
yn) lide pʁedɔminɑ̃tə dy mɔmɑ̃,
e
døks) lide fiksə pʁɔpʁəmɑ̃ ditə (patɔlɔʒikə)
si lide fiksə sɛ̃stalə, sε kə « kεlkə ʃozə », dɑ̃ leta dy syʒε, lɥi pεʁmε də lə fεʁə.
dø kɔ̃disjɔ̃z- ɑ̃tʁe ɑ̃ ʒø :
a) la syɡʒεstjɔ̃,
b) leta fizikə e mɑ̃tal dy syʒε o mɔmɑ̃ u il ʁəswa sεtə syɡʒεstjɔ̃.
puʁ apaʁεtʁə, lide fiksə dəmɑ̃də ynə devjasjɔ̃ də lekilibʁə-abitɥεl dy sεʁvo, swa paʁ pʁedispozisjɔ̃, syʁmənaʒə ɛ̃tɑ̃sif, ɛ̃fεksjɔ̃, emɔsjɔ̃, εtseteʁa. mεz- εllə sɛ̃plɑ̃tə syʁtu, ʒə lə ʁepεtə, kɑ̃t- εllə εɡzaʒεʁə œ̃ faktœʁ afεktif pʁeεksistɑ̃. ʒə ʁəpʁɑ̃z- ɑ̃kɔʁə lεɡzɑ̃plə dy timidə sɔʁtɑ̃ dy sinema. la syɡʒεstjɔ̃ ɔpeʁe paʁ lə film ε dəvənɥ ynə oto syɡʒεstjɔ̃. mε sεtə syɡʒεstjɔ̃ na fε kə « puse ɑ̃n- avɑ̃t » œ̃ eta εɡzistɑ̃ : œ̃ ɡʁɑ̃ deziʁ dεtʁə fɔʁ, syʁ də swa, a lεzə, εtseteʁa.
lide fiksə pø εtʁə :
a) kɔ̃sjɑ̃tə. œ̃n- ɔpsede sε tʁε bjɛ̃ kil εt- atɛ̃ dide fiksə ! … pɥiskil lytə kɔ̃tʁə εllə avεk sa ʁεzɔ̃… sɑ̃ syksε dajœʁ.
b) ɛ̃kɔ̃sjɑ̃tə. sə fy lə ka diʁεnə. sεt- osi lə ka dynə ide fiksə pʁɔdɥitə paʁ syɡʒεstjɔ̃ ipnɔtikə. mε, də tutə fasɔ̃, la kozə pεʁmεtɑ̃ lapaʁisjɔ̃ də lide fiksə ε tuʒuʁz- ɛ̃kɔ̃sjɑ̃tə.
lipnɔtismə pø pʁɔdɥiʁə ynə ide fiksə, dy mwɛ̃ ʃe sεʁtɛ̃. mε pø tɔ̃ diʁə kə tutə lε pεʁsɔnə ki ɑ̃ sɔ̃t- atɛ̃tə fyʁe ipnɔtize ? nɔ̃, evidamɑ̃ ! alɔʁ, pɥiskə lide na pa ete ɛ̃plɑ̃te də lεksteʁjœʁ, kɔmɑ̃ loto syɡʒεstjɔ̃ pø tεllə ʒue a sə pwɛ̃ ? kɔmɑ̃, paʁ εɡzɑ̃plə, œ̃ ʃɔk emɔsjɔnεl ɡʁavə pø til pεʁsiste e pʁɔvɔke ynə ide fiksə, œ̃ tik, ynə fɔbi, ynə ɔpsesjɔ̃, εtseteʁa. ? nu lə veʁɔ̃z- ɑ̃n- etydjɑ̃ ʒanε.

əmilə kue e lə matʃ ɛ̃teʁjœʁ…

əmilə kue (mijə ɥi sɑ̃ sɛ̃kɑ̃tə sεt tiʁε milə nəf sɑ̃ vɛ̃t- siks) , malɡʁe lε bazə tʁεz- elemɑ̃tεʁə də sa metɔdə, y œ̃ ɡʁɑ̃ meʁitə. il mit ɑ̃ pʁatikə loto syɡʒεstjɔ̃, kil kɔ̃sideʁε dɔ̃k kɔmə ynə syɡʒεstjɔ̃ vənɑ̃ dy maladə lɥi mεmə.
nu savɔ̃ səsi : dɑ̃ lε maladi psikɔlɔʒik, lə ʁεzɔnəmɑ̃ kɔ̃sjɑ̃ nə sεʁ pa a ɡʁɑ̃ ʃozə. ni laʁɡymɑ̃tasjɔ̃ ʁεzɔnablə, ni la pεʁsɥazjɔ̃. paʁ εɡzɑ̃plə : œ̃ ɡʁɑ̃ timidə sə dɔnə sɑ̃ sεsə də bɔnə ʁεzɔ̃ də nεtʁə pa timidə, il tɑ̃tə də sə kɔ̃vɛ̃kʁə a ɡʁɑ̃ ku də puiŋ mɔʁo. səla ɑ̃pεʃə til lε kʁizə dɛ̃timidasjɔ̃ ? nɔ̃… bjɛ̃ o kɔ̃tʁεʁə ! a plys fɔʁtə ʁεzɔ̃, linytilite dy ʁεzɔnəmɑ̃ eklatə dɑ̃ lεz- ɔpsesjɔ̃, lε fɔbi, lεz- ɑ̃ɡwasə, εtseteʁa.
œ̃ psikɔlɔɡ sε dɔ̃k kil εt- inytilə də « ʁεzɔnəʁ » œ̃ maladə psikɔlɔʒikə. e kil səʁε ʁidikylə də lɥi diʁə kə sɔ̃ kɔ̃pɔʁtəmɑ̃ εt- absyʁdə, puʁ tεllə u tεllə ʁεzɔ̃, e kil dwat « fεʁə œ̃n- efɔʁt », εtseteʁa. tʁo də maladə psikɔlɔʒik sɔ̃t- ɑ̃ bytə a lɛ̃kɔ̃pʁeɑ̃sjɔ̃ a kozə də səla, ʒystəmɑ̃ ! tutə la ʒuʁne, ɔ̃ lœʁ lɑ̃sə a la tεtə lε nɔsjɔ̃ də vɔlɔ̃te, sɑ̃ sɔ̃ʒe kə sεtə fakylte ε fose o depaʁ. puʁkwa ? paʁsə kə lə mekanismə nεʁvø ki pεʁmε la vɔlɔ̃te ε fose. səla ʁəvjɛ̃dʁε a dəmɑ̃de a œ̃ vjɔlɔnistə də ʒue lə mi, syʁ ynə kɔʁdə akɔʁde syʁ lə fa. sə vjɔlɔnistə vø bjɛ̃ ʒue, lɥi… mε sɔ̃n- aʁʃε fε sɔʁtiʁ lə fa. fo til dɔ̃k kʁje, yʁle, lə mepʁize, lə puse a tutə fɔʁsə a ʒue sə famø mi ? nɔ̃, il fo pʁɑ̃dʁə lə vjɔlɔ̃… e ʁeaʒyste la kɔʁdə syʁ la nɔtə « mi ».
tutə manifεstasjɔ̃ də vɔlɔ̃te ʁeεllə dəmɑ̃də, puʁ sə manifεste, dε kɔ̃disjɔ̃ də bazə. zbɛ̃dɛ̃ deklaʁε : « ʁεzɔne foz- εt- œ̃ visə osi fynεstə kə pʁɑ̃dʁə də la mɔʁfinə u də la kɔkajnə… ». kεt- a diʁə ? si ʁεzɔnəʁ « ʒystə » εst lə ʁezylta dynə afεktivite « ʒystə », ʁεzɔnəʁ « foks » εst lə ʁezylta dynə afεktivite « fosə ». maləʁøzəmɑ̃, ɔ̃ lubli nəf fwa syʁ dis… e ʒə sɥiz- ɔptimistə !
si lafεktivite ɛ̃kɔ̃sjɑ̃tə dit « nɔ̃ ! », lə ʁεzɔnəmɑ̃ a bo sepɥize a diʁə « ui ! », sε lafεktivite ki ɡaɲəʁa a ʃakə ku. lεtʁə nɔʁmal lə kɔ̃pʁɑ̃ ʁaʁəmɑ̃. puʁkwa ? paʁsə kə, ʃe lɥi, ʁεɲə œ̃n- akɔʁ ɑ̃tʁə sa vɔlɔ̃te, sɔ̃ deziʁ, e sɔ̃n- afεktivite. il i a akɔʁ ɑ̃tʁə sɔ̃ vulwaʁ e sɔ̃ puvwaʁ. mε naʁivə til pa kil sɑ̃tə paʁfwaz- ɑ̃ lɥi ynə sɔʁtə də tiʁajmɑ̃, akɔ̃paɲe dɑ̃ɡwasə ? paʁsə kə « kεlkə ʃozə » lə pusə a fεʁə lə kɔ̃tʁεʁə də sə kil vudʁε ? kɑ̃n- imaʒinasjɔ̃ il oɡmɑ̃tə sεtə kɔ̃tʁadiksjɔ̃, kil laɡʁɑ̃disə ɑ̃ dyʁe, ɑ̃n- ɛ̃tɑ̃site e ɑ̃ pʁɔfɔ̃dœʁ, pø tεtʁə alɔʁ kɔ̃pʁɑ̃dʁa til !
dɔ̃k, pɥiskə tutə maladi psiʃikə εt- a bazə afεktivə, tu tʁεtəmɑ̃ psikɔlɔʒikə dəvʁa vize lafεktivite. sε la kə sə tʁuvəʁa, tapi dɑ̃ lɔ̃bʁə, lə kɑ̃se psikɔlɔʒikə.
kue a dɔ̃k tɑ̃te də lə fεʁə, lɔʁskil deklaʁε : « kɑ̃ limaʒinasjɔ̃ e la vɔlɔ̃te sɔ̃t- ɑ̃ lytə, sε limaʒinasjɔ̃ ki lɑ̃pɔʁtə, sɑ̃z- okynə εksεpsjɔ̃… ». kue atʁibɥε dɔ̃k œ̃ ʁolə kapital o psiʃismə ɛ̃kɔ̃sjɑ̃, kil apəlε imaʒinasjɔ̃. bjɛ̃ syʁ, sa metɔdə etε ʁydimɑ̃tεʁə, εllə tɑ̃tε delimine ynə syɡʒεstjɔ̃ maladivə paʁ ynə kɔ̃tʁə syɡʒεstjɔ̃ sεnə. œ̃n- ɔʁdʁə e œ̃ kɔ̃tʁə ɔʁdʁə, ɑ̃ sɔmə. ɔ̃ kɔnε sεtə metɔdə selεbʁə, kue dəmɑ̃dε o maladə də ʁepete suvɑ̃, mεmə sɑ̃z- i kʁwaʁə, mε də manjεʁə a ɛ̃pʁesjɔne lɔʁεjə : « tus lε ʒuʁz- a tus pwɛ̃ də vɥ, ʒə vε də mjøz- ɑ̃ mjø… ».
sε paʁɔlə, ʁepete mekanikəmɑ̃, dwave ɛ̃si sə kanalize vεʁ lɛ̃kɔ̃sjεnt (afεktivite) , e sεt ɛ̃kɔ̃sjɑ̃, finaləmɑ̃ kɔ̃vɛ̃ky paʁ ʁeflεksə, pusə la pεʁsɔnə a aʒiʁ nɔʁmaləmɑ̃, ʁasjɔnεllmɑ̃ e vɔlɔ̃tεʁəmɑ̃.
sεtə metɔdə ε ʁydimɑ̃tεʁə, paʁsə kεllə nɑ̃vizaʒə kə lε sɛ̃ptoməz- ɑ̃ blɔk. εllə nɑ̃vizaʒə kə la sufʁɑ̃sə ʁəsɑ̃ti, e neliminə kə tʁε ʁaʁəmɑ̃ lε tɑ̃dɑ̃sə pʁɔfɔ̃də. la metɔdə kue ʁεstə evidamɑ̃ dɑ̃ la liɲə də la syɡʒεstjɔ̃, la pεʁsɔnə ɑ̃tɑ̃t- ynə vwaks (la sjεnə) lɥi syɡʒeʁe ynə ameljɔʁasjɔ̃, e sεtə kɔ̃viksjɔ̃ dəvjɛ̃ də loto syɡʒεstjɔn (εt sεtə oto syɡʒεstjɔ̃ dəvjɛ̃ ynə kɔ̃viksjɔn) .
il ε tʁo banal də diʁə ɑ̃kɔʁə, (εn ʁəɡaʁ dε dekuvεʁtə- də la psikɔlɔʒi mɔdεʁnə e də la medəsinə psiko sɔmatikə) , kə lεspʁi afεktə lə kɔʁ, e ki, si lεspʁi pø deklɑ̃ʃe ynə maladi… sə mεmə εspʁi pø la ɡeʁiʁ. (paʁ « εspʁit », il fo ɑ̃tɑ̃dʁə « sεʁvo ») səla εt- œ̃ fε. nu veʁɔ̃ dajœʁ kə tu lɔʁɡanismə ε su lə kɔ̃tʁolə dy sεʁvo. e paʁ la, la metɔdə kue ε paʁfεtəmɑ̃ aksεptablə.

si vu deziʁe pʁatike lotozyɡʒεstjɔ̃

lotozyɡʒεstjɔ̃, kɔmə la syɡʒεstjɔ̃ vənɑ̃ dotʁɥi, εt- œ̃n- εksεllɑ̃ mwajɛ̃ dedyke laksjɔ̃ e la vɔlɔ̃te. ʒə siɲalə kə lotozyɡʒεstjɔ̃ nə sadʁεsə pa ka dε maladə ! bjɛ̃ o kɔ̃tʁεʁə. lotozyɡʒεstjɔ̃ bjɛ̃ fεtə depozə dɑ̃ lɛ̃kɔ̃sjɑ̃ də nuvεlləz- enεʁʒi, e i ɡʁupə də nuvεllə lysidite. εllə εt- œ̃ bɔ̃ mwajɛ̃ dεkstɑ̃sjɔ̃ e də ʁɑ̃fɔʁsəmɑ̃ də la pεʁsɔnalite. εllə pεʁmε lə ʁədʁəsəmɑ̃ dε defisjɑ̃səz- afεktivə. ʒə ʁepεtə ɑ̃kɔʁə : lə sεʁvo pɔsεdə syʁ lə kɔʁz- œ̃ puvwaʁ kazi diktatɔʁjal…

lε kɔ̃disjɔ̃ də lotozyɡʒεstjɔ̃

il fo kɔ̃sideʁe lotozyɡʒεstjɔ̃ kɔmə ynə fɔʁmə də meditasjɔ̃, e nɔ̃ pa də kɔ̃sɑ̃tʁasjɔ̃. la meditasjɔ̃ εt- œ̃ flɔtəmɑ̃ də lεspʁi, ynə uvεʁtyʁə pasivə e kalmə, εllə pεʁmε sɑ̃z- efɔʁ lɑ̃tʁe dεz- idez- e dε sɑ̃sasjɔ̃. tɑ̃di kə la kɔ̃sɑ̃tʁasjɔ̃ εt- œ̃n- efɔʁ poze syʁ œ̃ pwɛ̃. nuz- avɔ̃ vy kə la kɔ̃sɑ̃tʁasjɔ̃ ɑ̃dɔʁ ynə ɡʁɑ̃də paʁti dy sεʁvo, εllə eliminə dɔ̃k, dɔfisə, dε sɑ̃tεnə də sɑ̃sasjɔ̃ puvɑ̃ εtʁə ytilə…
ɔpstaklə… e ɔpstaklə də tajə ! lə dɔktœʁ dybwa, də bεʁnə, dɔnε a sε maladə də tʁεz- εksεllɑ̃ kɔ̃sεj, « ekaʁte tus vo tʁaka… elimine tus vo susi… ɑ̃ləve vo pʁeɔkypasjɔ̃… tuʁne vɔtʁə εspʁi vεʁ lε syʒε plεzɑ̃… , εtseteʁa… ».
mε, kɔmə di ʒanε : «… sεt- evidamɑ̃ tʁε ʒɑ̃til, mεz- œ̃ pø iʁɔnikə kɑ̃t- il saʒi də pεʁsɔnəz- ɛ̃kapablə də diʁiʒe lœʁ pɑ̃se. kɑ̃t- il sɔ̃t- imɔbilə dɑ̃ lœʁ li, il sə fɔʁʒe kɔ̃tinɥεllmɑ̃ dε ʃimεʁə, il sepɥize ɑ̃ kalkylz- e ɑ̃ kɔ̃binεzɔ̃ difisilə… »
sə ki ε levidɑ̃sə mεmə ! otɑ̃ diʁə a œ̃n- ɔpsede : «… nə sɔ̃ʒe plysz- a vɔtʁə ɔpsesjɔ̃… », u a œ̃n- aʒite : «… mε swaje kalmə, vwajɔ̃, tʁε kalmə ! … ».
sε, nε sə pa, œ̃ pø ɑ̃fɑ̃tɛ̃.

kɔmɑ̃ elimine sεt ɔpstaklə ?

εde a sə kə lide maladivə sekaʁtə o maksimɔm də lεspʁi. il fo dɔ̃k tuʃe, otɑ̃ kə pɔsiblə, lε sɑ̃tʁə- nεʁvø də lɛ̃kɔ̃sjɑ̃, ɑ̃ lεsɑ̃t « flɔtəʁ » lə kɔ̃sjɑ̃. ynə detɑ̃tə ε dɔ̃k absɔlymɑ̃ ɛ̃dispɑ̃sablə. kɔmɑ̃ ɔptəniʁ sεtə detɑ̃tə ? lə kɔʁ dwa εtʁə kuʃe e imɔbilə. dε tεknik spesjaləz- εɡziste, ki ʁəlaʃə pʁɔɡʁesivəmɑ̃ e kɔ̃plεtəmɑ̃ lε mysklə, εllə dwave εtʁə kɔ̃dɥitə paʁ œ̃ spesjalistə. sɑ̃tiʁ ɑ̃sɥitə lε mɑ̃bʁə- saluʁdiʁ, lœ̃n- apʁε lotʁə. fεʁme lεz- iø, ɑ̃ lεsɑ̃ flɔte lε popjεʁə. aʁive ɛ̃si a œ̃n- eta də tɔʁpœʁ, e a la sɑ̃sasjɔ̃ də plane o dəsy də sɔ̃ kɔʁ. lɑ̃dʁwa dwa εtʁə, evidamɑ̃, silɑ̃sjøz- e ɔpskyʁ. ɔ̃ nə kɔ̃swa pa la meditasjɔ̃ paʁmi lə bʁɥi !

kεl ε lə mεjœʁ mɔmɑ̃ ?

puʁ lε pεʁsɔnə nεjɑ̃ pa lɑ̃tʁεnəmɑ̃ a la detɑ̃tə myskylεʁə, ʃwaziʁ lə mɔmɑ̃ u lə melɑ̃ʒə kɔ̃sjɑ̃ tɛ̃kɔ̃sjɑ̃ sakɔ̃pli pʁεskə otɔmatikəmɑ̃. sεt- a diʁə dɑ̃ la tɔʁpœʁ, dɑ̃ la sɔmnɔlɑ̃sə ki pʁesεde lə sɔmεj. u bjɛ̃ dɑ̃ la tɔʁpœʁ ki sɥi lə ʁevεj, kɑ̃ lεspʁi kɔmɑ̃sə a kapte lε ʃozə kil ʁəvwa.
ɔpstaklə : boku də syʒε naʁive ʒamεz- a la tɔʁpəʁ (aʒite, ɔpsede, ɛ̃sɔmnjak, εtseteʁa. ) . suliɲe lɛ̃tεʁvɑ̃sjɔ̃ də medikamɑ̃z- ε dɔ̃k paʁfwa nesesεʁə. də tutə fasɔ̃, lapʁɑ̃tisaʒə də la detɑ̃tə pʁɔfɔ̃də dwa εtʁə kɔ̃dɥi paʁ œ̃ spesjalistə.
ɑ̃sɥitə ? leta də tɔʁpœʁ atɛ̃t (sɑ̃sasjɔ̃ dɑ̃ɡuʁdisəmɑ̃ e də flɔtəmεnt) , e libʁə də tutə pʁeɔkypasjɔ̃, ɛ̃tʁɔdɥiʁə lide ytilə dɑ̃ lə sybkɔ̃sjɑ̃. sεtə ide səʁa, puʁ lε maladə, evidamɑ̃ ɔpoze a lœʁ eta defisjɑ̃. nə ʒamε kɔ̃dɥiʁə sεtə meditasjɔ̃ flɔtɑ̃tə ʒyska la kɔ̃sɑ̃tʁasjɔ̃. dε kə lefɔʁ apaʁε, labɑ̃dɔ̃ sɛ̃pozə.

ia til œ̃ mɔmɑ̃ ideal ?

ui, mε difisilə a atɛ̃dʁə sɑ̃z- ɑ̃tʁεnəmɑ̃. il nə fo pa kə lə kɔ̃sjɑ̃ e lə sybkɔ̃sjɑ̃ swae tʁo sepaʁe : la syɡʒεstjɔn (ki dwa ʁεste vɔlɔ̃tεʁə) , pεʁdʁε evidamɑ̃ də sɔ̃n- efikasite. (nə pa ublje kə lə kɔ̃sjɑ̃ e lə sybkɔ̃sjɑ̃ ʁəpoze syʁ lə tʁavaj də sεʁtɛ̃ sɑ̃tʁə- nεʁvø. ) avɑ̃ datɛ̃dʁə lə plɑ̃ dy ʁεvə, lə sεʁvo plɔ̃ʒə dɑ̃ la sɔmnɔlɑ̃sə. mεz- il dəməʁə kɔ̃sjɑ̃, sɑ̃z- ide pʁeɔkypɑ̃tə tutəfwa. ʃakœ̃ kɔnε leta də dəmi sɔmεj, sεt etat « a ʃəval » syʁ lə ʁεvə e la ʁealite. a sə mɔmɑ̃, lɔmə (ki opaʁavɑ̃ etε aktəʁ) , dəvjɛ̃ spεktatœʁ. il sεsə də ʒue lə ʒø, puʁ pase a la kɔ̃tɑ̃plasjɔ̃ dy ʒø. il asistə alɔʁz- a ynə sɔʁtə də sinema sə deklɑ̃ʃɑ̃ dəvɑ̃ sεz- iø. il ʁəɡaʁdə ynə syksesjɔ̃ dimaʒə nə kɔʁεspɔ̃dɑ̃ pʁεskə plysz- o ʁeεl. il sε kil nə ʁεvə pa, pɥiskil dəməʁə kɔ̃sjɑ̃. lə tik tak dynə ɔʁlɔʒə, lə bʁɥi də la ʁy, lə kʁakəmɑ̃ dynə pɔʁtə, labwaəmɑ̃ dœ̃ ʃjɛ̃ lɥi paʁvjεne dɑ̃z- ynə klaʁte e ynə ɛ̃tɑ̃site paʁfεtə. il lɥi sɑ̃blə flɔte o dəsy də la vi, e o dəsy də sɔ̃ kɔʁ. sə fenɔmεnə ε dajœʁ pʁɔfɔ̃demɑ̃ aɡʁeablə. lεz- imaʒəz- e lε sɑ̃sasjɔ̃ defile, kɔmə œ̃ desɛ̃ anime, avεk dεz- absyʁdite kə lɔmə aksεptə kɔmə natyʁεllə. il pø mεmə diʁiʒe lεz- imaʒə, sypʁime tεl pεʁsɔnaʒə, lə ʁɑ̃plase paʁ œ̃n- otʁə, εtseteʁa. sε lə mɔmɑ̃ ideal puʁ la pʁatikə də la syɡʒεstjɔ̃.
dɔ̃k : atɑ̃dʁə kə la vaɡ dinibisjɔ̃ ε pʁεskə sybmεʁʒe lekɔʁsə seʁebʁalə, sjεʒə də la kɔ̃sjɑ̃sə vɔlɔ̃tεʁə. leta ɔptəny səʁa œ̃n- eta də ʁεvəʁi, avεk ʃɑ̃ də kɔ̃sjɑ̃sə maksimɔm, (tɑ̃di kə dɑ̃ la kɔ̃sɑ̃tʁasjɔ̃, lə ʃɑ̃ də kɔ̃sjɑ̃sə ʁetʁesi kɔ̃sideʁabləmɑ̃. )
otʁə- mwajɛ̃ : boku plys pɥisɑ̃. mε lə kɔ̃kuʁ dœ̃ psikɔlɔɡ εt- ɛ̃dispɑ̃sablə. ynə pʁɔʒεksjɔ̃ dimaʒə sɛ̃bɔlik pø sə fεʁə, mε nuz- ɑ̃tʁɔ̃z- isi dɑ̃ lə dɔmεnə də la psikɔlɔʒi dε ɡʁɑ̃də pʁɔfɔ̃dœʁ. ʒɑ̃ ʁəpaʁləʁε plys lwɛ̃, o ʃapitʁəs « sɛ̃bɔləs » ət « ʁεvə evεje ».

kamεnə la pʁatikə də lotozyɡʒεstjɔ̃ ?

