Univers de poésie d'un auteur

Poème:C Un Long Text Ke G Commencé À Écrir… Pa De Titre

Le Poème

On te dit que la vie c’est facile, de ne pas t’inquiéter, que tout va bien aller… J’espère que tu y crois, que pour toi c’est prouvé parce que moi j’ai aujourd’hui cesser… Cesser d’espérer, je ne cesse plus de douter. Crois-tu qu’un jour ça va s’arranger ? Aujourd’hui mes espoirs sont déchus… J’ose espérer encore que tout n’est pas perdu mais la vie m’a déçue. Parfois j’aimerais tout arrêter, ne plus me faire chaque jour baiser par cette putain de vie qui te dit que demain elle sera belle. Chez moi, il faut croire que demain n’arrive jamais, que je vis le même jour depuis une éternité car ce demain n’a encore jamais pointer le bout de son nez… Ou alors si. Il m’a fait croire il y a peu de temps qu’il allait arriver et puis du jour au lendemain il est reparti en courant… Ca fait mal de se rendre compte que chaque fois que tu crois que ça y est, qu’enfin la vie te sourit, en réalité elle finit par te cracher dessus… Je ne veux pas te démoraliser, si pour toi ça marche, alors ne t’arrêtes pas, cours même ! Je te regarderais t’en aller, mon regard ne quittera le dessin de ton image qu’une fois arrivé à l’horizon. Je penserais bien à toi, ton souvenir ne me quittera pas et je saurais que d’autres sont là… et qu’ils veilleront sur moi.
J’avais cru tous mes maux effacés ou du moins diminués mais depuis qu’il m’a laissée ils ont tous ressurgis avec en tête son absence… Son absence, sa non-présence… Avec lui, je partageais ces maux et ils les comprenait… Du fait, ils étaient à moitié résolus. Son absence provoque un tel manque… Un manque de sa présence, un manque de sa personne, un manque de son regard, un manque de ses mots, un manque de sa tendresse, un manque de sa compréhension, un manque de ses caresses, un manque de son soutien, un manque de son réconfort, un manque de son aide, un manque de « l’amour » que malgré lui il m’apportait…
Et on me dit de ne pas baisser les bras mais je n’y parviens pas, ce vide est là… Pardonnez-moi. Pardonnez-moi d’être si fragile, pardonnez-moi de ne pas trouver la vie facile… Ce monde n’est pas fait pour moi, j’y suis descendue par erreur. Heureusement des anges m’y ont parfois ouverts leurs bras… Je parle de ceux qui sont toujours là, qui ne m’abandonne pas, mes vrais amis. Il y en a peu mais je sais que je pourrais toujours compter sur eux. Certains croiront peut-être en faire partie alors que ce n’est pas le cas… Si tu m’as un jour tourné le dos, si tu m’as un jour détestée, c’est que ce n’est pas toi. Moi je sais à qui je pense quand j’écris les mots « anges »… Combien disent être tes vrais amis alors qu’ils ont parlés tant de fois en mal de toi lorsque tu n’étais pas là ? ! C’est vrai, il y en a, crois-moi. Il y en a même trop.
J’aimerais me laisser aller, pouvoir m’abandonner, ne serait-ce qu’un court instant, au creux de bras réconfortants et pleurer… Oublier l’espace d’un instant, tout, tout ce qui fait si mal, et pouvoir alors m’échapper… Ne plus penser, me sentir rassurée… et aimée. Ne plus me sentir rongée par tous ces regrets et recommencer à avancer.
On dit que les souvenirs sont un bien qui n’appartient qu’à toi, quelque chose qu’on ne pourra jamais t’enlever… On se rappelle des bons souvenirs, des merveilleux même parfois et généralement on oublie les mauvais. Les bons souvenirs sont sensés faire du bien, rappeler des moments de bonheur… Alors comment cela se fait-il que de si bons souvenirs puissent me faire si mal… ? C’est pas juste… Dis-moi ce qui est juste dans un monde où règne l’anarchie, la souffrance, l’inégalité, l’intolérance… et j’en passe. Le principe des souvenirs c’est qu’on ne les oublie pas… je ne veux pas les oublier mais en même temps, comment puis-je vivre avec ça ? Je ne peux supporter l’ignorance d’un semblant d’explication, d’une raison… Tant que je ne saurais pas, tant que je ne comprendrais pas, je sais malheureusement que ça ne s’arrangera pas… Tant d’espoirs, tant de rêves non-aboutis… Et oui, pendant quelques semaines j’avais recommencé à croire en la vie… mais aujourd’hui c’est fini. On m’a donné la parole pour parler, des mots pour écrire, des jambes pour marcher, mais on ne m’a pas donné de raison pour continuer de vivre sans lui. Depuis quatre semaines je ne fais plus que survivre… Je suis désolée si je te déçois, tu vois je ne suis pas si forte que tu le crois. Malheureusement je crois, je ne sais pas faire les choses à moitié, je sais aimer, je sais souffrir, je sais pleurer mais je ne sais pas vivre sans passion… sans but, sans raison.

