Poème:Une Balade En Reverdie
Le Poème
Entourée de doux oiseaux chanteurs,
Dame Nature au printemps est coquette,
Parée d’une verte robe à fleurs
Aux vives pensées et violettes.
Le promeneur aime ce renouveau
De la végétation vigoureuse.
Les bois se couvrent d’un parasol haut
Qui maintient moite leur terre pierreuse.
Il avance sans guide et sans un chien :
La compagne près de lui n’est qu’un rêve.
Sa liberté est son unique bien.
Il sent des arbres circuler la sève !
On a un début d’avril presque chaud.
La forêt se tapisse de pervenche.
La menthe s’installe au bord du ruisseau.
Comme neige l’aspérule est fort blanche !
Le marcheur poursuit gaiement son chemin.
Tout près, des merles donnent un concert.
Il est serein, sans penser à demain :
Un bon répit dans ce monde d’enfer !
Sente rectiligne entre les sapins,
De la longue Porallée si sombre
Il sort, retrouvant la lumière enfin !
Il peut à nouveau regarder son ombre.
Une brève éclaircie en vérité !
Soudain de noirs nuages s’amoncellent
Sur le bleu du ciel : c’est l’obscurité
Parfaite mais des éclairs étincellent !
Frappant soudain le joyeux randonneur,
La giboulée fait tomber sa grêle !
Il court en poussant des cris de douleur :
Le feuillage offre un abri bien trop frêle !
Il aurait dû être un peu plus fûté :
Il faut toujours redouter un orage
Quand on part loin des murs de la cité !
Il s’en rend compte à présent : il enrage !
Il cherche en vain un refuge plus sûr.
Il se dirige vers de plus grands arbres.
Mais devant lui, près d’étranges sculptures,
Surgit un pompeux pavillon en marbre !
Il s’y précipite et peut s’y asseoir !
D’affreux dragons entourent les colonnes.
Une des têtes lui sert de séchoir
Pour veste et chemise : la bête est bonne !
Il est souvent passé par ces grands bois
Mais sans voir ce pavillon insolite
Qui s’est trouvé tout juste au bon endroit
Quand l’ouragan subit l’a mis en fuite !
Le climat d’avril est le plus changeant !
Une fée chasse tous les nuages
Et d’un seul coup revient le très beau temps !
Le marcheur peut reprendre son voyage.
A nouveau c’est le merveilleux printemps !
Un chemin mène à pic vers le village
Dans la verte vallée aux nombreux champs.
En train il verra d’autres paysages.
Dame Nature au printemps est coquette,
Parée d’une verte robe à fleurs
Aux vives pensées et violettes.
Le promeneur aime ce renouveau
De la végétation vigoureuse.
Les bois se couvrent d’un parasol haut
Qui maintient moite leur terre pierreuse.
Il avance sans guide et sans un chien :
La compagne près de lui n’est qu’un rêve.
Sa liberté est son unique bien.
Il sent des arbres circuler la sève !
On a un début d’avril presque chaud.
La forêt se tapisse de pervenche.
La menthe s’installe au bord du ruisseau.
Comme neige l’aspérule est fort blanche !
Le marcheur poursuit gaiement son chemin.
Tout près, des merles donnent un concert.
Il est serein, sans penser à demain :
Un bon répit dans ce monde d’enfer !
Sente rectiligne entre les sapins,
De la longue Porallée si sombre
Il sort, retrouvant la lumière enfin !
Il peut à nouveau regarder son ombre.
Une brève éclaircie en vérité !
Soudain de noirs nuages s’amoncellent
Sur le bleu du ciel : c’est l’obscurité
Parfaite mais des éclairs étincellent !
Frappant soudain le joyeux randonneur,
La giboulée fait tomber sa grêle !
Il court en poussant des cris de douleur :
Le feuillage offre un abri bien trop frêle !
Il aurait dû être un peu plus fûté :
Il faut toujours redouter un orage
Quand on part loin des murs de la cité !
Il s’en rend compte à présent : il enrage !
Il cherche en vain un refuge plus sûr.