εllə ɔfʁə lavɑ̃taʒə də pʁepaʁe ynə atitydə mɑ̃talə benefikə. εllə pø aʒiʁ syʁ lə kɔʁ, (il εɡzistə a sεt eɡaʁ dε milje də ka klasikəs) .
vwasi œ̃n- εɡzɑ̃plə pʁi dɑ̃z- œ̃n- opital : suliɲe œ̃n- ɔmə, maladə dəpɥi lɔ̃tɑ̃, sɑ̃blə sufʁiʁ dy kɑ̃se e il ɑ̃n- ɔfʁə tus lε sɛ̃ptomə. lɔpeʁasjɔ̃ ε deside, e lə ʃiʁyʁʒjɛ̃ uvʁə lə vɑ̃tʁə dy pasjɑ̃. il i tʁuvə dεz- ɛ̃tεstɛ̃ tʁεz- ɛ̃paʁfε, mε nylə tʁasə də kɑ̃se. lεz- analizə sə fɔ̃ : nylə tʁasə də kɑ̃se. lε medəsɛ̃ sɔ̃ stypefε, tus lε sɛ̃ptomə dɔ̃ sufʁε sεt ɔmə etε puʁtɑ̃ sø də la teʁiblə maladi…
kə setε til pase ? il səʁε tʁo lɔ̃ də ʁakɔ̃te ɑ̃ detaj la vi atʁɔsə də sə povʁə ɔmə. vi də malʃɑ̃sə, də sɔlitydə, dabɑ̃dɔ̃, də povʁəte fizikə, də ɡʁɑ̃də mizεʁə mɔʁalə.
œ̃ ʒuʁ, il tɔ̃bə maladə. sɑ̃ ʁəsuʁsə, il ε ɔspitalize. a sə mɔmɑ̃, dɑ̃ la ʃɑ̃bʁə kɔmynə, e puʁ la pʁəmjεʁə fwa də sa lamɑ̃tablə vi, lɔmə sə sɑ̃ œʁø. il ε paʁmi dotʁə- pεʁsɔnə ki sufʁe, e ʃakœ̃ sε kɔ̃bjɛ̃ la sufʁɑ̃sə kɔmynə ʁeyni lεz- ɔmə… vwasi lε medəsɛ̃, afablə, patεʁnεl, suʁjɑ̃. vwasi lεz- ɛ̃fiʁmjεʁə kɔ̃pʁeɑ̃sivə, o mɛ̃ dusə. vwasi œ̃ li, nɔ̃ də sɔlitydə e də mizεʁə, mεz- ymɛ̃. vwasi ynə sekyʁite mɑ̃talə e mateʁjεllə. e lə mekanismə ɛ̃kɔ̃sjɑ̃ sə mεt ɑ̃ maʁʃə. « il fo kə ty ʁεstəz- isi… ty dwa kɔ̃tinɥe a εtʁə maladə, də plysz- ɑ̃ plys maladə… ty nə dwa pa sɔʁtiʁ disi u ty ε œʁø… ». suliɲe lotozyɡʒεstjɔ̃ kɔmɑ̃sε, lɑ̃sinɑ̃tə, pɥisɑ̃tə, kɔ̃tinɥεllə. e lə nɔ̃ maladə dəvɛ̃ maladə. lε sɛ̃ptomə dy kɑ̃se sə mɔ̃tʁεʁe, də plysz- ɑ̃ plys vjɔlɑ̃, ʒyska lɔpeʁasjɔ̃ inytilə… lə « kɑ̃səʁ » ʁεpʁezɑ̃tε, puʁ sεt ɔmə, ynə « sekyʁite » idealə. e sə ka mɔ̃tʁə bjɛ̃ la pɥisɑ̃sə dy sεʁvo, ɛ̃si kə nu lə veʁɔ̃z- ɑ̃ medəsinə psiko sɔmatikə.
suliɲe vu kɔnεse lə məsjø atɛ̃ dy « mal də mεʁ ? »
lə bato εt- a kε, e lə məsjø ʁəpozə dɑ̃ sa kabinə. la nɥi tɔ̃bə. o miljø də sεtə nɥi, dε bʁɥi də mɔtœʁ tʁavεʁse la paʁwa. « lə naviʁə εt- ɑ̃ mεʁ… » sə di lə məsjø. e tu kɔmɑ̃sə : noze, vɔmisəmɑ̃, ɑ̃ɡwasə pʁɔfɔ̃də, deziʁ də muʁiʁ… ɔ̃tø, lə məsjø sə teʁə e sufʁə ɑ̃ silɑ̃sə ʒysko matɛ̃. mε vwasi kil sə lεvə, ʒεtə œ̃ ku dɔεj paʁ lə yblo… lə naviʁə na pa buʒe !
lə puvwaʁ də la syɡʒεstjɔ̃ ε bjɛ̃ kɔny. mε nεt- il pa bɔ̃ də lə ʁapəle də tɑ̃z- a otʁə ?
ɔ̃ kɔ̃swa dɔ̃k sɑ̃ pεnə la pɥisɑ̃sə dynə syɡʒεstjɔ̃ bjɛ̃ fεtə, dɑ̃ dε kɔ̃disjɔ̃ la pεʁmεtɑ̃. lεz- εɡzεʁsisə mɑ̃to pεʁsɔnεl dwave, evidamɑ̃, εtʁə ʁepete ʃakə ʒuʁ, syʁtu si la pεʁsɔnə nə pɔsεdə kœ̃ ʁydime də tεknikə.

kə pø tʁεte la syɡʒεstjɔ̃ ?

ʒə vø paʁle isi də syɡʒεstjɔ̃ ɑ̃ pʁɔfɔ̃dœʁ, tεknikə spesjalə kynə pεʁsɔnə sələ nə pø pa ɑ̃plwaje sɑ̃z- ɑ̃tʁεnəmɑ̃. paʁmi lε ka kuʁɑ̃ : lɛ̃pɥisɑ̃sə sεksɥεllə, la fʁiʒidite femininə, lε pœʁ, lε fɔbi, lεz- ɑ̃ɡwasə, lεz- ɛ̃sɔmni, lε tik, lεz- abitydə nɔsivə, la « fεblεsə də kaʁaktεʁə », sεʁtɛ̃ tʁublə də la po, e də nɔ̃bʁøzə maladiz- isteʁik.
e lɔ̃ vwa dɔ̃k kə, malɡʁe sɔ̃ kaʁaktεʁə elemɑ̃tεʁə, la metɔdə tʁuve paʁ əmilə kue pozε dε bazə puʁ la psikɔlɔʒi də dəmɛ̃… salyɔ̃ dɔ̃k, e kɔ̃tinyɔ̃.

a sɥivʁə…
Syllabes Phonétique : La Spéléologie Du Mental * (I)as=te=ʁiskə=sə=lɔ̃=lə=li=vʁə=ləs=pʁɔ=di=ʒjø=zə=vik=twa=ʁə=də=la=psi=kɔ=lɔ=ʒjə=paʁ=pje=ʁə=da=ko=εd=ma=ʁa=bu=ɛ̃=pʁe=sjɔ̃=a=ʃə=ve=ɑ̃=dø=milə 40

1

i=kʁø=zœʁ=də=ɡalə=ʁi=ze=ta=jœʁ=də=pje=ʁə 12

mεs=me=e=lip=nɔ=tis=mə 7

tʁwaʒə=nə=fa=mə=sa=ʒi=tε=dɑ̃=dεk=stʁa=ɔʁ=di=nε=ʁə=kɔ̃=vyl=sjɔ̃=εl=lə=ze=tε=tɔ̃=be=za=la=ʁɑ̃=vεʁ=sə=a=ʒi=te=də=ʁi=ʁə=spas=mɔ=dik=ze=dəɔ=kε=pɥi=sɑ̃=la=kʁi=zə=nεʁ=vø=zə=e=kla=tε 51
tudə=swa=vε=ty=œ̃=nɔ=mə=ʁə=ɡaʁ=dε=sεt=ɔ=məe=tε=ɡʁɑ̃=pʁε=tʁə=də=sə=ljø=mis=te=ʁjø=lɔp=sky=ʁi=te=dɑ̃=la=ʃɑ̃=bʁə=e=tε=ka=zi=tɔ=ta=lə=lε=fə=nε=tʁə=ʁə=ku=vεʁ=tə=de=pε=ʁi=do=ku=pε=lε=ʁε=jɔ̃=dy=sɔ=lεj=e=mεs=me=pε=ʁə=dy=ma=ɲe=tis=mə=a=ni=mal=pjɔ=nje=də=lip=nɔ=tis=mə=tə=nɑ̃=a=la=mɛ̃=y=nə=ba=ɡε=tə=me=ta=li=kə=sɔ̃=ʒε 94
lε=tʁwaʒə=nə=fa=mə=ze=tε=ɑ̃=plε=nə=kʁi=zə=o=sɑ̃=tʁə=də=la=ʃɑ̃=bʁə=mi=ʁa=ky=lø=zə=tʁo=nε=œ̃=ba=kε=də=bwa=a=lɛ̃=te=ʁjœʁ=də=lo=dy=ve=ʁə=pi=le=də=la=li=majə=sɔʁ=tɑ̃=dy=ba=kε=paʁ=lε=tʁus=dy=ku=vεʁ=klə=dε=ti=ʒə=də=fεʁ=suplə 64
lε=pa=sjɑ̃=pe=ne=tʁε=dɑ̃sə=tɑ̃=pləɑ̃=ɡʁɑ̃=də=se=ʁe=mɔ=ni=ɔ̃=nɑ̃=tɑ̃=dε=dε=sɔ̃=me=lɔ=djø=lə=si=lɑ̃=sə=dε=ma=la=də=ze=tε=tɔ=tal=e=ʃa=kœ̃=dø=za=py=i=ε=y=nə=ti=ʒə=də=fεʁ=syʁ=lɑ̃=dʁwa=ma=ladə 55
pɥi=mεs=me=a=pa=ʁε=sε=dɑ̃=sa=ʁɔbə=da=pa=ʁa=il=pa=sε=lɑ̃=tə=mɑ̃=də=vɑ̃=lε=ma=la=də=ɑ̃=lε=fik=sɑ̃=dε=ziø=il=pʁɔ=mə=nε=sa=ba=ɡε=tə=syʁ=lœʁ=kɔʁ=sε=ta=lɔʁ=kə=lε=tʁwa=ʒə=nə=fa=mə=tɔ̃=bε=ʁe 55
e=mεs=me=ma=ɲe=ti=zœʁ=e=ɡe=ʁi=sœʁ=ʁə=vwa=sa=vi 15
milə=sεt=sɑ̃=tʁɑ̃=tə=ka=tʁə=il=nε=a=ʁa=dɔl=fzεll=syʁ=lə=lak=də=kɔ̃s=tɑ̃=sə=sɔ̃=pε=ʁə=œ̃=ɡaʁ=də=fɔ=ʁεs=tje=a=di=zɑ̃=sɥi=vɑ̃=lə=de=ziʁ=də=sa=mε=ʁə=il=ɑ̃=tʁəo=mɔ=nas=tε=ʁə=puʁ=i=ε=tʁə=ɛ̃s=tʁɥi=də=sɔ̃=ʁo=lə=də=fy=tyʁ=pʁε=tʁə=ʒys=ka=ly=ni=vεʁ=si=te=il=e=ty=di=la=te=ɔ=lɔ=ʒi=mε=zo=si=las=tʁo=no=mi=la=fi=zi=kə=e=lε=ma=te=ma=tik=il=li=pa=ʁa=sεl=sə=sεt=ɔ=mə=ki=kʁwa=o=zas=tʁə=zɛ̃f=lɥɑ̃ 112
mεs=me=asə=mɔ=mɑ̃=fε=də=mi=tuʁ=lɔ=ʁjɛ̃=ta=sjɔ̃=də=sa=vi=bas=ky=lə=il=a=bɑ̃=dɔ=nə=lε=ɡli=zə=e=sə=di=ʁi=ʒə=vεʁ=la=me=də=si=nə=il=də=vjɛ̃=dʁa=pʁε=tʁə=dy=kɔʁ 46
mεs=me=ɑ̃tʁə=dɔ̃k=tε=tə=pʁə=mjε=ʁə=dɑ̃=la=me=də=si=nə=ʁi=ɡu=ʁø=zə=mɑ̃=si=i=fi=kə=də=le=pɔ=kə=nad=mε=tɑ̃=ʁjɛ̃=ki=nə=pɥi=səε=tʁə=pʁu=ve=fi=zi=kə=mɑ̃=ɔʁ=mεs=me=lɥi=kʁwa=a=dε=fɔʁ=sə=zɛ̃=kɔ=nə=ɥze=mis=te=ʁjø=zə=a=vɑ̃=lɥi=ɡjo=mə=mak=swεll=nə=kɔ̃=si=de=ʁε=til=pa=tu=tə=lε=ma=la=di=kɔ=mə=y=nə=sus=tʁak=sjɔ̃=də=flɥi=də=vi=tal=də=no=zɔʁ=ɡa=nə=e=nə=kʁwa=jε=til=pa=ʁe=ta=bliʁ=le=ki=li=bʁə=paʁ=la=ʁεs=ti=ty=sjɔ̃=də=la=fɔʁ=sə=ma=ɲe=ti=kə=su=li=ɲe=mεs=me=va=sɥi=vʁə=lɥi=o=si=sε=tə=vwa 138
milə=sεt=sɑ̃=swa=sɑ̃=tə=sɛ̃k=mεs=me=a=tʁɑ̃=təe=œ̃=nɑ̃=mɔ=zaʁ=a=nə=vɑ̃=sə=mɔ=zaʁ=kə=mεs=me=pʁɔ=te=ʒə=ʁa=vεʁ=mi=lə=sεt=sɑ̃=swa=sɑ̃=tə=ɥ=it=e=mεs=me=pa=sə=sa=tε=zə=də=me=də=si=nə=lɛ̃f=lɥɑ̃=sə=dε=pla=nε=tə=syʁ=lə=kɔʁ=zy=mɛ̃=sεt=εɡ=za=mɛ̃=ε=kɔ=mə=œ̃=de=fi=a=la=me=də=si=nə=si=i=fi=kə=ki=la=ɛ̃s=tʁɥi=e=il=ʁe=y=si=lε=bɔ̃=zə=də=le=pɔ=kə=nə=kʁje=nyl=mɑ̃=a=lɛ̃=pɔs=ty=ʁə=fa=lε=til=kə=mεs=me=y=e=te=œ̃=nεk=sεl=lɑ̃=e=ty=djɑ̃ 125
vwa=la=dɔ̃k=me=də=sɛ̃=ɔ=fi=sjεl=lɔməo=ba=kε=ʁə=kɔ=ny=pa=tɑ̃=te=ɔ=il=ɡa=ɲə=pø=il=ε=po=vʁə=pɑ̃=se=il=pa=sə=sɔ̃=tɑ̃=za=swa=ɲe=lε=mi=ze=ʁø=sɑ̃=sə=pʁe=ɔ=ky=pe=ni=də=sa=lε=ʁə=ni=də=ɡlwaʁə 55
mε=sa=vi=bi=fyʁ=kəynə=nu=vεllə=fwa=ɑ̃=mi=lə=sεt=sɑ̃=swa=sɑ̃=tə=ɥ=it=mεs=me=e=pu=zə=y=nə=ʁi=ʃə=və=və=e=lɥi=ki=nə=ʁə=ʃεʁ=ʃε=ni=ɔ=nœʁ=ni=ɡlwa=ʁə=va=lε=tʁu=ve=su=dɛ̃=syʁ=sɔ̃=ʃə=mɛ̃ 53
mεs=me=pɑ̃=sε=il=εɡ=zistəœ̃=flɥi=də=y=ni=vεʁ=sεl=dɑ̃=lə=kεl=sɔ̃=plɔ̃=ʒe=tus=lε=kɔʁ=il=kʁwa=jε=kə=la=vɔ=lɔ̃=te=y=mε=nə=a=vε=lə=pu=vwaʁ=də=mε=tʁə=sə=flɥi=də=ɑ̃=nœ=vʁə=də=lə=fε=ʁə=sɔʁ=tiʁ=dœ̃=pwɛ̃=də=lə=fε=ʁə=sa=ky=my=le=syʁ=œ̃=notʁə 66
nu=sɔmə=dɔ̃k=ɑ̃=mi=lə=sεt=sɑ̃=swa=sɑ̃=tə=ɥ=it=ma=da=mə=mεs=me=a=y=nə=də=mwa=zεllə=də=kɔ̃=pa=ɲi=fʁy=lɛ̃=fʁɑ̃zl=ʒεʁ=stεʁ=lɛ̃=dɔ̃=la=mo=vε=zə=sɑ̃=te=sə=ʁa=lə=pla=to=daʁ=ʒe=də=mεs=me=də=kwa=su=fʁə=fʁy=lɛ̃=ʒεs=tεʁ=li=də=tu=pa=ʁa=li=zi=tɑ̃=pɔ=ʁε=ʁə=tʁu=blə=dε=zɛ̃=tεs=tɛ̃=vɔ=mi=sə=mɑ̃=spas=mɔ=dik=de=pʁe=sjɔ̃=tʁɑ̃=zə=e=va=nui=sə=mɑ̃=se=si=te=pa=sa=ʒε=ʁə=dis=te=ʁi=ɑ̃=nœ̃=mo=nus=za=vɔ̃=ze=ty=dje=sə=kas=εt=lə=tʁε=tə=mɑ̃=də=mεs=me=ɡe=ʁi=sε=tə=famə 127
vwa=la=lε=tɑ̃=buʁdə=la=ʁə=nɔ=me=ba=tɑ̃=la=ʃaʁ=ʒə=puʁ=mεs=me=ki=a=vε=y=fwa=ɑ̃=sɔ̃=tʁa=vaj=e=o=si=lə=ku=ʁa=ʒə=da=fʁɔ̃=te=lε=pɔ̃=ti=fə=si=i=fik=də=le=pɔ=kə=sɔ̃=nɔ̃=e=kla=tə=sa=ʁe=py=ta=sjɔ̃=ʁə=tɑ̃=ti 60
mε=mεs=me=εs=pʁi=pʁa=tikə=tʁu=va=pʁɔ=ba=blə=mɑ̃=tʁo=lɔ̃=də=swa=ɲe=ʃa=kə=ma=la=dəɛ̃=di=vid=ɥεl=lmɑ̃ 27
e=il=ɛ̃=vɑ̃=ta=sɔ̃=ba=kε=kɔ=lεk=tif=ɛ̃=si=lε=ma=ladə=pu=vε=sɑ̃=ɡu=fʁe=dɑ̃=lə=tɑ̃=plə=paʁ=fuʁ=ne 28
dε=pεʁ=sɔ=naʒə=se=lε=bʁə=tə=nε=lε=fεʁ=dy=ba=kε=le=kʁi=vɛ̃=la-aʁ=pəe=tε=pʁe=zɑ̃=lɥi=o=si=ki=kɔ=ʁεs=pɔ̃=dε=a=vεk=lə=ɡʁɑ̃=dyk=pɔl=də=ʁy=si=tu=te=tε=dɔ̃k=bjɛ̃=sɑ̃=blε=til=e=lə=ma=ɲe=tis=mə=a=ni=mal=pʁɔ=mi=zo=plys-o=tə=dεs=ti=ne 66
mε=dø=fɔʁ=sə=vε=jε=la=me=də=si=nə=e=la=mɔdə 14
yn=la=mɔdə=i=ma=ʒi=ne=lε=da=mə=də=le=pɔ=kə=ba=vaʁ=dɑ̃=də=ma=ɲe=tis=mə=nɔ̃=tεllə=pa=fε=də=mε=məɑ̃=de=ba=lɑ̃=lœʁ=kɔ̃=plεk=sə=lɔʁ=skə=ʁe=ɲε=fʁød 41
døks=la=me=də=sinə=kaʁ=sε=mε=mə=pʁɔ=fe=sœʁ=ki=ak=sεp=tε=ʁe=la=tε=zəo=da=sjø=zə=də=mεs=me=a=tɑ̃=di=ʁe=lɔ=ka=zjɔ̃=puʁ=ɛ̃=tεʁ=və=niʁ=a=nu=vo=εl=lə=sə=pʁe=zɑ̃=ta=su=la=fɔʁ=mə=dy=nə=ʒə=nə=a=vø=ɡlə=te=ʁe=za=vɔ̃=pa=ʁa=dis=pja=nis=tə=pʁɔ=te=ʒe=paʁ=lɛ̃=pe=ʁa=tʁi=sə=o=kœ̃=tʁε=tə=mɑ̃=mε=mə=dε=mε=jœʁ=zɔ=ky=lis=tə=də=vjε=nə=na=vε=dɔ=ne=kwa=kə=sə=swa 102
ɔʁ=vwa=sikə=su=li=ɲe=ɑ̃=de=zεs=pwaʁ=də=ko=zə=su=li=ɲe=ɔ̃=la=mε=nə=ʃe=mεs=me=ki=lɥi=ʁɑ̃=la=vɥ=paʁ=œ̃=tʁε=tə=mɑ̃=pu=se=lis=twa=ʁəε=tɛ̃=vʁε=sɑ̃=bla=blə=pø=tε=tʁə=mε=vʁε=il=sa=ʒi=sε=də=se=si=te=is=te=ʁi=kə=e=mɛ̃=tə=nɑ̃=e=ku=te=la=vɥ=ʁə=ku=vʁe=la=ʒə=nə=fi=jə=sə=tʁu=va=nə=plys=ʒu=e=o=si=bjɛ̃=dɔ̃k=lε=ʁə=və=nys=lje=za=sa=vi=də=pja=nis=tə=ʁis=kε=də=sɑ̃=na=le=lε=dɔk=tœʁ=zεɡ=za=mi=nε=ʁe=la=ʒə=nə=fi=jə=il=ʁə=kɔ=ny=ʁe=kεllə=a=vε=ʁə=ku=vʁe=la=vɥ=mε=njε=ʁe=kεl=lə=pu=vε=vwaʁ=paʁ=sə=kεl=lə=nə=sa=vε=pa=kɔ=mɑ̃=sa=pə=lε=lε=zɔb=ʒε=ɔʁ=sε=tə=ʒə=nə=fi=jə=e=tε=a=vø=ɡlə=dəp=ɥi=la=ʒə=də=tʁwa=zɑ̃=ləs=dɔk=tœʁ=sə=ʁe=pɑ̃=di=ʁe=ɑ̃=nɛ̃=pʁe=ka=sjɔ̃=kɔ̃=tʁə=mεs=me=ki=ʁa=kɔ̃=ta=lɥi=mε=mə=kɔ=mɑ̃=lə=pε=ʁə=də=la=ʒə=nə=fi=jə=ɑ̃=tʁa=ʃe=lɥi=fu=fy=ʁjø=ze=le=pe=a=la=mɛ̃=mε=la=vɥ=ε=jɑ̃=də=nu=vo=ki=te=la=ʒə=nə=fi=jə=sə=ki=kɔ̃=fiʁ=mə=la=se=si=te=is=te=ʁi=kə=mεs=me=fy=εk=spyl=se=də=la=fa=kyl=te=e=ʃεʁ=ʃa=ʁə=fy=ʒə=ɑ̃=fʁɑ̃sə 270
e=kɔmə=sə=la=sə=pa=sə=su=vɑ̃=la=kɔ=mi=sjɔ̃=ʃaʁ=ʒe=de=ty=dje=lə=mεs=me=ʁis=mə=nə=sə=pʁe=ɔ=ky=pa=nyl=mɑ̃=də=sa=vwaʁ=si=mεs=me=a=vε=ɡe=ʁi=u=nɔ̃=mε=də=de=ku=vʁiʁ=lεɡ=zak=ti=ty=də=də=sε=te=ɔ=ʁi=kεl=lə=te=ɔ=ʁi=kε=sə=kə=lə=ma=ɲe=tis=məa=ni=mal=tu=tə=de=mɔ̃s=tʁa=sjɔ̃=e=tɑ̃=ɛ̃=pɔ=si=blə=lε=ɡe=ʁi=zɔ̃=də=mεs=me=fy=ʁe=mi=zə=zo=kɔ̃=tə=də=li=ma=ʒi=na=sjɔ̃=e=lɔ̃=pa=sa=mys=kadə 111

