Poème:Psaume 666
Le Poème
De Son éternité je ne sais pas quoi faire.
Je préfère sur Terre reproduire l’Enfer.
C’est par l’Hypocrisie que je sers le Malin.
Mon discours est rodé, faiseur d’assassins.
Chef d’un faux culte au nom du Tout-Puissant,
Mes talents occultes m’ont fait vendeur de vents.
Tous les faibles d’esprits, je les mets en émoi.
S’ils désirent servir, autant que ce soit moi.
Ils veulent du sacré, j’en ai plein le gosier.
L’Éden est à louer et je vais leur brader.
De ma bouche fielleuse j’attise les faquins,
Et ma langue mielleuse convertie les gredins.
Saints azimutés qui dans l’horreur se vautrent,
De ces décervelés je ferais mes apôtres.
De leur crédulité il me plait d’abuser.
Le Maître s’en repaît, je le sais amusé.
Prophète à la faux, soldeur de paradis,
Au faîte de mes maux, ils donneront leurs vies.
Faisant ma volonté, puisqu’ils en sont dénués,
Je vais les envoyer sanctifier mes pêchés.
Sapant les fondements de Ces commandements,
Ils abreuvent Satan du sang des innocents.
Adorant des Néants, ils crient aux mécréants,
Et prient tel des déments qui se voient pénitents.
Pratiquants au rabais, ignorants patentés,
Croyant sauver leurs âmes, ils vont se suicider.
A l’heure des vendanges, leur prix sera cassé.
Le diable est aux anges, il va les racheter.
S’ils ont été humains, j’en fais des moins-que-rien.
Étrangers au divin, ils ne sont qu’un moyen.
Par leur idolâtrie ils m’offrent un statut,
Même après ma mort ils loueront mes vertus.
Eux rêvent de sexe et de virginité.
Débiteurs de Textes, gardiens de l’impiété,
S’ils avaient su les lire ils auraient remarqué,
Qu’on ne doit pas haïr, c’est la seule Vérité.
Si les hommes sont libres c’est à Lui qu’on le doit,
Ne pas le contester, c’est cela la vraie Foi.
Je broie Sa création et j’en veux tous les droits,
Il ne me convient pas que vous ayez le choix.
Je ne crois pas en Dieu, pas de quoi m’en soucier.
Je peux être odieux, qui pourrait me damner.
Défier La Déité en vendant son blanc-seing,
Dévier Ses Écritures, voilà mon vrai dessein.
Tant que je durerais j’entends bien profiter,
Des bienfaits de ce monde et des cœurs égarés.
Un jour je vais payer, je ne peux pas gagner.
Je descendrais au chaud et bien accompagné.
Je préfère sur Terre reproduire l’Enfer.
C’est par l’Hypocrisie que je sers le Malin.
Mon discours est rodé, faiseur d’assassins.
Chef d’un faux culte au nom du Tout-Puissant,
Mes talents occultes m’ont fait vendeur de vents.
Tous les faibles d’esprits, je les mets en émoi.
S’ils désirent servir, autant que ce soit moi.
Ils veulent du sacré, j’en ai plein le gosier.
L’Éden est à louer et je vais leur brader.
De ma bouche fielleuse j’attise les faquins,
Et ma langue mielleuse convertie les gredins.
Saints azimutés qui dans l’horreur se vautrent,
De ces décervelés je ferais mes apôtres.
De leur crédulité il me plait d’abuser.
Le Maître s’en repaît, je le sais amusé.
Prophète à la faux, soldeur de paradis,
Au faîte de mes maux, ils donneront leurs vies.
Faisant ma volonté, puisqu’ils en sont dénués,
Je vais les envoyer sanctifier mes pêchés.
Sapant les fondements de Ces commandements,
Ils abreuvent Satan du sang des innocents.
Adorant des Néants, ils crient aux mécréants,
Et prient tel des déments qui se voient pénitents.