Laetitia
Partage du Poème avec vos contacts

PostScriptum

c un text que je continuais petit à petit, j’écrivais juste ce que je ressentais sur le moment et puis je le laissais et le reprenais plus tard. . . je pensais kil nété pa fini mé maintenan le temp a un pe passé et les choses st kk peu différentes alors j

Poeme de Ptit.ange

Poète Ptit.ange

Ptit.ange a publié sur le site 10 écrits. Ptit.ange est membre du site depuis l'année 2004.

Syllabation De L'Écrit

Syllabes Hyphénique: C Un Long Text Ke G Commencé À Écrir… Pa De Titreon=te=dit=que=la=vie=cest=fa=cile=de=ne=pas=tin=qui=é=ter=que=tout=va=bien=al=ler=jes=pè=re=que=tu=y=crois=que=pour=toi=cest=prou=vé=par=ce=que=moi=jai=au=jourd=hui=ces=ser=ces=ser=des=pé=rer=je=ne=ces=se=plus=de=dou=ter=crois=tu=quun=jour=ça=va=sar=ran=ger=au=jourd=hui=mes=es=poirs=sont=dé=chus=jo=se=es=pé=rer=en=co=re=que=tout=nest=pas=per=du=mais=la=vie=ma=dé=çue=par=fois=jai=me=rais=tout=ar=rê=ter=ne=plus=me=fai=re=cha=que=jour=bai=ser=par=cet=te=pu=tain=de=vie=qui=te=dit=que=de=main=el=le=se=ra=belle=chez=moi=il=faut=croi=re=que=de=main=nar=ri=ve=ja=mais=que=je=vis=le=mê=me=jour=de=puis=u=ne=é=ter=ni=té=car=ce=de=main=na=en=co=re=ja=mais=poin=ter=le=bout=de=son=nez=ou=a=lors=si=il=ma=fait=croi=re=il=y=a=peu=de=temps=quil=al=lait=ar=ri=ver=et=puis=du=jour=au=len=de=main=il=est=re=par=ti=en=cou=rant=ca=fait=mal=de=se=ren=dre=comp=te=que=cha=que=fois=que=tu=crois=que=ça=y=est=quen=fin=la=vie=te=sou=rit=en=ré=a=li=té=el=le=fi=nit=par=te=cra=cher=des=sus=je=ne=veux=pas=te=dé=mo=ra=li=ser=si=pour=toi=ça=mar=che=a=lors=ne=tar=rê=tes=pas=cours=mê=me=je=te=re=gar=de=rais=ten=al=ler=mon=re=gard=ne=quit=te=ra=le=des=sin=de=ton=i=ma=ge=quu=ne=fois=ar=ri=vé=à=l=ho=ri=zon=je=pen=se=rais=bien=à=toi=ton=sou=ve=nir=ne=me=quit=te=ra=pas=et=je=sau=rais=que=dau=tres=sont=là=et=quils=vei=lle=ront=sur=moi 352
ja=vais=cru=tous=mes=maux=ef=fa=cés=ou=du=moins=di=mi=nués=mais=de=puis=quil=ma=lais=sée=ils=ont=tous=res=sur=gis=a=vec=en=tê=te=son=ab=sen=ce=son=ab=sen=ce=sa=non=pré=sen=ce=a=vec=lui=je=par=ta=geais=ces=maux=et=ils=les=com=pre=nait=du=fait=ils=é=taient=à=moi=ti=é=ré=so=lus=son=ab=sen=ce=pro=vo=que=un=tel=man=que=un=man=que=de=sa=pré=sen=ce=un=man=que=de=sa=per=son=ne=un=man=que=de=son=re=gard=un=man=que=de=ses=mots=un=man=que=de=sa=ten=dres=se=un=man=que=de=sa=com=pré=hen=si=on=un=man=que=de=ses=ca=res=ses=un=man=que=de=son=sou=tien=un=man=que=de=son=ré=con=fort=un=man=que=de=son=ai=de=un=man=que=de=la=mour=que=mal=gré=lui=il=map=por=tait 175