lip=no=zə=e=la=syɡ=ʒεs=tj=ɔ̃ 9

milə=ɥi=sɑ̃=ka=tɔʁ=zə=mεs=me=ε=dɑ̃=lɔ̃bʁə=sɔ̃=pʁɔ=se=de=də=mə=ʁə 18
lə=bjɛ̃=kɔ=ny=εm=də=py=i=ze=ɡyʁ=ɔ=fi=sje=daʁ=me=e=ʃεʁ=ʃœʁ=tʁa=vajə=lə=ma=ɲe=tisməɑ̃=sɔ̃=dɔ=mε=nə=də=swa=sɔ̃=mε=sə=ma=ɲe=tis=mə=kɔ=mɑ̃=sə=a=sə=pa=se=də=se=ʁe=mɔ=ni=də=my=zik=də=ʁi=do=lə=mεʁ=vε=jø=kɔ=mɑ̃=sə=a=fε=ʁə=pla=sə=a=la=sjɑ̃=sə=ʁjɛ̃=kœ̃=naʁ=bʁə=œ̃=ɡʁɑ̃=taʁ=bʁə=ma=ɲe=ti=ze=paʁ=lɥi=sy=fi=zε=dɔ̃=fʁɑ̃=ki=ni=de=kla=ʁa=kil=na=vε=nyl=mɑ̃=bə=zwɛ̃=dε=tʁə=ma=ɲe=ti=ze=puʁ=ε=tʁə=ma=ɲe=ti=kə 115
œ̃=ʒuʁ=lis=twaʁəε=bjɛ̃=kɔ=nə=ɥə=œ̃=ʒə=nə=bεʁ=ʒəʁ=ma=ɲe=ti=ze=nə=tɔ̃=ba=pa=ɑ̃=kɔ̃=tɔʁ=sjɔ̃=pa=dy=tu=o=ljø=də=sə=la=il=sɑ̃=dɔʁ=mi=nɔ̃=paʁ=fa=ti=ɡə=u=ɛ̃=di=fe=ʁɑ̃=sə=mε=dœ̃=sɔ=mεj=bi=za=ʁə=ɔ̃=fε=dy=bʁɥi=ɔ̃=sa=ʒi=tə=ɔ̃=kʁi=ʁjɛ̃=a=fε=ʁə=lə=ʒə=nə=bεʁ=ʒe=nə=sə=ʁe=vεjə=pa=mjø=zɑ̃=kɔ=ʁə=vwa=si=kil=sə=lε=və=maʁ=ʃə=paʁ=lə=e=kɔ̃=tʁak=tə=tɔ=ta=lə=ɔ=be=i=sɑ̃=sə=a=εm=də=py=i=ze=ɡyʁ=ki=nε=pa=lwɛ̃=də=sə=pʁɑ̃=dʁə=puʁ=la=vɔ=lɔ̃=te=y=ni=vεʁ=sεllə=lip=nɔ=tis=mə=e=tε=de=ku=vεʁ=la=syɡ=ʒεs=tjɔ̃=ip=nɔ=ti=kə=o=si 148
a=pʁε=mεs=me=e=də=py=i=ze=ɡyʁ=də=løzə=de=ku=vʁə=la=syɡ=ʒεs=tjɔ̃=pɔst=ip=nɔ=ti=kə=il=ʁə=maʁ=kə=kə=e=vε=je=y=nə=pεʁ=sɔ=nə=ʁe=pɔ̃=to=zɔʁ=dʁə=dɔ=ne=dy=ʁɑ̃=lə=sɔ=mεj=paʁ=εɡ=zɑ̃=pləœ̃=ka=fa=si=lə=e=ku=ʁɑ̃=ɔ̃=nɑ̃=dɔʁ=y=nə=pεʁ=sɔ=nə=ip=nɔ=ti=za=blə=ɔ̃=lɥi=syɡ=ʒε=ʁə=kə=lo=kεllə=bwa=ʁa=sə=ʁa=plε=nə=də=pwa=vʁə=ɔ̃=la=ʁe=vεjə=la=pεʁ=sɔ=nə=kʁa=ʃə=ʁa=a=lɔʁ=za=vεk=de=ɡu=e=ʁjɛ̃=o=mɔ̃=də=nə=puʁ=ʁa=lɥi=ɑ̃=lə=ve=sε=tə=ɔ=pi=njɔ̃=də=lεs=pʁi=puʁ=la=lɥi=o=te=il=fo=dʁε=lɑ̃=dɔʁ=miʁ=a=nu=vo 141
də=nɔ̃=bʁø=ʃεʁ=ʃœʁ=kɔ̃=ti=ny=ε=ʁe=lœʁ=tʁa=vo=ze=lip=nɔ=tisməa=tε=ɲi=la=kɔ=tə=də=lɑ̃=tu=zjas=mə 27
mε=lε=mεs=me=ʁistə=paʁ=lε=tʁo=mal=ɡʁe=də=ɡʁɑ̃=syk=sε=zɔ=pe=ʁa=twa=ʁə=su=zip=no=zə=εt=nu=sɔ=mə=zo=ksik=sε=mə=sjε=klə=lə=mεs=me=ʁis=mə=ʁə=tɔ̃=ba=do=tɑ̃=plys=ba=kil=e=tε=mɔ̃=te-o 51
la=vaɡə=fi=na=lə=sə=de=klɑ̃=ʃəɑ̃=nɑ̃=ɡlə=te=ʁə=u=lə=dɔk=tœʁ=εl=ljɔt=sɔ̃=sə=kɔ̃=vεʁ=ti=o=mεs=me=ʁis=mə=sə=ki=ɑ̃=mi=lə=ɥi=sɑ̃=tʁɑ̃=tə=ɥ=it=ɑ̃=tʁε=na=sa=de=mi=sjɔ̃=fɔʁ=se=də=lo=pi=tal 53
ɔʁ=o=ʒuʁ=dɥi=sε=lɑ̃ɡlə=te=ʁə=ki=ɑ̃=mi=lə=nəf=sɑ̃=sɛ̃=kɑ̃=tə=sɛ̃k=kɔ̃=kly=a=le=fi=ka=si=te=də=lip=nɔ=tis=mə=e=ki=də=mɑ̃=da=paʁ=la=vwa=dy=bʁi=tiʃ=mə=di=kal=a=sɔ=sja=sjɔ̃=kə=lip=nɔ=tis=mə=swa=pʁa=ti=ke=dɑ̃=lε=zo=pi=to=e=ɑ̃=sε=ɲe=o=mε=mə=ti=tʁə=kə=lε=zo=tʁə=bʁɑ̃=ʃə=e=sə=a=pʁε=ly=εʁ=εs=εs=e=bo=ku=də=pε=i=də=lɑ̃ɡ=ɑ̃=ɡlεzə 96
ɔʁ=ɑ̃=milə=ɥi=sɑ̃=tʁɑ̃=tə=ɥ=it=də=te=ʁi=blə=zɑ̃=py=ta=sjɔ̃=sɑ̃=du=lœʁ=su=zip=no=zəe=tε=de=ʒa=ʁe=a=li=ze=dɔ̃k=nɔ=tʁə=e=pɔ=kə=nə=fε=kə=ʁə=pʁɑ̃=dʁə=œ̃=pʁɔ=blε=mə=te=ʁa=pø=ti=kə=dε=plys=pa=sjɔ=nɑ̃ 57
nu=za=ʁi=vɔ̃s=tu=ʒuʁ=zo=ksik=sεmə=sjε=klə=o=dɔk=tœʁ=εz=dajə=me=də=sɛ̃=ɑ̃=ɡlε=zo=zɛ̃=də=il=pʁa=ti=kə=lip=no=zə=e=ʁe=y=si=plys=də=tʁwa=sɑ̃=ɡʁɑ̃=də=zɔ=pe=ʁa=sjɔ̃=su=zip=no=zə=e=sɑ̃=la=mwɛ̃=dʁə=du=lœʁ=e=paʁ=kwa=sε=tə=ma=ɲi=fi=kə=ʁe=a=li=za=sjɔ̃=fy=tεlləa=kœji=paʁ=lə=me=pʁi=sɔ̃=no=pi=tal=fy=fεʁ=me 84

ip=nɔ=tis=mə=pɔʁ=tə=də=lɛ̃=kɔ̃=sj=ɑ̃ 11

lε=ʁəvɥ=pɔ=py=lεʁə=lɔ̃=bjɛ̃=de=kʁi=kə=vu=le=vu=lə=mεʁ=vε=jø=œ̃=pa=sjɑ̃=e=tɑ̃=dy=si=pɔ=si=blə=y=nəɑ̃=bjɑ̃=sə=kal=mə=y=nə=vwa=ba=sə=mo=no=kɔʁ=də=ɛ̃=sin=ɥɑ̃=tə=fa=ti=ɡɑ̃=tə=sεl=lə=də=lip=nɔ=ti=zœʁ=su=li=ɲe=vus=za=le=dɔʁ=miʁ=vu=za=ve=zy=nə=ɑ̃=vi=tʁε=ɡʁɑ̃=də=də=dɔʁ=miʁ=ʁə=ɡaʁ=de=mwa=dɑ̃=lε=ziø=εn=mε=mə=tɑ̃=lə=sy=ʒε=fik=sə=œ̃=nɔb=ʒε=bʁi=jɑ̃=pla=se=o=də=sy=də=sε=zi=ø=a=y=nə=vɛ̃=tε=nə=də=sɑ̃=ti=mε=tʁə=zɑ̃=na=vɑ̃=e=la=vwa=ba=sə=tu=ʒuʁ=vus=za=le=dɔʁ=miʁ=vu=za=ve=zɑ̃=vi=də=dɔʁ=miʁ 142
lə=pa=sjɑ̃=ba=lε=po=pjεʁə=il=na=plys=zɑ̃=vi=də=ʁjɛ̃=ni=du=vʁiʁ=sε=po=pjε=ʁə=luʁ=də=ni=də=de=ɡa=ʒe=sɔ̃=sεʁ=vo=də=və=ny=ɡuʁ=e=sɑ̃=fɔʁ=sə=u=bjɛ̃=o=si=lε=ɡlɔ=bə=zɔ=ky=lε=ʁə=sɔ̃=kɔ̃=pʁi=me=pɑ̃=dɑ̃=kə=la=ʁεs=pi=ʁa=sjɔ̃=sə=fε=pʁɔ=fɔ̃=də=ʁit=me=lɑ̃=tə=e=la=vwa=ki=ε=də=tu=ʒuʁ=la=vwa=ʃo=də=ki=pe=nε=tʁə=ʒwɛ̃=təo=pʁεs=ti=ʒə=də=lɔ=pe=ʁa=tœʁ 97
e=la=syɡ=ʒεs=tjɔnə=ip=nɔ=ti=kə=kɔ=mɑ̃=sə=a=paʁ=tiʁ=də=sεt=ɛ̃s=tɑ̃=o=ky=nə=də=vo=de=mɑ̃=ʒε=zɔ̃=nə=vu=fə=ʁa=plys=su=fʁiʁ=dε=mɛ̃=tə=nɑ̃=vo=bu=tɔ̃=vɔ̃=ɡe=ʁiʁ=vɔ=tʁəεk=ze=ma=va=dis=pa=ʁε=tʁə=vu=zɑ̃=tɑ̃=de=vɔ=tʁə=εk=ze=ma=va=ɡe=ʁiʁ=vɔ=tʁə=po=sə=ʁa=bεllə=li=sə=paʁ=fε=tə=sɑ̃=bu=tɔ̃=sɑ̃=bu=tɔ̃ 83
e=su=vɑ̃=lεk=ze=ma=ɡe=ʁi=e=lε=bu=tɔ̃=dis=pa=ʁεse 15
u=bj=ɛ̃=lip=no=zə=pʁe=ɔ=pe=ʁa=twa=ʁə 12
lə=ka=ɑ̃=milə=nəf=sɑ̃=sɛ̃=kɑ̃=tə=sis=də=sε=təɑ̃=ɡlε=zə=ɔ=pe=ʁe=su=zip=no=zə=e=ki=a=de=fʁε=je=la=kʁɔ=ni=kə=lə=me=də=sɛ̃=a=vε=tʁa=se=syʁ=lab=dɔ=mɛ̃=də=la=ma=la=də=œ̃=ka=ʁe=i=ma=ʒi=nε=ʁə=də=vɛ̃=sɑ̃=ti=mε=tʁə=la=ma=la=də=dɔʁ=mε=su=sɔ=mεj=ip=nɔ=ti=kə=e=lə=me=də=sɛ̃=ɛ̃=sin=ɥε=ʒə=vε=zɛ̃=sɑ̃=si=bi=li=ze=vɔ=tʁə=vɑ̃=tʁə=lɑ̃=ɡuʁ=di=sə=mɑ̃=sə=fə=ʁa=a=lɛ̃=te=ʁjœʁ=dε=li=mi=tə=kə=ʒə=sɥi=zɔ=ky=pe=a=tʁa=se=a=lɛ̃=te=ʁjœʁ=də=sə=ka=ʁe=vu=nə=sɑ̃=ti=ʁe=ʁjɛ̃=vu=nə=sɑ̃=ti=ʁe=zo=ky=nə=du=lœʁ 145
lɔ=pe=ʁa=sjɔ̃=kɔ=mɑ̃=sa=e=sə=pʁa=ti=ka=sɑ̃=la=mwɛ̃dʁə=du=lœʁ 17
lip=nozə=pø=fε=ʁəa=pa=ʁε=tʁə=dε=zɑ̃=pu=lə=syʁ=la=po=ɑ̃=syɡ=ʒe=ʁɑ̃=kə=sεt=ɑ̃=dʁwa=a=e=te=bʁy=le=paʁ=syɡ=ʒεs=tjɔ̃=ip=nɔ=ti=kə=ɔ̃=pø=oɡ=mɑ̃=te=u=di=min=ɥe=lε=ba=tə=mɑ̃=dy=kœʁ=ɑ̃=syɡ=ʒe=ʁɑ̃=kə=la=pεʁ=sɔ=nə=a=sis=tə=a=œ̃=nak=si=dɑ̃=paʁ=εɡ=zɑ̃=plə=i=si=dɔ̃k=sε=mɔ=di=fi=ka=sjɔ̃=kaʁ=djak=sə=pʁɔd=ɥi=ze=ɑ̃=de=klɑ̃=ʃɑ̃=y=nə=e=mɔ=sjɔ̃=lɛ̃f=lɥɑ̃=sə=də=lip=nɔ=tis=mə=ε=ɡʁɑ̃=də=syʁ=la=pa=ʁεj=ʁεs=pi=ʁa=twa=ʁə=kɔ̃=si=de=ʁa=blə=syʁ=la=pa=ʁεj=di=ʒεs=tif=lip=no=zə=a=ʒi=syʁ=lε=mu=və=mɑ̃=ze=lε=se=kʁe=sjɔ̃=də=lεs=tɔ=mak=e=dε=zɛ̃=tεs=tɛ̃=εl=lə=a=ʒi=e=ɡa=lə=mɑ̃=syʁ=la=pa=ʁεj=y=ʁi=nε=ʁə=a=kʁwa=sə=mɑ̃=u=di=mi=ny=sjɔ̃=də=la=kɑ̃=ti=te=dy=ʁi=nə=syʁ=lε=fɔ̃k=sjɔ̃=sεk=sɥεllə=ze=ɡa=lə=mɑ̃=il=sɑ̃=blə=vʁε=kɔ̃=pɥi=sə=ɑ̃=tʁə=o=tʁə=ʁə=taʁ=de=u=a=vɑ̃=se=lε=ʁε=ɡlə=lɛ̃f=lɥɑ̃=sə=də=lip=no=zə=syʁ=lε=fe=nɔ=mε=nə=va=zo=mɔ=tœʁ=zε=ti=mɑ̃=sə=syʁ=la=po=nɔ=ta=mɑ̃=paʁ=a=pa=ʁi=sjɔ̃=də=stiɡ=ma=tə=sɑ̃=ɡlɑ̃=ze=dɑ̃=pu=lə=la=po=ε=tɑ̃=ʁa=pɔʁ=ɛ̃=ti=mə=a=vεk=lə=sis=tε=mə=nεʁ=vø=sɛ̃=pa=ti=kə 279
kə=sə=la=pʁuvə=til=kə=lε=fe=nɔ=mε=nə=zip=nɔ=tik=mɔ̃=tʁe=lε=ʁa=pɔʁ=tʁε=ze=tʁwa=zεɡ=zis=tɑ̃=ɑ̃=tʁə=lεs=pʁit=εt=lə=kɔʁps=ʒi=ʁə=vjɛ̃=dʁε=ɑ̃=ne=ty=djɑ̃=lis=te=ʁi=e=la=me=də=si=nə=psi=ko=sɔ=ma=ti=kə=ɔ̃=sə=ʁɑ̃=kɔ̃=tə=dε=pɔ=si=bi=li=te=də=lip=no=zə=e=lɔ̃=kɔ̃=pʁɑ̃=la=tɑ̃=ta=sjɔ̃=dɑ̃=fε=ʁəy=nə=pa=na=se=y=ni=vεʁ=sεllə 89