Pratiquants au rabais, ignorants patentés,
Croyant sauver leurs âmes, ils vont se suicider.
A l’heure des vendanges, leur prix sera cassé.
Le diable est aux anges, il va les racheter.
S’ils ont été humains, j’en fais des moins-que-rien.
Étrangers au divin, ils ne sont qu’un moyen.
Par leur idolâtrie ils m’offrent un statut,
Même après ma mort ils loueront mes vertus.
Eux rêvent de sexe et de virginité.
Débiteurs de Textes, gardiens de l’impiété,
S’ils avaient su les lire ils auraient remarqué,
Qu’on ne doit pas haïr, c’est la seule Vérité.
Si les hommes sont libres c’est à Lui qu’on le doit,
Ne pas le contester, c’est cela la vraie Foi.
Je broie Sa création et j’en veux tous les droits,
Il ne me convient pas que vous ayez le choix.
Je ne crois pas en Dieu, pas de quoi m’en soucier.
Je peux être odieux, qui pourrait me damner.
Défier La Déité en vendant son blanc-seing,
Dévier Ses Écritures, voilà mon vrai dessein.
Tant que je durerais j’entends bien profiter,
Des bienfaits de ce monde et des cœurs égarés.
Un jour je vais payer, je ne peux pas gagner.
Je descendrais au chaud et bien accompagné.
Poète Zorba
Zorba a publié sur le site 4 écrits. Zorba est membre du site depuis l'année 2015.Lire le profil du poète ZorbaSyllabation De L'Écrit
Syllabes Hyphénique: Psaume 666
de=son=é=ter=ni=té=je=ne=sais=pas=quoi=faire 12je=pré=fère=sur=ter=re=re=pro=dui=re=len=fer 12
cest=par=lhy=po=cri=sie=que=je=sers=le=ma=lin 12
mon=dis=cours=est=ro=dé=fai=seur=das=sas=sins 11
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sils=dé=si=rent=ser=vir=au=tant=que=ce=soit=moi 12
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et=prient=tel=des=dé=ments=qui=se=voient=pé=ni=tents 12
pra=ti=quants=au=ra=bais=i=gno=rants=pa=ten=tés 12
croyant=sau=ver=leurs=â=mes=ils=vont=se=sui=ci=der 12
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le=diable=est=aux=an=ges=il=va=les=ra=che=ter 12
sils=ont=é=té=hu=mains=jen=fais=des=moins=que=rien 12
étran=gers=au=di=vin=ils=ne=sont=quun=moyen 10
par=leur=i=do=lâ=trie=ils=mof=frent=un=sta=tut 12
mê=me=a=près=ma=mort=ils=loue=ront=mes=ver=tus 12
eux=rê=vent=de=sexe=et=de=vir=gi=ni=té 11
dé=bi=teurs=de=tex=tes=gar=diens=de=lim=pié=té 12
sils=a=vaient=su=les=lire=ils=au=raient=re=mar=qué 12
quon=ne=doit=pas=haïr=cest=la=seu=le=vé=ri=té 12
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je=broie=sa=cré=a=tion=et=jen=veux=tous=les=droits 12
il=ne=me=con=vient=pas=que=vous=ayez=le=choix 11
je=ne=crois=pas=en=dieu=pas=de=quoi=men=sou=cier 12
je=peux=ê=tre=o=dieux=qui=pour=rait=me=dam=ner 12
dé=fi=er=la=déi=té=en=ven=dant=son=blanc=seing 12
dé=vier=ses=é=cri=tures=voi=là=mon=vrai=des=sein 12
tant=que=je=du=re=rais=jen=tends=bien=pro=fi=ter 12
des=bien=faits=de=ce=monde=et=des=cœurs=é=ga=rés 12
un=jour=je=vais=pay=er=je=ne=peux=pas=ga=gner 12
je=des=cen=drais=au=chaud=et=bien=ac=com=pa=gné 12
Phonétique : Psaume 666
də sɔ̃n- etεʁnite ʒə nə sε pa kwa fεʁə.ʒə pʁefεʁə syʁ teʁə ʁəpʁɔdɥiʁə lɑ̃fe.
sε paʁ lipɔkʁizi kə ʒə sεʁ lə malɛ̃.
mɔ̃ diskuʁz- ε ʁɔde, fəzœʁ dasasɛ̃.
