Texte : Tristes Sirènes.

Se promener dans la ville,
croiser tant de gens,
tant de très jolies filles.
Des plus gentils aux plus navrants.

Se promener dans la cité
rien que pour marcher.
Et soudain voir ces sirènes,
aux corps de reines,

Qui attisent votre regard.
Et avoir envie, très envie.
Se rapprocher, leur sourire,
c’est un peu ça… la vie.

Et puis se prendre un râteau,
parce-qu’on n’est pas assez… . beau !
Allez donc comprendre les femmes,
vous n’aurez même pas assez… de vos âmes !

sə pʁɔməne dɑ̃ la vilə,
kʁwaze tɑ̃ də ʒɑ̃,
tɑ̃ də tʁε ʒɔli fijə.
dε plys ʒɑ̃tilz- o plys navʁɑ̃.

sə pʁɔməne dɑ̃ la site
ʁjɛ̃ kə puʁ maʁʃe.
e sudɛ̃ vwaʁ sε siʁεnə,
o kɔʁ də ʁεnə,

ki atize vɔtʁə ʁəɡaʁ.
e avwaʁ ɑ̃vi, tʁεz- ɑ̃vi.
sə ʁapʁoʃe, lœʁ suʁiʁə,
sεt- œ̃ pø sa… la vi.

e pɥi sə pʁɑ̃dʁə œ̃ ʁato,
paʁsə kɔ̃ nε pa ase… bo !
ale dɔ̃k kɔ̃pʁɑ̃dʁə lε famə,
vu noʁe mεmə pa ase… də voz- amə !