kɔ=mɑ̃=sə=pʁe=zɑ̃=tə=lə=sɔ=mεj=ip=nɔ=ti=kə 13

lip=nozəε=tœ̃=sɔ=mεj=ɛ̃=kɔ̃=plε=pʁɔ=vɔ=ke=paʁ=la=syɡ=ʒεs=tjɔ̃=ip=nɔ=ti=kə=tɑ̃=di=kə=la=naʁ=ko=zə=ε=lə=sɔ=mεj=pʁɔ=vɔ=ke=paʁ=dε=tεk=nik=ʃi=mi=kəs=lə=sɔ=mεj=ip=nɔ=ti=kə=nε=pa=œ̃=sɔ=mεj=tɔ=tal=la=kɔ̃=sjɑ̃=sə=ε=tɑ̃=ɡuʁ=di=mε=nɔ̃=ab=sɑ̃=tə=lə=sy=ʒε=kɔ̃=sεʁ=və=la=pɔ=si=bi=li=te=də=kɔ̃=sɑ̃=tʁa=sjɔ̃=də=la=tɑ̃=sjɔ̃=sε=pεʁ=sεp=sjɔ̃=sɑ̃=sɔ=ʁjεllə=zεɡ=zis=te=lə=tɔ=nys=dε=mys=klə=nε=ʒa=mε=kɔ̃=plε=tə=mɑ̃=ab=sɑ̃=sε=da=jœʁ=sə=ki=pεʁ=mε=a=lip=nɔ=ti=ze=də=maʁ=ʃe=də=sə=lə=ve=e=də=ɡaʁ=de=sεʁ=tε=nə=za=ti=ty=də=ki=sə=ʁε=te=ʁi=blə=mɑ̃=fa=ti=ɡɑ̃=tə=puʁ=œ̃=nɔ=mə=nɔʁ=mal 161
sy=po=zɔ̃=paʁ=εɡ=zɑ̃plə=kə=lɔ̃=di=zəa=œ̃=sy=ʒε=su=zip=no=zə=kil=lɥi=ε=tɛ̃=pɔ=si=blə=də=bu=ʒe=sɔ̃=bʁa=dʁwa=mε=mə=sil=lə=vø=ɔ̃=ve=ʁa 38
yn=kil=kɔ̃=tʁak=tə=lε=mys=klə=fle=ʃi=sœʁ=puʁ=plje=lə=bʁa 15
døks=kil=kɔ̃=tʁak=tə=lε=mys=klə=zεk=stɑ̃=sœʁ=puʁ=lɑ̃=pε=ʃe=də=plje=lə=bʁa 19
o=kuʁdə=lip=no=zə=ɔ̃=sε=kə=lə=sy=ʒε=sə=mɔ̃=tʁəɔ=be=i=sɑ̃=su=li=ɲe=dɑ̃=zy=nə=sεʁ=tε=nə=li=mi=tə=su=li=ɲe=ɑ̃=vεʁ=lɔ=pe=ʁa=tœʁ=il=ʁe=pɔ̃=to=kεs=tjɔ̃=ze=εɡ=ze=ky=tə=sεʁ=tɛ̃=zɔʁ=dʁə=lε=zɔʁ=dʁə=də=vɑ̃=ε=tʁə=εɡ=ze=ky=te=za=pʁε=lə=sɔ=mεj=ip=nɔ=ti=kə=lə=sə=ʁɔ̃=su=vɑ̃=mε=zɔ̃=na=ʒa=mε=kɔ̃s=ta=te=œ̃=nak=tə=də=sə=ʒɑ̃=ʁə=a=kɔ̃=pli=ki=sə=ʁε=ɑ̃=kɔ̃=tʁa=dik=sjɔ̃=pʁɔ=fɔ̃=də=a=vεk=lε=sɑ̃=ti=mɑ̃=də=mɔ=ʁa=li=te=dy=sy=ʒε 121
ε=til=pɔ=siblə=dɑ̃=dɔʁ=miʁ=y=nə=pεʁ=sɔ=nə=kɔ̃=tʁə=sɔ̃=ɡʁe 16
le=pɔkə=də=ʃaʁ=ko=lə=kʁwa=jε=le=pɔ=kə=mɔ=dεʁ=nə=lə=ni=bjɛ̃=kə=sə=la=nə=swa=pa=y=nə=ʒe=ne=ʁa=li=te=y=nə=pεʁ=sɔ=nə=is=te=ʁi=kəε=ip=nɔ=ti=za=blə=o=mak=si=mɔm=sə=ki=nə=si=ɲi=fi=pa=kə=tu=tə=pεʁ=sɔ=nə=ip=nɔ=ti=za=blə=swa=is=te=ʁikə 70
ba=bɛ̃s=ki=pʁe=tɑ̃ 5
yn=kə=lə=sy=ʒεnə=pεʁ=pa=la=me=mwa=ʁə=də=sə=ki=sə=pa=sε=dy=ʁɑ̃=lip=nozə 21
døks=kə=lə=sɔ=mεj=le=taʁ=ʒikə=nε=nyl=mɑ̃=ɛ̃=kɔ̃=sjɑ̃ 14
tʁwas=kə=lə=sy=ʒεnə=pεʁ=nyl=mɑ̃=tu=kɔ̃=tʁo=lə=vɔ=lɔ̃=tε=ʁə=e=kə=paʁ=kɔ̃=se=ke=il=nə=ʁe=pɔ̃=dʁa=pa=a=vø=ɡle=mɑ̃=a=tus=lε=zɔʁ=dʁə=də=lɔ=pe=ʁa=tœʁ 42
e=ba=bɛ̃s=ki=a=ʒutə=dɑ̃=lε=siʁ=kɔ̃s=tɑ̃=sə=se=ʁjø=zə=lε=zip=nɔ=ti=ze=ʁə=də=vjε=ne=mε=tʁə=də=lœʁ=zak=sjɔ̃=dɑ̃=la=mə=zy=ʁəu=il=lə=sɔ̃=ta=le=ta=də=vεjə=sε=tə=dεʁ=njε=ʁə=ʁe=flεk=sjɔ̃=fε=sɔ̃=ʒe=a=la=my=zɑ̃=tə=is=twa=ʁə=ʁa=kɔ̃=te=paʁ=ʒa=nε=lɔ=pe=ʁa=tœʁ=ki=pʁe=zɑ̃=tε=y=nə=pa=sjɑ̃=tə=ip=nɔ=ti=ze=pεʁ=mi=a=sε=ze=ty=djɑ̃=zɑ̃=me=də=si=nə=də=fε=ʁə=dε=syɡ=ʒεs=tjɔ̃=œ̃=dε=ze=ty=djɑ̃ts=e=vi=da=mεnt=syɡ=ʒe=ʁa=kεllə=ε=a=ki=te=sε=vε=tə=mɑ̃=a=sε=mo=lip=nɔ=ti=ze=se=vε=ja=bʁys=kə=mɑ̃=e=sɔʁ=ti=ɑ̃=kɔ=lε=ʁə=su=li=ɲe=sə=ki=ɑ̃=fɛ̃=də=kɔ̃=tə=ε=bjɛ̃=ʁa=sy=ʁɑ̃ 160
də=mεmə=il=ε=di=tɔ̃=a=se=zɛ̃=vʁε=sɑ̃=bla=blə=kə=lɔ̃=pɥi=sə=pεʁ=sɥa=de=y=nə=pεʁ=sɔ=nə=ip=nɔ=ti=ze=də=kɔ=mε=tʁəœ̃=kʁi=mə=mε=si=la=pεʁ=sɔ=nə=a=ɑ̃=nεllə=y=nə=tɑ̃=dɑ̃=sə=o=kʁi=mə=lεk=spe=ʁjɑ̃=sə=sə=lə=puʁ=ʁε=ʁe=pɔ̃dʁə 62

kɔ=mɑ̃=fo=til=kɔ̃=si=de=ʁe=lip=no=zə 11

o=si=fʁwadə=mɑ̃=kə=do=tʁə=te=ʁa=pø=tik=mal=ɡʁe=sɔ̃=ka=ʁak=tε=ʁəa=pʁə=mjε=ʁə=vɥə=mεʁ=vε=jøks=ma=lə=ʁø=zə=mɑ̃=il=ε=sεʁ=tɛ̃=kə=la=kʁwa=jɑ̃=sə=pɔ=py=lε=ʁə=ak=tɥεllə=də=mə=ʁə=sεl=lə=də=mi=lə=ɥi=sɑ̃=swa=sɑ̃=tə=dis=lip=nɔ=ti=zœʁ=sɑ̃=blə=ε=tʁə=kɔ=mə=œ̃=ma=ʒə=du=e=də=pu=vwaʁ=e=ki=tjɛ̃=ɑ̃=tʁə=sε=mɛ̃=la=dεs=ti=ne=ɑ̃=tjε=ʁə=də=sɔ̃=sy=ʒε=la=ʁe=a=li=te=ε=tu=də=mε=mə=œ̃=pø=mwɛ̃=mi=ʁa=ky=lø=zə=e=sə=ba=zə=y=ni=kə=mɑ̃=syʁ=lə=fɔ̃k=sjɔ=nə=mɑ̃=nεʁ=vø=kɔ=mə=nu=lə=ve=ʁɔ̃ 135
lip=nozə=pø=ε=tʁəœ̃=na=ʒe=a=nεs=te=zi=kə=e=si=də=ɡʁɑ̃=də=zɔ=pe=ʁa=sjɔ̃=fy=ʁe=ʁe=a=li=ze=su=sɔ=mεj=ip=nɔ=ti=kə=nu=bljɔ̃=ʒa=mε=kεllə=le=tε=de=ʒa=o=ksik=sε=mə=sjε=klə=e=ʁɑ̃=dɔ̃=zɔ=ma=ʒə=a=sε=pʁe=kyʁ=sœʁ=œ̃=ɡʁɑ̃=pu=vwaʁ=də=lip=no=zə=ε=dɔ̃k=də=ʁɑ̃=pla=se=la=nεs=te=zi=ʃi=mi=kə=mε=zɔ̃=kɔ̃s=ta=tə=kə=di=puʁ=sɑ̃=dɛ̃=di=vi=dys=sə=lə=mɑ̃=pə=ve=ε=tʁə=pla=se=dɑ̃=sε=tə=ma=ni=fεs=ta=sjɔ̃=ip=nɔ=ti=kə=sə=ki=ʁed=ɥi=de=ʒa=sɛ̃=ɡy=ljε=ʁə=mɑ̃=lε=pɔ=si=bi=li=te=pʁa=tik 134
otʁə=pu=vwaʁ=ka=pi=tal=la=syɡ=ʒεs=tjɔ̃=ip=nɔ=ti=kə=ki=pø=e=vi=te=lε=du=lœʁ=pɔst=ɔ=pe=ʁa=twa=ʁəs=pɑ̃=sə=mɑ̃=zεt=se=te=ʁa 35

kεl=εlə=pu=vwaʁ=də=lip=no=zəo=pwɛ̃=də=vɥ=psi=kɔ=lɔ=ʒikə 15

yn=dɑ̃=lε=ma=la=di=mɑ̃=talə=il=sɑ̃=blə=ko=kœ̃=ʁe=zyl=ta=po=zi=tif=nε=e=te=ɔp=tə=ny=bo=ku=da=lje=ne=sɔ̃=ʁə=bεllə=za=lip=no=zə=sεl=lə=si=pʁɔd=ɥi=su=vɑ̃=ʃe=zø=dε=ʁe=ak=sjɔ̃=de=li=ʁɑ̃tə 53
døks=εn=psi=kɔ=lɔʒi=də=spεk=ta=ky=lε=ʁəs=fo=syk=sεs=pə=ve=ε=tʁəɔp=tə=nys=il=sɑ̃=blε=tʁε=lɔ=ʒi=kə=də=pu=vwaʁ=paʁ=ip=no=zə=de=li=vʁe=dε=zi=de=fik=sə=dε=fɔ=bi=dy=be=ɡε=mɑ̃=dε=zɔp=se=sjɔ̃ 53
e=lɔ̃=kɔ̃s=tatə=su=vɑ̃=ɑ̃=ne=fε=kə=sεʁ=tɛ̃=tʁu=blə=dis=pa=ʁε=se=ʁa=pi=də=mɑ̃=lε=sɛ̃p=to=mə=sɑ̃=vɔ̃=sə=pɑ̃=dɑ̃=lε=ʁe=zyl=ta=nə=sɔ̃=nyl=mɑ̃=pεʁ=ma=nɑ̃=puʁ=kwa=paʁ=sə=kə=la=tɑ̃=dɑ̃=sə=pʁɔ=fɔ̃=də=də=mə=ʁə 57
ɔʁ=lε=sɛ̃p=tomə=sɔ̃=pʁɔd=ɥi=paʁ=sε=tə=tɑ̃=dɑ̃=sə=pʁɔ=fɔ̃=də=e=si=œ̃=sɛ̃p=to=mə=dis=pa=ʁε=il=i=a=bo=ku=də=ʃɑ̃=sə=puʁ=kœ̃=no=tʁə=pʁε=nə=sa=pla=sə=fε=tə=dis=pa=ʁε=tʁə=sə=dø=zjε=mə=e=œ̃=tʁwa=zjε=mə=ʁis=kə=da=pa=ʁε=tʁə=sə=ki=mɔ̃=tʁə=kə=la=tɑ̃=dɑ̃=sə=ma=la=di=və=nε=nyl=mɑ̃=e=li=mi=ne=paʁ=lip=nɔ=tismə 87
e=sə=sə=ʁa=la=fa=møzə=syk=se=sjɔ̃=dε=sɛ̃p=to=mə=və=nɑ̃=də=la=mε=mə=ko=zə=tu=ʒuʁ=vi=vɑ̃=təɑ̃=pʁɔ=fɔ̃=dœʁ=dɔ̃=lis=te=ʁi=ε=tœ̃=nεɡ=zɑ̃=plə=fʁa=pɑ̃ 41
kaʁ=si=lɔ̃=vø=tɥe=lɔʁ=vε=pwɛ̃nə=sy=fi=də=lɥi=ku=pe=la=kø 16

la=ne=vʁo=zə 4

nu=bljɔ̃=pasə=si=la=ne=vʁo=zə=sə=pʁe=zɑ̃=tə=su=vɑ̃=kɔ=məœ̃=me=ka=nis=mə=də=se=ky=ʁi=te=ɛ̃=te=ʁjə=ʁə=œ̃=ne=vʁo=ze=ε=ty=nə=pεʁ=sɔ=nə=ki=sε=ʁe=fy=ʒje=dɑ̃=la=ne=vʁo=zə=puʁ=i=tʁu=ve=la=se=ky=ʁi=te=mɑ̃=ta=lə=dɔ̃k=pɥis=kεllə=i=tʁu=və=la=se=ky=ʁi=te=il=va=də=swa=kə=la=ne=vʁo=zə=εl=lə=mε=mə=lɥi=εst=ɛ̃=kɔ̃=sja=mɑ̃=u=kɔ̃=sja=mεnt=ne=se=sε=ʁə=ɑ̃=ʒe=ne=ʁal=y=nə=pεʁ=sɔ=nə=nə=sə=plɛ̃=pa=də=sa=ne=vʁo=zə=εl=lə=sə=plɛ̃=də=sə=ki=la=fε=su=fʁiʁ=ɔʁ=sə=ki=la=fε=su=fʁiʁ=nε=pa=la=ne=vʁo=zə=εl=lə=mε=mə=ki=də=vjɛ̃=ɛ̃=kɔ̃=sjɑ̃=tə=mε=sε=tə=ne=vʁo=zə=pʁɔd=ɥi=dε=sɛ̃p=to=mə=sε=sɛ̃p=to=mə=sɔ̃=du=lu=ʁø=e=sə=sɔ̃=tø=kə=la=pεʁ=sɔ=nə=de=zi=ʁə=e=li=mi=ne 188
vwa=si=œ̃=nεɡ=zɑ̃=plə=sɛ̃=plə=œ̃=pεʁ=fεk=sjɔ=nis=tə 14
sy=po=zɔ̃kə=sə=pεʁ=fεk=sjɔ=nis=tə=su=fʁə=də=sa=sɔ=li=ty=də=də=sɔ̃=na=bɑ̃=dɔ̃=də=sɔ̃=ne=mɔ=ti=vi=te=də=sa=ti=mi=di=te=il=de=zi=ʁə=ʁa=dɔ̃k=ɡe=ʁiʁ=də=sε=təe=mɔ=ti=vi=te=də=sε=tə=sɔ=li=ty=də=də=sε=tə=ti=mi=di=te=ki=sɔ̃=dε=sɛ̃p=to=mə=mε=de=zi=ʁə=ʁa=til=ɡe=ʁiʁ=də=sa=ne=vʁo=zə=pʁɔ=fɔ̃=də=sɔ̃=pεʁ=fεk=sjɔ=nis=mə=nɔ̃=pɥis=kə=sə=pεʁ=fεk=sjɔ=nis=mə=ε=puʁ=lɥi=y=nə=se=ky=ʁi=te 110
ɔ̃=vwa=dɔ̃k=dɑ̃=zœ̃=kadə=sə=ʒɑ̃=ʁə=kə=lip=nɔ=tis=məε=ti=nɔ=pe=ʁɑ̃=la=vɔ=lɔ̃=te=də=lip=nɔ=ti=zœʁ=ɑ̃=tʁə=ʁε=ɑ̃=kɔ̃=fli=a=vεk=la=vɔ=lɔ̃=te=pʁɔ=fɔ̃=də=də=lip=nɔ=ti=ze=e=o=kœ̃=ʁe=zyl=ta=nə=sə=ʁε=a=tɛ̃=i=si=sə=lə=puʁ=ʁε=a=ʒiʁ=y=nə=psi=kɔ=te=ʁa=pi=ɑ̃=pʁɔ=fɔ̃=dœʁ=ʁa=mə=nɔ̃=dɔ̃k=lip=no=zə=a=sa=ʒys=tə=va=lœʁ=ki=ε=tu=də=mε=mə=bjɛ̃=ɡʁɑ̃də 98

ʃaʁ=ko=də=la=sal=pe=tʁj=ε=ʁə 9

a=vεk=lə=pʁɔ=fe=sœʁ=ʃaʁ=kɔt=mi=jə=ɥi=sɑ̃=vɛ̃t=sɛ̃k=milə=nəf=sɑ̃=tʁε=zə=nə=ʁɔ=lɔɡ=a=lo=pi=tal=də=la=sal=pe=tʁjε=ʁə=le=ty=də=də=lip=nɔ=tis=məɑ̃=tʁə=dɑ̃=la=fa=zə=di=zɔ̃=zɔ=fi=sjεllə=mjø=si=i=fi=kə=ʃaʁ=ko=ki=sɔ=ky=pε=dε=ma=la=di=dy=sis=tε=mə=nεʁ=vø=sə=ʁɑ̃=dε=kɔ̃=tə=də=la=tʁε=ɡʁɑ̃=də=ɛ̃=pɔʁ=tɑ̃=sə=də=lip=nɔ=tis=mə=tu=ʒuʁ=pʁo=ne=u=ʁə=ʒə=te=a=vεk=la=mε=mə=pa=sjɔ̃ 105
ɔʁ=ʃaʁ=ko=e=tεnə=ʁɔ=lɔɡ=e=nɔ̃=psi=ʃja=tʁə=ɑ̃=nə=ʁɔ=lɔɡ=il=sɔ=ky=pε=də=la=fi=zjɔ=lɔ=ʒi=də=lip=nɔ=ti=ze=də=sε=mu=və=mɑ̃=ze=də=sε=ʁe=flεk=sə=tu=sə=la=lə=lε=sε=pa=se=a=ko=te=dε=fe=nɔ=mε=nə=psi=kɔ=lɔ=ʒik=dɑ̃=ʒe=də=la=spe=sja=li=za=sjɔ̃ 71
il=fo=nɔ=te=kə=ʃaʁ=ko=na=ʒa=mε=zip=nɔ=ti=ze=pεʁ=sɔnə=e=nu=pu=vɔ̃=li=ma=ʒi=ne=a=ʁi=vɑ̃=dɑ̃=zy=nə=sa=lə=u=lε=ze=lε=və=lɥi=pʁe=zɑ̃=tε=la=pεʁ=sɔ=nə=ip=nɔ=ti=ze 49
mal=ɡʁe=tu=ʃaʁ=ko=a=vε=ʁε=zɔ̃=tʁu=vɑ̃kə=lε=fe=nɔ=mε=nə=psi=kɔ=lɔ=ʒik=ze=tε=dy=nəe=ty=də=de=li=ka=tə=il=de=zi=ʁε=a=vɑ̃=tu=kɔ=nε=tʁə=lε=ka=ʁak=tε=ʁə=fi=zik=də=sεt=e=ta=a=nɔʁ=mal=a=fɛ̃=də=lε=ʁə=kɔ=nε=tʁə=paʁ=dε=si=ɲə=nə=pʁε=tɑ̃=a=o=ky=nə=si=my=la=sjɔ̃=ʁe=pe=tɔ̃=dɔ̃k=kə=ʃaʁ=ko=sə=mit=a=vɑ̃=tu=a=le=ty=də=dε=mu=və=mɑ̃=ze=dε=ʁe=flεk=sə=dε=pεʁ=sɔ=nə=su=sɔ=mεj=ip=nɔ=tikə 112
lə=ɡʁɑ̃=ʃaʁ=ko=ɑ̃tʁə=pʁi=dɔ̃k=y=nəe=ty=də=fi=zjɔ=lɔ=ʒi=kə=də=lip=nɔ=tis=mə=ɔʁ=il=sə=pa=sa=sə=si=su=li=ɲe=le=kɔ=lə=də=la=sal=pe=tʁjε=ʁə=sə=fuʁ=ni=sεt=y=ni=kə=mɑ̃=də=fa=mə=zis=te=ʁi=kəs=fa=si=lə=mɑ̃=ip=nɔ=ti=za=bləs=syʁ=le=kεllə=ze=tε=fε=tə=lε=zɔp=sεʁ=va=sjɔ̃=e=ʃaʁ=ko=pa=sa=dy=paʁ=ti=ky=lje=o=ʒe=ne=ʁal=a=vεk=œ̃=pø=tʁo=də=fa=si=li=te=il=de=kla=ʁa=kə=sə=lə=lε=ma=la=də=də=sə=ʒɑ̃=ʁə=e=tε=sy=sεp=ti=blə=dε=tʁə=ip=nɔ=ti=ze=puʁ=lɥi=lε=fe=nɔ=mε=nə=zip=nɔ=tik=ze=tε=dε=fe=nɔ=mε=nə=za=nɔʁ=mo 147