et=on=me=dit=de=ne=pas=bais=ser=les=bras=mais=je=ny=par=viens=pas=ce=vi=de=est=là=par=don=nez=moi=par=don=nez=moi=dê=tre=si=fra=gi=le=par=don=nez=moi=de=ne=pas=trou=ver=la=vie=fa=ci=le=ce=mon=de=nest=pas=fait=pour=moi=jy=suis=des=cen=due=par=er=reur=heu=reu=se=ment=des=an=ges=my=ont=par=fois=ou=verts=leurs=bras=je=par=le=de=ceux=qui=sont=tou=jours=là=qui=ne=ma=ban=don=ne=pas=mes=vrais=a=mis=il=y=en=a=peu=mais=je=sais=que=je=pour=rais=tou=jours=comp=ter=sur=eux=cer=tains=croi=ront=peut=tê=tre=en=fai=re=par=tie=a=lors=que=ce=nest=pas=le=cas=si=tu=mas=un=jour=tour=né=le=dos=si=tu=mas=un=jour=dé=tes=tée=cest=que=ce=nest=pas=toi=moi=je=sais=à=qui=je=pen=se=quand=jé=cris=les=mots=an=ges=com=bien=di=sent=ê=tre=tes=vrais=a=mis=a=lors=quils=ont=par=lés=tant=de=fois=en=mal=de=toi=lors=que=tu=né=tais=pas=là=cest=vrai=il=y=en=a=crois=moi=il=y=en=a=mê=me=trop 223
jai=me=rais=me=lais=ser=al=ler=pou=voir=ma=ban=don=ner=ne=se=rait=ce=quun=court=ins=tant=au=creux=de=bras=ré=con=for=tants=et=pleu=rer=ou=bli=er=les=pa=ce=dun=ins=tant=tout=tout=ce=qui=fait=si=mal=et=pou=voir=a=lors=mé=chap=per=ne=plus=pen=ser=me=sen=tir=ras=su=rée=et=ai=mée=ne=plus=me=sen=tir=ron=gée=par=tous=ces=re=grets=et=re=com=men=cer=à=a=van=cer 91
on=dit=que=les=souve=nirs=sont=un=bien=qui=nap=par=tient=quà=toi=quel=que=cho=se=quon=ne=pour=ra=ja=mais=ten=le=ver=on=se=rap=pel=le=des=bons=sou=ve=nirs=des=mer=veilleux=mê=me=par=fois=et=gé=né=ra=le=ment=on=ou=blie=les=mau=vais=les=bons=sou=ve=nirs=sont=sen=sés=fai=re=du=bien=rap=pe=ler=des=mo=ments=de=bon=heur=a=lors=com=ment=ce=la=se=fait=til=que=de=si=bons=sou=ve=nirs=puis=sent=me=fai=re=si=mal=cest=pas=jus=te=dis=moi=ce=qui=est=jus=te=dans=un=mon=deoù=rè=gne=la=nar=chie=la=souf=fran=ce=li=né=ga=li=té=lin=to=lé=ran=ce=et=jen=passe=le=prin=ci=pe=des=sou=ve=nirs=cest=quon=ne=les=ou=blie=pas=je=ne=veux=pas=les=ou=blier=mais=en=mê=me=temps=com=ment=puis=je=vi=vre=a=vec=ça=je=ne=peux=sup=por=ter=li=gno=ran=ce=dun=sem=blant=dex=pli=ca=tion=du=ne=rai=son=tant=que=je=ne=sau=rais=pas=tant=que=je=ne=com=pren=drais=pas=je=sais=malheu=reu=se=ment=que=ça=ne=sar=ran=ge=ra=pas=tant=des=poirs=tant=de=rê=ves=non=a=bou=tis=et=oui=pen=dant=quel=ques=se=mai=nes=ja=vais=re=com=men=cé=à=croi=re=en=la=vie=mais=au=jourd=hui=cest=fi=ni=on=ma=don=né=la=pa=ro=le=pour=par=ler=des=mots=pour=é=cri=re=des=jam=bes=pour=mar=cher=mais=on=ne=ma=pas=don=né=de=rai=son=pour=con=ti=nuer=de=vi=vre=sans=lui=de=puis=qua=tre=se=mai=nes=je=ne=fais=plus=que=sur=vi=vre=je=suis=dé=so=lée=si=je=te=dé=çois=tu=vois=je=ne=suis=pas=si=for=te=que=tu=le=crois=mal=heu=reu=se=ment=je=crois=je=ne=sais=pas=fai=re=les=cho=ses=à=moi=tié=je=sais=ai=mer=je=sais=souf=frir=je=sais=pleu=rer=mais=je=ne=sais=pas=vi=vre=sans=pas=sion=sans=but=sans=rai=son 389

