Poème:Cercle Vicieux

De retour à la case départ…

Sous un ciel gris, chargé et menaçant,
Avec de l’air on ne peut plus étouffant,
C’est sous ce ciel et dans cette atmosphère,
Que je respira ma première bouffée d’air,

Une clinique célèbre mais angoissante,
Avec des pièces on ne peut plus géantes,
C’est dans cette clinique spécialisée,
Que perça mon premier cri de bébé affamé,

Un lit chaud, moelleux mais puant,
Les brax doux d’une délicate maman,
C’est dans ces conditions là,
Que je têta le sein pour la première fois,

Dans ce lieu sombre et détestable,
Au milieu d’une famille fort agréable,
On m’appela pour la première fois par mon prénom,
Justine, tel était mon nom,

Mais c’est loin de cet hopitâl que j’ai grandit,
C’est loin de ces pièces géantes que j’ai mûri,
C’est loin de ce lit chaud que j’ai connu le bonheur,
C’est loin des infirmières que j’ai eut mes peines de cœur,

Mais on dit toujours que la vie est un cercle vicieux,
Et retourner en arrière, c’est mon plus cher voeux,
Mais malheureusement comme tout le monde je reviens au point de départ,
Et loin de moi s’éloignent mes espoirs,

Car c’est dans cette même pièce sombre et angoissante,
Dans ce même lit chaud et dans cette même chambre géante,
Sous un ciel toujours aussi chargé et gris,
Que je respire ma dernière bouffée de vie…