bεʁ=nεm=u=la=de=kla=ʁa=sj=ɔ̃=də=ɡe=ʁə 12

bεʁ=nεm=də=le=kɔlə=də=nɑ̃=si=ne=tε=pa=da=kɔʁ=dy=tu=e=nə=sə=ʒε=na=nyl=mɑ̃=puʁ=lə=diʁə 25
səl=lε=ma=ladə=sɔ̃=ip=nɔ=ti=za=blə=pa=dy=tu=ʁe=pli=ka=bεʁ=nεm=lip=nɔ=tis=məε=tœ̃=fe=nɔ=mε=nə=tu=ta=fε=nɔʁ=mal=e=la=ply=paʁ=dε=ʒɑ̃=sɔ̃=ip=nɔ=ti=zablə 43
vwa=sisə=kil=de=kla=ʁə=sə=kɔ̃=na=pεllə=ip=nɔ=tis=mə=nε=to=tʁə=ʃo=zə=kə=la=mi=zəɑ̃=nak=ti=vi=te=dy=nə=pʁɔ=pʁje=te=nɔʁ=ma=lə=dy=sεʁ=vo=la=syɡ=ʒεs=ti=bi=li=te=sε=ta=di=ʁə=lap=ti=ty=də=a=ε=tʁə=ɛ̃f=lɥɑ̃=se=sɑ̃=dis=ky=sjɔ̃=paʁ=y=nə=i=de=il=ni=a=pa=dip=nɔ=tis=mə=ʒə=vø=di=ʁə=kil=ni=a=pa=de=ta=spe=sjal=a=nɔʁ=mal=me=ʁi=tɑ̃=sə=nɔ̃=il=ni=a=kə=dε=sy=ʒε=plys=zu=mwɛ̃=syɡ=ʒεs=ti=blə=o=kεl=pə=ve=ε=tʁə=syɡ=ʒe=ʁe=dε=zi=de=dε=ze=mɔ=sjɔ̃=dε=zak=tə=dε=za=ly=si=na=sjɔ̃ 135
kə=pø=tɔ̃=kɔ̃=klyʁə=kə=la=pɔ=si=bi=li=te=dε=tʁə=ip=nɔ=ti=ze=ε=kɔ̃=di=sjɔ=ne=paʁ=le=ta=ɔʁ=ɡa=ni=kə=dy=mɔ=mɑ̃=e=kə=lε=fe=nɔ=mε=nə=də=lip=no=zə=sɔ̃=dy=a=y=nə=ko=zə=psi=ʃi=kə=la=syɡ=ʒεs=ti=bi=li=te=kə=nu=ve=ʁɔ̃=zœ̃=pø=plys=lwɛ̃ 69

ba=bɛ̃s=ki=lɔ=mə=ki=kɔ̃=kly 8

ʒo=zεf=ba=bɛ̃s=ki=mi=jə=ɥi=sɑ̃=sɛ̃=kɑ̃tə=sεt=mi=lə=nəf=sɑ̃=tʁɑ̃=tə=døks=kɔ̃=fiʁ=ma=lε=vɥ=də=bεʁ=nεm=puʁ=lɥi=lip=nɔ=tis=məε=ty=nə=syɡ=ʒεs=tjɔ̃=ʁɑ̃=fɔʁ=se=paʁ=œ̃=ne=ta=də=nɔ̃=kɔ̃=tʁo=lə=il=kɔ̃=si=dε=ʁə=dɔ̃k=lip=nɔ=tis=mə=kɔ=mə=yn=e=ta=psi=ʃi=kə=ʁɑ̃=dɑ̃=lə=sy=ʒε=ki=si=tʁu=və=ka=pa=blə=də=sy=biʁ=lε=syɡ=ʒεs=tjɔ̃=dot=ʁɥi=so=tɑ̃=a=lɔʁ=dɑ̃=lis=te=ʁi=il=la=kɔ̃=si=dε=ʁə=nɔ̃=pa=kɔ=mə=y=nə=ma=la=di=ɔʁ=ɡa=ni=kə=mε=kɔ=mə=œ̃=ne=ta=psi=ʃi=kə=ʁɑ̃=dɑ̃=lə=sy=ʒε=ki=si=tʁu=və=ka=pa=blə=də=so=to=zyɡ=ʒεs=tjɔ=ne=e=dε=tʁə=fa=si=lə=mɑ̃=syɡ=ʒεs=tjɔ=ne=paʁ=ot=ʁɥi 158

la=syɡ=ʒεs=tj=ɔ̃=e=mɔ=ti=və 9

la=kuʁ=da=sizə=zε=ta=sɑ̃=ble=y=nə=tε=tə=dɔ=mə=sə=ʁa=ʒu=e=dɑ̃=zœ̃=nɛ̃s=tɑ̃=la=vɔ=ka=də=la=de=fɑ̃=sə=de=plwa=mɑ̃=ʃə=ze=e=fε=zɔ=ʁa=twa=ʁə=əp=ɥi=ze=bɔ̃=baʁ=de=daʁ=ɡy=mɑ̃=lε=ʒy=ʁe=ze=ku=te=na=tɔ̃=pa=fε=a=pεl=a=lœʁ=ʁε=zɔ̃=a=lœʁ=vεʁ=ty=a=lœʁ=ɛ̃=te=ɡʁi=te=dɔ=mə=e=la=vɔ=ka=paʁ=lə=tɑ̃=tɑ̃=də=pεʁ=sɥa=de=sε=ʒyʒə 92
bʁys=kə=mɑ̃=lə=plε=dœʁ=ɑ̃=vi=zaʒə=lɑ̃=fɑ̃=sə=də=la=ky=ze=pε=ʁə=i=vʁɔ=ɲə=mε=ʁə=i=vʁɔ=ɲə=dis=py=tə=mi=zε=ʁə=ba=tajə=e=la=vɔ=ka=kʁi=sɔ̃=ʒe=za=sε=təɑ̃=fɑ̃=sə=a=tʁɔ=sə=me=sjœʁ=lε=ʒy=ʁe=e=a=ki=te=œ̃=ʒy=ʁe=a=pa=li=kɔ=mə=y=nə=flε=ʃə=sə=kɔ=mɑ̃=də=mɑ̃=lə=fʁa=pə=nɔ̃=plys=dɑ̃=sa=ʁε=zɔ̃=mε=zɑ̃=plɛ̃=sɑ̃=tʁə=də=sɔ̃=ne=mɔ=sjɔ̃=kaʁ=sə=ʒy=ʁe=sə=ʁa=pεllə=lɥi=o=si=sɔ̃=pε=ʁə=by=vœʁ=sa=mε=ʁə=ab=sɑ̃=tə=sa=mi=zε=ʁə=sɔ̃=nɑ̃=fɑ̃=sə=ma=lə=ʁø=zə=la=pa=ʁɔ=lə=də=la=vɔ=ka=lə=pe=nε=tʁə=pʁɔ=fɔ̃=de=mɑ̃ 143
sɑ̃=nε=fε=də=vɑ̃sə=ʒy=ʁe=la=vɔ=ka=a=ɡa=ɲe=lə=ʁε=zɔ=nə=mɑ̃=e=la=pεʁ=sɥa=zjɔ̃=ɔ̃=se=de=lə=pa=a=le=mɔ=sjɔ̃=e=lɛ̃=pyl=sjɔ̃=ki=ɑ̃=de=ku=lə=ʁεs=tə=mε=tʁε=sə=dy=te=ʁɛ̃=də=sə=ʒy=ʁe=vjɛ̃=dʁa=œ̃=na=ki=tə=mɑ̃=u=y=nə=ʁe=dyk=sjɔ̃=də=pε=nə=u=la=lɔ=ʒi=kəe=la=ʁε=zɔ̃=ba=tε=də=lε=lə=la=syɡ=ʒεs=tjɔ̃=e=mɔ=ti=və=ɑ̃=pɔʁ=tε=la=ba=tajə 96
e=sεtə=pɥi=sɑ̃=sə=də=la=syɡ=ʒεs=tjɔ̃=lε=mə=nœʁ=də=fu=lə=la=kɔ=nε=se=bjɛ̃=εl=lə=la=sa=vε=bjɛ̃=o=si=sε=tə=lə=ni=ʁjə=fɑ̃s=tal=si=ne=as=tə=dy=tʁwa=zjε=mə=ʁεk=al=mɑ̃=ki=mε=tε=ɑ̃=sε=nə=lε=zɑ̃=tʁe=də=i=tle=o=fɔʁ=mi=da=blə=fε=tə=dy=paʁ=tε=taɡ=plys=də=sɑ̃=mi=ləɔ=mə=ʁɑ̃=ʒe=dε=mi=lje=də=dʁa=po=lε=klo=ʃə=də=ny=ʁɑ̃=bεʁɡ=sɔ=nɑ̃=y=nə=a=ʁε=nə=də=pje=ʁə=e=də=maʁ=bʁə=y=nə=u=vεʁ=ty=ʁə=pʁɔ=lɔ̃=ʒe=paʁ=la=ɡʁɑ̃=də=fɔ=ʁε=e=dɑ̃=sε=tə=u=vεʁ=ty=ʁə=ve=ʒe=ta=lə=i=tle=ki=a=vɑ̃=sə=tu=səl=sɑ̃=ɡaʁ=də=tɑ̃=di=kə=lε=ʃɑ̃=ʁə=tɑ̃=ti=sə=e=ko=lwɛ̃=ʁu=lə=lə=ka=nɔ̃=te=a=tʁal=bjɛ̃=syʁ=mε=syʁ=tu=syɡ=ʒεs=tif=paʁ=y=nə=e=mɔ=sjɔ̃=pɥi=sɑ̃tə 179
kaʁ=asə=mɔ=mɑ̃=œ̃=səl=ɔʁ=dʁə=syɡ=ʒεs=tif=o=ʁε=py=ɑ̃=pɔʁ=te=sε=tə=ma=ʁe=y=mε=nə=kɔ=məœ̃=tɔ=ʁe 28
e=lε=de=fi=le=mi=li=tεʁə=ka=dɑ̃=se=kɔ=məœ̃=ba=lε=bʁi=jɑ̃=pja=fɑ̃=sε=tə=my=zi=kə=ki=sɔ=nə=sε=tɛ̃=ba=lə=ki=ʁu=le=e=ki=fɔ̃=pɑ̃=se=o=plys=zɑ̃=ti=mi=li=ta=ʁis=tə=sə=la=mə=fε=kεl=kə=ʃo=zə=syɡ=ʒεs=tjɔ̃=e=mɔ=ti=və=ɑ̃=kɔʁə 65

kε=sə=kə=la=syɡ=ʒεs=tj=ɔ̃ 8

il=nə=fo=pa=kɔ̃=fɔ̃=dʁə=syɡ=ʒεs=tjɔ̃=e=pεʁ=sɥa=zjɔ̃ 14
siʒə=ʃεʁ=ʃəa=vu=pεʁ=sɥa=de=ʒə=ma=dʁe=sə=ʁε=a=vɔ=tʁə=ʁε=zɔ̃=ʒe=sε=ə=ʁε=dɔp=tə=niʁ=vɔ=tʁə=a=de=zjɔ̃=vɔ=lɔ̃=tε=ʁə=e=kɔ̃=sjɑ̃=tə=vu=sə=ʁe=pεʁ=sɥa=de=si=vu=ʁə=kɔ=nε=se=kə=ʒε=ʁε=zɔ̃=e=vu=dɔ=nə=ʁe=vɔ=tʁə=a=sɑ̃=ti=me=a=mε=zaʁ=ɡy=mɑ̃ 69
siʒə=ʃεʁ=ʃəa=vu=syɡ=ʒεs=tjɔ=ne=ʒɑ̃=plwa=ə=ʁε=œ̃=pʁɔ=se=de=ɑ̃=tjε=ʁə=mɑ̃=di=fe=ʁɑ̃=ʒə=də=vʁε=ma=dʁe=se=a=vɔ=tʁə=syɡ=ʒεs=ti=bi=li=te=sə=ki=sɑ̃=blə=ε=tʁə=y=nə=la=pa=li=sa=də=puʁ=sə=la=ʒə=də=vʁε=pa=se=u=tʁə=vɔ=tʁə=kɔ̃=sjɑ̃=e=vɔ=tʁə=ʁε=zɔ̃=e=tu=ʃe=vo=sɑ̃=tʁə=nεʁ=vø=zɛ̃=kɔ̃=sjɑ̃=sə=ki=εɡ=zi=ʒə=dɔ̃k=dε=siʁ=kɔ̃s=tɑ̃=sə=paʁ=ti=ky=ljε=ʁə=pɥis=kə=la=ʁε=zɔ̃=e=la=vɔ=lɔ̃=te=dwa=ve=dis=pa=ʁε=tʁə=dɑ̃=zy=nə=mə=zy=ʁə=plys=zu=mwɛ̃=ɡʁɑ̃=də=ɔ̃=nε=dɔ̃k=syɡ=ʒεs=tjɔ=ne=kɑ̃=la=pɔ=si=bi=li=te=də=ʁe=zis=tɑ̃=sə=vɔ=lɔ̃=tε=ʁə=nεɡ=zis=tə=plys 151

kε=sə=kə=la=syɡ=ʒεs=ti=bi=li=te 10

sε=tynə=dis=po=zi=sjɔ̃=mɑ̃=ta=lə=ki=pεʁ=mε=dɔ=be=iʁ=tʁo=fa=si=lə=mɑ̃=e=sɑ̃=dis=ky=sjɔ̃=o=zɔʁ=dʁə=dɔ=ne 30
sεtə=dis=po=zi=sjɔ̃=pø=sə=pʁe=zɑ̃=te=dɑ̃=də=nɔ̃=bʁø=ka 15
yn=la=syɡ=ʒεs=ti=bi=li=te=pø=pʁɔvə=niʁ=də=la=naj=və=te=e=də=la=kʁe=dy=li=te=sə=sɔ̃=lε=pεʁ=sɔ=nə=ki=a=va=lɑ̃=tut=mε=sə=nε=pa=də=la=syɡ=ʒεs=ti=bi=li=te=pʁɔ=pʁə=mɑ̃=ditə 50
døks=la=syɡ=ʒεs=ti=bi=li=te=sə=ma=ni=fεstə=dɑ̃=sεʁ=tɛ̃=de=zɔʁ=dʁə=pa=sa=ʒe=la=ɡʁɑ̃=də=fa=ti=ɡə=lep=ɥi=zə=mɑ̃=nεʁ=vø=tus=lε=de=zɔʁ=dʁə=ze=mɔ=tif=fə=zɑ̃=pεʁ=dʁə=lə=kɔ̃=tʁo=lə=də=swa=ɔ̃=kɔ=nε=lε=pa=nik=kɔ=lεk=ti=və=dɑ̃=li=pə=ʁe=mɔ=ti=vi=te=kɔ=mə=lə=ʒy=ʁe=ki=e=tε=ɑ̃=pʁə=mje=ljø=pεʁ=sɥa=de=pɥi=ki=də=vjɛ̃=syɡ=ʒεs=tjɔ=ne=lə=plys-o=də=ɡʁe=də=la=syɡ=ʒεs=ti=bi=li=te=sə=ʁɑ̃=kɔ̃=tʁə=dɑ̃=lis=te=ʁi 113

ɑ̃=ʁe=zy=me 4
yn=la=pεʁ=sɥa=zjɔ̃=εl=lə=sə=fε=a=la=sɥitə=dy=nə=dis=ky=sjɔ̃=kɔ̃=sjɑ̃=tə=ot=ʁɥi=ε=ta=lɔʁ=kɔ̃=vɛ̃=ky=vɔ=lɔ̃=tε=ʁə=mɑ̃ 33
døks=la=syɡ=ʒεs=tjɔ̃=εl=ləε=tœ̃=fε=ak=sεp=te=paʁ=ot=ʁɥi=sɑ̃=ʁε=zɔnə=mɑ̃=ni=dis=ky=sjɔ̃=sə=fε=ε=ti=me=dja=tə=mɑ̃=kɔ̃=si=de=ʁe=kɔ=mə=y=nə=ve=ʁi=te=la=syɡ=ʒεs=tjɔ̃=sa=dʁε=sə=a=lɛ̃=kɔ̃=sjεnt=kɔ=mə=dɑ̃=la=syɡ=ʒεs=tjɔ̃=ip=nɔ=ti=kə=kə=nu=ze=ty=djə=ʁɔ̃ 70

εɡ=zɑ̃=plə=də=syɡ=ʒεs=tj=ɔ̃ 8
œ̃=də=vo=za=mi=zε=ta=si=dɑ̃lə=fo=təj=dy=dɑ̃=tis=təe=sy=bi=œ̃=fʁε=za=ʒə=se=ʁjø=il=sə=pø=kə=vu=ʁə=sɑ̃=tje=bʁys=kə=mɑ̃=y=nə=du=lœʁ=swa=a=ly=nə=də=vo=dɑ̃=swa=a=jœʁ=a=sə=mɔ=mɑ̃=vu=su=fʁe=dɔ̃k=sɑ̃=ko=ky=nə=le=zjɔ̃=nə=ʒys=ti=fi=sε=tə=su=fʁɑ̃=sə=ɔ̃=vu=di=ʁa=i=ma=ʒi=na=sjɔ=nə=a=lɔʁ=kə=vu=su=fʁe=ʁe=εl=lmɑ̃=ɔ̃=sup=sɔ=nə=i=me=dja=tə=mɑ̃=kə=lə=sis=tε=mə=nεʁ=vø=dwa=i=ε=tʁə=puʁ=kεl=kə=ʃo=zə=nu=lə=ve=ʁɔ̃ 119
dotʁə=paʁ=la=syɡ=ʒεs=tjɔ̃=kɔ=ʁεs=pɔ̃=su=vɑ̃=a=y=nə=i=de=sə=tʁu=vɑ̃=ɑ̃=pʁɔ=fɔ̃=dœʁ=ʃe=lɛ̃=di=vi=dy=vwa=je=sə=ti=mi=də=sɔʁ=tɑ̃=dy=nə=sa=ləu=pa=sə=œ̃=film=də=du=ɡla=fεʁ=bɑ̃k=il=ε=fεʁ=bɑ̃k=il=sə=sɑ̃=le=ʒe=de=zɛ̃=vɔl=tə=il=ʁə=ɡaʁ=də-aʁ=di=me 69
sεt=ɔməε=syɡ=ʒεs=tjɔ=ne=e=fεʁ=bɑ̃k=za=ʁe=vε=je=ɑ̃=lɥi=œ̃=sɑ̃=ti=mɑ̃=ɛ̃=kɔ̃=sjɑ̃=lə=sɑ̃=ti=mɑ̃=də=la=fɔʁ=sə=kil=de=zi=ʁə=ɑ̃=kɔ̃=tʁə=paʁ=ti=də=sa=fε=blε=sə=də=ti=mi=də=la=syɡ=ʒεs=tjɔ̃=ε=dɔ̃k=y=nə=i=de=ɛ̃=tʁɔd=ɥi=tə=dɑ̃=lə=sεʁ=vo=e=ak=sεp=te=paʁ=lɥi=εl=lə=vi=zə=a=kʁe=e=y=nə=ɛ̃=pyl=sjɔ̃=nɔ̃=kɔ̃=sjɑ̃=tə=du=de=ku=lə=ʁa=lak=sjɔ̃=u=le=ta=i=kɔ=ʁεs=pɔ̃=dɑ̃ 103

lε=kɔ̃=di=sj=ɔ̃=də=la=syɡ=ʒεs=tj=ɔ̃ 11

si=la=syɡ=ʒεs=tjɔ̃=ε=tynə=ʃo=zə=paʁ=ti=ky=ljε=ʁə=lε=kɔ̃=di=sjɔ̃=dwa=ve=lε=tʁəe=ɡa=lə=mɑ̃=e=sə=nε=kə=dɑ̃=sε=kɔ̃=di=sjɔ̃=kə=la=syɡ=ʒεs=tjɔ̃=puʁ=ʁa=sə=ʁe=a=li=ze 46