lae=ti=ti=a 4
Phonétique : C Un Long Text Ke G Commencé À Écrir… Pa De Titreɔ̃ tə di kə la vi sε fasilə, də nə pa tɛ̃kjete, kə tu va bjɛ̃ ale… ʒεspεʁə kə ty i kʁwa, kə puʁ twa sε pʁuve paʁsə kə mwa ʒε oʒuʁdɥi sese… sese dεspeʁe, ʒə nə sεsə plys də dute. kʁwa ty kœ̃ ʒuʁ sa va saʁɑ̃ʒe ? oʒuʁdɥi mεz- εspwaʁ sɔ̃ deʃys… ʒozə εspeʁe ɑ̃kɔʁə kə tu nε pa pεʁdy mε la vi ma desɥ. paʁfwa ʒεməʁε tut- aʁεte, nə plys mə fεʁə ʃakə ʒuʁ bεze paʁ sεtə pytɛ̃ də vi ki tə di kə dəmɛ̃ εllə səʁa bεllə. ʃe mwa, il fo kʁwaʁə kə dəmɛ̃ naʁivə ʒamε, kə ʒə vis lə mεmə ʒuʁ dəpɥiz- ynə etεʁnite kaʁ sə dəmɛ̃ na ɑ̃kɔʁə ʒamε pwɛ̃te lə bu də sɔ̃ ne… u alɔʁ si. il ma fε kʁwaʁə il i a pø də tɑ̃ kil alε aʁive e pɥi dy ʒuʁ o lɑ̃dəmɛ̃ il ε ʁəpaʁti ɑ̃ kuʁɑ̃… ka fε mal də sə ʁɑ̃dʁə kɔ̃tə kə ʃakə fwa kə ty kʁwa kə sa i ε, kɑ̃fɛ̃ la vi tə suʁi, ɑ̃ ʁealite εllə fini paʁ tə kʁaʃe dəsy… ʒə nə vø pa tə demɔʁalize, si puʁ twa sa maʁʃə, alɔʁ nə taʁεtə pa, kuʁ mεmə ! ʒə tə ʁəɡaʁdəʁε tɑ̃n- ale, mɔ̃ ʁəɡaʁ nə kitəʁa lə desɛ̃ də tɔ̃n- imaʒə kynə fwaz- aʁive a lɔʁizɔ̃. ʒə pɑ̃səʁε bjɛ̃ a twa, tɔ̃ suvəniʁ nə mə kitəʁa pa e ʒə soʁε kə dotʁə- sɔ̃ la… e kil vεjʁɔ̃ syʁ mwa.
ʒavε kʁy tus mε moz- efasez- u dy mwɛ̃ diminye mε dəpɥi kil ma lεse ilz- ɔ̃ tus ʁesyʁʒiz- avεk ɑ̃ tεtə sɔ̃n- absɑ̃sə… sɔ̃n- absɑ̃sə, sa nɔ̃ pʁezɑ̃sə… avεk lɥi, ʒə paʁtaʒε sε moz- e il lε kɔ̃pʁənε… dy fε, ilz- etε a mwatje ʁezɔlys. sɔ̃n- absɑ̃sə pʁɔvɔkə œ̃ tεl mɑ̃kə… œ̃ mɑ̃kə də sa pʁezɑ̃sə, œ̃ mɑ̃kə də sa pεʁsɔnə, œ̃ mɑ̃kə də sɔ̃ ʁəɡaʁ, œ̃ mɑ̃kə də sε mo, œ̃ mɑ̃kə də sa tɑ̃dʁεsə, œ̃ mɑ̃kə də sa kɔ̃pʁeɑ̃sjɔ̃, œ̃ mɑ̃kə də sε kaʁesə, œ̃ mɑ̃kə də sɔ̃ sutjɛ̃, œ̃ mɑ̃kə də sɔ̃ ʁekɔ̃fɔʁ, œ̃ mɑ̃kə də sɔ̃n- εdə, œ̃ mɑ̃kə də « lamuʁ » kə malɡʁe lɥi il mapɔʁtε…
