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Texte : Maman, La Plus Belle Du Monde.



A Propos

Un poème en hommage à ma défunte mère, dont je fus le fils unique.

Maman, La Plus Belle Du Monde.

Maman, c’est toi la plus belle du monde,
celle que j’aime, de la façon la plus profonde,
d’un amour pur, et filial,
maman idéale.

Toi qui m’as porté neuf mois dans ton ventre,
toi, dont je suis miraculeusement issu.
Fallait-il s’y attendre,
toi qui à quarante-six ans enfin un enfant eus.

Toi, le coeur, l’âme de ma vie,
celle que j’aimerai toujours infiniment,
toi qui près de Dieu partis
un triste jour de printemps.

Tu fus une mère merveilleuse
de l’amour filial la plus parfaite des définitions.
Tu vécus ta terrestre vie heureuse,
et tu l’es encore plus, dans ta céleste maison.
Poldereaux

PostScriptum

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Poème en Phonétique

mamɑ̃, sε twa la plys bεllə dy mɔ̃də,
sεllə kə ʒεmə, də la fasɔ̃ la plys pʁɔfɔ̃də,
dœ̃n- amuʁ pyʁ, e filjal,
mamɑ̃ idealə.

twa ki ma pɔʁte nəf mwa dɑ̃ tɔ̃ vɑ̃tʁə,
twa, dɔ̃ ʒə sɥi miʁakyløzəmɑ̃ isy.
falε til si atɑ̃dʁə,
twa ki a kaʁɑ̃tə siz- ɑ̃ ɑ̃fɛ̃ œ̃n- ɑ̃fɑ̃ y.

twa, lə kœʁ, lamə də ma vi,
sεllə kə ʒεməʁε tuʒuʁz- ɛ̃finime,
twa ki pʁε də djø paʁti
œ̃ tʁistə ʒuʁ də pʁɛ̃tɑ̃.

ty fy ynə mεʁə mεʁvεjøzə
də lamuʁ filjal la plys paʁfεtə dε definisjɔ̃.
ty vekys ta teʁεstʁə vi œʁøzə,
e ty lε ɑ̃kɔʁə plys, dɑ̃ ta selεstə mεzɔ̃.