yn=la=syɡ=ʒεs=tj=ɔ̃=ʁə=la=ti=və=mɑ̃=nɔʁ=ma=lə 14

ʒə=ʁa=pεllə=lə=ti=midə=sɔʁ=tɑ̃=dy=spεk=ta=klə=il=de=zi=ʁə=də=la=fɔʁ=sə=paʁ=sə=kil=sə=sɑ̃=fε=blə=sə=de=ziʁ=sə=tʁu=və=dɔ̃k=o=fɔ̃=də=lɥi=mε=mə=fεʁ=bɑ̃k=za=til=syɡ=ʒεs=tjɔ=ne=sə=ti=mi=də=nɔ̃=il=na=fε=kə=de=klɑ̃=ʃe=lə=me=ka=nis=mə=e=lo=to=zyɡ=ʒεs=tjɔ̃=dy=ti=mi=dəa=fε=lə=ʁεs=tə=lə=de=ziʁ=ε=də=və=ny=y=nə=kʁwa=jɑ̃=sə=tɑ̃=pɔ=ʁε=ʁə=ki=pʁɔd=ɥi=dε=zak=sjɔ̃s=de=maʁ=ʃə=ʁə=ɡaʁ=vwa=ʒεs=tə=εt=se=te=ʁa 113
kɔ̃=di=sjɔ̃=εn=də=ɡʁe=œ̃=la=syɡ=ʒεs=tjɔ̃=nɔʁ=malə=dwa=kɔ=ʁεs=pɔ̃=dʁəa=œ̃=sɑ̃=ti=mɑ̃=sə=tʁu=vɑ̃=de=ʒa=dɑ̃=lɛ̃=kɔ̃=sjɑ̃=dy=sy=ʒε=e=pu=vɑ̃=pʁɔd=ɥi=ʁə=lɛ̃=pyl=sjɔ̃ 43
kɔ̃=di=sjɔ̃=εn=də=ɡʁe=dø=il=fokə=lə=ʁə=fy=də=la=syɡ=ʒεs=tjɔ̃=nə=sə=fa=sə=pa=ka=ku=ʁɑ̃=fa=tiɡ=e=mɔ=sjɔ̃=ti=mi=di=te=tʁak=de=pʁe=sjɔ̃=pa=ni=kə=εt=se=te=ʁa=ɛ̃=si=la=ʁe=zis=tɑ̃=sə=mɑ̃=ta=lə=di=minɥ=e=lə=syɡ=ʒεs=tjɔ=nœʁ=a=ʒi=fa=si=lə=mɑ̃=paʁ=εɡ=zɑ̃=plə=si=ɔ̃=di=a=œ̃=ni=pə=ʁe=mɔ=tif=ɑ̃=plε=nə=kʁi=zə=də=tʁak=mɔ̃=djø=kə=ty=sɑ̃=blə=mal=a=lε=zəe=kə=ty=ε=pa=lə=sε=tə=syɡ=ʒεs=tjɔ̃=nə=ʁɑ̃=kɔ̃=tʁə=ʁa=o=ky=nə=ʁe=zis=tɑ̃=sə=də=plys=εl=lə=tu=ʃə=œ̃=sɑ̃=ti=mɑ̃=sə=tʁu=vɑ̃=de=ʒa=dɑ̃=lə=sy=ʒε=e=la=pa=ni=kə=sə=de=klɑ̃=ʃə=i=me=dja=tə=mɑ̃ 155
kə=fε=dɔ̃k=lə=syɡ=ʒεs=tjɔ=nœʁ=il=ti=zɔnə=il=ak=ti=və=il=pu=sə=li=de=ɛ̃=kɔ̃=sjɑ̃=tə=lə=sy=ʒε=pa=səa=lɔʁ=za=lo=to=syɡ=ʒεs=tjɔ̃=ɔ̃=vwa=dɔ̃k=kə=la=syɡ=ʒεs=tjɔ̃=ε=di=fi=si=lə=u=ɛ̃=pɔ=si=blə=si=lə=sy=ʒε=ε=tɑ̃=pɔ=se=sjɔ̃=də=tus=sε=mwa=jɛ̃=il=dis=ky=tə=ʁa=ʁε=zɔ=nə=ʁa=εt=se=te=ʁa=e=nu=ʁə=tɔ̃=bɔ̃=dɑ̃=la=pεʁ=sɥa=zjɔ̃=la=syɡ=ʒεs=tjɔ̃=nɔʁ=ma=lə=a=dɔ̃k=dε=ze=fε=tɑ̃=pɔ=ʁε=ʁə=paʁ=sə=kεllə=de=pɑ̃=dœ̃=ne=ta=tɑ̃=pɔ=ʁε=ʁə=mɑ̃=de=fi=sjɑ̃ 123

døks=la=syɡ=ʒεs=tj=ɔ̃=pa=tɔ=lɔ=ʒi=kə 11

vwa=si=œ̃=ka=pʁi=dɑ̃=lε=zi=nɔ̃=bʁablə=zɔp=sεʁ=va=sjɔ̃=də=ʒa=nε 17
i=ʁεnə=ʒə=nə=fa=mə=də=vɛ̃=te=œ̃=nɑ̃=tɔ̃=ba=ɡʁa=və=mɑ̃=ma=la=dəa=la=sɥi=tə=də=la=mɔʁ=də=sa=mε=ʁə=εl=lə=ʁə=fy=zε=də=bwa=ʁə=lo=dy=ʁɔ=bi=nε=paʁ=sə=kεllə=pʁe=tɑ̃=dε=kə=sə=ʁɔ=bi=nε=nə=de=bi=tε=pa=də=lo=mε=dy=sɑ̃=ʁu=ʒə=kɑ̃=ta=vε=kɔ=mɑ̃=se=sε=tə=o=to=syɡ=ʒεs=tjɔ̃=sε=tə-a=ly=si=na=sjɔ̃=kɑ̃=ti=ʁε=nə=a=vε=vy=œ̃=ʒuʁ=ku=le=lo=ɡu=tə=a=ɡu=tə=kɔ=mə=lə=sɑ̃=dε=lε=vʁə=də=sa=mε=ʁə 113
lo=to=syɡ=ʒεs=tjɔ̃=di=ʁεnəε=də=vənɥ=y=nə=i=de=fik=sə=li=de=fik=sə=ε=ty=nə=o=to=syɡ=ʒεs=tjɔ̃=pu=se=o=mak=si=mɔm=lip=nɔ=tis=mə=ε=lə=te=ʁɛ̃=i=de=al=puʁ=ɛ̃=plɑ̃=te=y=nə=i=de=fik=sə=dɑ̃=lə=sεʁ=vo=də=kεl=kœ̃=vwa=si=y=nə=εk=spe=ʁjɑ̃=sə=ba=na=lə=dip=nɔ=tismə 75
ynə=pεʁ=sɔ=nəε=tɑ̃=dɔʁ=mi=ɔ̃=lɥi=syɡ=ʒε=ʁə=su=zip=no=zə=kə=lə=ve=ʁə=kεllə=tjɛ̃=ɑ̃=mɛ̃=zε=ʁɑ̃=pli=do=tʁε=sa=le=pɥi=zɔ̃=la=ʁe=vεjə=εl=lə=bwa=sε=tə=o=ki=ε=tab=sɔ=ly=mɑ̃=py=ʁə=εt=la=kʁa=ʃə=i=me=dja=tə=mɑ̃=a=vεk=lε=si=ɲə=dy=plys=pʁɔ=fɔ̃=de=ɡu=εl=lə=de=kla=ʁə=kə=lo=εst=a=fʁø=zə=mɑ̃=sa=le=ə=e=ʁjɛ̃=o=kœ̃=ʁε=zɔ=nə=mɑ̃=o=ky=nə=de=mɔ̃s=tʁa=sjɔ̃=nə=puʁ=ʁɔ̃=la=kɔ̃=vɛ̃=kʁə=dy=kɔ̃=tʁε=ʁə=puʁ=sə=fε=ʁə=il=fo=dʁε=lɑ̃=dɔʁ=miʁ=a=nu=vo=e=ɔ=pe=ʁe=la=syɡ=ʒεs=tjɔ̃=ɛ̃=vεʁsə 134
sεtə=pεʁ=sɔ=nəa=dɔ̃k=paʁ=ip=no=zə=e=te=a=tɛ̃=tə=di=de=fik=sə=lo=ε=sa=le=la=syɡ=ʒεs=tjɔ̃=ε=vənɥ=də=lip=nɔ=ti=zœʁ=εl=lə=ε=də=vənɥ=y=nə=kɔ̃=vik=sjɔ̃=ab=sɔlɥ=ʃe=lip=nɔ=ti=ze=pɥi=zy=nə=o=to=syɡ=ʒεs=tjɔ̃=e=y=nə=i=de=fik=sə=ʒə=ʁe=pε=tə=kil=i=a=dɑ̃=tus=sε=pʁɔ=se=de=œ̃=me=ka=nis=mə=py=ʁə=mɑ̃=nεʁ=vø=kə=nu=zεɡ=za=mi=nə=ʁɔ̃=zɑ̃=sɔ̃=tɑ̃=la=syɡ=ʒεs=tjɔ̃=nε=pa=œ̃=mi=ʁa=klə=e=dε=kə=lɔ̃=kɔ̃=pʁɑ̃=lə=pʁɔ=se=de=nεʁ=vø=lə=mis=tε=ʁə=a=fɔ=lɑ̃t=dis=pa=ʁε 130

kε=sə=kə=li=de=fik=sə 7

ɔ̃=pø=la=kɔ̃=si=de=ʁe=kɔməy=nə=i=de=vi=vɑ̃=ən=pa=ʁa=zi=tə=dɑ̃=lə=psi=ʃis=mə=y=mɛ̃=sε=tə=i=de=pa=ʁa=zi=tə=pɔ=sε=də=sy=fi=za=mɑ̃=də=pɥi=sɑ̃=sə=e=də=kɔ̃s=tɑ̃=sə=puʁ=e=li=mi=ne=tu=tə=lε=zo=tʁə=o=kœ̃=ʁε=zɔ=nə=mɑ̃=o=ky=nə=dis=ky=sjɔ̃=nə=puʁ=ʁɔ̃=e=li=mi=ne=y=nə=i=de=fik=sə=ki=sə=mɔ̃=tʁə=kɔ=mə=œ̃=ʁɔk=i=ne=bʁɑ̃=lablə 96
il=εɡ=zistə=dε=mi=lje=di=de=fik=sə=a=lɑ̃=də=la=nɔʁ=mal=le=ʒe=o=pa=tɔ=lɔ=ʒi=kəεk=stʁε=mə=εl=lə=pə=ve=ɛ̃=po=ze=lœʁ=pʁe=zɑ̃=sə=pɑ̃=dɑ̃=œ̃=tɑ̃=kuʁ=lɔ̃=u=tʁε=lɔ̃=pɑ̃=dɑ̃=tu=tə=la=vi=paʁ=fwa=puʁ=lə=plys=ɡʁɑ̃=ma=lœʁ=də=lɑ̃=tu=ʁa=ʒə=dε=mi=lje=di=de=fik=sə=pə=ve=dɔ̃k=sɛ̃=plɑ̃=te=dɑ̃=zœ̃=sεʁ=vo=y=mɛ̃=i=si=e=ɡa=lə=mɑ̃=lə=pa=tɔ=lɔ=ʒi=kə=nε=kə=lεɡ=za=ʒe=ʁa=sjɔ̃=dy=nɔʁ=mal=ɑ̃=pʁɔ=fɔ̃=dœʁ=e=ɑ̃=dyʁe 113

lε=zi=de=fik=sə=kɔ̃=si=de=ʁe=kɔ=mə=nɔʁ=ma=lə 14

pʁə=nɔ̃=tʁwa=zεɡ=zɑ̃=plə 6
yn=œ̃=sa=vɑ̃=maʁʃə=e=œ̃=pʁɔ=blε=mə=lə-ɑ̃=tə=sə=pʁɔ=blε=mə=la=ɑ̃=va=i=tu=tɑ̃=tje=ki=se=tɔ=nə=ʁa=də=vwaʁ=sə=sa=vɑ̃=pʁɑ̃=dʁəy=nə=kʁε=puʁ=e=kʁi=ʁə=ɛ̃=kɔ̃=sja=mɑ̃=syʁ=y=nə=o=to=mo=bi=lə=a=la=ʁε=ki=se=tɔ=nə=ʁa=də=sa=tɔ=ta=lə=dis=tʁak=sjɔ=nə=sə=sa=vɑ̃=a=sə=mɔ=mɑ̃=ε=tɑ̃=pʁwa=a=y=nə=i=de=fik=sə=sɔ̃=pʁɔ=blε=mə=mε=sε=tə=i=de=ε=tɑ̃=pɔ=ʁε=ʁə=εl=lə=dy=ʁə=ʁa=ʒys=ka=la=ʁe=zɔ=ly=sjɔ̃=də=la=di=fi=kyl=te=u=ʒys=ka=sə=ky=nə=vwa=ty=ʁə=stɔ=pɑ̃=nεt=a=di=sɑ̃=ti=mε=tʁə=də=lɥi=nə=lə=ʁe=vεjə=də=sə=sɔ̃=ʒə=e=vε=je 151
døks=œ̃=aʁ=tistə=pɔ=se=de=paʁ=sɔ̃=nœ=vʁəɑ̃=ʒεs=ta=sjɔ̃=nə=sa=ʃɑ̃=e=nə=vwa=jɑ̃=kεllə=i=de=fik=sə=e=ɡa=lə=mɑ̃=aʁ=tis=ti=kə=e=a=ɡʁe=a=blə=swa=mε=zi=de=fik=sə=tu=də=mεmə 48
tʁwas=sεt=ɔmə=ɔp=se=de=paʁ=dε=zɑ̃n=ɥi=me=na=ʒe=kɔ=mε=tɑ̃=fo=tə=syʁ=fo=tə=dɑ̃=sɔ̃=tʁa=vaj=ɑ̃=pi=lɑ̃=lε=ze=ʁœʁ=i=de=fik=sə=e=ɡa=lə=mɑ̃=tɑ̃=pɔ=ʁε=ʁə=de=za=ɡʁe=a=bləe=ep=ɥi=zɑ̃tə 51

lε=zi=de=fik=sə=kɔ̃=si=de=ʁe=kɔ=mə=a=nɔʁ=malə 14

dɑ̃lə=mɔ̃=dəak=tɥεl=fa=ti=ɡe=e=mɔ=tif=dε=di=zε=nə=də=mi=lje=dε=tʁə=y=mɛ̃=ku=ʃe=puʁ=la=nɥi=sə=ʁə=lε=ve=il=ve=ʁi=fje=la=fεʁ=mə=ty=ʁə=dy=ʁɔ=bi=nε=də=ɡaz=il=sə=ʁə=ku=ʃe=pɥi=zœ̃=du=tə=a=pa=ʁε=ε=ʒə=bjɛ̃=fεʁ=me=lə=ʁɔ=bi=nε=e=la=ʁε=zɔ̃=ʁe=pɔ̃=ui=ty=la=fεʁ=me=mε=la=fεk=ti=vi=te=ɛ̃=kɔ̃=sjɑ̃=tə=kɔ̃=tinɥ=də=du=te=e=sεst=plys=fɔʁ=køks=il=sə=ʁə=lε=ve=ve=ʁi=fje=a=nu=vo=sə=ʁə=ku=ʃe=ɔ̃=puʁ=ʁε=kʁwa=ʁə=kə=dø=zu=tʁwa=ve=ʁi=fi=ka=sjɔ̃=kɔ̃=vɛ̃=kʁɔ̃=lœʁ=a=fεk=ti=vi=te=il=nɑ̃=nε=ʁjɛ̃=il=sə=ʁə=lε=ve=ɑ̃=kɔ=ʁə=də=plys=zɑ̃=plys=fa=ti=ɡe=e=də=mwɛ̃=zɑ̃=mwɛ̃=ka=pa=blə=də=ly=te=kɔ̃=tʁə=sε=tə=i=de=fik=sə=kil=ʁə=kɔ=nε=se=kɔ=mə=ab=syʁ=də=mε=kɔ̃=tʁə=la=kεllə=tu=lœʁ=ʁε=zɔ=nə=mɑ̃=nə=pø=ʁjɛ̃=ʒε=dɔ=ne=i=si=œ̃=nεɡ=zɑ̃=plə=di=de=fik=sə=le=ʒε=ʁə=su=vɑ̃=lje=a=y=nə=de=fi=sjɑ̃=sə=pa=sa=ʒε=ʁə=a=œ̃=syʁ=mə=na=ʒə=a=y=nə=ɑ̃k=sje=te=mε=sε=ty=nə=i=de=fik=sə=tu=də=mε=mə=ki=ε=lə=sɛ̃p=to=mə=dœ̃=ne=ta=ma=la=dif 263
ʒə=vu=dʁε=vu=pʁe=zɑ̃=te=dotʁə=zi=de=fik=sə=mε=zεllə=zεɡ=zis=te=ɑ̃=tʁo=ɡʁɑ̃=nɔ̃bʁə=il=fo=bjɛ̃=kɔ̃=pʁɑ̃=dʁə=kil=i=ɑ̃=na=y=nə=ɡa=mə=i=mɑ̃=sə=a=lɑ̃=dy=be=nɛ̃=o=tʁε=ɡʁa=və=dy=tɑ̃=pɔ=ʁε=ʁəo=dy=ʁa=blə=də=tu=tə=fa=sɔ̃=li=de=fik=sə=ε=tu=ʒuʁ=pʁɔd=ɥi=tə=paʁ=œ̃=me=ka=nis=mə=ɛ̃=kɔ̃=sjɑ̃ 79
kεllə=sɔ̃=lε=zi=de=fik=sə=lε=plys=ku=ʁɑ̃tə=su=li=ɲe=tu=tə=lε=zɔp=se=sjɔ̃=su=li=ɲe=tu=tə=lε=fɔ=bjəs=εt=djø=sε=sil=i=ɑ̃=na=su=li=ɲe=la=ply=paʁ=dε=zɑ̃=ɡwa=sə=su=li=ɲe=lε=pə=ti=tə=ma=ni=lε=ɡʁɑ̃=də=ma=ni=sy=pεʁ=fi=sjεl=lə=zu=pʁɔ=fɔ̃=də=su=li=ɲe=lε=tik=tɑ̃=kil=də=mə=ʁe=ɛ̃=kɔ̃=sjɑ̃=zət=ma=ʃi=noks=su=li=ɲe=lɔp=se=sjɔ̃=də=də=və=niʁ=fu=si=ku=ʁɑ̃=tə=su=li=ɲe=lɔp=se=sjɔ̃=də=tɔ̃=be=dɑ̃=la=ʁy=εt=se=te=ʁa=εt=se=te=ʁa 120
e=lɔ̃=pøsə=də=mɑ̃=de=si=nɔ=tʁə=bεlləe=pɔ=kə=buʁ=ʁe=də=fa=ti=ɡə=də=ʁə=fu=lə=mɑ̃=ze=de=mɔ=sjɔ̃=ze=nεʁ=vɑ̃=tə=nε=pa=lə=bu=jɔ̃=də=kyl=ty=ʁə=i=de=al=dε=ɡʁɑ̃=də=zi=de=fik=sə=dɔ̃=ʒə=nə=su=ε=tə=a=pεʁ=sɔ=nə=dε=tʁə=a=tɛ̃=mal=ɡʁe=la=ɡe=ʁi=zɔ̃=pɔ=siblə 72

li=ni=bi=sj=ɔ̃=dɑ̃=li=de=fik=sə 10

lə=sa=vɑ̃=kɔ̃=sɑ̃=tʁe=syʁ=sɔ̃=pʁɔ=blεmə=pa=sə=puʁ=dis=tʁεt=puʁ=tɑ̃=il=nε=pa=dis=tʁε=il=ε=ti=ni=be=ʒε=paʁ=le=de=ʒa=də=li=ni=bi=sjɔ̃=dɑ̃=la=fa=ti=ɡəe=la=ti=mi=di=te=si=lə=sa=vɑ̃=nə=ʁə=maʁ=kə=ʁjɛ̃=sε=paʁ=sə=kil=ε=nεʁ=vø=zə=mɑ̃=ɛ̃=ka=pa=blə=də=vwaʁ=u=ɑ̃=tɑ̃=dʁə=o=tʁə=ʃo=zə=kə=sə=ki=lə=pʁe=ɔ=ky=pə=puʁ=kwa=dɑ̃=sɔ̃=sεʁ=vo=tus=lε=sɑ̃=tʁə=nεʁ=vø=ki=nə=tʁa=va=je=pa=puʁ=lə=pʁɔ=blε=mə=dy=mɔ=mɑ̃=sɔ̃=blɔ=ke 116
dɑ̃=li=de=fik=sə=lε=sεl=lylə=blɔ=ke=nə=pə=ve=e=vi=da=mɑ̃=pʁe=zɑ̃=te=lε=flyk=tɥa=sjɔ̃=ne=se=sε=ʁə=e=lε=me=sa=ʒə=zεk=ste=ʁjœʁ=nə=de=klɑ̃=ʃe=plys=zo=ky=nə=ʁe=ak=sjɔ̃ 47
paʁ=εɡ=zɑ̃plə=puʁ=sə=sa=vɑ̃=ɔp=se=de=y=nə=vwa=ty=ʁəa=ʁi=vɑ̃=syʁ=lɥi=ɑ̃=klak=sɔ=nɑ̃=nə=sə=ʁa=pa=pεʁsɥ=paʁ=sɔ̃=sεʁ=vo=paʁ=sə=kə=li=de=fik=sə=blɔ=kə=lε=zo=tʁə=sεl=ly=lə=nεʁ=vø=zə=ki=o=ʁε=nɔʁ=ma=lə=mɑ̃=ʁe=a=ʒi=a=lo=to=u=a=o=tʁə=ʃozə 68
e=lɔ̃=vwa=ɛ̃=si=kɔ̃=bjɛ̃=la=dis=pɔ=ni=bi=li=te=də=lεs=pʁi=sɑ̃=zɔ=pi=njɔ̃=ɑ̃=kʁe=sɑ̃=zɔp=sti=na=sjɔ̃=sɑ̃=zɑ̃=tεtə=mɑ̃=ε=ty=nə=bεlləe=sɛ̃=tə=ʃo=zə 40