e ɔ̃ mə di də nə pa bεse lε bʁa mε ʒə ni paʁvjɛ̃ pa, sə vidə ε la… paʁdɔne mwa. paʁdɔne mwa dεtʁə si fʁaʒilə, paʁdɔne mwa də nə pa tʁuve la vi fasilə… sə mɔ̃də nε pa fε puʁ mwa, ʒi sɥi desɑ̃dɥ paʁ eʁœʁ. œʁøzəmɑ̃ dεz- ɑ̃ʒə mi ɔ̃ paʁfwaz- uvεʁ lœʁ bʁa… ʒə paʁlə də sø ki sɔ̃ tuʒuʁ la, ki nə mabɑ̃dɔnə pa, mε vʁεz- ami. il i ɑ̃n- a pø mε ʒə sε kə ʒə puʁʁε tuʒuʁ kɔ̃te syʁ ø. sεʁtɛ̃ kʁwaʁɔ̃ pø tεtʁə ɑ̃ fεʁə paʁti alɔʁ kə sə nε pa lə ka… si ty ma œ̃ ʒuʁ tuʁne lə do, si ty ma œ̃ ʒuʁ detεste, sε kə sə nε pa twa. mwa ʒə sεz- a ki ʒə pɑ̃sə kɑ̃ ʒekʁi lε mɔts « ɑ̃ʒəs »… kɔ̃bjɛ̃ dize εtʁə tε vʁεz- amiz- alɔʁ kilz- ɔ̃ paʁle tɑ̃ də fwaz- ɑ̃ mal də twa lɔʁskə ty netε pa la ? ! sε vʁε, il i ɑ̃n- a, kʁwa mwa. il i ɑ̃n- a mεmə tʁo.
ʒεməʁε mə lεse ale, puvwaʁ mabɑ̃dɔne, nə səʁε sə kœ̃ kuʁ ɛ̃stɑ̃, o kʁø də bʁa ʁekɔ̃fɔʁtɑ̃z- e pləʁe… ublje lεspasə dœ̃n- ɛ̃stɑ̃, tu, tu sə ki fε si mal, e puvwaʁ alɔʁ meʃape… nə plys pɑ̃se, mə sɑ̃tiʁ ʁasyʁe… e εme. nə plys mə sɑ̃tiʁ ʁɔ̃ʒe paʁ tus sε ʁəɡʁεz- e ʁəkɔmɑ̃se a avɑ̃se.
ɔ̃ di kə lε suvəniʁ sɔ̃t- œ̃ bjɛ̃ ki napaʁtjɛ̃ ka twa, kεlkə ʃozə kɔ̃ nə puʁʁa ʒamε tɑ̃ləve… ɔ̃ sə ʁapεllə dε bɔ̃ suvəniʁ, dε mεʁvεjø mεmə paʁfwaz- e ʒeneʁaləmɑ̃ ɔ̃n- ubli lε movε. lε bɔ̃ suvəniʁ sɔ̃ sɑ̃se fεʁə dy bjɛ̃, ʁapəle dε mɔmɑ̃ də bɔnœʁ… alɔʁ kɔmɑ̃ səla sə fε til kə də si bɔ̃ suvəniʁ pɥise mə fεʁə si mal… ? sε pa ʒystə… di mwa sə ki ε ʒystə dɑ̃z- œ̃ mɔ̃də u ʁεɲə lanaʁʃi, la sufʁɑ̃sə, lineɡalite, lɛ̃tɔleʁɑ̃sə… e ʒɑ̃ pasə. lə pʁɛ̃sipə dε suvəniʁ sε kɔ̃ nə lεz- ubli pa… ʒə nə vø pa lεz- ublje mεz- ɑ̃ mεmə tɑ̃, kɔmɑ̃ pɥi ʒə vivʁə avεk sa ? ʒə nə pø sypɔʁte liɲɔʁɑ̃sə dœ̃ sɑ̃blɑ̃ dεksplikasjɔ̃, dynə ʁεzɔ̃… tɑ̃ kə ʒə nə soʁε pa, tɑ̃ kə ʒə nə kɔ̃pʁɑ̃dʁε pa, ʒə sε maləʁøzəmɑ̃ kə sa nə saʁɑ̃ʒəʁa pa… tɑ̃ dεspwaʁ, tɑ̃ də ʁεvə nɔ̃ abuti… e ui, pɑ̃dɑ̃ kεlk səmεnə ʒavε ʁəkɔmɑ̃se a kʁwaʁə ɑ̃ la vi… mεz- oʒuʁdɥi sε fini. ɔ̃ ma dɔne la paʁɔlə puʁ paʁle, dε mo puʁ ekʁiʁə, dε ʒɑ̃bə puʁ maʁʃe, mεz- ɔ̃ nə ma pa dɔne də ʁεzɔ̃ puʁ kɔ̃tinɥe də vivʁə sɑ̃ lɥi. dəpɥi katʁə səmεnə ʒə nə fε plys kə syʁvivʁə… ʒə sɥi dezɔle si ʒə tə deswa, ty vwa ʒə nə sɥi pa si fɔʁtə kə ty lə kʁwa. maləʁøzəmɑ̃ ʒə kʁwa, ʒə nə sε pa fεʁə lε ʃozəz- a mwatje, ʒə sεz- εme, ʒə sε sufʁiʁ, ʒə sε pləʁe mε ʒə nə sε pa vivʁə sɑ̃ pasjɔ̃… sɑ̃ byt, sɑ̃ ʁεzɔ̃.