Il se dirige vers de plus grands arbres.
Mais devant lui, près d’étranges sculptures,
Surgit un pompeux pavillon en marbre !
Il s’y précipite et peut s’y asseoir !
D’affreux dragons entourent les colonnes.
Une des têtes lui sert de séchoir
Pour veste et chemise : la bête est bonne !
Il est souvent passé par ces grands bois
Mais sans voir ce pavillon insolite
Qui s’est trouvé tout juste au bon endroit
Quand l’ouragan subit l’a mis en fuite !
Le climat d’avril est le plus changeant !
Une fée chasse tous les nuages
Et d’un seul coup revient le très beau temps !
Le marcheur peut reprendre son voyage.
A nouveau c’est le merveilleux printemps !
Un chemin mène à pic vers le village
Dans la verte vallée aux nombreux champs.
En train il verra d’autres paysages.
Poète Ray Del
Ray Del a publié sur le site 10 écrits. Ray Del est membre du site depuis l'année 2019.Lire le profil du poète Ray DelSyllabation De L'Écrit
Syllabes Hyphénique: Une Balade En Reverdie
en=tou=rée=de=doux=oi=seaux=chan=teurs 9dame=na=tu=re=au=prin=temps=est=co=quette 10
pa=rée=du=ne=ver=te=ro=be=à=fleurs 10
aux=vi=ves=pen=sées=et=vi=o=let=tes 10
le=pro=me=neur=ai=me=ce=re=nou=veau 10
de=la=vé=gé=ta=ti=on=vi=gou=reuse 10
les=bois=se=cou=vrent=dun=pa=ra=sol=haut 10
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la=com=pa=gne=près=de=lui=nest=quun=rêve 10
sa=li=ber=té=est=son=u=ni=que=bien 10
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la=menthe=sins=tal=le=au=bord=du=ruis=seau 10
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un=bon=ré=pit=dans=ce=mon=de=den=fer 10
sen=te=rec=ti=ligne=en=tre=les=sa=pins 10
de=la=lon=gue=po=ral=lée=si=som=bre 10
il=sort=re=trou=vant=la=lu=mière=en=fin 10
il=peut=à=nou=veau=re=gar=der=son=ombre 10
une=brè=ve=é=clair=cie=en=vé=ri=té 10
sou=dain=de=noirs=nu=a=ges=sa=mon=cellent 10
sur=le=bleu=du=ciel=cest=lobs=cu=ri=té 10
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frap=pant=sou=dain=le=joy=eux=ran=don=neur 10
la=gi=bou=lée=fait=tom=ber=sa=grê=le 10
il=court=en=pous=sant=des=cris=de=dou=leur 10
le=feuil=lageof=fre=un=a=bri=bien=trop=frêle 10
il=au=rait=dû=être=un=peu=plus=fû=té 10
il=faut=tou=jours=re=dou=ter=un=o=rage 10
quand=on=part=loin=des=murs=de=la=ci=té 10
il=sen=rend=comp=te=à=présent=il=en=rage 10
il=cherche=en=vain=un=re=fu=ge=plus=sûr 10
il=se=di=ri=ge=vers=de=plus=grands=arbres 10
mais=de=vant=lui=près=dé=tranges=s=culp=tures 10
sur=git=un=pom=peux=pa=villon=en=mar=bre 10
il=sy=pré=ci=pite=et=peut=sy=as=seoir 10
daf=freux=dra=gons=en=tou=rent=les=co=lonnes 10
u=ne=des=tê=tes=lui=sert=de=sé=choir 10
pour=ves=teet=che=mise=la=bê=te=est=bonne 10
il=est=sou=vent=pas=sé=par=ces=grands=bois 10
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qui=sest=trou=vé=tout=jus=teau=bon=en=droit 10
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u=ne=fée=chas=se=tous=les=nua=ges 9
et=dun=seul=coup=re=vient=le=très=beau=temps 10
le=mar=cheur=peut=re=pren=dre=son=voya=ge 10
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en=train=il=ver=ra=dau=tres=pay=sa=ges 10
Phonétique : Une Balade En Reverdie
ɑ̃tuʁe də duz- wazo ʃɑ̃tœʁ,damə natyʁə o pʁɛ̃tɑ̃z- ε kɔkεtə,
paʁe dynə vεʁtə ʁɔbə a flœʁ
o vivə pɑ̃sez- e vjɔlεtə.
