Texte : Une Autre Galaxie.
A Propos
Un poème d’amour.
Une Autre Galaxie.
Pourquoi suis-je empêché de t’aimer,
toi, mon amour, toi ma Dulcinée ?
Oui, oui, je sais,
toi, tu es la princesse,
et moi… le palefrenier.
Toi, tu es jeune, belle et leste
moi, vieux, gros et… laid !
Mais un simple palefrenier,
tu sais, Princesse, ça peut aussi penser.
Un très célèbre philosophe français
disait : « le coeur a ses raisons,
que la raison ne peut connaître ».
Je t’ai vue naître,
j’ai admiré tes si jolis yeux… .
Mais je ne suis qu’un subalterne,
et si, quelques rarissimes fois,
tu as daigné me regarder droit dans les yeux,
c’était pour le protocole, à chaque fois.
Mais un jour, comme moi,
toi aussi tu y passeras !
Et tous les deux, nous nous retrouverons
dans… une autre galaxie,
où ni rois, ni princesses, ni cérémonies.
Car le Seigneur Dieu
me rendra agréable à tes yeux.
Tu seras ma princesse au bois dormant.
Tu dormiras mille ans,
et puis, et puis, … je viendrai sur la bouche t’embrasser,
et… nous nous aimerons, … pour l ’Éternité.
toi, mon amour, toi ma Dulcinée ?
Oui, oui, je sais,
toi, tu es la princesse,
et moi… le palefrenier.
Toi, tu es jeune, belle et leste
moi, vieux, gros et… laid !
Mais un simple palefrenier,
tu sais, Princesse, ça peut aussi penser.
Un très célèbre philosophe français
disait : « le coeur a ses raisons,
que la raison ne peut connaître ».
Je t’ai vue naître,
j’ai admiré tes si jolis yeux… .
Mais je ne suis qu’un subalterne,
et si, quelques rarissimes fois,
tu as daigné me regarder droit dans les yeux,
c’était pour le protocole, à chaque fois.
Mais un jour, comme moi,
toi aussi tu y passeras !
Et tous les deux, nous nous retrouverons
dans… une autre galaxie,
où ni rois, ni princesses, ni cérémonies.
Car le Seigneur Dieu
me rendra agréable à tes yeux.
Tu seras ma princesse au bois dormant.
Tu dormiras mille ans,
et puis, et puis, … je viendrai sur la bouche t’embrasser,
et… nous nous aimerons, … pour l ’Éternité.
Poldereaux
PostScriptum
Rien de spécial, sinon qu’il va bientôt regeler.
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Poème en Phonétique
puʁkwa sɥi ʒə ɑ̃pεʃe də tεme,
twa, mɔ̃n- amuʁ, twa ma dylsine ?
ui, ui, ʒə sε,
twa, ty ε la pʁɛ̃sεsə,
e mwa… lə palεfʁənje.
twa, ty ε ʒənə, bεllə e lεstə
mwa, vjø, ɡʁoz- e… lε !
mεz- œ̃ sɛ̃plə palεfʁənje,
ty sε, pʁɛ̃sεsə, sa pø osi pɑ̃se.
œ̃ tʁε selεbʁə filozɔfə fʁɑ̃sε
dizε : « lə kœʁ a sε ʁεzɔ̃,
kə la ʁεzɔ̃ nə pø kɔnεtʁə ».
ʒə tε vɥ nεtʁə,
ʒε admiʁe tε si ʒɔliz- iø…
mε ʒə nə sɥi kœ̃ sybaltεʁnə,
e si, kεlk ʁaʁisimə fwa,
ty a dεɲe mə ʁəɡaʁde dʁwa dɑ̃ lεz- iø,
setε puʁ lə pʁɔtɔkɔlə, a ʃakə fwa.
mεz- œ̃ ʒuʁ, kɔmə mwa,
twa osi ty i pasəʁa !
e tus lε dø, nu nu ʁətʁuvəʁɔ̃
dɑ̃… ynə otʁə ɡalaksi,
u ni ʁwa, ni pʁɛ̃sesə, ni seʁemɔni.
kaʁ lə sεɲœʁ djø
mə ʁɑ̃dʁa aɡʁeablə a tεz- iø.
ty səʁa ma pʁɛ̃sεsə o bwa dɔʁmɑ̃.
ty dɔʁmiʁa milə ɑ̃,
e pɥi, e pɥi, … ʒə vjɛ̃dʁε syʁ la buʃə tɑ̃bʁase,
e… nu nuz- εməʁɔ̃, … puʁ letεʁnite.
twa, mɔ̃n- amuʁ, twa ma dylsine ?
ui, ui, ʒə sε,
twa, ty ε la pʁɛ̃sεsə,
e mwa… lə palεfʁənje.
twa, ty ε ʒənə, bεllə e lεstə
mwa, vjø, ɡʁoz- e… lε !
mεz- œ̃ sɛ̃plə palεfʁənje,
ty sε, pʁɛ̃sεsə, sa pø osi pɑ̃se.
œ̃ tʁε selεbʁə filozɔfə fʁɑ̃sε
dizε : « lə kœʁ a sε ʁεzɔ̃,
kə la ʁεzɔ̃ nə pø kɔnεtʁə ».
ʒə tε vɥ nεtʁə,
ʒε admiʁe tε si ʒɔliz- iø…
mε ʒə nə sɥi kœ̃ sybaltεʁnə,
e si, kεlk ʁaʁisimə fwa,
ty a dεɲe mə ʁəɡaʁde dʁwa dɑ̃ lεz- iø,
setε puʁ lə pʁɔtɔkɔlə, a ʃakə fwa.
mεz- œ̃ ʒuʁ, kɔmə mwa,
twa osi ty i pasəʁa !
e tus lε dø, nu nu ʁətʁuvəʁɔ̃
dɑ̃… ynə otʁə ɡalaksi,
u ni ʁwa, ni pʁɛ̃sesə, ni seʁemɔni.
kaʁ lə sεɲœʁ djø
mə ʁɑ̃dʁa aɡʁeablə a tεz- iø.
ty səʁa ma pʁɛ̃sεsə o bwa dɔʁmɑ̃.
ty dɔʁmiʁa milə ɑ̃,
e pɥi, e pɥi, … ʒə vjɛ̃dʁε syʁ la buʃə tɑ̃bʁase,
e… nu nuz- εməʁɔ̃, … puʁ letεʁnite.