laetisja
Syllabes Phonétique : C Un Long Text Ke G Commencé À Écrir… Pa De Titreɔ̃=tə=di=kə=la=vi=sε=fa=si=lə=də=nə=pa=tɛ̃=kje=te=kə=tu=va=bjɛ̃=a=le=ʒεs=pε=ʁə=kə=ty=i=kʁwa=kə=puʁ=twa=sε=pʁu=ve=paʁ=sə=kə=mwa=ʒε=o=ʒuʁ=dɥi=se=se=se=se=dεs=pe=ʁe=ʒə=nə=sε=sə=plys=də=du=te=kʁwa=ty=kœ̃=ʒuʁ=sa=va=sa=ʁɑ̃=ʒe=o=ʒuʁ=dɥi=mε=zεs=pwaʁ=sɔ̃=de=ʃys=ʒo=zə=εs=pe=ʁe=ɑ̃=kɔ=ʁə=kə=tu=nε=pa=pεʁ=dy=mε=la=vi=ma=desɥ=paʁ=fwa=ʒε=mə=ʁε=tu=ta=ʁε=te=nə=plys=mə=fε=ʁə=ʃa=kə=ʒuʁ=bε=ze=paʁ=sε=tə=py=tɛ̃=də=vi=ki=tə=di=kə=də=mɛ̃=εl=lə=sə=ʁa=bεl=lə=ʃe=mwa=il=fo=kʁwa=ʁə=kə=də=mɛ̃=na=ʁi=və=ʒa=mε=kə=ʒə=vis=lə=mε=mə=ʒuʁ=dəp=ɥi=zy=nə=e=tεʁ=ni=te=kaʁ=sə=də=mɛ̃=na=ɑ̃=kɔ=ʁə=ʒa=mε=pwɛ̃=te=lə=bu=də=sɔ̃=ne=u=a=lɔʁ=si=il=ma=fε=kʁwa=ʁə=il=i=a=pø=də=tɑ̃=kil=a=lε=a=ʁi=ve=e=pɥi=dy=ʒuʁ=o=lɑ̃=də=mɛ̃=il=ε=ʁə=paʁ=ti=ɑ̃=ku=ʁɑ̃=ka=fε=mal=də=sə=ʁɑ̃=dʁə=kɔ̃=tə=kə=ʃa=kə=fwa=kə=ty=kʁwa=kə=sa=i=ε=kɑ̃=fɛ̃=la=vi=tə=su=ʁi=ɑ̃=ʁe=a=li=te=εl=lə=fi=ni=paʁ=tə=kʁa=ʃe=də=sy=ʒə=nə=vø=pa=tə=de=mɔ=ʁa=li=ze=si=puʁ=twa=sa=maʁ=ʃə=a=lɔʁ=nə=ta=ʁε=tə=pa=kuʁ=mε=mə=ʒə=tə=ʁə=ɡaʁ=də=ʁε=tɑ̃=na=le=mɔ̃=ʁə=ɡaʁ=nə=ki=tə=ʁa=lə=de=sɛ̃=də=tɔ̃=ni=ma=ʒə=ky=nə=fwa=za=ʁi=ve=a=lɔ=ʁi=zɔ̃=ʒə=pɑ̃=sə=ʁε=bjɛ̃=a=twa=tɔ̃=su=və=niʁ=nə=mə=ki=tə=ʁa=pa=e=ʒə=so=ʁε=kə=do=tʁə=sɔ̃=la=e=kil=vεj=ʁɔ̃=syʁ=mwa 350
ʒa=vε=kʁy=tus=mε=mo=ze=fa=se=zu=dy=mwɛ̃=di=mi=ny=e=mε=dəp=ɥi=kil=ma=lε=se=il=zɔ̃=tus=ʁe=syʁ=ʒi=za=vεk=ɑ̃=tε=tə=sɔ̃=nab=sɑ̃=sə=sɔ̃=nab=sɑ̃=sə=sa=nɔ̃=pʁe=zɑ̃=sə=a=vεk=lɥi=ʒə=paʁ=ta=ʒε=sε=mo=ze=il=lε=kɔ̃=pʁə=nε=dy=fε=il=ze=tε=a=mwa=tj=e=ʁe=zɔ=lys=sɔ̃=nab=sɑ̃=sə=pʁɔ=vɔ=kə=œ̃=tεl=mɑ̃=kə=œ̃=mɑ̃=kə=də=sa=pʁe=zɑ̃=sə=œ̃=mɑ̃=kə=də=sa=pεʁ=sɔ=nə=œ̃=mɑ̃=kə=də=sɔ̃=ʁə=ɡaʁ=œ̃=mɑ̃=kə=də=sε=mo=œ̃=mɑ̃=kə=də=sa=tɑ̃=dʁε=sə=œ̃=mɑ̃=kə=də=sa=kɔ̃=pʁe=ɑ̃=sj=ɔ̃=œ̃=mɑ̃=kə=də=sε=ka=ʁe=sə=œ̃=mɑ̃=kə=də=sɔ̃=su=tjɛ̃=œ̃=mɑ̃=kə=də=sɔ̃=ʁe=kɔ̃=fɔʁ=œ̃=mɑ̃=kə=də=sɔ̃=nε=də=œ̃=mɑ̃=kə=də=la=muʁ=kə=mal=ɡʁe=lɥi=il=ma=pɔʁ=tε 176