lə pʁɔmənœʁ εmə sə ʁənuvo
də la veʒetasjɔ̃ viɡuʁøzə.
lε bwa sə kuvʁe dœ̃ paʁazɔl-o
ki mɛ̃tjɛ̃ mwatə lœʁ teʁə pjeʁøzə.
il avɑ̃sə sɑ̃ ɡidə e sɑ̃z- œ̃ ʃjɛ̃ :
la kɔ̃paɲə pʁε də lɥi nε kœ̃ ʁεvə.
sa libεʁte ε sɔ̃n- ynikə bjɛ̃.
il sɑ̃ dεz- aʁbʁə- siʁkyle la sεvə !
ɔ̃n- a œ̃ deby davʁil pʁεskə ʃo.
la fɔʁε sə tapisə də pεʁvɑ̃ʃə.
la mɑ̃tə sɛ̃stalə o bɔʁ dy ʁɥiso.
kɔmə nεʒə laspeʁylə ε fɔʁ blɑ̃ʃə !
lə maʁʃœʁ puʁsɥi ɡεmɑ̃ sɔ̃ ʃəmɛ̃.
tu pʁε, dε mεʁlə- dɔne œ̃ kɔ̃sεʁ.
il ε səʁɛ̃, sɑ̃ pɑ̃se a dəmɛ̃ :
œ̃ bɔ̃ ʁepi dɑ̃ sə mɔ̃də dɑ̃fe !
sɑ̃tə ʁεktiliɲə ɑ̃tʁə lε sapɛ̃,
də la lɔ̃ɡ pɔʁale si sɔ̃bʁə
il sɔʁ, ʁətʁuvɑ̃ la lymjεʁə ɑ̃fɛ̃ !
il pø a nuvo ʁəɡaʁde sɔ̃n- ɔ̃bʁə.
ynə bʁεvə eklεʁsi ɑ̃ veʁite !
sudɛ̃ də nwaʁ nɥaʒə samɔ̃sεlle
syʁ lə blø dy sjεl : sε lɔpskyʁite
paʁfεtə mε dεz- eklεʁz- etɛ̃sεlle !
fʁapɑ̃ sudɛ̃ lə ʒwajø ʁɑ̃dɔnœʁ,
la ʒibule fε tɔ̃be sa ɡʁεlə !
il kuʁ ɑ̃ pusɑ̃ dε kʁi də dulœʁ :
lə fœjaʒə ɔfʁə œ̃n- abʁi bjɛ̃ tʁo fʁεlə !
il oʁε dy εtʁə œ̃ pø plys fyte :
il fo tuʒuʁ ʁədute œ̃n- ɔʁaʒə
kɑ̃t- ɔ̃ paʁ lwɛ̃ dε myʁ də la site !
il sɑ̃ ʁɑ̃ kɔ̃tə a pʁezɑ̃ : il ɑ̃ʁaʒə !
il ʃεʁʃə ɑ̃ vɛ̃ œ̃ ʁəfyʒə plys syʁ.
il sə diʁiʒə vεʁ də plys ɡʁɑ̃z- aʁbʁə.
mε dəvɑ̃ lɥi, pʁε detʁɑ̃ʒə skylptyʁə,
syʁʒi œ̃ pɔ̃pø pavilɔ̃ ɑ̃ maʁbʁə !
il si pʁesipitə e pø si asəwaʁ !
dafʁø dʁaɡɔ̃z- ɑ̃tuʁe lε kɔlɔnə.
ynə dε tεtə lɥi sεʁ də seʃwaʁ
puʁ vεstə e ʃəmizə : la bεtə ε bɔnə !