ʃεf dœ̃ fo kyltə o nɔ̃ dy tu pɥisɑ̃,
mε talɑ̃z- ɔkyltə mɔ̃ fε vɑ̃dœʁ də vɑ̃.
tus lε fεblə dεspʁi, ʒə lε mεtz- ɑ̃n- emwa.
sil deziʁe sεʁviʁ, otɑ̃ kə sə swa mwa.
il vəle dy sakʁe, ʒɑ̃n- ε plɛ̃ lə ɡozje.
ledɛ̃ εt- a lwe e ʒə vε lœʁ bʁade.
də ma buʃə fjεlløzə ʒatizə lε fakɛ̃,
e ma lɑ̃ɡ mjεlløzə kɔ̃vεʁti lε ɡʁədɛ̃.
sɛ̃z- azimyte ki dɑ̃ lɔʁœʁ sə votʁe,
də sε desεʁvəle ʒə fəʁε mεz- apotʁə.
də lœʁ kʁedylite il mə plε dabyze.
lə mεtʁə sɑ̃ ʁəpε, ʒə lə sεz- amyze.
pʁɔfεtə a la fo, sɔldœʁ də paʁadi,
o fεtə də mε mo, il dɔnəʁɔ̃ lœʁ vi.
fəzɑ̃ ma vɔlɔ̃te, pɥiskilz- ɑ̃ sɔ̃ denye,
ʒə vε lεz- ɑ̃vwaje sɑ̃ktifje mε pεʃe.
sapɑ̃ lε fɔ̃dəmɑ̃ də sε kɔmɑ̃dəmɑ̃,
ilz- abʁəve satɑ̃ dy sɑ̃ dεz- inɔsɑ̃.
adɔʁɑ̃ dε neɑ̃, il kʁje o mekʁeɑ̃,
e pʁje tεl dε demɑ̃ ki sə vwae penitɑ̃.
pʁatikɑ̃z- o ʁabε, iɲɔʁɑ̃ patɑ̃te,
kʁwajɑ̃ sove lœʁz- amə, il vɔ̃ sə sɥiside.
a lœʁ dε vɑ̃dɑ̃ʒə, lœʁ pʁi səʁa kase.
lə djablə εt- oz- ɑ̃ʒə, il va lε ʁaʃəte.
silz- ɔ̃ ete ymɛ̃, ʒɑ̃ fε dε mwɛ̃ kə ʁjɛ̃.
etʁɑ̃ʒez- o divɛ̃, il nə sɔ̃ kœ̃ mwajɛ̃.
paʁ lœʁ idɔlatʁi il mɔfʁe œ̃ staty,
mεmə apʁε ma mɔʁ il lwəʁɔ̃ mε vεʁtys.
ø ʁεve də sεksə e də viʁʒinite.
debitœʁ də tεkstə, ɡaʁdjɛ̃ də lɛ̃pjete,
silz- avε sy lε liʁə ilz- oʁε ʁəmaʁke,
kɔ̃ nə dwa pa-ajʁ, sε la sələ veʁite.
si lεz- ɔmə sɔ̃ libʁə- sεt- a lɥi kɔ̃ lə dwa,
nə pa lə kɔ̃tεste, sε səla la vʁε fwa.
ʒə bʁwa sa kʁeasjɔ̃ e ʒɑ̃ vø tus lε dʁwa,
il nə mə kɔ̃vjɛ̃ pa kə vuz- εje lə ʃwa.