e=ɔ̃=mə=di=də=nə=pa=bε=se=lε=bʁa=mε=ʒə=ni=paʁ=vj=ɛ̃=pa=sə=vi=də=ε=la=paʁ=dɔ=ne=mwa=paʁ=dɔ=ne=mwa=dε=tʁə=si=fʁa=ʒi=lə=paʁ=dɔ=ne=mwa=də=nə=pa=tʁu=ve=la=vi=fa=si=lə=sə=mɔ̃=də=nε=pa=fε=puʁ=mwa=ʒi=sɥi=de=sɑ̃dɥ=paʁ=e=ʁœ=ʁə=œ=ʁø=zə=mɑ̃=dε=zɑ̃=ʒə=mi=ɔ̃=paʁ=fwa=zu=vεʁ=lœʁ=bʁa=ʒə=paʁ=lə=də=sø=ki=sɔ̃=tu=ʒuʁ=la=ki=nə=ma=bɑ̃=dɔ=nə=pa=mε=vʁε=za=mi=il=i=ɑ̃=na=pø=mε=ʒə=sε=kə=ʒə=puʁ=ʁε=tu=ʒuʁ=kɔ̃=te=syʁ=ø=sεʁ=tɛ̃=kʁwa=ʁɔ̃=pø=tε=tʁə=ɑ̃=fε=ʁə=paʁ=ti=a=lɔʁ=kə=sə=nε=pa=lə=ka=si=ty=ma=œ̃=ʒuʁ=tuʁ=ne=lə=do=si=ty=ma=œ̃=ʒuʁ=de=tεs=te=sε=kə=sə=nε=pa=twa=mwa=ʒə=sε=za=ki=ʒə=pɑ̃=sə=kɑ̃=ʒe=kʁi=lε=mɔts=ɑ̃=ʒəs=kɔ̃=bjɛ̃=di=ze=ε=tʁə=tε=vʁε=za=mi=za=lɔʁ=kil=zɔ̃=paʁ=le=tɑ̃=də=fwa=zɑ̃=mal=də=twa=lɔʁ=skə=ty=ne=tε=pa=la=sε=vʁε=il=i=ɑ̃=na=kʁwa=mwa=il=i=ɑ̃=na=mε=mə=tʁo 224
ʒε=mə=ʁε=mə=lε=se=a=le=pu=vwaʁ=ma=bɑ̃=dɔ=ne=nə=sə=ʁε=sə=kœ̃=kuʁ=ɛ̃s=tɑ̃=o=kʁø=də=bʁa=ʁe=kɔ̃=fɔʁ=tɑ̃=ze=plə=ʁe=u=blj=e=lεs=pa=sə=dœ̃=nɛ̃s=tɑ̃=tu=tu=sə=ki=fε=si=mal=e=pu=vwaʁ=a=lɔʁ=me=ʃa=pe=nə=plys=pɑ̃=se=mə=sɑ̃=tiʁ=ʁa=sy=ʁe=e=ε=me=nə=plys=mə=sɑ̃=tiʁ=ʁɔ̃=ʒe=paʁ=tus=sε=ʁə=ɡʁε=ze=ʁə=kɔ=mɑ̃=se=a=a=vɑ̃=se 91
ɔ̃=dikə=lε=su=və=niʁ=sɔ̃=tœ̃=bjɛ̃=ki=na=paʁ=tjɛ̃=ka=twa=kεl=kə=ʃo=zə=kɔ̃=nə=puʁ=ʁa=ʒa=mε=tɑ̃=lə=ve=ɔ̃=sə=ʁa=pεllə=dε=bɔ̃=su=və=niʁ=dε=mεʁ=vε=jø=mε=mə=paʁ=fwa=ze=ʒe=ne=ʁa=lə=mɑ̃=ɔ̃=nu=bli=lε=mo=vε=lε=bɔ̃=su=və=niʁ=sɔ̃=sɑ̃=se=fε=ʁə=dy=bjɛ̃=ʁa=pə=le=dε=mɔ=mɑ̃=də=bɔ=nœʁ=a=lɔʁ=kɔ=mɑ̃=sə=la=sə=fε=til=kə=də=si=bɔ̃=su=və=niʁ=pɥi=se=mə=fε=ʁə=si=mal=sε=pa=ʒys=tə=di=mwa=sə=ki=ε=ʒys=tə=dɑ̃=zœ̃=mɔ̃=dəu=ʁε=ɲə=la=naʁ=ʃi=la=su=fʁɑ̃=sə=li=ne=ɡa=li=te=lɛ̃=tɔ=le=ʁɑ̃=sə=e=ʒɑ̃=pa=sə=lə=pʁɛ̃=si=pə=dε=su=və=niʁ=sε=kɔ̃=nə=lε=zu=bli=pa=ʒə=nə=vø=pa=lε=zu=blje=mε=zɑ̃=mε=mə=tɑ̃=kɔ=mɑ̃=pɥi=ʒə=vi=vʁə=a=vεk=sa=ʒə=nə=pø=sy=pɔʁ=te=li=ɲɔ=ʁɑ̃=sə=dœ̃=sɑ̃=blɑ̃=dεk=spli=ka=sjɔ̃=dy=nə=ʁε=zɔ̃=tɑ̃=kə=ʒə=nə=so=ʁε=pa=tɑ̃=kə=ʒə=nə=kɔ̃=pʁɑ̃=dʁε=pa=ʒə=sε=ma=lə=ʁø=zə=mɑ̃=kə=sa=nə=sa=ʁɑ̃=ʒə=ʁa=pa=tɑ̃=dεs=pwaʁ=tɑ̃=də=ʁε=və=nɔ̃=a=bu=ti=e=ui=pɑ̃=dɑ̃=kεl=kə=sə=mε=nə=ʒa=vε=ʁə=kɔ=mɑ̃=se=a=kʁwa=ʁə=ɑ̃=la=vi=mε=zo=ʒuʁ=dɥi=sε=fi=ni=ɔ̃=ma=dɔ=ne=la=pa=ʁɔ=lə=puʁ=paʁ=le=dε=mo=puʁ=e=kʁi=ʁə=dε=ʒɑ̃=bə=puʁ=maʁ=ʃe=mε=zɔ̃=nə=ma=pa=dɔ=ne=də=ʁε=zɔ̃=puʁ=kɔ̃=tin=ɥe=də=vi=vʁə=sɑ̃=lɥi=dəp=ɥi=ka=tʁə=sə=mε=nə=ʒə=nə=fε=plys=kə=syʁ=vi=vʁə=ʒə=sɥi=de=zɔ=le=si=ʒə=tə=de=swa=ty=vwa=ʒə=nə=sɥi=pa=si=fɔʁ=tə=kə=ty=lə=kʁwa=ma=lə=ʁø=zə=mɑ̃=ʒə=kʁwa=ʒə=nə=sε=pa=fε=ʁə=lε=ʃo=zə=za=mwa=tje=ʒə=sε=zε=me=ʒə=sε=su=fʁiʁ=ʒə=sε=plə=ʁe=mε=ʒə=nə=sε=pa=vi=vʁə=sɑ̃=pa=sjɔ̃=sɑ̃=byt=sɑ̃=ʁε=zɔ̃ 391