il ε suvɑ̃ pase paʁ sε ɡʁɑ̃ bwa
mε sɑ̃ vwaʁ sə pavilɔ̃ ɛ̃sɔlitə
ki sε tʁuve tu ʒystə o bɔ̃ ɑ̃dʁwa
kɑ̃ luʁaɡɑ̃ sybi la miz- ɑ̃ fɥitə !
lə klima davʁil ε lə plys ʃɑ̃ʒɑ̃ !
ynə fe ʃasə tus lε nɥaʒə
e dœ̃ səl ku ʁəvjɛ̃ lə tʁε bo tɑ̃ !
lə maʁʃœʁ pø ʁəpʁɑ̃dʁə sɔ̃ vwajaʒə.
a nuvo sε lə mεʁvεjø pʁɛ̃tɑ̃ !
œ̃ ʃəmɛ̃ mεnə a pik vεʁ lə vilaʒə
dɑ̃ la vεʁtə vale o nɔ̃bʁø ʃɑ̃.
ɑ̃ tʁɛ̃ il veʁa dotʁə- pεizaʒə.
Syllabes Phonétique : Une Balade En Reverdie
ɑ̃=tu=ʁe=də=du=zwa=zo=ʃɑ̃=tœ=ʁə 10damə=na=ty=ʁə=o=pʁɛ̃=tɑ̃=zε=kɔ=kεtə 10
pa=ʁe=dy=nə=vεʁ=tə=ʁɔ=bə=a=flœʁ 10
o=vi=və=pɑ̃=se=ze=vj=ɔ=lε=tə 10
lə=pʁɔ=mə=nœʁ=ε=mə=sə=ʁə=nu=vo 10
də=la=ve=ʒe=ta=sjɔ̃=vi=ɡu=ʁø=zə 10
lε=bwa=sə=ku=vʁe=dœ̃=pa=ʁa=zɔl-o 10
ki=mɛ̃=tjɛ̃=mwa=tə=lœʁ=te=ʁə=pje=ʁøzə 10
il=a=vɑ̃=sə=sɑ̃=ɡidə=e=sɑ̃=zœ̃=ʃjɛ̃ 10
la=kɔ̃=pa=ɲə=pʁε=də=lɥi=nε=kœ̃=ʁεvə 10
sa=li=bεʁ=te=ε=sɔ̃=ny=ni=kə=bjɛ̃ 10
il=sɑ̃=dε=zaʁ=bʁə=siʁ=ky=le=la=sεvə 10
ɔ̃=na=œ̃=de=by=da=vʁil=pʁεs=kə=ʃo 10
la=fɔ=ʁε=sə=ta=pi=sə=də=pεʁ=vɑ̃ʃə 10
la=mɑ̃=tə=sɛ̃s=talə=o=bɔʁ=dy=ʁɥi=so 10
kɔmə=nε=ʒə=las=pe=ʁy=lə=ε=fɔʁ=blɑ̃ʃə 10
lə=maʁ=ʃœʁ=puʁ=sɥi=ɡε=mɑ̃=sɔ̃=ʃə=mɛ̃ 10
tu=pʁε=dε=mεʁ=lə=dɔ=ne=œ̃=kɔ̃=sεʁ 10
il=ε=sə=ʁɛ̃=sɑ̃=pɑ̃=se=a=də=mɛ̃ 10
œ̃=bɔ̃=ʁe=pi=dɑ̃=sə=mɔ̃=də=dɑ̃=fe 10
sɑ̃=tə=ʁεk=ti=liɲə=ɑ̃=tʁə=lε=sa=pɛ̃ 10
də=la=lɔ̃ɡ=pɔ=ʁa=le=si=sɔ̃=bʁə 9
il=sɔʁ=ʁə=tʁu=vɑ̃=la=ly=mjεʁə=ɑ̃=fɛ̃ 10
il=pø=a=nu=vo=ʁə=ɡaʁ=de=sɔ̃=nɔ̃bʁə 10
ynə=bʁε=və=e=klεʁ=si=ɑ̃=ve=ʁi=te 10
su=dɛ̃=də=nwaʁ=nɥ=aʒə=sa=mɔ̃=sεl=le 10
syʁ=lə=blø=dy=sjεl=sε=lɔp=sky=ʁi=te 10
paʁ=fεtə=mε=dε=ze=klεʁ=ze=tɛ̃=sεl=le 10
fʁa=pɑ̃=su=dɛ̃=lə=ʒwa=jø=ʁɑ̃=dɔ=nœʁ 10