ʒə nə kʁwa pa ɑ̃ djø, pa də kwa mɑ̃ susje.
ʒə pøz- εtʁə ɔdjø, ki puʁʁε mə damne.
defje la deite ɑ̃ vɑ̃dɑ̃ sɔ̃ blɑ̃ sɛ̃ɡ,
devje sεz- ekʁityʁə, vwala mɔ̃ vʁε desɛ̃.
tɑ̃ kə ʒə dyʁəʁε ʒɑ̃tɑ̃ bjɛ̃ pʁɔfite,
dε bjɛ̃fε də sə mɔ̃də e dε kœʁz- eɡaʁe.
œ̃ ʒuʁ ʒə vε pεje, ʒə nə pø pa ɡaɲe.
ʒə desɑ̃dʁεz- o ʃo e bjɛ̃ akɔ̃paɲe.
Syllabes Phonétique : Psaume 666
də=sɔ̃=ne=tεʁ=ni=te=ʒə=nə=sε=pa=kwa=fεʁə 12ʒə=pʁe=fεʁə=syʁ=te=ʁə=ʁə=pʁɔd=ɥi=ʁə=lɑ̃=fe 12
sε=paʁ=li=pɔ=kʁi=zi=kə=ʒə=sεʁ=lə=ma=lɛ̃ 12
mɔ̃=dis=kuʁ=zε=ʁɔ=de=fə=zœ=ʁə=da=sa=sɛ̃ 12
ʃεf=dœ̃=fo=kyl=tə=o=nɔ̃=dy=tu=pɥi=sɑ̃ 11
mε=ta=lɑ̃=zɔ=kyl=tə=mɔ̃=fε=vɑ̃=dœʁ=də=vɑ̃ 12
tus=lε=fε=blə=dεs=pʁi=ʒə=lε=mεt=zɑ̃=ne=mwa 12
sil=de=zi=ʁe=sεʁ=viʁ=o=tɑ̃=kə=sə=swa=mwa 12
il=və=le=dy=sa=kʁe=ʒɑ̃=nε=plɛ̃=lə=ɡo=zje 12
le=dɛ̃=ε=ta=lwe=e=ʒə=vε=lœ=ʁə=bʁa=de 12
də=ma=bu=ʃə=fjεl=løzə=ʒa=ti=zə=lε=fa=kɛ̃ 12
e=ma=lɑ̃ɡ=mjεl=lø=zə=kɔ̃=vεʁ=ti=lε=ɡʁə=dɛ̃ 12
sɛ̃=za=zi=my=te=ki=dɑ̃=lɔ=ʁœʁ=sə=vo=tʁe 12
də=sε=de=sεʁ=və=le=ʒə=fə=ʁε=mε=za=potʁə 12
də=lœʁ=kʁe=dy=li=te=il=mə=plε=da=by=ze 12
lə=mε=tʁə=sɑ̃=ʁə=pε=ʒə=lə=sε=za=my=ze 12
pʁɔ=fε=tə=a=la=fo=sɔl=dœʁ=də=pa=ʁa=di 12
o=fε=tə=də=mε=mo=il=dɔ=nə=ʁɔ̃=lœʁ=vi 12
fə=zɑ̃=ma=vɔ=lɔ̃=te=pɥis=kil=zɑ̃=sɔ̃=de=ny=e 13
ʒə=vε=lε=zɑ̃=vwa=je=sɑ̃k=ti=fje=mε=pε=ʃe 12
sa=pɑ̃=lε=fɔ̃=də=mɑ̃=də=sε=kɔ=mɑ̃=də=mɑ̃ 12
il=za=bʁə=ve=sa=tɑ̃=dy=sɑ̃=dε=zi=nɔ=sɑ̃ 12
a=dɔ=ʁɑ̃=dε=ne=ɑ̃=il=kʁje=o=me=kʁe=ɑ̃ 12
e=pʁje=tεl=dε=de=mɑ̃=ki=sə=vwa=pe=ni=tɑ̃ 12
pʁa=ti=kɑ̃=zo=ʁa=bε=i=ɲɔ=ʁɑ̃=pa=tɑ̃=te 12
kʁwa=jɑ̃=so=ve=lœʁ=zamə=il=vɔ̃=sə=sɥi=si=de 12
