Texte : Déclin.
A Propos
J’ai écrit ce modeste petit poème en constatant que déjà quelques feuilles jaunissent sur l’arbre dans ma cour.
Déclin.
Déjà quelques feuilles jaunissent,
et évoquent les sols jonchés
des mortes feuilles dorées
dont ils se remplissent.
Déjà au soir de ma vie,
se terminent les beaux jours d’été,
quand dans la ville seul je marchai,
en regardant toutes ces jolies filles.
Bientôt ces feuilles vont se flétrir,
être par les jardiniers ramassées,
pour ne revenir
que dans une année.
Bientôt je vais partir,
toute cette vie enterrer,
avec tous mes souvenirs,
de ces magnifiques jours d’été.
et évoquent les sols jonchés
des mortes feuilles dorées
dont ils se remplissent.
Déjà au soir de ma vie,
se terminent les beaux jours d’été,
quand dans la ville seul je marchai,
en regardant toutes ces jolies filles.
Bientôt ces feuilles vont se flétrir,
être par les jardiniers ramassées,
pour ne revenir
que dans une année.
Bientôt je vais partir,
toute cette vie enterrer,
avec tous mes souvenirs,
de ces magnifiques jours d’été.
Poldereaux
PostScriptum
OK
Pour mettre un commentaire
Poème en Phonétique
deʒa kεlk fœjə ʒonise,
e evɔke lε sɔl ʒɔ̃ʃe
dε mɔʁtə- fœjə dɔʁe
dɔ̃ il sə ʁɑ̃plise.
deʒa o swaʁ də ma vi,
sə tεʁmine lε bo ʒuʁ dete,
kɑ̃ dɑ̃ la vilə səl ʒə maʁʃε,
ɑ̃ ʁəɡaʁdɑ̃ tutə sε ʒɔli fijə.
bjɛ̃to sε fœjə vɔ̃ sə fletʁiʁ,
εtʁə paʁ lε ʒaʁdinje ʁamase,
puʁ nə ʁəvəniʁ
kə dɑ̃z- ynə ane.
bjɛ̃to ʒə vε paʁtiʁ,
tutə sεtə vi ɑ̃teʁe,
avεk tus mε suvəniʁ,
də sε maɲifik ʒuʁ dete.
e evɔke lε sɔl ʒɔ̃ʃe
dε mɔʁtə- fœjə dɔʁe
dɔ̃ il sə ʁɑ̃plise.
deʒa o swaʁ də ma vi,
sə tεʁmine lε bo ʒuʁ dete,
kɑ̃ dɑ̃ la vilə səl ʒə maʁʃε,
ɑ̃ ʁəɡaʁdɑ̃ tutə sε ʒɔli fijə.
bjɛ̃to sε fœjə vɔ̃ sə fletʁiʁ,
εtʁə paʁ lε ʒaʁdinje ʁamase,
puʁ nə ʁəvəniʁ
kə dɑ̃z- ynə ane.
bjɛ̃to ʒə vε paʁtiʁ,
tutə sεtə vi ɑ̃teʁe,
avεk tus mε suvəniʁ,
də sε maɲifik ʒuʁ dete.