la=e=ti=sj=a 5

Récompense

Coup de coeur: 0
J’aime: 0
J’aime pas: 0

Commentaires Sur La Poesie

Auteur de Poésie
17/06/2004 00:00Ptit.Ange

(suite de mon commentaire ki né pas passée) je pense ke se seré peut etre une erreur ke de le continuer mintenan alor ke je ne vois plu les choz de la même fason. . . enfin je ne c pa tro. . . enfin, ke pensez vou de ce texte. . . ?

Auteur de Poésie
17/06/2004 00:00Grosloulou

Ce que GLL pense du texte ?
Très sincère, lucide et bien écrit. Que tu vivais dans un contexte de fausses valeurs. Mais toi même t’es pas fausse. D’où cette contradiction insupportable à ton éveil, à ton réveil.

A une autre échelle, c’est le prince Zakia Mouni qui a tout quitté à son réveil d’un monde merveilleux mais artificiel, pour partir à la recherche de vraies solutions qui pourraient alléger la souffrance de l’humain, de l’humanité donc.
GLL.

Auteur de Poésie
17/06/2004 00:00Ptit.Ange

merci à vous tous. . . sincèrement. j’ai foi en vous. merci pr tt!

Auteur de Poésie
17/06/2004 00:00Cindy (Dydy)

je voudrais simplement te dire que ta lette est merveilleuse. . kan je la lis je me reconnait. . mes poèmes ne disent pas tout de moi, il y a des choses que je n’arrive pas à écrire, mais aujourd’hui tu les a écrites toi. .
Merci pour tes commentaires. . peut être que nos histoires ne se resssemble pas c’est vrai, mais nos mots se ressemblent et nos sentiments se ressemblent. .
Je souffre toujours. . je l’ai toujours en moi. . mais plus le temps passe plus je suis confuse et perdue. .
Ton texte est si complet, si réel, si touchant. . ça fait mal de voir que d’autres personne pense comme moi. . .
c’est vrai tout le monde me dit de continué, que ce n’est qu’un chagrin d’amour, et moi même je le dit kan j’aide une personne. .
pourtant à moi-même je n’arrive pas à le comprendre. . ça fait tellement mal. . pourtant la vie continu. . mais tout comme toi, je ne vis plus, j’apprends à survivre. . je dois survivre sans lui. . c’est tellement difficile. .
mon histoire avec lui est aussi très compliqué. . mais plus les jours passent et plus je me dit, que c’est un amour impossible. .
nous sommes peut être trop différent, pourtant nous avons vécu 4ans ensemble. .
enfin, je voulais surtout te dire que je te comprends tout à fait, que ta lettre est vraiment magnifique. .
un titre? je crois qu’aucun titre n’est assez explicatif pour exprimer ton poème. .
En tout cas j’espère que tu va mieux. . et que tu reprend gout à la vie. . je te le souhaite de tout coeur. .
mon e-mail: cindyp370@hotmail. com

ça me ferait super plaisir de recevoir un mail de ta part. . En tout cas koi kil arrive tu peux toujours compté sur moi. .
et promis je vais tout faire pour ne plus t’écrire une tartine! Heureusement c’est la fin. . 🙂

tendrement
dydy