la=ʒi=bu=le=fε=tɔ̃=be=sa=ɡʁε=lə 10
il=kuʁ=ɑ̃=pu=sɑ̃=dε=kʁi=də=du=lœʁ 10
lə=fœ=jaʒə=ɔ=fʁə=œ̃=na=bʁi=bjɛ̃=tʁofʁεlə 10
il=o=ʁε=dy=εtʁə=œ̃=pø=plys=fy=te 10
il=fo=tu=ʒuʁ=ʁə=du=te=œ̃=nɔ=ʁaʒə 10
kɑ̃=tɔ̃=paʁ=lwɛ̃=dε=myʁ=də=la=si=te 10
il=sɑ̃=ʁɑ̃=kɔ̃tə=a=pʁe=zɑ̃=il=ɑ̃=ʁaʒə 10
il=ʃεʁʃə=ɑ̃=vɛ̃=œ̃=ʁə=fy=ʒə=plys=syʁ 10
il=sə=di=ʁi=ʒə=vεʁ=də=plys=ɡʁɑ̃=zaʁbʁə 10
mε=də=vɑ̃=lɥi=pʁε=de=tʁɑ̃=ʒə=skyl=ptyʁə 10
syʁ=ʒi=œ̃=pɔ̃=pø=pa=vi=lɔ̃=ɑ̃=maʁbʁə 10
il=si=pʁe=si=pitəe=pø=si=a=sə=waʁ 10
da=fʁø=dʁa=ɡɔ̃=zɑ̃=tu=ʁe=lε=kɔ=lɔnə 10
y=nə=dε=tε=tə=lɥi=sεʁ=də=se=ʃwaʁ 10
puʁ=vεstə=e=ʃə=mi=zə=la=bε=tə=εbɔnə 10
il=ε=su=vɑ̃=pa=se=paʁ=sε=ɡʁɑ̃=bwa 10
mε=sɑ̃=vwaʁ=sə=pa=vi=lɔ̃=ɛ̃=sɔ=litə 10
ki=sε=tʁu=ve=tu=ʒys=təo=bɔ̃=ɑ̃=dʁwa 10
kɑ̃=lu=ʁa=ɡɑ̃=sy=bi=la=mi=zɑ̃=fɥitə 10
lə=kli=ma=da=vʁil=ε=lə=plys=ʃɑ̃=ʒɑ̃ 10
y=nə=fe=ʃa=sə=tus=lε=nɥ=a=ʒə 10
e=dœ̃=səl=ku=ʁə=vjɛ̃=lə=tʁε=bo=tɑ̃ 10
lə=maʁ=ʃœʁ=pø=ʁə=pʁɑ̃=dʁə=sɔ̃=vwa=jaʒə 10
a=nu=vo=sε=lə=mεʁ=vε=jø=pʁɛ̃=tɑ̃ 10
œ̃=ʃə=mɛ̃=mεnə=a=pik=vεʁ=lə=vi=laʒə 10
dɑ̃=la=vεʁ=tə=va=le=o=nɔ̃=bʁø=ʃɑ̃ 10
ɑ̃=tʁɛ̃=il=ve=ʁa=do=tʁə=pε=i=zaʒə 10
Récompense
Commentaire Sur La Poesie
20/04/2024 16:54Anya
Très joli titre Merci pour cette belle balade , à rebondissements en raison des caprices du temps. la nature est très bien observée et décrite et donnerait envie de suivre les pas de ce marcheur attentif et heureux de se promener dans ce beau décor
Poème Saisons
Du 18/04/2024 18:07
L'écrit contient 392 mots qui sont répartis dans 14 strophes. Toutes les strophes sont composés de 4 vers. Il est possible que le texte suive une forme de poésie classique.