Texte : Trahison Naturelle.
A Propos
Un petit poème, pourquoi pas ?
Trahison Naturelle.
La vie est belle sur terre,
mais il y a aussi la misère,
comme ces orties,
qui vous piquent aux chevilles,
sur votre route buissonnière.
Dieu, quelle galère,
ça fait très mal, mais il y a aussi
le ciel bleu, les arbres verts,
les jolies fleurs et leur doux parfum,
le beau soleil qui reluit,
et tout ce qui soulage du chagrin.
Il y a le bien et le mal sur la terre.
Mais le pire,
ce sont ces personnes tellement gentilles,
qui feignent de vous aimer,
qui vous donnent de l’amitié,
et qui finissent,
comme c’est triste,
par vous… jeter aux orties !
mais il y a aussi la misère,
comme ces orties,
qui vous piquent aux chevilles,
sur votre route buissonnière.
Dieu, quelle galère,
ça fait très mal, mais il y a aussi
le ciel bleu, les arbres verts,
les jolies fleurs et leur doux parfum,
le beau soleil qui reluit,
et tout ce qui soulage du chagrin.
Il y a le bien et le mal sur la terre.
Mais le pire,
ce sont ces personnes tellement gentilles,
qui feignent de vous aimer,
qui vous donnent de l’amitié,
et qui finissent,
comme c’est triste,
par vous… jeter aux orties !
Poldereaux
PostScriptum
Comme d’habitude.
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Poème en Phonétique
la vi ε bεllə syʁ teʁə,
mεz- il i a osi la mizεʁə,
kɔmə sεz- ɔʁti,
ki vu pike o ʃəvilə,
syʁ vɔtʁə ʁutə bɥisɔnjεʁə.
djø, kεllə ɡalεʁə,
sa fε tʁε mal, mεz- il i a osi
lə sjεl blø, lεz- aʁbʁə- vεʁ,
lε ʒɔli flœʁz- e lœʁ du paʁfœ̃,
lə bo sɔlεj ki ʁəlɥi,
e tu sə ki sulaʒə dy ʃaɡʁɛ̃.
il i a lə bjɛ̃ e lə mal syʁ la teʁə.
mε lə piʁə,
sə sɔ̃ sε pεʁsɔnə tεllmɑ̃ ʒɑ̃tijə,
ki fεɲe də vuz- εme,
ki vu dɔne də lamitje,
e ki finise,
kɔmə sε tʁistə,
paʁ vu… ʒəte oz- ɔʁti !
mεz- il i a osi la mizεʁə,
kɔmə sεz- ɔʁti,
ki vu pike o ʃəvilə,
syʁ vɔtʁə ʁutə bɥisɔnjεʁə.
djø, kεllə ɡalεʁə,
sa fε tʁε mal, mεz- il i a osi
lə sjεl blø, lεz- aʁbʁə- vεʁ,
lε ʒɔli flœʁz- e lœʁ du paʁfœ̃,
lə bo sɔlεj ki ʁəlɥi,
e tu sə ki sulaʒə dy ʃaɡʁɛ̃.
il i a lə bjɛ̃ e lə mal syʁ la teʁə.
mε lə piʁə,
sə sɔ̃ sε pεʁsɔnə tεllmɑ̃ ʒɑ̃tijə,
ki fεɲe də vuz- εme,
ki vu dɔne də lamitje,
e ki finise,
kɔmə sε tʁistə,
paʁ vu… ʒəte oz- ɔʁti !