kɔ=mɑ̃=sɛ̃=plɑ̃=tə=li=de=fik=sə=pa=tɔ=lɔ=ʒi=kə 14

o=kuʁ=dynə=ʒuʁ=ne=ɔʁ=di=nε=ʁə=ʃa=kœ̃=ε=bɔ̃=baʁ=de=daʁ=ɡy=mɑ̃=ta=sjɔ̃=dɛ̃=sin=ɥa=sjɔ̃=də=syɡ=ʒεs=tjɔ̃=də=tu=tə=sɔʁ=tə=a=lɔʁ=puʁ=kwa=na=vɔ̃=nu=pa=tus=dε=zi=de=fik=sə=ʒə=dwa=a=nu=vo=e=ta=bliʁ=y=nə=di=fe=ʁɑ̃=səɑ̃tʁə 61
yn=li=de=pʁe=dɔ=mi=nɑ̃=tə=dy=mɔ=mɑ̃ 11
e 1
døks=li=de=fik=sə=pʁɔ=pʁə=mɑ̃=di=tə=pa=tɔ=lɔ=ʒikə 14
si=li=de=fik=sə=sɛ̃s=talə=sε=kə=kεl=kə=ʃo=zə=dɑ̃=le=ta=dy=sy=ʒε=lɥi=pεʁ=mε=də=lə=fεʁə 25
dø=kɔ̃=di=sj=ɔ̃=zɑ̃=tʁe=ɑ̃=ʒø 9
a=la=syɡ=ʒεs=tj=ɔ̃ 6
b=le=ta=fi=zikəe=mɑ̃=tal=dy=sy=ʒε=o=mɔ=mɑ̃=u=il=ʁə=swa=sε=tə=syɡ=ʒεs=tjɔ̃ 22
puʁ=a=pa=ʁεtʁə=li=de=fik=sə=də=mɑ̃=dəy=nə=de=vja=sjɔ̃=də=le=ki=li=bʁə-a=bit=ɥεl=dy=sεʁ=vo=swa=paʁ=pʁe=dis=po=zi=sjɔ̃=syʁ=mə=na=ʒə=ɛ̃=tɑ̃=sif=ɛ̃=fεk=sjɔ̃=e=mɔ=sjɔ̃=εt=se=te=ʁa=mε=zεllə=sɛ̃=plɑ̃=tə=syʁ=tu=ʒə=lə=ʁe=pε=tə=kɑ̃=tεl=lə=εɡ=za=ʒε=ʁə=œ̃=fak=tœʁ=a=fεk=tif=pʁe=εk=sis=tɑ̃=ʒə=ʁə=pʁɑ̃=zɑ̃=kɔ=ʁə=lεɡ=zɑ̃=plə=dy=ti=mi=də=sɔʁ=tɑ̃=dy=si=ne=ma=la=syɡ=ʒεs=tjɔ̃=ɔ=pe=ʁe=paʁ=lə=film=ε=də=vənɥ=y=nə=o=to=syɡ=ʒεs=tjɔ̃=mε=sε=tə=syɡ=ʒεs=tjɔ̃=na=fε=kə=pu=se=ɑ̃=na=vɑ̃t=œ̃=e=ta=εɡ=zis=tɑ̃=œ̃=ɡʁɑ̃=de=ziʁ=dε=tʁə=fɔʁ=syʁ=də=swa=a=lε=zə=εt=se=te=ʁa 155
li=de=fik=sə=pø=ε=tʁə 7
a=kɔ̃=sjɑ̃tə=œ̃=nɔp=se=de=sε=tʁε=bjɛ̃=kil=ε=ta=tɛ̃=di=de=fik=sə=pɥis=kil=ly=tə=kɔ̃=tʁəεllə=a=vεk=sa=ʁε=zɔ̃=sɑ̃=syk=sε=da=jœʁ 34
b=ɛ̃=kɔ̃=sjɑ̃tə=sə=fy=lə=ka=di=ʁε=nə=sε=to=si=lə=ka=dy=nə=i=de=fik=sə=pʁɔd=ɥi=tə=paʁ=syɡ=ʒεs=tjɔ̃=ip=nɔ=ti=kə=mε=də=tu=tə=fa=sɔ̃=la=ko=zə=pεʁ=mε=tɑ̃=la=pa=ʁi=sjɔ̃=də=li=de=fik=səε=tu=ʒuʁ=zɛ̃=kɔ̃=sjɑ̃tə 59
lip=nɔ=tismə=pø=pʁɔd=ɥi=ʁəy=nə=i=de=fik=sə=dy=mwɛ̃=ʃe=sεʁ=tɛ̃=mε=pø=tɔ̃=di=ʁə=kə=tu=tə=lε=pεʁ=sɔ=nə=ki=ɑ̃=sɔ̃=ta=tɛ̃=tə=fy=ʁe=ip=nɔ=ti=ze=nɔ̃=e=vi=da=mɑ̃=a=lɔʁ=pɥis=kə=li=de=na=pa=e=te=ɛ̃=plɑ̃=te=də=lεk=ste=ʁjœʁ=kɔ=mɑ̃=lo=to=syɡ=ʒεs=tjɔ̃=pø=tεllə=ʒu=e=a=sə=pwɛ̃=kɔ=mɑ̃=paʁ=εɡ=zɑ̃=plə=œ̃=ʃɔk=e=mɔ=sjɔ=nεl=ɡʁa=və=pø=til=pεʁ=sis=te=e=pʁɔ=vɔ=ke=y=nə=i=de=fik=sə=œ̃=tik=y=nə=fɔ=bi=y=nə=ɔp=se=sjɔ̃=εt=se=te=ʁa=nu=lə=ve=ʁɔ̃=zɑ̃=ne=ty=djɑ̃=ʒa=nε 131

ə=mi=lə=ku=e=e=lə=matʃ=ɛ̃=te=ʁjœ=ʁə 12

ə=milə=ku=e=mi=jə=ɥi=sɑ̃=sɛ̃=kɑ̃=tə=sεt=ti=ʁε=mi=lə=nəf=sɑ̃=vɛ̃t=siks=mal=ɡʁe=lε=ba=zə=tʁε=ze=le=mɑ̃=tε=ʁə=də=sa=me=tɔ=də=y=œ̃=ɡʁɑ̃=me=ʁi=tə=il=mit=ɑ̃=pʁa=ti=kə=lo=to=syɡ=ʒεs=tjɔ̃=kil=kɔ̃=si=de=ʁε=dɔ̃k=kɔ=məy=nə=syɡ=ʒεs=tjɔ̃=və=nɑ̃=dy=ma=la=də=lɥi=mεmə 73
nu=sa=vɔ̃sə=si=dɑ̃=lε=ma=la=di=psi=kɔ=lɔ=ʒik=lə=ʁε=zɔ=nə=mɑ̃=kɔ̃=sjɑ̃=nə=sεʁ=pa=a=ɡʁɑ̃=ʃo=zə=ni=laʁ=ɡy=mɑ̃=ta=sjɔ̃=ʁε=zɔ=na=blə=ni=la=pεʁ=sɥa=zjɔ̃=paʁ=εɡ=zɑ̃=plə=œ̃=ɡʁɑ̃=ti=mi=də=sə=dɔ=nə=sɑ̃=sε=sə=də=bɔ=nə=ʁε=zɔ̃=də=nε=tʁə=pa=ti=mi=də=il=tɑ̃=tə=də=sə=kɔ̃=vɛ̃=kʁəa=ɡʁɑ̃=ku=də=pu=iŋ=mɔ=ʁo=sə=la=ɑ̃=pε=ʃə=til=lε=kʁi=zə=dɛ̃=ti=mi=da=sjɔ̃=nɔ̃=bjɛ̃=o=kɔ̃=tʁε=ʁə=a=plys=fɔʁ=tə=ʁε=zɔ̃=li=ny=ti=li=te=dy=ʁε=zɔ=nə=mɑ̃=e=kla=tə=dɑ̃=lε=zɔp=se=sjɔ̃=lε=fɔ=bi=lε=zɑ̃=ɡwa=sə=εt=se=te=ʁa 139
œ̃=psi=kɔ=lɔɡ=sε=dɔ̃k=kil=ε=ti=ny=tilə=də=ʁε=zɔ=nəʁ=œ̃=ma=la=də=psi=kɔ=lɔ=ʒi=kə=e=kil=sə=ʁε=ʁi=di=ky=lə=də=lɥi=di=ʁə=kə=sɔ̃=kɔ̃=pɔʁ=tə=mɑ̃=ε=tab=syʁ=də=puʁ=tεlləu=tεl=lə=ʁε=zɔ̃=e=kil=dwat=fε=ʁə=œ̃=ne=fɔʁt=εt=se=te=ʁa=tʁo=də=ma=la=də=psi=kɔ=lɔ=ʒik=sɔ̃=tɑ̃=by=tə=a=lɛ̃=kɔ̃=pʁe=ɑ̃=sjɔ̃=a=ko=zə=də=sə=la=ʒys=tə=mɑ̃=tu=tə=la=ʒuʁ=ne=ɔ̃=lœʁ=lɑ̃=sə=a=la=tε=tə=lε=nɔ=sjɔ̃=də=vɔ=lɔ̃=te=sɑ̃=sɔ̃=ʒe=kə=sε=tə=fa=kyl=te=ε=fo=se=o=de=paʁ=puʁ=kwa=paʁ=sə=kə=lə=me=ka=nis=mə=nεʁ=vø=ki=pεʁ=mε=la=vɔ=lɔ̃=te=ε=fo=se=sə=la=ʁə=vjɛ̃=dʁε=a=də=mɑ̃=de=a=œ̃=vjɔ=lɔ=nis=tə=də=ʒu=e=lə=mi=syʁ=y=nə=kɔʁ=də=a=kɔʁ=de=syʁ=lə=fa=sə=vjɔ=lɔ=nis=tə=vø=bjɛ̃=ʒu=e=lɥi=mε=sɔ̃=naʁ=ʃε=fε=sɔʁ=tiʁ=lə=fa=fo=til=dɔ̃k=kʁje=yʁ=le=lə=me=pʁi=ze=lə=pu=se=a=tu=tə=fɔʁ=sə=a=ʒu=e=sə=fa=mø=mi=nɔ̃=il=fo=pʁɑ̃=dʁə=lə=vjɔ=lɔ̃=e=ʁe=a=ʒys=te=la=kɔʁ=də=syʁ=la=nɔ=tə=mi 245
tutə=ma=ni=fεs=ta=sjɔ̃=də=vɔ=lɔ̃=te=ʁe=εllə=də=mɑ̃=də=puʁ=sə=ma=ni=fεs=te=dε=kɔ̃=di=sjɔ̃=də=ba=zə=zbɛ̃=dɛ̃=de=kla=ʁε=ʁε=zɔ=ne=fo=zε=tœ̃=vi=səo=si=fy=nεs=tə=kə=pʁɑ̃=dʁə=də=la=mɔʁ=fi=nə=u=də=la=kɔ=kaj=nə=kε=ta=di=ʁə=si=ʁε=zɔ=nəʁ=ʒys=tə=εst=lə=ʁe=zyl=ta=dy=nə=a=fεk=ti=vi=te=ʒys=tə=ʁε=zɔ=nəʁ=foks=εst=lə=ʁe=zyl=ta=dy=nə=a=fεk=ti=vi=te=fo=sə=ma=lə=ʁø=zə=mɑ̃=ɔ̃=lu=bli=nəf=fwa=syʁ=dis=e=ʒə=sɥi=zɔp=ti=mistə 119
si=la=fεk=ti=vi=te=ɛ̃=kɔ̃=sjɑ̃tə=dit=nɔ̃=lə=ʁε=zɔ=nə=mɑ̃=a=bo=sep=ɥi=ze=a=di=ʁə=ui=sε=la=fεk=ti=vi=te=ki=ɡa=ɲə=ʁa=a=ʃa=kə=ku=lε=tʁə=nɔʁ=mal=lə=kɔ̃=pʁɑ̃=ʁa=ʁə=mɑ̃=puʁ=kwa=paʁ=sə=kə=ʃe=lɥi=ʁε=ɲəœ̃=na=kɔʁ=ɑ̃=tʁə=sa=vɔ=lɔ̃=te=sɔ̃=de=ziʁ=e=sɔ̃=na=fεk=ti=vi=te=il=i=a=a=kɔʁ=ɑ̃=tʁə=sɔ̃=vu=lwaʁ=e=sɔ̃=pu=vwaʁ=mε=na=ʁi=və=til=pa=kil=sɑ̃=tə=paʁ=fwa=zɑ̃=lɥi=y=nə=sɔʁ=tə=də=ti=ʁaj=mɑ̃=a=kɔ̃=pa=ɲe=dɑ̃=ɡwa=sə=paʁ=sə=kə=kεl=kə=ʃo=zə=lə=pu=sə=a=fε=ʁə=lə=kɔ̃=tʁε=ʁə=də=sə=kil=vu=dʁε=kɑ̃=ni=ma=ʒi=na=sjɔ̃=il=oɡ=mɑ̃=tə=sε=tə=kɔ̃=tʁa=dik=sjɔ̃=kil=la=ɡʁɑ̃=di=sə=ɑ̃=dyʁe=ɑ̃=nɛ̃=tɑ̃=si=te=e=ɑ̃=pʁɔ=fɔ̃=dœʁ=pø=tε=tʁə=a=lɔʁ=kɔ̃=pʁɑ̃=dʁa=til 182
dɔ̃k=pɥiskə=tu=tə=ma=la=di=psi=ʃi=kəε=ta=ba=zə=a=fεk=ti=və=tu=tʁε=tə=mɑ̃=psi=kɔ=lɔ=ʒi=kə=də=vʁa=vi=ze=la=fεk=ti=vi=te=sε=la=kə=sə=tʁu=və=ʁa=ta=pi=dɑ̃=lɔ̃bʁə=lə=kɑ̃=se=psi=kɔ=lɔ=ʒikə 53
ku=e=a=dɔ̃k=tɑ̃=te=də=lə=fεʁə=lɔʁ=skil=de=kla=ʁε=kɑ̃=li=ma=ʒi=na=sjɔ̃=e=la=vɔ=lɔ̃=te=sɔ̃=tɑ̃=ly=tə=sε=li=ma=ʒi=na=sjɔ̃=ki=lɑ̃=pɔʁ=tə=sɑ̃=zo=ky=nəεk=sεp=sjɔ̃=ku=e=a=tʁib=ɥε=dɔ̃k=œ̃=ʁo=lə=ka=pi=tal=o=psi=ʃis=mə=ɛ̃=kɔ̃=sjɑ̃=kil=a=pə=lε=i=ma=ʒi=na=sjɔ̃=bjɛ̃=syʁ=sa=me=tɔ=də=e=tε=ʁy=di=mɑ̃=tε=ʁə=εl=lə=tɑ̃=tε=de=li=mi=ne=y=nə=syɡ=ʒεs=tjɔ̃=ma=la=di=və=paʁ=y=nə=kɔ̃=tʁə=syɡ=ʒεs=tjɔ̃=sε=nə=œ̃=nɔʁ=dʁə=e=œ̃=kɔ̃=tʁə=ɔʁ=dʁə=ɑ̃=sɔ=mə=ɔ̃=kɔ=nε=sε=tə=me=tɔ=də=se=lε=bʁə=ku=e=də=mɑ̃=dε=o=ma=la=də=də=ʁe=pe=te=su=vɑ̃=mε=mə=sɑ̃=zi=kʁwa=ʁə=mε=də=ma=njε=ʁə=a=ɛ̃=pʁe=sjɔ=ne=lɔ=ʁεjə=tus=lε=ʒuʁ=za=tus=pwɛ̃=də=vɥ=ʒə=vε=də=mjø=zɑ̃=mjø 183
sε=pa=ʁɔlə=ʁe=pe=te=me=ka=ni=kə=mɑ̃=dwa=ve=ɛ̃=si=sə=ka=na=li=ze=vεʁ=lɛ̃=kɔ̃=sjεnt=a=fεk=ti=vi=te=e=sεt=ɛ̃=kɔ̃=sjɑ̃=fi=na=lə=mɑ̃=kɔ̃=vɛ̃=ky=paʁ=ʁe=flεk=sə=pu=sə=la=pεʁ=sɔ=nəa=a=ʒiʁ=nɔʁ=ma=lə=mɑ̃=ʁa=sjɔ=nεl=lmɑ̃=e=vɔ=lɔ̃=tε=ʁə=mɑ̃ 67
sεtə=me=tɔ=dəε=ʁy=di=mɑ̃=tε=ʁə=paʁ=sə=kεllə=nɑ̃=vi=za=ʒə=kə=lε=sɛ̃p=to=mə=zɑ̃=blɔk=εl=lə=nɑ̃=vi=za=ʒə=kə=la=su=fʁɑ̃=sə=ʁə=sɑ̃=ti=e=ne=li=mi=nə=kə=tʁε=ʁa=ʁə=mɑ̃=lε=tɑ̃=dɑ̃=sə=pʁɔ=fɔ̃=də=la=me=tɔ=də=ku=e=ʁεs=tə=e=vi=da=mɑ̃=dɑ̃=la=li=ɲə=də=la=syɡ=ʒεs=tjɔ̃=la=pεʁ=sɔ=nə=ɑ̃=tɑ̃=ty=nə=vwaks=la=sjε=nə=lɥi=syɡ=ʒe=ʁe=y=nə=a=meʁ=ljɔ=ʁa=sjɔ̃=e=sε=tə=kɔ̃=vik=sjɔ̃=də=vjɛ̃=də=lo=to=syɡ=ʒεs=tjɔ=nə=εt=sε=tə=o=to=syɡ=ʒεs=tjɔ̃=də=vjɛ̃=y=nə=kɔ̃=vik=sjɔ=nə 129
il=ε=tʁo=ba=nal=də=diʁəɑ̃=kɔ=ʁə=εn=ʁə=ɡaʁ=dε=de=ku=vεʁ=tə=də=la=psi=kɔ=lɔ=ʒi=mɔ=dεʁ=nə=e=də=la=me=də=si=nə=psi=ko=sɔ=ma=ti=kə=kə=lεs=pʁi=a=fεk=tə=lə=kɔʁ=e=ki=si=lεs=pʁi=pø=de=klɑ̃=ʃe=y=nə=ma=la=di=sə=mε=mə=εs=pʁi=pø=la=ɡe=ʁiʁ=paʁ=εs=pʁit=il=fo=ɑ̃=tɑ̃=dʁə=sεʁ=vo=sə=la=ε=tœ̃=fε=nu=ve=ʁɔ̃=da=jœʁ=kə=tu=lɔʁ=ɡa=nis=mə=ε=su=lə=kɔ̃=tʁo=lə=dy=sεʁ=vo=e=paʁ=la=la=me=tɔ=də=ku=e=ε=paʁ=fε=tə=mɑ̃=ak=sεp=tablə 122

si=vu=de=zi=ʁe=pʁa=ti=ke=lo=to=zyɡ=ʒεs=tj=ɔ̃ 14

lo=to=zyɡ=ʒεs=tjɔ̃=kɔmə=la=syɡ=ʒεs=tjɔ̃=və=nɑ̃=dot=ʁɥi=ε=tœ̃=nεk=sεl=lɑ̃=mwa=jɛ̃=de=dy=ke=lak=sjɔ̃=e=la=vɔ=lɔ̃=te=ʒə=si=ɲa=lə=kə=lo=to=zyɡ=ʒεs=tjɔ̃=nə=sa=dʁε=sə=pa=ka=dε=ma=la=də=bjɛ̃=o=kɔ̃=tʁε=ʁə=lo=to=zyɡ=ʒεs=tjɔ̃=bjɛ̃=fε=tə=de=po=zə=dɑ̃=lɛ̃=kɔ̃=sjɑ̃=də=nu=vεllə=ze=nεʁ=ʒi=e=i=ɡʁu=pə=də=nu=vεl=lə=ly=si=di=te=εl=ləε=tœ̃=bɔ̃=mwa=jɛ̃=dεk=stɑ̃=sjɔ̃=e=də=ʁɑ̃=fɔʁ=sə=mɑ̃=də=la=pεʁ=sɔ=na=li=te=εl=lə=pεʁ=mε=lə=ʁə=dʁə=sə=mɑ̃=dε=de=fi=sjɑ̃=sə=za=fεk=ti=və=ʒə=ʁe=pε=tə=ɑ̃=kɔ=ʁə=lə=sεʁ=vo=pɔ=sε=də=syʁ=lə=kɔʁ=zœ̃=pu=vwaʁ=ka=zi=dik=ta=tɔ=ʁjal 154

lε=kɔ̃=di=sj=ɔ̃=də=lo=to=zyɡ=ʒεs=tj=ɔ̃ 12

il=fo=kɔ̃=si=de=ʁe=lo=to=zyɡ=ʒεs=tjɔ̃=kɔməy=nə=fɔʁ=mə=də=me=di=ta=sjɔ̃=e=nɔ̃=pa=də=kɔ̃=sɑ̃=tʁa=sjɔ̃=la=me=di=ta=sjɔ̃=ε=tœ̃=flɔ=tə=mɑ̃=də=lεs=pʁi=y=nə=u=vεʁ=ty=ʁə=pa=si=və=e=kal=mə=εl=lə=pεʁ=mε=sɑ̃=ze=fɔʁ=lɑ̃=tʁe=dε=zi=de=ze=dε=sɑ̃=sa=sjɔ̃=tɑ̃=di=kə=la=kɔ̃=sɑ̃=tʁa=sjɔ̃=ε=tœ̃=ne=fɔʁ=po=ze=syʁ=œ̃=pwɛ̃=nu=za=vɔ̃=vy=kə=la=kɔ̃=sɑ̃=tʁa=sjɔ̃=ɑ̃=dɔʁ=y=nə=ɡʁɑ̃=də=paʁ=ti=dy=sεʁ=vo=εl=lə=e=li=mi=nə=dɔ̃k=dɔ=fi=sə=dε=sɑ̃=tε=nə=də=sɑ̃=sa=sjɔ̃=pu=vɑ̃=ε=tʁə=y=tilə 132
ɔp=staklə=e=ɔp=sta=klə=də=tajə=lə=dɔk=tœʁ=dy=bwa=də=bεʁ=nə=dɔ=nε=a=sε=ma=la=də=də=tʁε=zεk=sεl=lɑ̃=kɔ̃=sεj=e=kaʁ=te=tus=vo=tʁa=ka=e=li=mi=ne=tus=vo=su=si=ɑ̃=lə=ve=vo=pʁe=ɔ=ky=pa=sjɔ̃=tuʁ=ne=vɔ=tʁəεs=pʁi=vεʁ=lε=sy=ʒε=plε=zɑ̃=εt=se=te=ʁa 69
mε=kɔmə=di=ʒa=nε=sε=te=vi=da=mɑ̃=tʁε=ʒɑ̃=til=mε=zœ̃=pø=i=ʁɔ=ni=kə=kɑ̃=til=sa=ʒi=də=pεʁ=sɔ=nə=zɛ̃=ka=pa=blə=də=di=ʁi=ʒe=lœʁ=pɑ̃=se=kɑ̃=til=sɔ̃=ti=mɔ=bi=lə=dɑ̃=lœʁ=li=il=sə=fɔʁ=ʒe=kɔ̃=tin=ɥεl=lmɑ̃=dε=ʃi=mε=ʁə=il=sep=ɥi=ze=ɑ̃=kal=kyl=ze=ɑ̃=kɔ̃=bi=nε=zɔ̃=di=fi=si=lə 78
sə=ki=ε=le=vi=dɑ̃sə=mε=mə=o=tɑ̃=di=ʁəa=œ̃=nɔp=se=de=nə=sɔ̃=ʒe=plys=za=vɔ=tʁə=ɔp=se=sjɔ̃=u=a=œ̃=na=ʒi=te=mε=swa=je=kal=mə=vwa=jɔ̃=tʁε=kal=mə 42
sε=nε=sə=pa=œ̃=pø=ɑ̃=fɑ̃=tɛ̃ 9