a=lœʁ=dε=vɑ̃=dɑ̃=ʒə=lœʁ=pʁi=sə=ʁa=ka=se 12
lə=dja=blə=ε=to=zɑ̃ʒə=il=va=lε=ʁa=ʃə=te 12
sil=zɔ̃=e=te=y=mɛ̃=ʒɑ̃=fε=dε=mwɛ̃=kə=ʁjɛ̃ 12
e=tʁɑ̃=ʒe=zo=di=vɛ̃=il=nə=sɔ̃=kœ̃=mwa=jɛ̃ 12
paʁ=lœʁ=i=dɔ=la=tʁi=il=mɔ=fʁe=œ̃=sta=ty 12
mε=mə=a=pʁε=ma=mɔʁ=il=lwə=ʁɔ̃=mε=vεʁ=tys 12
ø=ʁε=ve=də=sεk=sə=e=də=viʁ=ʒi=ni=te 12
de=bi=tœʁ=də=tεk=stə=ɡaʁ=djɛ̃=də=lɛ̃=pje=te 12
sil=za=vε=sy=lε=liʁə=il=zo=ʁε=ʁə=maʁ=ke 12
kɔ̃=nə=dwa=pa-ajʁ=sε=la=sə=lə=ve=ʁi=te 12
si=lε=zɔ=mə=sɔ̃=libʁə=sε=ta=lɥi=kɔ̃=lə=dwa 12
nə=pa=lə=kɔ̃=tεs=te=sε=sə=la=la=vʁε=fwa 12
ʒə=bʁwa=sa=kʁe=a=sjɔ̃=e=ʒɑ̃=vø=tus=lε=dʁwa 12
il=nə=mə=kɔ̃=vjɛ̃=pa=kə=vu=zε=je=lə=ʃwa 12
ʒə=nə=kʁwa=pa=ɑ̃=djø=pa=də=kwa=mɑ̃=su=sje 12
ʒə=pø=zε=tʁə=ɔ=djø=ki=puʁ=ʁε=mə=dam=ne 12
de=fje=la=de=i=te=ɑ̃=vɑ̃=dɑ̃=sɔ̃=blɑ̃=sɛ̃ɡ 12
de=vje=sε=ze=kʁi=tyʁə=vwa=la=mɔ̃=vʁε=de=sɛ̃ 12
tɑ̃=kə=ʒə=dy=ʁə=ʁε=ʒɑ̃=tɑ̃=bjɛ̃=pʁɔ=fi=te 12
dε=bjɛ̃=fε=də=sə=mɔ̃də=e=dε=kœʁ=ze=ɡa=ʁe 12
œ̃=ʒuʁ=ʒə=vε=pε=je=ʒə=nə=pø=pa=ɡa=ɲe 12
ʒə=de=sɑ̃=dʁε=zo=ʃo=e=bjɛ̃=a=kɔ̃=pa=ɲe 12
Récompense
Commentaires Sur La Poesie
06/12/2015 22:57Eugène
se lit bien;
bien au chaud : êtes-vous frileux?
après 12 paragraphes je n’arrive pas à une image claire de l’ensemble; cela encore est vanité?
06/12/2015 23:44Claude408
Je ne retrouve pas le fil de ce poème, la dernière strophes me fait douter.
Poème Religion
Du 06/12/2015 22:01
L'écrit contient 413 mots qui sont répartis dans 12 strophes. Toutes les strophes sont composés de 4 vers. Il est possible que le texte suive une forme de poésie classique.