kɔ=mɑ̃=e=li=mi=ne=sεt=ɔp=sta=klə 10

ε=de=asə=kə=li=de=ma=la=di=və=se=kaʁ=təo=mak=si=mɔm=də=lεs=pʁi=il=fo=dɔ̃k=tu=ʃe=o=tɑ̃=kə=pɔ=si=blə=lε=sɑ̃=tʁə=nεʁ=vø=də=lɛ̃=kɔ̃=sjɑ̃=ɑ̃=lε=sɑ̃t=flɔ=təʁ=lə=kɔ̃=sjɑ̃=y=nə=de=tɑ̃=tə=ε=dɔ̃k=ab=sɔ=ly=mɑ̃=ɛ̃=dis=pɑ̃=sa=blə=kɔ=mɑ̃=ɔp=tə=niʁ=sε=tə=de=tɑ̃=tə=lə=kɔʁ=dwa=ε=tʁə=ku=ʃe=e=i=mɔ=bi=lə=dε=tεk=nik=spe=sja=lə=zεɡ=zis=te=ki=ʁə=la=ʃə=pʁɔ=ɡʁe=si=və=mɑ̃=e=kɔ̃=plε=tə=mɑ̃=lε=mys=klə=εl=lə=dwa=ve=ε=tʁə=kɔ̃d=ɥi=tə=paʁ=œ̃=spe=sja=lis=tə=sɑ̃=tiʁ=ɑ̃s=ɥi=tə=lε=mɑ̃=bʁə=sa=luʁ=diʁ=lœ̃=na=pʁε=lo=tʁə=fεʁ=me=lε=ziø=ɑ̃=lε=sɑ̃=flɔ=te=lε=po=pjε=ʁə=a=ʁi=ve=ɛ̃=si=a=œ̃=ne=ta=də=tɔʁ=pœʁ=e=a=la=sɑ̃=sa=sjɔ̃=də=pla=ne=o=də=sy=də=sɔ̃=kɔʁ=lɑ̃=dʁwa=dwa=ε=tʁə=e=vi=da=mɑ̃=si=lɑ̃=sjø=ze=ɔp=skyʁ=ɔ̃=nə=kɔ̃=swa=pa=la=me=di=ta=sjɔ̃=paʁ=mi=lə=bʁɥi 211

kεl=ε=lə=mε=jœ=ʁə=mɔ=mɑ̃ 8

puʁ=lε=pεʁ=sɔnə=nε=jɑ̃=pa=lɑ̃=tʁε=nə=mɑ̃=a=la=de=tɑ̃=tə=mys=ky=lε=ʁə=ʃwa=ziʁ=lə=mɔ=mɑ̃=u=lə=me=lɑ̃=ʒə=kɔ̃=sjɑ̃=tɛ̃=kɔ̃=sjɑ̃=sa=kɔ̃=pli=pʁεs=kəo=tɔ=ma=ti=kə=mɑ̃=sε=ta=di=ʁə=dɑ̃=la=tɔʁ=pœʁ=dɑ̃=la=sɔm=nɔ=lɑ̃=sə=ki=pʁe=sε=de=lə=sɔ=mεj=u=bjɛ̃=dɑ̃=la=tɔʁ=pœʁ=ki=sɥi=lə=ʁe=vεj=kɑ̃=lεs=pʁi=kɔ=mɑ̃=sə=a=kap=te=lε=ʃo=zə=kil=ʁə=vwa 92
ɔp=staklə=bo=ku=də=sy=ʒε=na=ʁi=ve=ʒa=mε=za=la=tɔʁ=pəʁ=a=ʒi=te=ɔp=se=de=ɛ̃=sɔm=njak=εt=se=te=ʁa=su=li=ɲe=lɛ̃=tεʁ=vɑ̃=sjɔ̃=də=me=di=ka=mɑ̃=zε=dɔ̃k=paʁ=fwa=ne=se=sε=ʁə=də=tu=tə=fa=sɔ̃=la=pʁɑ̃=ti=sa=ʒə=də=la=de=tɑ̃=tə=pʁɔ=fɔ̃=də=dwa=ε=tʁə=kɔ̃d=ɥi=paʁ=œ̃=spe=sja=listə 77
ɑ̃s=ɥitə=le=ta=də=tɔʁ=pœʁ=a=tɛ̃t=sɑ̃=sa=sjɔ̃=dɑ̃=ɡuʁ=di=sə=mɑ̃=e=də=flɔ=tə=mεnt=e=li=bʁə=də=tu=tə=pʁe=ɔ=ky=pa=sjɔ̃=ɛ̃=tʁɔd=ɥi=ʁə=li=de=y=ti=lə=dɑ̃=lə=syb=kɔ̃=sjɑ̃=sε=tə=i=de=sə=ʁa=puʁ=lε=ma=la=də=e=vi=da=mɑ̃=ɔ=po=ze=a=lœʁ=e=ta=de=fi=sjɑ̃=nə=ʒa=mε=kɔ̃d=ɥi=ʁə=sε=tə=me=di=ta=sjɔ̃=flɔ=tɑ̃=tə=ʒys=ka=la=kɔ̃=sɑ̃=tʁa=sjɔ̃=dε=kə=le=fɔʁ=a=pa=ʁε=la=bɑ̃=dɔ̃=sɛ̃=pozə 106

i=a=til=œ̃=mɔ=mɑ̃=i=de=al 9

ui=mε=di=fi=siləa=a=tɛ̃=dʁə=sɑ̃=zɑ̃=tʁε=nə=mɑ̃=il=nə=fo=pa=kə=lə=kɔ̃=sjɑ̃=e=lə=syb=kɔ̃=sjɑ̃=swa=tʁo=se=pa=ʁe=la=syɡ=ʒεs=tjɔ=nə=ki=dwa=ʁεs=te=vɔ=lɔ̃=tε=ʁə=pεʁ=dʁε=e=vi=da=mɑ̃=də=sɔ̃=ne=fi=ka=si=te=nə=pa=u=blje=kə=lə=kɔ̃=sjɑ̃=e=lə=syb=kɔ̃=sjɑ̃=ʁə=po=ze=syʁ=lə=tʁa=vaj=də=sεʁ=tɛ̃=sɑ̃=tʁə=nεʁ=vø=a=vɑ̃=da=tɛ̃=dʁə=lə=plɑ̃=dy=ʁε=və=lə=sεʁ=vo=plɔ̃=ʒə=dɑ̃=la=sɔm=nɔ=lɑ̃=sə=mε=zil=də=mə=ʁə=kɔ̃=sjɑ̃=sɑ̃=zi=de=pʁe=ɔ=ky=pɑ̃=tə=tu=tə=fwa=ʃa=kœ̃=kɔ=nε=le=ta=də=də=mi=sɔ=mεj=sεt=e=tat=a=ʃə=val=syʁ=lə=ʁε=və=e=la=ʁe=a=li=te=a=sə=mɔ=mɑ̃=lɔ=mə=ki=o=pa=ʁa=vɑ̃=e=tε=ak=təʁ=də=vjɛ̃=spεk=ta=tœʁ=il=sε=sə=də=ʒu=e=lə=ʒø=puʁ=pa=se=a=la=kɔ̃=tɑ̃=pla=sjɔ̃=dy=ʒø=il=a=sis=tə=a=lɔʁ=za=y=nə=sɔʁ=tə=də=si=ne=ma=sə=de=klɑ̃=ʃɑ̃=də=vɑ̃=sε=ziø=il=ʁə=ɡaʁ=də=y=nə=syk=se=sjɔ̃=di=ma=ʒə=nə=kɔ=ʁεs=pɔ̃=dɑ̃=pʁεs=kə=plys=zo=ʁe=εl=il=sε=kil=nə=ʁε=və=pa=pɥis=kil=də=mə=ʁə=kɔ̃=sjɑ̃=lə=tik=tak=dy=nə=ɔʁ=lɔ=ʒə=lə=bʁɥi=də=la=ʁy=lə=kʁa=kə=mɑ̃=dy=nə=pɔʁ=tə=la=bwa=ə=mɑ̃=dœ̃=ʃjɛ̃=lɥi=paʁ=vjε=ne=dɑ̃=zy=nə=klaʁ=te=e=y=nə=ɛ̃=tɑ̃=si=te=paʁ=fε=tə=il=lɥi=sɑ̃=blə=flɔ=te=o=də=sy=də=la=vi=e=o=də=sy=də=sɔ̃=kɔʁ=sə=fe=nɔ=mε=nə=ε=da=jœʁ=pʁɔ=fɔ̃=de=mɑ̃=a=ɡʁe=a=blə=lε=zi=ma=ʒə=ze=lε=sɑ̃=sa=sjɔ̃=de=fi=le=kɔ=mə=œ̃=de=sɛ̃=a=ni=me=a=vεk=dε=zab=syʁ=di=te=kə=lɔ=mə=ak=sεp=tə=kɔ=mə=na=ty=ʁεllə=il=pø=mε=mə=di=ʁi=ʒe=lε=zi=ma=ʒə=sy=pʁi=me=tεl=pεʁ=sɔ=na=ʒə=lə=ʁɑ̃=pla=se=paʁ=œ̃=no=tʁə=εt=se=te=ʁa=sε=lə=mɔ=mɑ̃=i=de=al=puʁ=la=pʁa=ti=kə=də=la=syɡ=ʒεs=tjɔ̃ 416
dɔ̃k=a=tɑ̃dʁə=kə=la=va=ɡə=di=ni=bi=sjɔ̃=ε=pʁεs=kə=syb=mεʁ=ʒe=le=kɔʁ=sə=se=ʁe=bʁa=lə=sjε=ʒə=də=la=kɔ̃=sjɑ̃=sə=vɔ=lɔ̃=tε=ʁə=le=ta=ɔp=tə=ny=sə=ʁa=œ̃=ne=ta=də=ʁε=və=ʁi=a=vεk=ʃɑ̃=də=kɔ̃=sjɑ̃=sə=mak=si=mɔm=tɑ̃=di=kə=dɑ̃=la=kɔ̃=sɑ̃=tʁa=sjɔ̃=lə=ʃɑ̃=də=kɔ̃=sjɑ̃=sə=ʁe=tʁe=si=kɔ̃=si=de=ʁa=blə=mɑ̃ 83
otʁə=mwa=jɛ̃=bo=ku=plys=pɥi=sɑ̃=mε=lə=kɔ̃=kuʁ=dœ̃=psi=kɔ=lɔɡ=ε=tɛ̃=dis=pɑ̃=sa=blə=y=nə=pʁɔ=ʒεk=sjɔ̃=di=ma=ʒə=sɛ̃=bɔ=lik=pø=sə=fε=ʁə=mε=nu=zɑ̃=tʁɔ̃=zi=si=dɑ̃=lə=dɔ=mε=nə=də=la=psi=kɔ=lɔ=ʒi=dε=ɡʁɑ̃=də=pʁɔ=fɔ̃=dœʁ=ʒɑ̃=ʁə=paʁ=lə=ʁε=plys=lwɛ̃=o=ʃa=pi=tʁəs=sɛ̃=bɔ=ləs=ət=ʁε=vəe=vε=je 79

ka=mε=nə=la=pʁa=ti=kə=də=lo=to=zyɡ=ʒεs=tj=ɔ̃ 14

εlləɔfʁə=la=vɑ̃=ta=ʒə=də=pʁe=pa=ʁe=y=nə=a=ti=ty=də=mɑ̃=ta=lə=be=ne=fi=kə=εl=lə=pø=a=ʒiʁ=syʁ=lə=kɔʁ=il=εɡ=zis=tə=a=sεt=e=ɡaʁ=dε=mi=lje=də=ka=kla=si=kəs 46
vwa=si=œ̃=nεɡ=zɑ̃plə=pʁi=dɑ̃=zœ̃=no=pi=tal=su=li=ɲe=œ̃=nɔ=mə=ma=la=də=dəp=ɥi=lɔ̃=tɑ̃=sɑ̃=blə=su=fʁiʁ=dy=kɑ̃=se=e=il=ɑ̃=nɔ=fʁə=tus=lε=sɛ̃p=to=mə=lɔ=pe=ʁa=sjɔ̃=ε=de=si=de=e=lə=ʃi=ʁyʁ=ʒjɛ̃=u=vʁə=lə=vɑ̃=tʁə=dy=pa=sjɑ̃=il=i=tʁu=və=dε=zɛ̃=tεs=tɛ̃=tʁε=zɛ̃=paʁ=fε=mε=ny=lə=tʁa=sə=də=kɑ̃=se=lε=za=na=li=zə=sə=fɔ̃=ny=lə=tʁa=sə=də=kɑ̃=se=lε=me=də=sɛ̃=sɔ̃=sty=pe=fε=tus=lε=sɛ̃p=to=mə=dɔ̃=su=fʁε=sεt=ɔ=məe=tε=puʁ=tɑ̃=sø=də=la=te=ʁi=blə=ma=la=di 127
kə=se=tε=til=pase=il=sə=ʁε=tʁo=lɔ̃=də=ʁa=kɔ̃=te=ɑ̃=de=taj=la=vi=a=tʁɔ=sə=də=sə=po=vʁəɔ=mə=vi=də=mal=ʃɑ̃=sə=də=sɔ=li=ty=də=da=bɑ̃=dɔ̃=də=po=vʁə=te=fi=zi=kə=də=ɡʁɑ̃=də=mi=zε=ʁə=mɔ=ʁalə 55
œ̃=ʒuʁ=il=tɔ̃bə=ma=la=də=sɑ̃=ʁə=suʁ=sə=il=ε=ɔs=pi=ta=li=ze=a=sə=mɔ=mɑ̃=dɑ̃=la=ʃɑ̃=bʁə=kɔ=my=nə=e=puʁ=la=pʁə=mjε=ʁə=fwa=də=sa=la=mɑ̃=ta=blə=vi=lɔ=mə=sə=sɑ̃=œ=ʁø=il=ε=paʁ=mi=do=tʁə=pεʁ=sɔ=nə=ki=su=fʁe=e=ʃa=kœ̃=sε=kɔ̃=bjɛ̃=la=su=fʁɑ̃=sə=kɔ=my=nə=ʁe=y=ni=lε=zɔ=mə=vwa=si=lε=me=də=sɛ̃=a=fa=blə=pa=tεʁ=nεl=su=ʁjɑ̃=vwa=si=lε=zɛ̃=fiʁ=mjε=ʁə=kɔ̃=pʁe=ɑ̃=si=və=o=mɛ̃=du=sə=vwa=si=œ̃=li=nɔ̃=də=sɔ=li=ty=dəe=də=mi=zε=ʁə=mε=zy=mɛ̃=vwa=si=y=nə=se=ky=ʁi=te=mɑ̃=ta=lə=e=ma=te=ʁjεllə=e=lə=me=ka=nis=mə=ɛ̃=kɔ̃=sjɑ̃=sə=mεt=ɑ̃=maʁ=ʃə=il=fo=kə=ty=ʁεs=tə=zi=si=ty=dwa=kɔ̃=tin=ɥe=a=ε=tʁə=ma=la=də=də=plys=zɑ̃=plys=ma=la=də=ty=nə=dwa=pa=sɔʁ=tiʁ=di=si=u=ty=ε=œ=ʁø=su=li=ɲe=lo=to=zyɡ=ʒεs=tjɔ̃=kɔ=mɑ̃=sε=lɑ̃=si=nɑ̃=tə=pɥi=sɑ̃=tə=kɔ̃=tin=ɥεl=lə=e=lə=nɔ̃=ma=la=də=də=vɛ̃=ma=la=də=lε=sɛ̃p=to=mə=dy=kɑ̃=se=sə=mɔ̃=tʁε=ʁe=də=plys=zɑ̃=plys=vjɔ=lɑ̃=ʒys=ka=lɔ=pe=ʁa=sjɔ̃=i=ny=ti=lə=lə=kɑ̃=səʁ=ʁε=pʁe=zɑ̃=tε=puʁ=sεt=ɔ=mə=y=nə=se=ky=ʁi=te=i=de=a=lə=e=sə=ka=mɔ̃=tʁə=bjɛ̃=la=pɥi=sɑ̃=sə=dy=sεʁ=vo=ɛ̃=si=kə=nu=lə=ve=ʁɔ̃=zɑ̃=me=də=si=nə=psi=ko=sɔ=ma=tikə 306
su=li=ɲe=vu=kɔ=nεse=lə=mə=sjø=a=tɛ̃=dy=mal=də=mεʁ 15
lə=ba=to=ε=ta=kε=e=lə=mə=sjøʁə=po=zə=dɑ̃=sa=ka=bi=nə=la=nɥi=tɔ̃=bə=o=mi=ljø=də=sε=tə=nɥi=dε=bʁɥi=də=mɔ=tœʁ=tʁa=vεʁ=se=la=pa=ʁwa=lə=na=vi=ʁəε=tɑ̃=mεʁ=sə=di=lə=mə=sjø=e=tu=kɔ=mɑ̃=sə=no=ze=vɔ=mi=sə=mɑ̃=ɑ̃=ɡwa=sə=pʁɔ=fɔ̃=də=de=ziʁ=də=mu=ʁiʁ=ɔ̃=tø=lə=mə=sjø=sə=te=ʁə=e=su=fʁə=ɑ̃=si=lɑ̃=sə=ʒys=ko=ma=tɛ̃=mε=vwa=si=kil=sə=lε=və=ʒε=tə=œ̃=ku=dɔ=εj=paʁ=lə=y=blo=lə=na=vi=ʁə=na=pa=bu=ʒe 116
lə=pu=vwaʁdə=la=syɡ=ʒεs=tjɔ̃=ε=bjɛ̃=kɔ=ny=mε=nε=til=pa=bɔ̃=də=lə=ʁa=pə=le=də=tɑ̃=za=otʁə 25
ɔ̃=kɔ̃=swa=dɔ̃k=sɑ̃=pεnə=la=pɥi=sɑ̃=sə=dy=nə=syɡ=ʒεs=tjɔ̃=bjɛ̃=fε=tə=dɑ̃=dε=kɔ̃=di=sjɔ̃=la=pεʁ=mε=tɑ̃=lε=zεɡ=zεʁ=si=sə=mɑ̃=to=pεʁ=sɔ=nεl=dwa=ve=e=vi=da=mɑ̃=ε=tʁə=ʁe=pe=te=ʃa=kə=ʒuʁ=syʁ=tu=si=la=pεʁ=sɔ=nə=nə=pɔ=sε=də=kœ̃=ʁy=di=me=də=tεk=nikə 69

kə=pø=tʁε=te=la=syɡ=ʒεs=tj=ɔ̃ 9

ʒə=vø=paʁ=le=i=sidə=syɡ=ʒεs=tjɔ̃=ɑ̃=pʁɔ=fɔ̃=dœʁ=tεk=ni=kə=spe=sja=lə=ky=nə=pεʁ=sɔ=nə=sə=lə=nə=pø=pa=ɑ̃=plwa=je=sɑ̃=zɑ̃=tʁε=nə=mɑ̃=paʁ=mi=lε=ka=ku=ʁɑ̃=lɛ̃p=ɥi=sɑ̃=sə=sεk=sɥεllə=la=fʁi=ʒi=di=te=fe=mi=ni=nə=lε=pœʁ=lε=fɔ=bi=lε=zɑ̃=ɡwa=sə=lε=zɛ̃=sɔm=ni=lε=tik=lε=za=bi=ty=də=nɔ=si=və=la=fε=blε=sə=də=ka=ʁak=tε=ʁə=sεʁ=tɛ̃=tʁu=blə=də=la=po=e=də=nɔ̃=bʁø=zə=ma=la=di=zis=te=ʁik 108
e=lɔ̃=vwa=dɔ̃k=kə=mal=ɡʁe=sɔ̃=ka=ʁak=tεʁəe=le=mɑ̃=tε=ʁə=la=me=tɔ=də=tʁu=ve=paʁ=ə=mi=lə=ku=e=po=zε=dε=ba=zə=puʁ=la=psi=kɔ=lɔ=ʒi=də=də=mɛ̃=sa=ly=ɔ̃=dɔ̃k=e=kɔ̃=ti=ny=ɔ̃ 50

a=sɥi=vʁə 3

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Commentaire poème
25/04/2024Poeme-France
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Poème - Sans Thème -
Du 27/08/2012 22:58

L'écrit contient 8279 mots qui sont répartis dans 65 strophes.